COMMENT LUTTER CONTRE LA CHUTE DE CHEVEUX

La perte de cheveux est un phénomène naturel qui touche autant les hommes que les femmes. La chevelure étant un atout de séduction, une chute peut entraîner une baisse de la confiance en soi. Il est donc nécessaire d’adopter les bons gestes au quotidien afin de limiter l’alopécie de pour retrouver des cheveux vigoureux et avec un beau volume.

Les causes de la perte de cheveux

 

En moyenne, une personne perd entre 50 et 100 cheveux par jour, voire plus en fonction du type de cheveux et de l’hérédité. Cependant, il convient d’agir rapidement lorsque vous constatez une chute plus importante.

Plusieurs facteurs peuvent être à l’origine d’une perte inquiétante de cheveux, dont le changement de saison. En effet, l’automne et le printemps sont des périodes qui favorisent l’alopécie en raison des variations hormonales causées par les changements de luminosité. Ce phénomène peut aussi être un effet secondaire d’un traitement médical ou la prise de certains médicaments. Le stress et la fatigue font également partie des facteurs favorisant la perte de cheveux chronique. Chez la femme, la situation peut être aggravée par des perturbations hormonales, notamment après l’accouchement ou durant la ménopause. Dans tous les cas, il existe diverses solutions permettant de limiter et de prévenir la perte de cheveux.

Quels soins choisir pour limiter la perte des cheveux ?

 

Lorsque vous avez identifié les causes de la chute, il vous faut dans un premier temps choisir le traitement local adapté à vos besoins. En fonction de la sévérité de l’alopécie, vous pouvez appliquer un soin mécanique enrichi en nutriments essentiels pour nourrir le cuir chevelu et pour fortifier la fibre capillaire. Creastim lotion antichute de la marque Ducray traite efficacement la chute de cheveux occasionnelle. Il s’agit d’un soin qui allie la créatine, le tétrapeptide et des vitamines pour drainer le sang jusqu’au cuir chevelu et pour booster la croissance du cheveu.

Cette lotion est particulièrement recommandée aux femmes sujettes à la perte de vitalité et de densité capillaire suite à l’accouchement.

Force Kératine du laboratoire Klorane permet également de réactiver la pousse du cheveu et de lutter contre la chute. Ce soin contient de l’extrait de quinine, une plante aux vertus fortifiantes et stimulantes qui agit directement sur le bulbe capillaire. Cet actif agit en synergie avec la caféine, un actif aux propriétés antichute qui booste l’efficacité de la quinine pour améliorer la résistance des cheveux face au stress et à la fatigue.

Le soin Phytocyane antichute femme des laboratoires Phyto associe quant à lui les propriétés des acides aminés, de l’écorce de viburnum et des extraits de ginkgo biloba pour stimuler la pousse. L’action simultanée de ces actifs favorise la production de kératine, améliorant la beauté et la brillance des cheveux. Ce soin contient également des procyanidols de raisin qui luttent contre les radicaux libres responsables du vieillissement du bulbe pileux.

Adopter une alimentation saine et bénéfique pour la chevelure

 

Bien souvent, une chute anormale de cheveux peut être causée par une carence en nutriments due à une mauvaise alimentation et qui ont un impact nocif sur le renouvellement des cellules capillaires. 

Rectifiez votre alimentation pour combler vos apports en vitamines, minéraux et oligo-éléments indispensables à la santé et à la vigueur de la chevelure. Les aliments contenant des acides aminés soufrés comme la viande, le poisson et les œufs sont à privilégier pour freiner la chute pour améliorer la santé des cheveux.

Privilégiez également des aliments riches en vitamines du groupe B, notamment la vitamine B8 qui favorise le renouvellement capillaire. Le zinc permet également de préserver la beauté du cheveu, puisqu’il contribue à la synthèse de la kératine et du collagène qui participent au maintien de la structure de la fibre capillaire.

Une bonne alimentation peut être complétée par une cure de complément alimentaire pour apporter au cuir chevelu les nutriments essentiels à la croissance du follicule pileux. Forcapil Hair Activ 3 mois du laboratoire Arkopharma aide notamment à prévenir la chute et à redonner du volume à la chevelure terne grâce à sa formule unique alliant la kératine, le zinc, le cuivre et la vitamine B8. Vos cheveux retrouvent ainsi toute leur souplesse et leur résistance.

Les bons gestes pour fortifier les cheveux

 

Pour prévenir la chute chronique et importante de cheveux, vous devez limiter les facteurs aggravants. Lorsque vous vous lavez les cheveux, privilégiez le rinçage à l’eau tiède et laissez sécher à l’air libre. Vous pouvez également activer la micro-circulation et booster la croissance capillaire en massant régulièrement votre cuir chevelu. En revanche, limitez l’usage du sèche-cheveux, du fer lissant ou bouclant et autres appareils thermiques. Vous devez aussi éviter les brossages trop énergiques, les coiffures trop serrées et autres gestes de traction qui pourraient endommager la fibre capillaire et fragiliser le cheveu. Par ailleurs le tabac empêche également l’irrigation du cuir chevelu et favorise la chute.

Sources : topsante.comaufeminin.com

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PARLER AVEC NOS ORGANES

A notre stade actuel de conscience, il est parfois nécessaire de se fait ôter un organe, même si par la suite nous devrons nous adonner à une conversation à ce sujet avec l’organe concerné afin d’éviter cela, et avec notre corps. Ils pourraient se sentir trahis par nous. En fait, sans guérison INTERIEURE, ils le seront sans doute.

A l’avenir, nous apprendrons à corriger la maladie par la pensée, et ce ne sera pas un problème.

Dans un état de clame méditatif, excusez-vous à l’organe et au corps. Si possible, faites-le avant de commencer l’opération chirurgicale. Remerciez l’organe pour ce qu’il a apporté à votre vie, et envoyez-lui de la gratitude pour ce qu’il a fait. Vouez et sentez votre gratitude et votre amour se rendre à l’organe et à votre corps. Ce faisant, vous découvrirez que votre organe acceptera sans doute votre décision. Ecoutez l’avis de votre organe ou de votre corps – désire-t-il l’opération ou quelque autre traitement ?? et respectez ses volontés le mieux possible ; après l’opération, voyez que l’organe est guéri et en santé sur le plan éthérique, afin que cette blessure physique n’affecte pas le schéma éthérique de vote cops dans une autre vie.

Nous devons à tout pris retrouver nos liens avec les cellules et les organes réels de notre corps physique. Les souvenirs et traumatismes de vies passées et présentes depuis le début des temps y sont enregistrés.

Le temps historique n’a aucune importance pour cela. On peut se guérir en cette’ vie ou corriger d’anciens schémas par le pardon. PARDONNER tout ce que nous ou les autres avons fait pour léser nos corps. C’est la solution concernant non seulement les blessures de vies passées, mais aussi celles de notre vie présente. LE PARDON dénoue le schéma dans le temps et sur tous les plans de l’existence. Dans ce cas, le schéma éthérique est guéri et l’esprit de notre corps, ainsi que la maladie dans un corps futur.

A notre stade de conscience, la science traditionnelle du collectif humain nie ces possibilités, mais de nouvelles sciences montantes soutiennent cette croyance émergeante et remplaceront ultérieurement le paradigme collectif existant.

Beaucoup d’entre-nous croient encore que toute maladie et toute faiblesse de notre corps n’ont que des causes physique. Si c’est le cas pour vous alors vous êtes enclin à ne chercher que des solutions physiques, telles que des médicaments sous ordonnance, des aliments différents, la réparation ou l’ablation d’un organe atteint. Alors que la solution la plus efficace  consiste à examiner comment nos pensées et nos sentiments pourraient causer le problème, et comment, en modifiant nos pensées et nos sentiments, on peut se guérir soi-même.

Certaines conditions physiques peuvent avoir des liens génétiques avec notre famille, parce que les pensées et les sentiments sources de la maladie ont commencé de leur côté. Peut-être pas du côté de la mère ou du père, mais plutôt de nos ancêtres plus lointains. En se guérissant, on efface la cause première et on guéri la structure éhérique des membres d’une famille, à la fois dans le passé et dans l’avenir.

Nous cherchons une panacée facile, en noir et blanc. Mais des problèmes physiques peuvent avoir de nombreuses causes, et toutes peuvent convenir. Il est recommandé de parler à notre corps et à nos divers organes en leur demandant pourquoi ils ne fonctionnement pas correctement, et de ne pas rester fixée sur une seule raison. Mettre en pratique ce que notre corps recommande pour guérir et, si la maladie persiste, lui demander pourquoi nous avons encore ce problème.  Avec le temps, nous en découvrirons les réelles raisons. A mesure de ces nouvelles pratiques les solutions recommandées par notre corps, on effacera la cause à un niveau cellulaire.

C’est toutefois une bonne idée que d’aller consulter un médecin disponible ; de cette façon nous recevrons une autre opinion, un diagnostique avisé, ainsi que quelques possibilités de rétablissement. Ces gestes sont nécessaires. Mais rien n’empêche de découvrir les raisons de la maladie et de corriger les pensées et les sentiments qui l’on causés !

Guérir est un processus physique, émotionnel, mental et spirituel, et la situation de chaque personne est unique. Etre à l’écoute de son propre corps afin de guérir et parfois même s’il ne guérit pas, nous devront nous détacher du sentiment que quelque chose ne tourne pas rond chez nous et que l’on ne sait pas comment se guérir.

ICI JE VAIS DONNER UN EXEMPLE ……….. (maladies avec les YEUX issu du livre cité ci-dessous)

Nous savons qu’il faut un cinquième de seconde pour que ce que nous voyons visuellement circule le long des nerfs optiques et se rende au cerveau pour y être traité et compris. Cela veut dire que nous ne vivons pas vraiment dans le présent, mais dans le passé. Il y a un décalage. Ce décalage est un cadeau qui crée une pause intégrée qui nous permet d’observer nos pensées, de changer notre interprétation de ce que nous voyons arriver et de revoir la situation d‘une nouvelle façon dégagée des vielles habitudes, blessures et de vieux programmes.

LA CORNEE de notre œil se charge des 2 tiers de la focalisation. Si nous avons des problèmes de cornée, demandons-nous si nous nous concentrons sur les mauvaises choses à ce moment de notre vie. Lorsque nous découvrons ce que c’est nous pouvons décider de changer notre point de mire.

LE GLAUCOME provient d’une augmentation de la pression sur le nerf optique de notre œil et la DEGENERATION MACULAIRE provient d’une augmentation de la pression sur la rétine. Alors, demandons-nous « Quelles pressions ai-je dans ma vie actuelle » ? et « comment est-ce que je les réduis ou les élimine » ? ou encore, « suis-je la cause de mes propres pressions à être perfectionniste, à m’attacher à une façon d ‘être ancienne ou à une blessure subie dans le passé  » ? Ce ne sont là que des idées afin de stimuler nos propres questions. Lorsque nous déterminerons quelles pressions nous nous donnons, la solution se trouvera souvent dans notre pouvoir de les éliminer. Cela peut impliquer de pardonner à quelqu’un ou de changer quelque chose dans notre vie que nous considérons comme la cause du problème.

Le problème oculaire le plus courant à mesure que l’on vieillit, ce sont les CATARACTES. D’après les médecins, cela peut provenir d’un stress oxydatif qui endommage les gras et les protéines dans le cristallin, ce qui le rend trouble. Des études ont démontré qu’il est tuile de manger plus de fruit set de légumes pour prévenir ou retarder l’arrivée de cataractes. De plus vous pouvez rester flexible en faisant des choses différemment et en accueillant l’avenir au lieu de la craindre. L’opération de la cataracte est une procédure simple qui restaurera votre vison. N’écartez pas la chirurgie pour résoudre des problèmes physiques. Cependant, considérez la chirurgie comme une seule option après avoir identifié la cause sous-jacente de votre problème et avoir corrigé toutes les pensées erronées qui ont pu le causer.

[…]

Sujet abordé dans le livre de TANIS HELLIWELLE intitulé : CONVERSATION AVEC L’ESPRIT DU CORPS HUMAIN – Traverser la nuit obscure de l’âme individuelle et collective aux Editions ARIANE 2021!

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Des aliments qui protègent la circulation sanguine

Pas moins de six Français sur dix seraient touchés par une insuffisance veineuse ou un retour veineux de mauvaise qualité. Jambes lourdes, crampes, impatiences, sensations de brûlure aux extrémités… l’insuffisance veineuse réunit tous ces troubles circulatoires qui s’aggravent au fil de la journée, sont accentués par une position prolongée (assise ou debout), et que l’exercice vigoureux, une douche fraîche ou la surélévation des membres améliorent. Des varices douloureuses au risque d’embolie pulmonaire, l’insuffisance veineuse ne se prend pas à la légère, mais les coups de pouce existent. Citons le Curcuma longa : la plante bloque le mécanisme de l’inflammation s’attaquant aux veines. Antioxydant bien connu en ayurvéda, le curcuma soulage les douleurs et les sensations de lourdeurs.



Menus pour un bouclier cardiovasculaire

Plusieurs nutriments, pris en synergie, aident à conserver une circulation de champion. En complément du curcuma, on misera sur les aliments riches en quercétine, un flavonoïde qui protège le muscle cardiaque : oignons, fruits rouges, vin rouge, aromates verts (persil, ciboulette, aneth).

En parallèle, il faudra trouver des sources de coenzyme Q10 qui augmente la résistance du cœur, diminue sa fatigabilité ainsi que la tension : viandes, poissons gras, huile de colza, oléagineux. La vitamine B6 jouera aussi un rôle essentiel pour réduire le taux d’homocystéine, facteur de risque cardiovasculaire, en atténuant l’oxydation des lipides sanguins impliqués dans les thromboses : les lentilles, les pois chiches et les bananes en sont riches. Combler une éventuelle carence en sélénium permettra de protéger les vaisseaux contre le LDL, le cholestérol aux effets délétère. On trouvera cet oligoélément dans les poissons, les fruits de mer et les noix du Brésil.

Enfin, la consommation régulière d’aliments riches en lycopène reste associée à une réduction des maladies cardiovasculaires. Alors cap sur tous les caroténoïdes reconnaissables à leur pigmentation rouge carmin : tomates, poivrons, kakis, goyaves, pastèques.

Œdème, thrombose, embolie… faisons le point ensemble sur les remèdes naturels pour une bonne circulation sanguine.

Prenez soin de vous,

Précautions

Les personnes souffrant de crise hémorroïdaire ont recours la plupart du temps à l’automédication. En soi, cela ne pose pas de problème, mais rappelons néanmoins que la présence de sang dans les selles n’est pas toujours causée par des hémorroïdes. D’autres pathologies peuvent se cacher derrière ce symptôme, et il convient pour cette raison de consulter un médecin au moindre doute. Une fois le diagnostic posé, en complément de conseils alimentaires et d’un mode de vie sain, les soins locaux sont très efficaces.

la Myrte

L’aromathérapie apporte une réponse tout à fait honorable. Elle vise à soulager la douleur éprouvée en calmant l’inflammation. Par ailleurs, elle permet une décongestion veineuse et lymphatique et favorise donc une meilleure circulation sanguine dans l’ensemble de la zone anale tout en prévenant les risques infectieux éventuels. La cicatrisation des tissus est également améliorée.

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Article de Lucile de La Reberdière pour le magazine GINKGOMEDIA newletter

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Douleur et Souffrance ne sont pas synonymes

Lorsque vous êtes malade ou ressentez un malaise quelconque, il y a douleur. Dès ‘instant où vous commencez à résister à cette douleur, à refuser qu’elle soit, elle se transforme en souffrance. La douleur est partie intégrante de l’expérience humaine, elle constitue pour ainsi dire l’un des termes du marché conclu au moment de notre naissance.

Le fait même d’être né implique que nous fassions de temps à autre l’expérience de la douleur. « La souffrance, c’est autre chose. Elle n’est pas inévitable, elle est fonction de notre conditionnement. Car qu’est-ce que la souffrance sinon notre façon de réagir à la douleur ? Plus nous réagissons à la douleur, plus nous nous entons malades et surtout perdus, identifiés à la maladie.

Fuir la douleur, se rétracter à son approche engendre la souffrance ; l’accueillir et la regarder pour ce qu’elle est constitue le début de la vraie compassion et de la guérison, sinon corporelle – encore que cela y contribue grandement – en tout cas spirituelle.

C’est d’abord dans son cœur que l’on guérit. La guérison n’est peut-être qu’une volonté d’accueillir ce que nous n’avons jusque-là cessé de fuir. Allons-nous nous ferme, nous crisper comme on nous a conditionnés à le faire ? Ou au contraire nous ouvrir ? C’est là que tout se joue.

Pour beaucoup d’entre-nous, pour nous réveiller, il a fallu la maladie. Tout comme il a fallu la guerre pour les secouer de leur torpeur, alors que la guerre est une bonne chose, si horrible soit-elle par ailleurs. La guerre est déclarée, ils descendent dans la rue pour protester et dénoncer cet engrenage ; mais une fois la guerre finie, je crains que la guerre ne retombe et que l’individu de rendorme…

Bien souvent, le ferveur spirituelle est uniquement fonction des circonstances. La menace de mort disparue, les gens sont retombés dans  leurs vieux mécanismes.

Ce processus, nous pouvons le voir à l’oeuvre en nous tous. Quelque chose nous réveille, puis nous nous rendormons. Certaines maladies ont ceci de particulier que leur évolution suit un cours en dents de scie ; lorsque vous êtes plutôt malades, vous vous passionnez pour la métaphysique, la méditation et les moyens de faire face à la souffrance. Dès que vous allez mieux, la spiritualité devient simplement quelque chose d’intéressant, un « truc »  à approfondir ; et si vous retombez malade, vous ressortez vos bouquins sur le bouddhisme !

En vérité, tout le monde se trouve dans cette situation, c’est tout le pathétique de la condition humaine la plupart du temps, il nous faut subir des traumatismes pour seulement commencer à entrouvrir les yeux. Ne serait-ce pas merveilleux de chercher à s’éveiller sans avoir besoin d‘essuyer des secousses sismiques ?

Plus on résiste, plus on se ferme, plus la vie doit frapper fort dans l’espoir de nous ranimer. Mais il en va tout autrement si nous tirons les leçons de l’épreuve et à la convertir, tout change ! Prenez votre colère, votre douleur, votre irritation face à la stupidité ambiante, prenez tout et faites-en votre miel pour l’éveil. En définitive, que nous soyons malade ou bien portant ne change rien : de toute façon, il nous faut poursuivre le travail intérieur, car en vérité que faire d’autres ?

Extrait du livre de Gilles Farcet : L’HOMME SE LEVE A L’OUEST aux Editions Albin Michel p.156_159

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Donner de la sérénité à ses douleurs

Il est intéressant de constater que notre époque moderne, qui développe de plus en plus la communication vers l’extérieur, est aussi celle de l’éloignement de soi. Notre science, nos scientifiques et nos politiques qui voudraient tant tout savoir ou maîtriser, sont dramatiquement effrayés dès que l’on parle de l’ « homme » ou d’humanisme. Ces dimensions que l’on ne peut ni chiffrer ni contrôler font peur, alors on les évite, on les fuit. C’est cette fuite qui fait, entre autres, le lit des sectes et de nombreux thérapeutes gourous, trop heureux de s’engouffrer dans un domaine délaissé et si vaste que tout et n’importe quoi peut y être dit ou fait.


Cet état de fait génère une psychose aggravante, puisque aujourd’hui tout ce qui parle de ces dimensions devient suspect. Ce n’est pas un rapport fait à la va-vite (quelques heures) par des parlementaires ne pouvant arguer de compétences particulières qui peut permettre que cela change, bien au contraire. Cependant, qu’on le veuille ou non, les dimensions subtiles de l’être humain s’expriment tous les jours. Pour pouvoir les comprendre et accéder à leur sens profond, il nous faut accepter que le paradigme qui les concerne soit différent de celui du regard mécaniste.

Il en est ici comme des différences fondamentales qui existent entre les physiques classique et quantique. L’une se préoccupe du pondéral et du macroscopique et l’autre, du subtil et du microscopique. Elles ne s’excluent pas, contrairement à ce que certains voudraient. Elles ne s’intéressent pas aux mêmes niveaux tout en étudiant la même chose. Le lien entre elles, comme pour l’humain, est un principe de cohérence. Nous devons l’accepter car c’est lui qui permet d’unifier la connaissance et ses différents paradigmes, non pas antagonistes, mais complémentaires.

 Accepter cette idée, c’est se donner la possibilité de lire ce lien à travers le langage du corps. […] Associé à des pathologies types, ce livre a pour but de vous aider à mieux accompagner les autres (ou vous-mêmes) vers l’état de santé, en donnant un sens à ce qui nous arrive. Cela est fondamentalement nécessaire car si, bien souvent, les autres (amis, médecins, psychologues, thérapeutes, guides spirituels) peuvent nous aider et même parfois nous soigner, nous sommes en revanche les seuls à pouvoir nous guérir. […]

Les relations corps/esprit


Il me semble difficile de comprendre les relations entre le corps et l’esprit, et par conséquent la signification des maux du corps par rapport aux bleus de l’âme, si nous n’élargissons pas le regard que nous portons sur l’homme et la vie. Si nous restons en effet au stade de l’homme « machine », composé de pièces indépendantes et interchangeables en fonction des progrès techniques de la science, les relations que j’ai faites dans mon précédent livre ou que je fais dans celui-ci vont sembler tenir de la magie, de la voyance, de l’imaginaire ou du délire.

C’est bien là que se situe la question, à savoir comment et pourquoi relier les manifestations physiques, les symptômes, les maladies ou les accidents avec ce qui se passe, ce qui se joue en nous ? L’observation mécaniste ne peut pas le faire car son regard est trop collé au symptôme, son champ d’observation trop restreint, que ce soit dans le temps ou dans l’espace. Cela l’empêche d’aller chercher la vraie cause qui ne peut alors se justifier que par le hasard (accident) ou par des éléments qui nous sont extérieurs (virus, microbe, nourriture, environnement, etc…).


En élargissant notre regard et en observant l’homme dans sa globalité physique ou temporelle, nous allons pouvoir à nouveau relier les différents niveaux qui composent son existence, lui donnant sa dimension véritable, qui est avant tout spirituelle. Nous pourrons alors peut-être comprendre la raison d’être de l’homme et, par conséquent, les raisons de son mal-être. L’Orient nous propose une image fort intéressante pour représenter ce véhicule particulier qu’est notre corps physique et ce Chemin de Vie sur lequel nous avançons. Cette image de Calèche qui avance sur le Chemin de Vie, tirée par les chevaux de nos émotions et conduite par le Cocher de notre mental, illustre parfaitement l’idée de relation entre conducteur et véhicule, entre confort et façon de conduire, la place majeure étant donnée au voyageur caché, ce Non-Conscient qui connaît l’itinéraire mieux que le Cocher.


En tout cas, si nous acceptons l’idée de relation directe entre le corps et l’esprit, il devient alors intéressant de connaître le sens des manifestations physiologiques. Elles deviennent les points d’appui de notre réalisation, ce à travers quoi elle s’exprime. Ces manifestations peuvent être aussi un remarquable moyen de décodage et de compréhension de la partie que nous jouons, de ce qui se passe en nous. Notre corps se transforme alors en un extraordinaire outil de connaissance. Encore faut-il essayer de déchiffrer et de comprendre à travers quels processus types  il s’exprime… Extrait d’un livre à lire………

Un ouvrage qui s’inscrit dans la continuité de « Dis-moi où tu as mal, je te dirai pourquoi ». Ce lexique de Michel Odoul décode plus de 300 pathologies ou traumatismes. Il nous permet de donner un sens à ce qui nous arrive, et de sortir de l’idée de fatalité souvent associée à la maladie ou aux accidents. Nous pouvons ainsi reprendre les commandes et décider de changer la situation. Ce livre constitue la suite logique de Dis-moi où tu as mal, je te dirai pourquoi, qui en posait les bases essentielles. Il est destiné à tous ceux qui, après la lecture du précédent ouvrage, veulent en savoir plus. La qualité des informations données en fait un excellent outil d’accompagnement du travail pour les professionnels de la santé, et ce quelle que soit leur approche thérapeutique, énergéticiens, shiatsu thérapeutes, psychothérapeutes, ostéopathes, médecins, personnel soignant, etc.

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Le lâcher-prise comme moyen de guérison

Le lâcher-prise favorise un élargissement de la conscience. Lâcher prise signifie laisser aller, s’en remettre à une force supérieure, à la puissance divine. C’est avoir la foi et faire confiance à la vie. Lâcher prise n’est pas synonyme de se laisser aller. Se laisser aller, ce serait abdiquer, ne plus croire et ne plus vouloir vivre.


Nous devons apprendre à abandonner et à nous abandonner. Lâcher prise, c’est laisser aller les événements sans intervenir, sans chercher à garder toujours le contrôle.


Notre attitude et nos ressources intérieures influencent grandement notre pouvoir de guérison et notre qualité de vie à court, à moyen et à long terme. Dans ce contexte, j’avais un choix à faire : accepter de n’avoir pas nécessairement le dernier mot ! J’ai alors eu besoin d’une très grande force intérieure pour calmer mon mental qui était tout ébouriffé, ma raison tellement inquiète de ne plus rien contrôler. C’est à ce moment précis que j’ai dû lâcher prise et m’en remettre très humblement aux autorités médicales compétentes et à la Puissance divine.


En tant que créatures divines, nous sommes reliées à la puissance universelle. Cette force qui régit l’univers nous régit aussi. La nature n’a pas besoin de nous pour s’épanouir. Toute forme de vie végétale, animale et humaine prend sa source dans l’Univers. La graine germe en terre, croît et meurt selon son cycle sans que l’humain ait à intervenir dans ce processus sacré. Une force supérieure est à l’origine de toute vie, et c’est à cette source que nous devons activer nos énergies de guérison. Nous faisons agir le Divin en nous, ce potentiel énergétique qui réside en chacun de nous, et nous puisons à cette source intarissable. Notre véritable pouvoir de guérison est à l’intérieur de nous.


La perte de contrôle occasionnée par ma maladie m’a amenée à lâcher prise face à mes anciens comportements, à mes anciennes structures et perceptions. Cela m’a fait un bien énorme et m’a permis d’apprendre à vivre autrement. Je ne suis plus figée dans le passé. Je m’efforce de vivre le moment présent et d’être totalement disponible quoi que je fasse ou quoi que je ressente. Cela exige néanmoins beaucoup d’attention.

Plus l’emprise de notre attachement au passé se resserre, plus notre douleur et notre confusion deviennent stressantes et limitatives. Notre esprit devient de plus en plus étroit et focalise sur les mêmes éléments, les mêmes pensées, les mêmes dialogues intérieurs. C’est à ce moment-là que la maladie s’installe parce que nous sommes en état de faiblesse, de la même manière qu’une plante sera envahie par les pucerons si son équilibre est perturbé.


Dans le but de retrouver notre force et notre vigueur, l’attachement au Moi, l’attachement aux autres et l’attachement au passé doivent être relâchés et dépassés. Plus l’emprise de l’attachement se relâche, plus nous nous sentons libres, guéris et à l’aise. La paix de l’esprit s’installe alors à nouveau. Comme le dit encore si bien Tulku Thondup dans Une source inépuisable de paix et de guérison : « Être en paix, ce n’est pas seulement être dans un état neutre de repos, où pensées, actions et émotions sont absentes. C’est être conscient des expériences et des manifestations paisibles de notre esprit. La paix de l’esprit génère la joie, cette joie née de la conscience de l’absence de conflit, une joie ouverte et sans limites. Grâce à la force qui émane de cette prise de conscience de notre paix intérieure, rien ne peut nous déranger. »

Notre âme s’incarne dans un but précis, celui d’expérimenter diverses situations riches en contenu et significatives pour elle. C’est grâce à cette expérimentation que se poursuit notre évolution spirituelle. Me choisir veut donc dire permettre à l’être que je suis de réaliser pleinement son plan de vie. Pour me choisir, il est essentiel que j’apprenne à me connaître, à me faire confiance et à aller au bout de mes rêves.

Si nous nous contentons d’éliminer les cellules malades par un traitement de médecine traditionnelle sans régler notre problématique sur le plan psychique, nous pouvons penser que le cancer reviendra ou qu’il poursuivra sa course dans notre organisme puisque le problème de base n’est pas résolu. Il devient donc récurrent. Je pense que la solution pour guérir est de traiter à la fois le corps, l’âme et l’esprit. Nous entrons ainsi dans une nouvelle phase de notre vie et nous guérissons.


(1) Extrait du livre « Activer son pouvoir de guérison, découvrir le message du cancer et des autres maladies » , par Johanne Robitaille Manouvrier (Editions Publistar).

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L’ivresse en vitesse

On dit du champagne que « ses bulles montent vite à la tête ». Ce que de nombreux consommateurs ont déjà constaté a été vérifié par une équipe de chercheurs britanniques qui ont comparé les effets d’un champagne pétillant avec ceux d’un même vin « plat ». Résultat : l’alcoolémie grimpe beaucoup plus vite et reste plus longtemps élevée dans le sang des buveurs de bulles. Ce qui signifie que le champagne grise rapidement et durablement, et qu’on peut donc atteindre le plaisir recherché à moindre coût pour la santé et le portefeuille. Par ailleurs, le « mal de crâne » est beaucoup moins imputable au vin lui-même qu’à la présence massive d’anhydride sulfureux. Pour faire la fête sainement, préférez donc les champagnes bio élaborés avec un minimum de soufre ajouté.

ATTENTION : comme toutes les boissons alcoolisées, la consommation excessive de vin de Champagne peut être nuisible à la santé. Sa consommation est spécialement déconseillée aux femmes enceintes, en raison des effets possibles de l’alcool sur le développement du fœtus. Cependant, le champagne est certainement le moins malsain des vins. Depuis son invention au XVIIème siècle, on lui prête même des vertus médicinales nombreuses et variées. Avant de devenir le vin de fête par excellence, le « nectar aux bulles d’or » était d’ailleurs considéré officiellement comme un médicament !

Pendant des siècles, le champagne a été recommandé comme auxiliaire de la digestion, mais aussi comme un reconstituant efficace et comme le remède idéal pour rendre roses les idées noires. Il était prescrit par les médecins au motif qu’il « dissipe les états nauséeux et soutient le moral ». Nos aïeux l’estimaient aussi pour sa puissance antiseptique et pour ses vertus diurétiques. Ils le disaient souverain contre les douleurs articulaires et le conseillaient aux femmes en périodes de couches, aux convalescents, aux anémiques et aux affaiblis. Jusqu’au milieu du XXème siècle, on lui a trouvé de la valeur dans le traitement d’affections cutanées telles que l’herpès ou l’eczéma. Comme souvent, les Anciens avaient découvert intuitivement ce que la science finirait par confirmer.

Anxiolytique naturel

En effet, les qualités thérapeutiques du champagne sont maintenant étayées par les découvertes scientifiques les plus récentes, notamment celles de la biologie moléculaire et de la biochimie. Favorable à une oxygénation réactionnelle de l’organisme, son gaz carbonique provient de la seconde fermentation et n’a donc rien d’artificiel, contrairement à d’autres vins mousseux et aux boissons gazéifiées. Ceci expliquant cela, le vin de champagne n’irrite pas l’estomac malgré un pH très faible. Il ne nuit pas à la digestion mais l’améliore, en dissolvant les graisses et en évitant les ballonnements.

Comme tous les vins blancs secs, il est fortement diurétique et aide par conséquent à évacuer les toxines. Il est riche en sels minéraux assimilables, en particulier en potassium, en calcium, en magnésium et en soufre, et possède donc des propriétés dépuratives, détoxicantes et anti-inflammatoires. Il agit ainsi sur les rhumatismes, les rhumes et les allergies. Il contient aussi des oligo-éléments, dont le zinc, utile à la régulation de l’influx nerveux. Avant l’arrivée des molécules de synthèse, le champagne était d’ailleurs reconnu comme antidépresseur et anxiolytique. Le divin breuvage contient également du phosphore et du lithium, importants pour l’équilibre psycho-émotionnel.

Ennemi de la cellulite

Autre effet remarquable mis en évidence par les chercheurs : le champagne attenue la cellulite, cette affection dermatologique qui donne à la peau un aspect de pelure d’orange. Une coupe de champagne quotidienne active la circulation lymphatique, le cerveau réagit par une sécrétion d’hormones antidiurétiques et cela fluidifie le sang. De plus, le cœur va secréter lui aussi des hormones, activant ainsi la circulation au niveau de chaque cellule et favorisant le drainage. Le champagne hâte la disparition de la cellulite tout simplement en accentuant les mécanismes ordinaires d’élimination de l’organisme.

Elixir de jouvence

Certes, ce vin blanc est moins riche en tannins et est privé des pigments antioxydants qui confèrent au vin rouge ses principaux atouts diététiques. Mais selon l’historien François Bonal, qui a consacré plusieurs travaux aux bienfaits du champagne, celui-ci compense par son effet à la fois euphorisant et apaisant. Dans les années soixante, une expérience a été faite dans les hôpitaux américains sur trois mille volontaires. Ceux à qui on faisait boire du champagne le soir dérangeaient trois fois moins les infirmières pendant la nuit !

 Sur le plan vasculaire, le champagne conviendrait particulièrement aux personnes atteintes d’artériosclérose et à celles menacées d’infarctus. Il s’oppose en outre à la formation du cholestérol et à son dépôt sur les parois artérielles. Est-ce ce qui lui vaut sa renommée d’ « élixir de longue vie » ? François Bonal cite le cas de nombreux négociants et vignerons champenois qui, après avoir bu le produit régional toute leur vie par nécessité professionnelle, se sont éteints à un âge avancé en gardant jusqu’au bout toutes leurs facultés.

Au début des années 1980, une centenaire autrichienne, encore merveilleusement alerte à 106 ans , fut priée par la presse de révéler son secret de longévité. Elle répondit : « la discipline, une bouteille de champagne quotidienne qui me conserve sereine ». En gériatrie, il se raconte que le vin effervescent redonne parfois vie aux mourants…

Une coupe le soir

Un médecin cambodgien , le Dr Tran Ky, a découvert le champagne en faisant ses études d’urologue à Paris. Il en est tombé amoureux, en a étudié en détail la composition, les bénéfices pour la santé, et a fini par publier un livre , « Les vertus thérapeutiques du champagne », paru en 1990 aux éditions Artulen. Ce qui lui a aussi valu un poste de chargé de cours à l’université de Reims. Selon lui, la consommation idéale se situe aux environs d’une coupe par jour, absorbée dans la soirée, lorsque l’activité des enzymes hépatiques est à son apogée. Idéalement toujours, le docteur ès-champagne suggère cependant de limiter l’ingestion d’alcool à ce seul rituel quotidien. Au-delà, les inconvénients
commencent…

Michel Manset

Extrait de l’article paru au magazine NEO SANTE – par Michel Manset – REVUE N°07 1 DÉCEMBRE 2011

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La vie divine derrière la maladie

Quel que soit le chemin suivi, la Connaissance tend vers l’unité, non seulement dans son unique et ultime conception, mais aussi dans les grandes lignes de ses résultats généraux.

Rien n’est plus remarquable et plus suggestif que de constater à quel point la science moderne confirme, dans le domaine de la Matière, les conceptions, et même les formules auxquelles, par une méthode très différente, aboutit le Védânta – le Védânta originel, qui n’est pas celui des écoles de philosophie métaphysique, mais celui des Upanishad.

Conceptions et formules qui, à leur tour, ne révèlent bien souvent leur pleine signification, la richesse de leur contenu que lorsqu’elles sont vues à la lumière des découvertes de la science moderne. Ainsi en est-il de l’expression védântique qui décrit les choses du cosmos comme un germe unique que l’Énergie universelle a ordonné en une multitude de formes(1). Il est particulièrement significatif que la science tende vers un monisme qui n’exclut pas la multiplicité, vers l’idée védique d’une essence unique et de ses nombreux devenirs. Même l’accent mis sur la dualité apparente de la Matière et de la Force ne contredit pas vraiment ce monisme. Il devient évident, en effet, que la Matière dans son essence est non existante pour les sens, et, comme le Pradhâna des Sânkhya, seulement une forme conceptuelle de la substance. En fait, l’on en arrive au point où seule une distinction arbitraire de la pensée permet encore de séparer la forme de la substance, de la forme de l’énergie.

La Matière s’exprime, en définitive, comme une formulation de quelque Force inconnue. La Vie aussi, ce mystère encore impénétrable, commence à se révéler comme une obscure énergie de sensibilité, emprisonnée dans sa formule matérielle ; et quand est guérie l’ignorance séparatrice qui nous donne le sentiment d’un abîme entre la Vie et la Matière, il est difficile de supposer que le Mental, la Vie et la Matière soient autre chose qu’une Énergie unique sous sa triple formulation, le triple monde des voyants védiques. Alors la conception d’une Force matérielle brute donnant naissance au Mental ne pourra plus subsister. L’Énergie qui crée le monde ne peut rien être d’autre qu’une Volonté, et la Volonté n’est que la conscience s’appliquant à une œuvre en vue d’un résultat.



Quelle est cette œuvre et quel est ce résultat, sinon une involution de la Conscience dans la forme, et son évolution à partir de la forme, afin d’actualiser une sublime possibilité dans l’univers qu’elle a créé ?

Et quelle est sa volonté en l’Homme, si ce n’est la volonté d’une Vie sans fin, d’une Connaissance sans bornes, d’un Pouvoir sans entraves ? La science elle-même commence à rêver d’une victoire physique sur la mort, à exprimer une soif insatiable de connaissance et à réaliser pour l’humanité quelque chose qui ressemble à une omnipotence terrestre.

En ses travaux, l’Espace et le Temps se contractent au point de presque disparaître ; de mille façons, elle s’efforce de rendre l’homme maître des circonstances et d’alléger ainsi les chaînes de la causalité. La notion de limite, d’impossibilité commence à s’estomper, et il apparaît au contraire que tout ce que l’homme veut avec constance, il doit être finalement capable de l’accomplir, car la conscience de l’espèce finit toujours par en découvrir le moyen. Ce n’est pas dans l’individu que cette omnipotence s’exprime ; c’est la Volonté collective de l’humanité qui la réalise au moyen des individus.

Et un regard plus profond nous révèle que ce n’est même pas la Volonté consciente de la collectivité, mais une Puissance supraconsciente qui utilise l’individu comme centre et comme moyen, et la collectivité comme condition et champ d’action.

Or, qu’est cette puissance sinon le Dieu en l’homme, l’Identité infinie, l’Unité multiforme, l’Omniscient, l’Omnipotent, qui, ayant fait l’homme à Son image, avec l’ego pour centre d’action, et la race, le Nârâyana collectif(2), le vishvamânava(3), pour forme et délimitation, cherche à exprimer en eux quelque image de l’unité, de l’omniscience, de l’omnipotence qui sont la propre conception du Divin ? « Ce qui est immortel dans les mortels est un Dieu établi au-dedans, comme une énergie que nos pouvoirs divins manifestent(4). » C’est ce vaste élan cosmique que le monde moderne, sans vraiment connaître son propre but, sert pourtant dans toutes ses activités et s’efforce subconsciemment de réaliser.

Cependant il y a toujours une limite et un obstacle – pour la connaissance, c’est la limite du champ matériel, et pour le Pouvoir, l’obstacle du mécanisme matériel. Mais là aussi, la tendance la plus récente est le signe puissant d’un avenir plus libre. De même que nous voyons les avant-postes de la Connaissance scientifique se fixer de plus en plus sur les frontières séparant la matière de l’immatériel, de même les plus hautes réalisations des sciences appliquées sont celles qui tendent à simplifier, à réduire au minimum les mécanismes produisant ses effets les plus puissants. La télégraphie sans fil est le signe et le prétexte extérieur qu’a trouvés la Nature pour prendre une nouvelle orientation. Le moyen physique sensible de transmission intermédiaire de la force physique est supprimé ; il n’existe plus qu’aux points d’émission et de réception. Eux-mêmes finiront par disparaître, car lorsqu’on partira d’une base juste pour étudier les lois et les forces supraphysiques, on trouvera infailliblement le moyen pour que le Mental se saisisse directement de l’énergie physique et la dirige avec précision vers son but. Là sont les portes – il nous faudra bien un jour le reconnaître – qui s’ouvrent sur les horizons immenses de l’avenir.


Et pourtant, même si nous avions la connaissance et la maîtrise complètes des mondes situés juste au-dessus de la Matière, il y aurait encore une limitation, et encore un au-delà. Le dernier nœud de notre servitude se trouve au point où l’extérieur devient un avec l’intérieur, où le mécanisme de l’ego lui-même s’affine jusqu’à se dissoudre, et où la loi de notre action est enfin l’unité embrassant et possédant la multiplicité et non plus, comme elle l’est à présent, la multiplicité s’efforçant de reproduire une image de l’unité. Là se dresse le trône central de la Connaissance cosmique dominant son plus vaste empire ; là est le royaume du moi et celui de son monde(5) ; là est la vie dans l’Être éternellement accompli(6), et la réalisation de Sa nature divine dans notre existence humaine(7).


(1) Shvetâshvatara Upanishad. VI. 12.
(2) Un nom de Vishnu qui, en tant que Dieu en l’homme, vit constamment associé en une unité duelle à Nara, l’être humain.
(3) L’homme universel.
(4) Rig-Véda. IV. 2. 1.
(5) Svârâjya et Sâmrâjya, le double but que se propose le Yoga positif des Anciens.
(6) Sâlokya-mukti, la libération en vivant consciemment avec le Divin en un seul monde d’être.
(7) Sâdharmya-mukti, la libération en assumant la Nature divine.

Sri Aurobindo, La vie divine, éditions J’ai Lu, collection Aventure Secrète, 2021.

Extrait du livre visionnaire de l’un des plus grands penseurs indiens du XXᵉ siècle. Par sa connaissance de la pensée occidentale, par son sens de l’universalité de la quête mystique, Sri Aurobindo est parvenu à rendre accessibles à l’esprit moderne les textes fondateurs de la spiritualité indienne. 

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Utilisation de béquilles chimiques

Ce ne sont pas les traitements médicaux, quels qu’ils soient, qui guérissent les maladies, c’est le corps qui se guérit lui-même, pour autant que nous ne l’empêchions pas de faire son travail. Cette vérité est essentielle pour sortir du drame de maladies qui poussent les gens à consommer des traitements médicaux dont la conséquence est d’empoisonner à petit feu l’organisme en paralysant ses fonctions d’auto-réparation. Un traitement chimique en situation d’urgence peut sauver des vies, mais donner des médicaments à vie à des gens ne peut que les priver de tout espoir de guérison naturelle. Car les « béquilles chimiques » rendent le corps de plus en plus impuissant à rétablir l’harmonie de la santé.

Virus et bactéries ne sont pas des ennemis à abattre mais des partenaires, des alliés, qui agissent pour notre bien, dans la mesure bien sûr où un système immunitaire en bon état peut gérer leur travail de fabrication de vitamines et de dépollution du corps. L’abus d’antibiotiques, pour détruire les bactéries considérées comme des agresseurs ainsi que la pasteurisation des aliments sont devenus des fléaux dramatiques car chaque prise d’antibiotiques détruit notre flore intestinale, qui est l’un des agents les plus importants du système immunitaire et les aliments stérilisés par la chaleur ont perdu toute valeur nutritive. Sans parler des fours à micro-ondes qui sont d’une effarante toxicité. Les additifs alimentaires, les adjuvants vaccinaux, les milliers de produits de consommation bourrés de molécules chimiques, les ondes électromagnétiques des téléphones portables et des ordinateurs, la radioactivité et toutes les autres formes de pollutions nous font vivre dans un environnement de plus en plus toxique. Nous ne pouvons pas continuer à faire les autruches en nous persuadant que « tout va bien », continuons comme d’habitude… faisons comme si nous ne sommes responsables de rien et que nos gouvernants, autorités médicales ou religieuses, institutions de toutes sortes et multinationales de toutes tailles sont dignes de confiance !

Dans « Confessions d’un médecin révolté », le Professeur Peter YODA écrit : « Les médecins sont soumis à une sorte de lavage de cerveau durant leurs études et ils croient presque tous ces mensonges enseignés volontairement.  Ils prétendent donc qu’il existe des cellules humaines malignes, dégénérées, appelées cellules cancéreuses.

D’après les « experts du cancer », ces cellules malignes doivent impérativement être tuées au moyen de thérapies destructrices. Qu’elles fassent partie d’un ensemble plus grand de cellules, nommé être humain, n’entre évidemment pas en ligne de compte. De même il n’est discuté dans aucune faculté occidentale si les cellules cancéreuses sont réversibles et si elles peuvent de nouveau se différencier en cellules tout-à-fait normales.

Un cancérologue connaît l’anatomie et pourra vous dire pourquoi vous avez tel ou tel organe. Mais que sait-il au fond du cancer ? Dans les facultés et les cliniques, il apprend seulement qu’il faut procéder à l’ablation de la tumeur ou la détruire par chimiothérapie ou rayonnement. Et si la théorie de la destruction indispensable de la tumeur était FONDAMENTALEMENT fausse ? Ne vous êtes-vous jamais demandé pourquoi 230.000 personnes environ meurent chaque année du cancer en Allemagne MALGRé, dans la plupart des cas, une destruction préalable de leur tumeur ? Avez-vous seulement osé vous demander si tant de personnes ne seraient pas mortes PARCE QUE leur tumeur a été tuée ? Je dis bien tuée !

Les médecins holistiques répètent que nous devons mobiliser nos forces d’auto-guérison. Qu’est-ce que cela signifie concrètement ? Ces forces ont-elles été perdues, se sont-elles épuisées ? Bien sûr que non.

Elles sont toujours présentes. Mais nous avons perdu foi en elles parce que nous avons échangé, il y a des décennies, la connaissance des forces d’auto-guérison contre celle de la « médecine moderne ». Nous disons aujourd’hui que si nous prenons les médicaments et recouvrons la santé, ce sont les médicaments qui nous ont aidés. SI nous demeurons malades, « malgré » les médicaments, ou si nous devenons encore plus malades, c’est que la maladie est plus forte. Percevez-vous que, dans ce système, la médecine moderne ne peut jamais perdre la face ? Que vous guérissiez ou que vous restiez malade, la faute est toujours à VOUS et pas à la médecine.

En moins de deux siècles, une poignée de médecins a réussi à tromper le monde entier et en même temps à édifier un système tel que ceux qui y collaborent sont toujours les gagnants. Les thérapies qu’ils ont créées ne servent en réalité qu’à satisfaire la pulsion de conservation du système et non les patients !

Peut-être comprenez-vous à présent pourquoi les gens « du dehors », c’est-à-dire hors du système, sont constamment combattus et pourchassés. Plus ils sont bons, plus ils sont attaqués et, même si vous ne me croyez pas, ils sont parfois assassinés.

Les hommes de main des firmes pharmaceutiques nous ont raconté que la qualité des médicaments se mesure à leurs effets secondaires. Plus un médicament a d’effets secondaires, plus il est actif. Comment pouvons-nous être assez aveugles pour croire à de telles inepties ? Les effets secondaires ne sont pas un mal nécessaire dans un traitement mais ils expriment en fait ses principaux effets. Accessoirement ils servent aussi à ce que vous ayez besoin de davantage de médicaments ou à ce que vous ne guérissiez pas si vite : un mouvement perpétuel parfait avec lequel on peut gagner beaucoup d’argent, surtout auprès des personnes âgées. Combien de fois ai-je moi-même vu des patients prendre plus de dix médicaments différents. Bien sûr, tout cela pour le bien du patient et pas pour l’enrichissement d’un petit nombre. Quelle cécité que la mienne pendant toutes ces années où j’ai exercé la médecine ! »

N’est-ce pas un témoignage bouleversant ?

Sagesse du corps

La sagesse du corps est des millions de fois plus grande que celle de tous les scientifiques de la planète ! Comme le dit C.G. Jung : « Nous ne sommes pas là pour guérir de nos maladies, mais nos maladies sont là pour nous guérir ! » Toute maladie est une occasion d’apprendre à comprendre notre corps et les lois universelles de la vie. Toute maladie est une chance à saisir, une occasion de ne plus être une victime qui subit, un patient qui obéit, un consommateur qui consomme mais d’oser nous redresser, sortir de l’hypnose collective de la peur, prendre notre vie en mains pour devenir l’artisan de notre santé et de notre bonheur !

Extrait de l’article SOURCE : Article n°101 Par Jean-Pierre Joseph du Magazine NEO SANTE REVUE N°60 26 JUILLET 2020

Plantes aromatiques qui ne vous veulent que du bien

Aneth, basilic, ciboulette, menthe poivrée, origan, persil, romarin, thym : 8 plantes aromatiques qui, au-delà de donner du goût à vos petits plats, se révèleront être vos partenaires « santé » de ce printemps. Encore faut-il connaître leurs bienfaits et savoir correctement les utiliser. Conseils à suivre !

L’ANETH

Conseils de plantation et entretien 

Que ce soit dans une jardinière ou en pleine terre, l’aneth demande à être plantée dans un sol bien drainé, au soleil, et à l’abri du vent. Espacez les semis de 20 cm environ. Récoltez les feuilles avant la floraison, les graines quand elles commencent à brunir. 

Ses bienfaits 

On dit de l’aneth qu’elle chasse les vents. Elle stimule la digestion, évite les ballonnements, lutte contre le hoquet et les vomissements. Elle se révèle être également un puissant diurétique et un excellent calmant.

Comment l’utiliser

Mâchées, les feuilles soulagent les rages de dents. Une tige infusée dans une tasse d’eau bouillante facilite la digestion, prévient l’insomnie et l’anxiété ; les graines infusées, quant à elles, arrêtent le hoquet. Et pour garder une bonne haleine, il suffit de les croquer.  
 

LE BASILIC

Conseils de plantation et entretien 

Que ce soit en pot ou dans un potager, le basilic aime la terre bien drainée riche en matières organiques et éléments minéraux. Choisissez un endroit très ensoleillé, à l’abri du vent. Taillez-le régulièrement pour éviter la floraison. Sur votre balcon, il s’épanouira dans un pot de deux litres. 

Ses bienfaits 

Les agents antispasmodiques qu’il contient permettent de lutter contre les faiblesses musculaires et l’indigestion. Il peut également soulager les douleurs (maux de tête, dentaires, douleurs menstruelles). Sans oublier qu’il redonne un regain d’énergie et prévient le rhume et la grippe. 

Comment l’utiliser

Ses feuilles ne servent pas uniquement dans la préparation de l’incontournable sauce au pistou. Infusées, elles aident à la digestion et soulagent les maux de gorge. Pour cela, faites bouillir de l’eau avec des feuilles pendant 20 minutes. Filtrez ensuite en pressant le basilic pour récupérer les principes actifs. Attendez que cela refroidisse et gargarisez-vous avec cette décoction. En lotion — 150 gr de feuilles infusées vingt minutes dans un litre d’eau bouillante —, il prévient les chutes de cheveux. 

LA CIBOULETTE

Conseils de plantation et entretien 

La ciboulette s’épanouit aussi bien sur nos balcons que dans les jardins. Choisissez un endroit mi — ombragé. Plantez des semis dans une terre légère — préférablement du terreau. Pour une plantation en pot, il faudra au préalable disposer une couche de 1 ou 2 cm de billes d’argile. Tassez bien le sol. Arrosez peu et désherbez souvent. Le secret ? Taillez-la régulièrement pour favoriser une repousse vigoureuse.

Ses bienfaits 

Elle peut agir sur les taux de glycémie et de cholestérol. C’est un bon aliment antibactérien, un bon cicatrisant, et, en infusion, un excellent laxatif. Elle repousse les scarabées japonais, les mouches de carottes et les pucerons. 

Comment l’utiliser

En lotion, elle purifie les peaux grasses. Portez à ébullition des tiges coupées, puis laissez refroidir. Filtrez. Votre préparation est prête à être utilisée dans les deux semaines. C’est également un bon insecticide naturel.

LA MENTHE POIVREE

Conseils de plantation et entretien 

Choisissez plutôt des plants que des semis, que vous disposerez dans un sol frais et riche, chacun espacé de 50 cm. Attention, elle a tendance à se propager rapidement. Ainsi que ce soit dans une jardinière ou dans un jardin, optez donc pour un grand contenant et taillez-la. N’oubliez pas de l’arroser.

Ses bienfaits 

Elle soulage les spasmes gastro-intestinaux, les symptômes de l’intestin irritable et ceux du rhume. Elle calme les nausées. Dans un jardin, elle repousse les pucerons et les tiques.

Comment l’utiliser

Pour soulager les douleurs, fabriquez un cataplasme en écrasant des feuilles. Ramollissez-les dans un peu d’eau tiède pendant deux minutes puis appliquez cette préparation sur la zone à traiter. La menthe poivrée est souvent utilisée sous forme d’huile essentielle pour le traitement des troubles digestifs ou des maux de tête. Pour la fabriquer, lavez et séchez des feuilles, écrasez-les pour libérer les huiles naturelles. Placez-les dans un récipient hermétique, versez l’huile végétale de votre choix puis refermez. Attendez 24 h. Filtrez l’huile puis ajoutez des feuilles et de l’huile végétale. Répétez cela pendant cinq jours. Filtrez toutes les feuilles et versez l’huile finale obtenue dans des petits flacons hermétiques. Stockez dans un réfrigérateur.

L’origan

Conseils de plantation et entretien 

En godet, privilégiez un mélange terreau/sable. Recouvrez très peu les graines, et maintenez bien au frais jusqu’à la levée. En pleine terre, espacez de 25 cm. Sachez qu’il s’épanouit au soleil, dans un sol léger, sec et calcaire. Il ne demande pas beaucoup d’eau. Binez et sarclez régulièrement.

Ses bienfaits 

Il est reconnu pour ses vertus antalgiques, anti-infectieuses, antiseptiques et antibactériennes. C’est l’ennemi des inflammations des bronches et des problèmes de transits intestinaux. Il se trouve être un stimulant efficace. C’est un véritable répulsif pour les moustiques, les papillons du chou et les chrysomèles du concombre.

Comment l’utiliser

En cataplasme, il soulage les douleurs (rhumatismes, torticolis, courbatures). Pour se faire, disposez 100 grammes de sommités fleuries d’origan dans un linge propre. Placez-le sur le couvercle d’une casserole d’eau bouillante. Une fois que le cataplasme est chaud, appliquez-le sur la zone douloureuse. En inhalation, il calme la toux et favorise l’expectoration. Plongez 25 grammes de feuilles dans 50 cl d’eau très chaude durant dix minutes puis respirez au-dessus de l’infusion durant au moins cinq minutes et ce, plusieurs fois par jour. Boire une infusion, deux à trois fois par jour permet également d’atténuer les coliques, les spasmes œsophagiens et les douleurs menstruelles. 

LE PERSIL

Conseils de plantation et entretien 

Il prospère dans tous les sols. Dans un pot, disposé à l’ombre légère, il s’épanouira d’autant mieux dans un mélange composé de ¾ terreau et ¼ de terre franche (sable, argile, humus, calcaire, limon). Recouvrez les graines d’un ou deux centimètres de terreau. Quand quatre ou cinq feuilles apparaissent, éclaircissez-les à 7-10 cm. Maintenez le sol humide. Astuce : pour améliorer le pouvoir germinatif, laissez-les tremper 24 h dans de l’eau avant de les semer.

Ses bienfaits 

Non seulement il a un pouvoir diurétique et facilite la digestion, mais il redonne de l’énergie. 

Comment l’utiliser

En lotion, il éclaircit le teint et atténue les taches brunes. Mettez deux cuillères à café de feuilles hachées dans de deux litres d’eau bouillante. Baissez à feux doux pendant quinze minutes. Après avoir laissé refroidir, versez une cuillère à café de jus de citron. Votre mélange se conserve au frigidaire. Les feuilles écrasées et frottées apaisent les piqures de moustiques. En infusion, il atténue les troubles digestifs.

LE ROMARIN

Comment l’utiliser

Contre les ballonnements et les troubles du foie, buvez trois tasses de décoction de romarin, si possible avant les repas. Il suffit de faire infuser 2 cuillères à café de feuilles avec 500 ml d’eau. Contre le torticolis, les douleurs de l’arthrite et de l’arthrose, concoctez un cataplasme. Cuisez des feuilles de romarin avec du vin une dizaine de minutes. Disposez les feuilles encore chaudes dans une compresse, puis appliquez-la sur la zone à traiter. Sachez également que les branches de romarin infusées préviennent la chute des cheveux et aident au démêlage.

LE THYM

Conseils de plantation et entretien 

Sur un balcon, placez votre thym dans un endroit très ensoleillé. Vous l’aurez préalablement planté dans un terreau. Au jardin, il apprécie les terres bien drainées, et les sols un peu lourds. N’hésitez donc pas à ajouter du sable ou des graviers. Il ne demande pas beaucoup d’arrosage. 

Ses bienfaits 

Il soulage bon nombre de pathologies respiratoires (toux, bronchite, pleurésie, asthme…) Il s’avère être un bon antiseptique et antifongique (inflammations de la bouche) et il soulage les dérèglements intestinaux, et les affections ostéo-articulaires (rhumatismes, l’arthrose). Il améliore la santé de la peau. Il calme l’herpès, les mycoses, les zonas ou les plaies.

Comment l’utiliser

Pour fortifier les cheveux, réalisez la décoction suivante : 100 grammes de thym dans un litre d’eau froide. Portez-là à ébullition. Laissez mijoter 10 à 20 min. Lorsque le mélange est réduit de moitié, laissez refroidir, filtrez. Pour avoir une chevelure brillante, ajoutez-y deux cuillères à soupe de vinaigre de cidre. En cas de problèmes digestifs, buvez une tisane — 1 cuillère à café de thym pour 150 ml d’eau — après les repas.

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