LA VUE : COMMENT GUERIR MES YEUX en passant de l’Intellect au Coeur

Voici, le langage de certaines maladies des yeux… Il suffit d’en prendre conscience et de méditer pour en guérir !

Vous retrouverez dans les textes ce symbole : ©¯ , il vous indique que : je fais descendre la représentation mentale ou émotionnelle de ma problématique liée à la situation lue, de ma tête vers mon cœur. Il s’y produit alors soit une guérison dans l’Amour, soit le renforcement d’une attitude positive.

Je conseille également de prendre le texte d’un malaise ou d’une maladie et de le lire syllabe par syllabe, en prenant au moins une seconde par syllabe afin qu’une partie des émotions soit guérie dans l’Amour.

Allons-y ! 

YEUX

L’ASTIGMATISME est un défaut de sphéricité de la cornée ou du cristallin. La courbure verticale de la cornée est plus importante que la courbure horizontale ou inversement. C’est comme si je regardais à travers un miroir déformant.

Cette malformation dénote généralement une peur de me regarder en face, tel que je suis. Une mauvaise coordination des yeux peut signifier que ma façon d‘agir et mes pensées sont en désaccord avec mon entourage, causant ainsi des conflits intérieurs. Je veux me créer une réalité différente et tenter de me dégager de l’influence de mes parents ou de toutes autres personnes que je considère abusives. Souvent confrontés à de la rage, à de la colère ou à des peurs durant ma jeunesse, mes yeux ont gardé cette expression de frayeur et les muscles entourant l’œil sont demeurés en constant état de choc.

Mes yeux deviennent irrités si ce que je vois extérieurement ou intérieurement m’irrite. Ma définition d’un monde idéal est très loin de la réalité et je préfère ne pas voir et connaître tous les détails. si par exemple, j’ai idéalisé mon père e je me rends compte que la réalité est tout autre, je refus de lui ressembler. J’ai alors une attitude de « je vais m’organiser tout seul ». Je vis du mépris face à moi-même et aux autres. J’accole facilement des étiquettes aux gens. Cela rend mes relations avec les autres difficiles, particulièrement avec mon partenaire car je garde une distance avec lui. Je me sens bafoué mais je veux tout garder pour moi, ne laissant pas paraître mes souffrances intérieures. Je préfère endurer mais ceci est très difficile et je dois déformer la réalité pour qu’elle soit supportable. Je veux passer sous silence les cicatrices émotives que je porte.

L’astigmatisme est aussi le résultat d’une grande curiosité. Mon besoin insatiable de tout voir à « usé » mes yeux. De cette façon, mon corps me dit de prendre le temps qu’il faut pour apprécier les choses. Cela peut aussi vouloir dire que j’ai intérêt à reconnaitre ma propre beauté, l’être magnifique que je suis.

©¯ J’accepte ici et maintenant de faire face à toutes mes peurs, mais aussi à tout mon potentiel. J’accepte ©¯ de sortir de mon rôle de victime et  j’accepte ©¯ de devenir créateur de ma vie. Je me regarde dans les yeux, tel que je suis. J’accepte ©¯ de naître à moi-même et non pas pour les autres. En devenant maître de ma vie et en acceptant ©¯ que le monde est ce qu’il est et que le seul pouvoir que j’ai est sur moi-même, les réalités extérieure et intérieure seront limpides et je peux recouvrer le vue. Et la personne à féliciter, c’est moi !

LA CATARACTE est une maladie où le cristallin (lentille de l’œil) devient graduellement opaque au point que la vision se voile et se déforme, ce qui entraîne la cécité à plus ou moins longue échéance.

Cette forme d’incapacité physique arrive dans ma vie au moment où je ne désire plus voir intérieurement ce qui se passe sous mes yeux, ce qui s’en vient ou ce qui risque d’influencer ma vie et les décisions que j’aurais à prendre. Ce que j’ai vu ou que je vois pour le futur m’amène à me dire : « Je n’en crois pas mes yeux ». « Je voudrais tellement que les choses restent telles qu’elles sont présentement ». Ma vision baisse car l’énergie ne va plus à cet endroit. Elle se ternit et s’assombrit, je vois l’avenir d’un œil obscur et voilé, sans joie ni gaieté de cœur. Il est possible que j’aie une attitude égocentrique et que je veuille voir la vie seulement à ma façon sans tenir compte de la réalité d’autrui. C’est une attitude égoïste qui peut même me faire croire que je suis supérieur aux autres. Je refuse de voir certains événements ou individus d’une façon transparente.

Cette cataracte m’éloigne du présent, me retire de l’univers qui m’entoure ; ça me déplaît à certains niveaux et je dois prendre conscience des aspects extérieure et intérieur des choses. Je vois le monde qui m’entoure comme une menace. Un danger constant est présent. Je me sens isolé, seul dans mon coin. J’ai besoin des autres, je voudrais être capable de vivre mes émotions en présence des autres, mais j’ai peur de leur réaction. En « voilant » leur visage, je mets une distance et ainsi, je me sens plus protégé.

Il est intéressant de noter que la cataracte est une membrane opaque qui empêche les rayons lumineux de venir jusqu’à ma rétine. Puisque le soleil symbolise le père, je peux me demander si j’ai peur de ce dernier et sens le besoin de me protéger. Où ai-je peur du regard u Père céleste, Dieu, qui est celui qui prononcera le jugement dernier ? La cataracte apparaît normalement vers la fin de la vie, au moment où la peur de vieillir et de devenir impotent ou impuissant s’installe. J’ai l’impression que les portes se ferment devant moi. J’utilise la cataracte comme protection car « je ne veux pas voir la future image de moi-même si elle n’est pas encore là, de peur qu’elle me déplaise trop ». Je refuse de voir ce qui arrive ou va arriver et parce qu’il me paraît inéluctable, je veux ralentir ou empêcher l’événement, l’ »agression » de m’approcher. si j’ai des enfants, je les trouve « ingrats » face à la situation. En étant rigide, cela m’empêche de voir « l’autre côté de la médaille »…

En n’étant pus capable de voir ce qui se passe aujourd’hui, je me force à me remémorer le passé que je considère être « le bon vieux temps » et dont je ne veux me défaire. Je perds ma souplesse d’esprit et d’action, je deviens moins tolérant et j’oublie souvent les événements qui viennent de m’arriver. Je n’ai donc pas intérêt à voir le futur qui peut me paraître très sombre (les cataractes sont fréquentes dans les pays en voie de développement). Je ne peux plus utiliser mon imagination pour visionner mon futur. C’est comme si mes yeux étaient constamment plein d’émotions et celles-ci voilent ma vision. Cependant, je peux lever ce voile qui m’empêche de voir ma vraie réalité en plaçant mon attention sur ma lumière intérieure. Ceci est particulièrement vrai su je suis plus jeune et que j’ai des cataractes ; j’ai à décider que la vie va s’occuper de m’apporter tout ce que j’ai besoin, autant au niveau physique, qu’émotif ou spirituel.

J’accepte ©¯ de faire l’effort de regarder à l’intérieur de moi et j’y vois toute la lumière et la beauté qui m’entourent. Je plonge dans la vie !

YEUX

LES YEUX CERNES 

Généralement, les yeux fortement marqués par des cernes sont le signe de fatigue, et souvent causés par une allergie, laquelle est le résultat d’une dépendance envers un produit. Il peut s’agir également d’une anémie, ce qui indique un manque de fer (faire …). Je me sens limité dans ma vie, celle-ci est terne. Je me sens épié, entouré, menacé même et je ne sais comment m’en sortir.

J’accepte ©¯ d’être plus indépendant et que mon bonheur doit dépendre de moi seul. L’approbation des autres devient alors un plus et non une condition à mon bien-être.

 CONJONCTIVITE

La conjonctivite est l’inflammation de la membrane transparente recouvrant l’intérieur de la paupière et le globe oculaire. Il existe un rapport direct entre la conjonctivite et ce que je vois. Inconsciemment, je refuse de voir une situation ou un événement avec lequel je suis en désaccord ou qui me blesse. Ma façon de voir est douloureuse car je refuse d’avoir une nouvelle compréhension d’une situation ou le point de vue des autres. Je ne suis pas capable de me mettre à la place de l’autre d’où une impossibilité à pardonner.

Cela m’amène à vivre de la frustration, de l’irritation et de la révolte. « Je ne peux pas supporter ce que je vois ! ça me brûle de voir une telle chose ». C’est comme si mes yeux voulaient laver sans cesse la saleté que je vois dans la situation qui me met en colère  Il peut s’agir de quelque chose de moche et il faut absolument « laver la famille » de tout jugement ou scandale. Le résultat entraîne un gonflement et un engourdissement mental aussi bien qu’un débordement émotionnel similaire à l’action de pleurer.

La vie, la joie et l’enthousiasme en moi sont absents. Mes souvenirs me font mal et je fuis dans un monde irréel, de rêve romantique. Je résiste à la vie, la réalité m’est insupportable. Ma tristesse et mon désespoir m’amènent à penser régulièrement à la mort car je veux en finir avec ma douleur. Je préfère être temporairement aveugle car ce que je vois me fait souffrir. Je veux me débarrasser du lien qui existe dans le regard de l’autre face à moi. Je vis une situation avec une personne où je voudrais utiliser mon regard pour me lier à elle. Une situation avec mon conjoint susceptible d’entraîne rune séparation peut faire apparaître une conjonctivite.

Je prends le temps de m’arrêter et j’accepte ©¯ de voir cette situation qui me dérange et je me demande pourquoi il en est ainsi. Je me donne la permission de pleurer et ainsi extérioriser ma peine, mon désespoir. Je demeure ouvert et réceptif ; ainsi je m’évite de revivre une conjonctivite. Je reprends contact avec ma réalité. Je laisse aller le passé. Je prends ma vie en mains. J’accepte ©¯ mon chagrin afin qu’il se transforme en paix intérieure. Je suis ainsi conscient de toutes les possibilités qui s’offrent à moi et je crée maintenant ma vie comme je le désire.

 DALTONISME (non perception des couleurs) 

Etre daltonien, c’es voir le monde sans ses couleurs, grisâtre et indifférenciés. Il peut arriver que ce soient des couleurs précises que je ne puise pas voir ou qu’il y ait confusion de couleurs (le plus souvent le rouge et le ver). Je dois donc me demander dans quelle situation de ma vie j’ai connu un stress immense et qui faisait référence à cette ou ces couleurs que je ne peux pas distinguer. Par exemple, si je ne peux voir le rouge, peut-être ai-je frôlé la mort quand j’étais jeune parce qu’un train rouge se dirigeait sur moi. Le rouge étant maintenant associé à un haut niveau de stresse et symbolisant la mort qui me guette, je ne voudrais plus, inconsciemment voir cette couleur. S’il s’agit de toutes les couleurs que je ne peux pas distinguer, le même principe peut s’appliquer. Il y a souvent beaucoup de violence dans ma vie, j’ai été traité d’une façon très dure étant plus jeune et je veux me couper du monde, ne faisant plus confiance aux autres. Mes structures de vie ne sont pas en harmonie avec mes valeurs. Je peux aussi avoir décidé un jour de ne plus « rêver en couleurs » afin d’éviter d’être déçu et de ne voir la vie qu’en gris. Puisque nos rêves d’aujourd’hui créent la réalité de demain, je vais cesser de voir les couleurs dans ma vie quotidienne. Je décide dès maintenant des couleurs, et de faire place à mon imagination. J’imagine le rose, le vert ou le bleu. Comme un artiste, je décide du mélange dès maintenant des couleurs, et de faire place à mon imagination. J’imagine le rose, le vert, le bleu. Comme un artiste, je décide du mélange des couleurs. Je m’imprègne de cette unité que m’offre le monde. Je laisse libre cours à ma fantaisie, j’exprime ma joie de vivre de mille et une façons.

J’accepte ©¯ de n’avoir du pouvoir que sur moi-même et j’ouvre mes horizons afin d‘avoir une nouvelle vision des choses. Cela me permet de voir ma vie sous un nouveau jour, ainsi que les leçons que j’avais à apprendre.

 DEGENERESCENCE DE LA RETININE (MACULAIRE) 

La dégénérescence maculaire est la forme la plus fréquente et la plus grave des dégénérescences de la rétine. Elle consiste en une destruction progressive de la macula (zone centrale de la rétine où l’acuité visuelle est maximale). Elle est plus fréquente chez les personnes de plus de 70 ans.

Je suis confronté à des situations où il y a un point de non-retour. C’est souvent le cas lorsque je vois une personne qui m’est chère transcender son corps physique. Je me sens impuissant face à ma douleur car je n’ai aucun pouvoir sur la mort, la mienne et celle des autres. Cette vision qui m’est difficile à supporter m’amène à me déconnecter du monde, je ne veux plus le voir. Je me demande même ce que je fais encore ici….

J’accepte ©¯ d’avoir encore un rôle à jouer sur cette terre. Par ma présence, je manifeste lumière et amour qui irradient sur mon entourage, spécialement sur les gens que j’aime. Je décide de réaliser mes rêves, laissant ainsi couler la vie en moi. Mon corps, particulièrement mes yeux, se régénérée et j’ai toute l’énergie nécessaire pour vivre ma vie au maximum.

 GLAUCOME 

Le glaucome implique un blocage du canal d’écoulement de l’œil, empêchant ainsi les liquides de se libérer et causant une augmentation de la pression interne.

Ces liquides représentent toutes les larmes qui auraient dû couler tout au long de ma vie et qui, s’étant accumulées, occasionnent une pression sur la rétine, causant ainsi la détérioration de la vue. Il atteint plus fréquemment les gens de plus de soixante ans, qui ont souvent le sentiment d’en avoir assez vu. Il peut être le signe de vieilles rancunes et d’un refus de pardonner. Je peux avoir l’impression d’être dépassé, submergé par la vie et j’ai peur de l’avenir. Me sentant facilement fatigué, la vie devient différente et plus difficile à accepter émotionnellement. Je refuse de me voir vieillir.  je ne peux voir les images du futur et cela me convient parfaitement.

Puisqu’un œil atteint de glaucome réagit comme une loupe, il y a quelque chose ou quelqu’un dans ma vie dont je voudrais me rapprocher le plus rapidement possible, vers qui je veux aller. Ce peut être en termes de temps ou d’espace. C’est comme si j’étais en retard. Le but est si près mais je sens un danger qui me poursuit. Le glaucome m’oblige à ne regarder que vers l’avant et non latéralement, comme si j’avais des œillères de cheval. J’ai l’impression d’avoir raté ou d’être passé à côté de certaines choses dans ma vie et j’éprouve du ressentiment envers elles.

C’est comme si des occasions me filaient entre les doigts juste quand je suis sur le point d’obtenir ou d’accomplir quelque chose. Je me sens comme étant dans un tunnel, la vie passe à toute allure ; il y a tellement de choses qui se passent à l’intérieur et à l’extérieur de moi que je me sens en quelque sorte dans le vide ; mes points de référence auparavant familiers changent et je suis très triste de voir que je perds ce à quoi je tenais tant. Ma vie est glauque, remplie de mélancolie et de misère. Je ne  vois pas de possibilités, d’issues pour pouvoir réussir ma vie. Des possibilités se présentent à moi, mais je les « loupe » constamment, je  brime ma liberté. Je voudrais tellement pouvoir retenir mon passé et que les choses restent telles qu’elles sont … Je vis une tension extrême et j’ai l’impression que je vais craquer.

J’accepte ©¯ d’ôter le voile, de voir amour et tendresse. Je cesse de m’accrocher aux autres et je vis intensément le moment présent. Je pardonne et j’accepte ©¯ de voir la vie avec plus de tolérance.

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 HYPERMETROPIE et PRESBYTIE 

Dans le cas d’hypermétropie et de presbytie, la vision de près est gênée. L’hypermétropie est plus fréquente chez les jeunes enfants et st dues à une anomalie de la réfraction oculaire. Quant à la presbytie, il y a diminution progressive d’accommodation de l’œil qui atteint en général des personnes de plus de 40 ans.

Toutes deux dénotent une peur du présent. Qu’y a-t-il dans ma vie, près de moi, que je refus de voir ? Il peut s’agir de mon incapacité à « mettre au point » et à voir clairement ce qui m’est accessible et près de moi. Je me laisse davantage intéresser par les autres, par mes relations personnelles et par les événements extérieurs, plutôt que de regarder en moi et de développer de plus en plus mon moi intérieur. Cet état peut avoir été causé par un choc ou par un traumatisme m’ayant fait croire que ce présent n’était pas pour moi.

En devenant extraverti et en regardant au loin, je choisis d’ignorer ce qui se passe près de moi, mes rêves sont tournés vers l’avenir. Mes yeux deviennent comme une vigie qui guette continuellement au loin ce qui se passe. Je veux prendre du recul face à certains aspects de ma vie présente, donc je regarde au loin pour voir quel avenir s’offre à moi. J’ai de la difficulté à être proche et intime avec les gens qui m’entourent. Je fuis qui je suis réellement. Je n’ose même pas me regarder en face. Je n’aime pas ce que je vois et j’évite d’être concerné de trop par des situations dérangeantes. Il y a quelque chose qui m’échappe. Je veux tout prévoir d’avance ; même le toit sous lequel je vis me paraît dangereux.

En ce qui a trait plus particulièrement à ma presbytie, je vis de l’inquiétude car ce que je vois présentement me rend inquiet ; je vieillis, les enfants quittent la maison, je deviens plus triste. Je suis plus sensible aux commérages et aux critiques. Ainsi, ma vision se transforme en fonction de ce que je veux et de ce que je ne veux pas voir. Je prends un certain recul donc je m’éloigne d e ma vie présente. Je suis plus conscient de la mort et je me sens vulnérable face à ce qui s’en vient pour moi et ma famille. Cette mort peut être symbolique du moment où je prends ma retraite. Je dois me préparer, avoir des projets et je me demande si j’aurai assez de ressources financières pour tout accomplir. La presbytie peut apparaître plus tôt dans la vie si, à un jeune âge, j’ai dû faire face à la mort. Je me sens déjà « vieux » malgré mon jeune âge. J’ai l’impression d‘avoir subit tellement d’épreuves dans ma vie que c’est comme si j’en avais écu deux à la fois. Je sens mon corps usé, meurtri. Dans le cas où seulement un des deux yeux est concerné, il est important que je considère les situations reliées au côté du corps affecté (gauche : intuitif, droit ! rationnel).

J’accepte ©¯ de voir la vie aujourd’hui, avec toutes ses beautés et je sais que je suis en sécurité ICI ET MAINTENANT. J’accepte ©¯ de regarder en face mon monde émotif et les situations dans lesquelles je me trouve et où je suis inconfortable. Je regarde mes angoisses, mes insécurités. Ce n’est qu’en acceptant de regarder le présent que je peux créer le futur car je dois prendre conscience de ce que je veux changer et mettre toute mon énergie à créer un nouveau monde adapté à mes besoins. J’accepte ©¯ d’écouter ma sagesse intérieure qui parle au travers de mon intuition.

 MYOPIE 

La myopie rend difficile ma vision au loin.

Mon insécurité face à l’avenir me fait voir les événements plus gros et plus inquiétants qu’ils ne le sont en réalité. Il semble que je ne sois pas prêt à les affronter. Je vois ce qui est très de moi alors que ma vision éloignée est embrouillée, en raison des muscles oculaires contractés et tendus. Il y a un brouillard qui m’empêche de voir le danger au loin. Je suis capable de traiter avec ma vie « au jour le jour » avec une grande facilité. Par contre, il m’est difficile de créer ma propre vision de l’avenir et de voir les possibilités devant moi, de faire face et d’aller au-delà de mes craintes et insécurités. Je peux aussi être profondément dérangé par un mystère qui ne pourra peut-être jamais être résolu, dont je ne pourrai jamais trouver la solution. Ma perception intérieure de la vérité est embrouillée. Il y a distorsion entre ce que je ressens et ce que je vois. Le fait de voir très bien de près sous-tend une difficulté à trouver ma marge de manœuvre dans certaines situations. Je me retrouve dans des situations où il s’en est fallu de peu pour que je sois par exemple impliqué dans un accident de voiture. Si je suis myope, j’ai tendance à être gêné et introverti, ce qui peut résulter d’expériences de mon enfance vécues comme effrayantes ou abusives (comme le regard hostile ou enragé d’un parant). Par exemple, si un professeur ou un oncle me battait, je suis devenu myope parce que j’avais peur de lui et ne voulais pas le voir car, seulement à sa vue, je devenais nerveux, inquiet, sachant ce qui m’attendait. J’avais l’impression qu’on me talonnait et j’aurais voulu que cela cesse. J’ai ressenti la nécessité de protéger mon monde, un peu comme l’autisme, par la myopie.

Habituellement, à moins d’avoir vécu un autre conflit, ma vision de près va être meilleure que la moyenne, car je sais, même inconsciemment, qu’il est i important que je voie bien ce qui se passe près de moi pour pouvoir me défendre ou pour poser les bons gestes quand cette menace sera près de moi et pour qu’elle ne me blesse pas. La myopie indique généralement une subjectivité excessive. L’expression « ne pas voir plus loin que le bout de son nez » décrit bien cet état d’être. Ne pas vouloir voir au moins par lassitude ou paresse ou, encore, à force de déceptions de la vie. « Je n’en crois pas mes yeux » illustre bien comment je me sens. M’apitoyer sur moi-même est parfois plus facile que d’agir. Est-ce que mon conjoint passe beaucoup de temps au loin ? Je peux m’interroger si l’adage « loin des yeux, loin du coeur » s’applique dans mon cas… Ou ce peut être que je manque de la présence de mon père … Je considère la réalité extérieure et mon futur d’une façon très méfiante car je ne vois pas ma propre force et sagesse intérieures. Me sentant blessé par les autres, je n’ai plus le goût d’interagir avec eux. Je me sens impuissant, sans soutien et cela m‘empêche d’avancer.

En acceptant ©¯ de voir le monde extérieur, cela me permet d’apprendre sur moi. Ma vision s’élargit en développant mon espace intérieur. Je choisis de nouvelles routes, je me fais confiance. J’accepte ©¯ que chaque personne est responsable de sa propre vie et qu’en voyant le futur d’une façon belle et positive, c’est exactement ce qui va se manifester dans ma vie.

oeil animé

NYSTAGMUS

Le nystagmus est une suite de mouvements saccadés et rapides des globes oculaires, indépendants de la volonté, souvent symptomatiques d’une affection du centre nerveux. Si mes yeux souffrent de nystagmus, c’est que ceux-ci sont constamment en mouvement de balayage.

Je dois me demander quand est apparu le nystagmus dans ma vie. Cela va habituellement concorder avec une période où je vivais une situation dans laquelle un danger existait et que j’ai cherché, sans arrêt, « balayant » toutes les possibilités qui s’offraient à moi pour pouvoir m’en sortir. J’ai l’impression que je ne peux m’en sortir qu’en surveillant constamment mon environnement à la recherche d’éléments qui vont me faire apprécier la vie. Je ne sais trop où donner des yeux. Il est important que je retrace cet événement pour prendre conscience de la source de cette maladie et ainsi la guérir. J’ai l’impression aussi qu’il y a des images qui défilent constamment, même dans ma tête, et cela m’étourdit. J’ai le goût de baisser les yeux et que tout cela s’arrête.

J’accepte ©¯ de prendre conscience que le danger pouvait être réel pour moi dans le passé, mais que maintenant, celui-ci n’existe plus et que je suis constamment guidé et protégé. 

STRABISME  (EN GENERAL)

Si je suis atteint de strabisme, on dit communément que je louche. Les axes visuels de mes yeux sont non parallèles.

Le strabisme dénote des contradictions, des dualités et des incertitudes face à mes relations avec mon entourage, un perpétuel combat entre un besoin de solitude et celui d’être admiré, un désir d’indépendance confronté à la peur d’être seul. La douceur du silence est constamment en contradiction avec ce besoin de questionner. J’ai de la difficulté à me concentrer sur un sujet à la fois. J’appréhende les personnes et les situations, je les trouve « louches ».

J’accepte ©¯ d’apprendre à cerner mes vrais besoins et à me sentir bien dans quelque situation que ce soit.

(STRABISME CONVERGENT) 

Le strabisme convergent (ou loucherie) est une déviation des yeux vers le nez. Il implique généralement que je refuse de voir les choses telles qu’elles sont réellement, souvent à cause de l’insécurité qu’elles représentent pour moi. Il se peut que, de cette façon, je souhaite échapper à des personnes que je considère menaçantes pour moi, que je vois comme prédateurs. Je préfère porter des œillères. Mes yeux surveillent donc constamment le voisinage en cas de danger possible. Je redoute ce qui peut ou va m’arriver. Selon l’œil qui louche, je peux découvrir certains aspects de ma personnalité.

S’il s’agit de mon œil gauche qui louche vers l’intérieur, je suis une personne craintive souffrant d’un fort complexe d’infériorité. Si, au contraire, c’est mon œil droit, je suis probablement très susceptible et rancunier. C’est une façon de centrer toute mon attention et mon intelligence sur moi-même ou sur une chose ou sur une personne que je me dois de surveiller constamment. L’œil gauche louchant à l’extrême vers le haut dénote que je suis rêveur, irrationnel et dépourvu de la notion du temps ; si c’est mon œil droit, je suis une personne indisciplinée et dotée d’une intelligence irrationnelle. Le strabisme a également pour effet de me faire voir les choses seulement en deux dimensions. Si je louche, j’ai de la difficulté avec les directions à prendre. Mon insécurité et mes angoisses m’amènent à rechercher une présence rassurante. Je ne peux « avoir d’yeux que pour cette personne ». Quand je suis jeune, il s’agit habituellement d’un ou des deux parents, mais ce peut être aussi un regroupement quelconque ou un enseignement. S’il s’agit d’une personne physique, c’est comme si un ou mes deux yeux recherchaient constamment la présence oculaire de cette personne qui représente la sécurité et aussi une certaine autorité. Mes yeux cherchent dans diverses directions.

Des yeux qui louchent peuvent me dire qu’il y a une situation dans laquelle je suis confus, seul. Je suis déchiré entre deux personnes et je ne sais pas comment me positionner. Afin d’unifier ma perception, j’ai intérêt à observer les choses sous tous les angles et à en accepter la réalité. Je deviens attentif à tous les messages que mon corps me transmet et je découvre les plaisirs d’une vision de la vie dans sa globalité.

Au lieu de trouver ma sécurité autour de moi, J’accepte ©¯ d’entrer à l’intérieur de moi. Je laisse tout ce qui a pu influencer ma vie et je me construis une vie à partir de mes besoins, mes aspirations, mes forces intérieures. Je trouve ainsi la stabilité à l’intérieur de moi. Plus je suis en harmonie, plus mes yeux vont reprendre leur position normale. Mes points de vue peuvent être différents des autres. L’important, c’est d’être fidèle à moi-même.

(STRABISME DIVERGENT) 

Comme pour le strabisme convergent, le strabisme divergent est aussi une déviation des yeux mais, cette fois-ci, vers l’extérieur. Il dénote également une peur de regarder le présent en face. Lorsque c’est l’œil droit qui est atteint, cela démontre qu’un effort intellectuel est mis en branle afin de faciliter la relation entre l’intelligence et la situation. J’ai l’impression que mon intelligence tourne en rond, ce qui peut faire de moi un candidat potentiel à la dépression. S’il s’agit de mon œil gauche, je suis une personne d’une grande sensibilité. Les actions que je pose le sont en fonction de cette sensibilité. Je me vois comme une proie facile car je me sens très fragile. Le strabisme divergent m’indique que je suis dans une position de victime et d’impuissance. J’ai besoin d‘une vue panoramique pour voir le plus de choses possible et ainsi me protéger. Ce peut être dans ma vie affective ou je vois venir des conjoints(es) potentiels et je veux ainsi éviter d’être à nouveau blessé.

 J’accepte ©¯ de vivre le moment présent et de regarder chaque situation en face. Ma sensibilité me permet désormais de prendre des décisions éclairées, en sachant que je suis constamment guidé et protégé.

D’après le livre de J.Martel : Gd. dictionnaire des malaises et maladies

 VOIR L’ARTICLE : LE SYMBOLISME : LES YEUX

VOIR L’ARTICLE : LE TEST DES YEUX

VOIR L’ARTICLE : L’IRIDOLOGIE : TOUT SUR LE COULEUR DE VOS YEUX

VOIR L’ARTICLE : UN EXERCICE AVEC LES YEUX POUR SE RECENTRER

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