ANIMAUX ET VIBRATION, SOURCE D’EXEMPLE POUR L’HOMME

Nous émettons tous une vibration, une fréquence vibratoire, un taux vibratoire (humains, animaux, plantes et mêmes objets). Tout ce qui existe a une vibration et peut être mesuré (en ce que l’on appelle « unités de Bovis »). Plus notre vibration est élevée, plus nous sommes dans les émotions dites « positives » (joie, gratitude, enthousiasme, amour…). Plus notre vibration est basse, plus nous sommes dans les émotions dites « négatives » (tristesse, impuissance, colère, frustration…). Nous comprenons donc bien que la chose la plus importante est d’avoir une vibration élevée, et cela doit être une volonté consciente et quotidienne que de travailler sur sa vibration en faisant les choix de vie et de pensée qui nous « élèvent » le plus.

L’Animal, lui, est très souvent dans une vibration élevée par nature (sauf dans le cas où encore une fois il a trop fréquenté l’Homme à vibration négative, cela peut l’atteindre car il absorbe les émotions). Il y a également des variations de taux vibratoire selon les espèces car eux aussi sont à des stades d’évolution qui leur sont propres. Mais les chiens et les chats ont une vibration très élevée. Avoir un animal de compagnie c’est donc véritablement détenir une énorme boule d’énergie positive chez soi qui nous déverse ses ondes positives en permanence. Bon nombre d’humains considèrent leurs animaux de compagnie comme quelque chose certes d’agréable, mais n’ont pas conscience de l’effet que ces boules d’énergie ont sur eux, sur leur corps, leur santé, et donc sur toute leur vie entière. Puisque nous créons notre réalité extérieure en fonction de notre réalité intérieure et plus précisément de notre vibration intérieure, alors un animal de compagnie peut véritablement impacter la vie entière d’un humain. Un animal peut véritablement transformer un humain. Et cela se produit des millions de fois chaque année. Ils sont là pour ça. Ils entrent dans nos vies, et notre vie n’est plus jamais la même, sans qu’ils n’aient jamais eu besoin de prononcer un seul mot.

La plupart des « alliances » entre animaux et humains ont été prévues d’avance, avant l’incarnation. Parfois certaines rencontres sont tellement bouleversantes que l’on sent bien que « cela devait se faire ». Le lien est tellement fort. Est-ce un hasard que vous ayez tel ou tel chat, ou tel ou tel chien ? Bien sûr que non. Nous avons l’animal qui nous correspond et l’animal qu’il nous fallait pour apprendre les leçons que nous devions apprendre et expérimenter les sentiments que nous devions expérimenter.

Chiens versus Chats

Souvent, nous constatons des ressemblances entre certains animaux et leurs maîtres. Que ce soit physique ou au niveau de la personnalité. C’est tout simplement parce que l’animal absorbe les émotions et la personnalité de l’Homme. Du fait de leur vibration extrêmement élevée, ils sont capables souvent d’absorber une grande quantité d’émotions négatives de leur maître pour les soulager (ils peuvent ainsi même les sauver de maladies). Quand le maître est triste, le chien le sent, et vient immédiatement se mettre contre son maître pour absorber sa tristesse et lui donner son énergie positive. L’humain se met soudainement à sourire, à se sentir mieux, par la vibration de l’amour qui le transperce encore une fois même sans un mot.

Le chat, lui, n’agit pas de la même manière, mais émet une vibration extrêmement forte également (au même titre que les dauphins, baleines, éléphants…). Le chat est un animal tellement en alignement avec lui-même (beaucoup plus que le chien qui est tout de même très dépendant de son maître), qu’il émane une vibration très puissante, vibration qui soit est un véritable bonheur divin pour ceux qui ressentent justement cette vibration extrêmement haute (en particulier quand le chat ronronne), soit rebute.

Celui qui aime les chats a compris l’enseignement du chat : s’aimer (personnellement j’aime regarder cet acte d’amour pour soi que de prendre le temps de se laver tout le corps chaque jour avec sa petite langue), dormir quand il en a envie, aller chercher des câlins quand lui en a envie. C’est une véritable leçon que de comprendre ce que c’est que de s’aimer suffisamment au point de n’attendre après personne pour satisfaire nos propres besoins et de prendre l’entière responsabilité de notre vie. Le chat ne compte sur personne. Par contre si on lui offre de l’amour il sait le rendre et le montrer aussi. Mais il n’est pas dépendant de nous et c’est ça le véritable enseignement que nous devrions en retirer (ne pas être dépendant des autres dans nos propres relations, pour déterminer notre bonheur).

L’humain qui n’aime pas les chats est un humain qui a du mal avec les personnes s’autorisant à être en alignement avec elles-mêmes avant toute chose. C’est souvent une personne qui ne s’autorise pas par exemple de s’écouter et qui fait sa vie en fonction des autres (le chat lui, faisant tout l’inverse, est un puissant miroir qu’il va donc rejeter), ou qui pense que les gens sont trop égoïstes en général et donc le chat est la représentation de tout ce qu’il déteste (et il adore en général les chiens à l’inverse car il peut s’y reconnaître ou retrouver les qualités qu’il souhaiterait plus trouver chez les humains). Cela peut être aussi le reflet de son propre égoïsme qu’il ne supporte pas chez les autres… 

Mais celui qui n’aime pas les chats devrait plutôt se demander : qu’y a-t-il chez le chat qui reflète en moi quelque chose sur quoi je dois travailler ?

Le chien, lui, nous enseigne le don de soi, à l’inverse pour les personnes qui sont trop dans la restriction et l’amour conditionnel, ils sont de profonds enseignants sur ce que c’est que de donner sans rien n’attendre en retour, et sans conditions, et d’aimer tout le monde, ainsi que d’être dans l’enthousiasme, la joie, et le bonheur de toutes petites choses (une baballe envoyée, une sortie avec son maître, une friandise…).

Bien sûr, il y a tellement d’autres espèces extraordinaires d’enseignement pour l’Homme, mais je ne peux pas toutes les citer, l’article serait trop long, j’ai donc évoqué les deux principaux animaux de compagnie de l’Homme à l’heure actuelle. Chaque animal a sa particularité et chaque animal est une profonde source d’enseignements pour l’Homme. Certains hommes l’ont compris mais encore beaucoup ne considèrent l’animal que comme un objet sans conscience, et incapable de ressentir, mais le jour où l’Homme réalisera ces joyaux que sont les animaux, pour la Terre (ils envoient en permanence leurs hautes vibrations sur la Terre pour contrebalancer l’énergie négative envoyée par les Humains), et pour eux-mêmes, la leçon sera très dure… Nous réaliserons tout ce que nous leur avons fait subir et cela sera très dur pour la conscience. En attendant, si vous lisez cet article, il y a de fortes chances pour que justement vous ayez conscience de ces merveilles que sont les animaux, et à quel point nous devons les honorer, les respecter et les chérir, nous qui avons justement la capacité de développer des outils, des refuges, des moyens de soigner, ce n’est pas pour détruire mais pour protéger.

Comme le disait Gandhi « Toute âme qui s’élève, élève le Monde »… et c’est véritablement à cela que l’animal contribue chaque jour, en côtoyant l’Humain. Il l’aide à élever sa vibration, pour qu’à son tour l’Humain soit une force positive pour le reste de la planète…

SOURCE Laura Marie Site web : www.lauramarietv.com

COMMENT LUTTER CONTRE LA CHUTE DE CHEVEUX

La perte de cheveux est un phénomène naturel qui touche autant les hommes que les femmes. La chevelure étant un atout de séduction, une chute peut entraîner une baisse de la confiance en soi. Il est donc nécessaire d’adopter les bons gestes au quotidien afin de limiter l’alopécie de pour retrouver des cheveux vigoureux et avec un beau volume.

Les causes de la perte de cheveux

 

En moyenne, une personne perd entre 50 et 100 cheveux par jour, voire plus en fonction du type de cheveux et de l’hérédité. Cependant, il convient d’agir rapidement lorsque vous constatez une chute plus importante.

Plusieurs facteurs peuvent être à l’origine d’une perte inquiétante de cheveux, dont le changement de saison. En effet, l’automne et le printemps sont des périodes qui favorisent l’alopécie en raison des variations hormonales causées par les changements de luminosité. Ce phénomène peut aussi être un effet secondaire d’un traitement médical ou la prise de certains médicaments. Le stress et la fatigue font également partie des facteurs favorisant la perte de cheveux chronique. Chez la femme, la situation peut être aggravée par des perturbations hormonales, notamment après l’accouchement ou durant la ménopause. Dans tous les cas, il existe diverses solutions permettant de limiter et de prévenir la perte de cheveux.

Quels soins choisir pour limiter la perte des cheveux ?

 

Lorsque vous avez identifié les causes de la chute, il vous faut dans un premier temps choisir le traitement local adapté à vos besoins. En fonction de la sévérité de l’alopécie, vous pouvez appliquer un soin mécanique enrichi en nutriments essentiels pour nourrir le cuir chevelu et pour fortifier la fibre capillaire. Creastim lotion antichute de la marque Ducray traite efficacement la chute de cheveux occasionnelle. Il s’agit d’un soin qui allie la créatine, le tétrapeptide et des vitamines pour drainer le sang jusqu’au cuir chevelu et pour booster la croissance du cheveu.

Cette lotion est particulièrement recommandée aux femmes sujettes à la perte de vitalité et de densité capillaire suite à l’accouchement.

Force Kératine du laboratoire Klorane permet également de réactiver la pousse du cheveu et de lutter contre la chute. Ce soin contient de l’extrait de quinine, une plante aux vertus fortifiantes et stimulantes qui agit directement sur le bulbe capillaire. Cet actif agit en synergie avec la caféine, un actif aux propriétés antichute qui booste l’efficacité de la quinine pour améliorer la résistance des cheveux face au stress et à la fatigue.

Le soin Phytocyane antichute femme des laboratoires Phyto associe quant à lui les propriétés des acides aminés, de l’écorce de viburnum et des extraits de ginkgo biloba pour stimuler la pousse. L’action simultanée de ces actifs favorise la production de kératine, améliorant la beauté et la brillance des cheveux. Ce soin contient également des procyanidols de raisin qui luttent contre les radicaux libres responsables du vieillissement du bulbe pileux.

Adopter une alimentation saine et bénéfique pour la chevelure

 

Bien souvent, une chute anormale de cheveux peut être causée par une carence en nutriments due à une mauvaise alimentation et qui ont un impact nocif sur le renouvellement des cellules capillaires. 

Rectifiez votre alimentation pour combler vos apports en vitamines, minéraux et oligo-éléments indispensables à la santé et à la vigueur de la chevelure. Les aliments contenant des acides aminés soufrés comme la viande, le poisson et les œufs sont à privilégier pour freiner la chute pour améliorer la santé des cheveux.

Privilégiez également des aliments riches en vitamines du groupe B, notamment la vitamine B8 qui favorise le renouvellement capillaire. Le zinc permet également de préserver la beauté du cheveu, puisqu’il contribue à la synthèse de la kératine et du collagène qui participent au maintien de la structure de la fibre capillaire.

Une bonne alimentation peut être complétée par une cure de complément alimentaire pour apporter au cuir chevelu les nutriments essentiels à la croissance du follicule pileux. Forcapil Hair Activ 3 mois du laboratoire Arkopharma aide notamment à prévenir la chute et à redonner du volume à la chevelure terne grâce à sa formule unique alliant la kératine, le zinc, le cuivre et la vitamine B8. Vos cheveux retrouvent ainsi toute leur souplesse et leur résistance.

Les bons gestes pour fortifier les cheveux

 

Pour prévenir la chute chronique et importante de cheveux, vous devez limiter les facteurs aggravants. Lorsque vous vous lavez les cheveux, privilégiez le rinçage à l’eau tiède et laissez sécher à l’air libre. Vous pouvez également activer la micro-circulation et booster la croissance capillaire en massant régulièrement votre cuir chevelu. En revanche, limitez l’usage du sèche-cheveux, du fer lissant ou bouclant et autres appareils thermiques. Vous devez aussi éviter les brossages trop énergiques, les coiffures trop serrées et autres gestes de traction qui pourraient endommager la fibre capillaire et fragiliser le cheveu. Par ailleurs le tabac empêche également l’irrigation du cuir chevelu et favorise la chute.

Sources : topsante.comaufeminin.com

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PARLER AVEC NOS ORGANES

A notre stade actuel de conscience, il est parfois nécessaire de se fait ôter un organe, même si par la suite nous devrons nous adonner à une conversation à ce sujet avec l’organe concerné afin d’éviter cela, et avec notre corps. Ils pourraient se sentir trahis par nous. En fait, sans guérison INTERIEURE, ils le seront sans doute.

A l’avenir, nous apprendrons à corriger la maladie par la pensée, et ce ne sera pas un problème.

Dans un état de clame méditatif, excusez-vous à l’organe et au corps. Si possible, faites-le avant de commencer l’opération chirurgicale. Remerciez l’organe pour ce qu’il a apporté à votre vie, et envoyez-lui de la gratitude pour ce qu’il a fait. Vouez et sentez votre gratitude et votre amour se rendre à l’organe et à votre corps. Ce faisant, vous découvrirez que votre organe acceptera sans doute votre décision. Ecoutez l’avis de votre organe ou de votre corps – désire-t-il l’opération ou quelque autre traitement ?? et respectez ses volontés le mieux possible ; après l’opération, voyez que l’organe est guéri et en santé sur le plan éthérique, afin que cette blessure physique n’affecte pas le schéma éthérique de vote cops dans une autre vie.

Nous devons à tout pris retrouver nos liens avec les cellules et les organes réels de notre corps physique. Les souvenirs et traumatismes de vies passées et présentes depuis le début des temps y sont enregistrés.

Le temps historique n’a aucune importance pour cela. On peut se guérir en cette’ vie ou corriger d’anciens schémas par le pardon. PARDONNER tout ce que nous ou les autres avons fait pour léser nos corps. C’est la solution concernant non seulement les blessures de vies passées, mais aussi celles de notre vie présente. LE PARDON dénoue le schéma dans le temps et sur tous les plans de l’existence. Dans ce cas, le schéma éthérique est guéri et l’esprit de notre corps, ainsi que la maladie dans un corps futur.

A notre stade de conscience, la science traditionnelle du collectif humain nie ces possibilités, mais de nouvelles sciences montantes soutiennent cette croyance émergeante et remplaceront ultérieurement le paradigme collectif existant.

Beaucoup d’entre-nous croient encore que toute maladie et toute faiblesse de notre corps n’ont que des causes physique. Si c’est le cas pour vous alors vous êtes enclin à ne chercher que des solutions physiques, telles que des médicaments sous ordonnance, des aliments différents, la réparation ou l’ablation d’un organe atteint. Alors que la solution la plus efficace  consiste à examiner comment nos pensées et nos sentiments pourraient causer le problème, et comment, en modifiant nos pensées et nos sentiments, on peut se guérir soi-même.

Certaines conditions physiques peuvent avoir des liens génétiques avec notre famille, parce que les pensées et les sentiments sources de la maladie ont commencé de leur côté. Peut-être pas du côté de la mère ou du père, mais plutôt de nos ancêtres plus lointains. En se guérissant, on efface la cause première et on guéri la structure éhérique des membres d’une famille, à la fois dans le passé et dans l’avenir.

Nous cherchons une panacée facile, en noir et blanc. Mais des problèmes physiques peuvent avoir de nombreuses causes, et toutes peuvent convenir. Il est recommandé de parler à notre corps et à nos divers organes en leur demandant pourquoi ils ne fonctionnement pas correctement, et de ne pas rester fixée sur une seule raison. Mettre en pratique ce que notre corps recommande pour guérir et, si la maladie persiste, lui demander pourquoi nous avons encore ce problème.  Avec le temps, nous en découvrirons les réelles raisons. A mesure de ces nouvelles pratiques les solutions recommandées par notre corps, on effacera la cause à un niveau cellulaire.

C’est toutefois une bonne idée que d’aller consulter un médecin disponible ; de cette façon nous recevrons une autre opinion, un diagnostique avisé, ainsi que quelques possibilités de rétablissement. Ces gestes sont nécessaires. Mais rien n’empêche de découvrir les raisons de la maladie et de corriger les pensées et les sentiments qui l’on causés !

Guérir est un processus physique, émotionnel, mental et spirituel, et la situation de chaque personne est unique. Etre à l’écoute de son propre corps afin de guérir et parfois même s’il ne guérit pas, nous devront nous détacher du sentiment que quelque chose ne tourne pas rond chez nous et que l’on ne sait pas comment se guérir.

ICI JE VAIS DONNER UN EXEMPLE ……….. (maladies avec les YEUX issu du livre cité ci-dessous)

Nous savons qu’il faut un cinquième de seconde pour que ce que nous voyons visuellement circule le long des nerfs optiques et se rende au cerveau pour y être traité et compris. Cela veut dire que nous ne vivons pas vraiment dans le présent, mais dans le passé. Il y a un décalage. Ce décalage est un cadeau qui crée une pause intégrée qui nous permet d’observer nos pensées, de changer notre interprétation de ce que nous voyons arriver et de revoir la situation d‘une nouvelle façon dégagée des vielles habitudes, blessures et de vieux programmes.

LA CORNEE de notre œil se charge des 2 tiers de la focalisation. Si nous avons des problèmes de cornée, demandons-nous si nous nous concentrons sur les mauvaises choses à ce moment de notre vie. Lorsque nous découvrons ce que c’est nous pouvons décider de changer notre point de mire.

LE GLAUCOME provient d’une augmentation de la pression sur le nerf optique de notre œil et la DEGENERATION MACULAIRE provient d’une augmentation de la pression sur la rétine. Alors, demandons-nous « Quelles pressions ai-je dans ma vie actuelle » ? et « comment est-ce que je les réduis ou les élimine » ? ou encore, « suis-je la cause de mes propres pressions à être perfectionniste, à m’attacher à une façon d ‘être ancienne ou à une blessure subie dans le passé  » ? Ce ne sont là que des idées afin de stimuler nos propres questions. Lorsque nous déterminerons quelles pressions nous nous donnons, la solution se trouvera souvent dans notre pouvoir de les éliminer. Cela peut impliquer de pardonner à quelqu’un ou de changer quelque chose dans notre vie que nous considérons comme la cause du problème.

Le problème oculaire le plus courant à mesure que l’on vieillit, ce sont les CATARACTES. D’après les médecins, cela peut provenir d’un stress oxydatif qui endommage les gras et les protéines dans le cristallin, ce qui le rend trouble. Des études ont démontré qu’il est tuile de manger plus de fruit set de légumes pour prévenir ou retarder l’arrivée de cataractes. De plus vous pouvez rester flexible en faisant des choses différemment et en accueillant l’avenir au lieu de la craindre. L’opération de la cataracte est une procédure simple qui restaurera votre vison. N’écartez pas la chirurgie pour résoudre des problèmes physiques. Cependant, considérez la chirurgie comme une seule option après avoir identifié la cause sous-jacente de votre problème et avoir corrigé toutes les pensées erronées qui ont pu le causer.

[…]

Sujet abordé dans le livre de TANIS HELLIWELLE intitulé : CONVERSATION AVEC L’ESPRIT DU CORPS HUMAIN – Traverser la nuit obscure de l’âme individuelle et collective aux Editions ARIANE 2021!

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Troubles de santé liés aux ondes

Fatigue chronique, maux de tête, cervicalgie, douleurs multiples, problèmes de concentration, vertiges, troubles du sommeil, sensation d’oppression, troubles du rythme cardiaque, troubles neurodégénératifs, burn-out, dépression… Tous ces symptômes qui concernent des millions de personnes peuvent être le signe d’une électro-hypersensibilité.

Et vous ? Êtes-vous sensible aux ondes ?

Fort de son expérience, l’auteur s’attache ici à aborder les troubles de santé liés aux ondes, à repérer ses manifestations, pour permettre aux personnes concernées de traiter l’origine de  leur problème.

Les ondes sont partout. Nous sommes cernés, nous ne pouvons plus y échapper. L’être humain du XXe siècle baigne dans un brouillard électromagnétique, l’« électrosmog », dont nous ne savons pas exactement quelles seront les conséquences pour le futur de l’humanité.

C’est en 1997 qu’apparaît l’expression « hypersensibilité électromagnétique ». De manière plus complexe, en 2006, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) évoque l’« intolérance environnementale idiopathique attribuée aux ondes électromagnétiques », le terme « idiopathique » signifiant « sans cause identifiée ». Je préfère utiliser le terme électro-hypersensibilité » (EHS), qui est le plus communément employé aujourd’hui par l’ensemble des personnes qui s’intéressent à cette question. Je parlerai aussi de « maladie des ondes » pour évoquer cette problématique de santé.

Une méconnaissance des symptômes

Une centaine de symptômes fonctionnels, qu’on retrouve dans d’autres pathologies, sont attribués à ces problèmes de santé, parmi lesquels troubles du sommeil, fatigue, maux de tête, douleurs diverses, etc. Tous ces troubles sont différents d’une personne à l’autre. Pour cette raison, on dit qu’ils ne sont pas spécifiques. Le taux de prévalence qui revient dans certaines études est pour l’ensemble entre 5 % et 10 % de la population totale, avec de grandes difficultés pour en définir le périmètre. En termes de chiffres, en France, ce sont 4 ou 5 millions de personnes qui seraient concernées !

Certaines d’entre elles se disent hypersensibles aux champs électromagnétiques basses fréquences, par exemple ceux émis par les lignes à haute tension, mais d’autres accusent les champs radiofréquences ou hautes fréquences, comme la téléphonie mobile ou les communications hertziennes. D’autres se disent détruites par la présence de certains produits chimiques, des odeurs, des pollutions invisibles et de toute nature qui font de leur vie un véritable calvaire.

Cependant, d’autres personnes encore, comme les fibromyalgiques ou les fatigués chroniques, n’ont jamais entendu parler de la maladie des ondes, et ne peuvent donc pas se reconnaître dans cette catégorie, alors qu’elles en sont les victimes. Elles représentent environ 2 millions de personnes.

Certains symptômes presque systématiquement rapportés par les personnes électrohyper-sensibles sont durables et se cumulent :

− une grande fatigue ;

− des maux de tête (parfois extrêmement violents) ;

− un défaut de concentration ;

− une raideur de la nuque ;

− une sensation d’oppression au niveau de la cage thoracique ;

− des palpitations ;

− des douleurs au milieu du dos ou articulaires ;

− des troubles du sommeil ;

− des acouphènes ;

− des douleurs musculaires généralisées ;

− des nausées et sensation d’ébriété ;

− un fourmillement ou picotement localisé sur la peau ;

− le syndrome de Raynaud ;

− des douleurs oculaires. (…)

ARTICLE ECRIT Par Dr Gérard Dieuzaide pour le MAGAZINE « ESSENTIEL »

Article à lire dans le n°49, en vente ici en version ebook

Manipulation machiavélique


 Une histoire de graphène volatile On peut dès lors comprendre pourquoi la population infantile n’a nullement été impactée par le covid et pourquoi  les sportifs professionnels échappent totalement à ses formes sévères. 

Malgré le port de la muselière et la multiplication des test PCR qui les auraient « graphénisés » via les muqueuses du nez, ces deux catégories ont été protégées par leur taux élevé de glutathion.  Indice supplémentaire que cette thèse est crédible, l’antioxydant et son acide aminé précurseur, la N-acétylcystéine, font figure d’alliés performants dans la prévention et le traitement du covid, comme l’indique  cette étude scientifique.  M’est avis que Dame Vérité est en train de sortir du puits et qu’il sera compliqué pour la propagande covidiste de l’y faire retourner.

Si elle se vérifie, cette histoire de graphène volatile  permettrait de surcroît d’éclairer un autre mystère qui me turlupine, à savoir l’absence de covidés symptomatiques parmi les résistants radicaux que je fréquente.

Depuis le début de la mascarade,  mes amis « complotistes » et moi refusons  résolument de  porter le masque, de nous faire tester par  ces longs coton-tiges enfoncés dans les narines et bien sûr de nous faire vacciner. En revanche, nous participons allègrement à des rassemblements extérieurs ou intérieurs qui devraient théoriquement nous exposer à des « clusters ».  Pourtant,  depuis plus d’un an, je n’entends jamais dire que l’un d’entre nous a déclaré autre chose qu’un rhume ou une petite grippe classiques.

Serions-nous protégés de la grippe covid  par notre triple réticence à nous plier aux règles ?

Et ce refus nous aurait-il mis à l’abri  d’une odieuse machination consistant à contrôler le cerveau des gens exposés aux nanoparticules graphitiques ?  Selon Delgado et Sevillano,  l’oxyde de graphène  possède également des propriétés d’ « absorption électronique », ce qui signifie que ce matériau  révolutionnaire peut être « excité » par certains rayonnements électromagnétiques. Et d’après le duo espagnol, la bande de fréquences à laquelle réagirait le graphène est précisément celle de la technologie 5G, celle que les gouvernements veulent nous vendre à tout prix  et dont ils ont d’ailleurs accéléré le déploiement grâce à la crise et la  mise entre parenthèses de la démocratie.  

Les individus « graphénisés» seraient donc intoxiqués  et manipulés à distance ? Ils ne seraient plus maîtres de leurs neurones  et soumis à un programme d’asservissement  mental machiavélique ?  Et ceci expliquerait  au passage  que les vaccinés soient  puissamment magnétisés au point d’injection   ? 

Ce scénario d’un obscur et immonde complot, je ne l’ai jamais trop pris au sérieux.  J’ai toujours privilégié celui d’une  pseudo-pandémie auto-réalisée par l’affolement virophobique et la dissimulation de sa vraie causalité toxicologique.  À cet égard,  les révélations sur le graphène comme adjuvant vaccinal me semblent relever du pot aux roses enfin dévoilé. Si elles sont avérées, l’omniprésence  et la magnétisation des nanoparticules sont cependant de nature à ébranler ma réserve envers les théories franchement conspirationnistes.

Quand il y a trop de hasards, la pléthore de hasards finit par tuer le hasard.

ECRIT PAR Yves Rasir du magasine NEOSANTE

(*)  Pour les Belges, je recommande la lecture du « Rapport Alpha », un autre document de très bonne facture rédigé par un collectif de citoyens éveillés.  Intitulée « Le Covid revisité » et adressée fin avril à tous  les ministres et parlementaires que compte la Belgique, cette analyse accablante n’a toujours bénéficié d’aucun écho médiatique, ce qui en dit long sur la censure et la pensée unique qui règnent au sein des rédactions.

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Des aliments qui protègent la circulation sanguine

Pas moins de six Français sur dix seraient touchés par une insuffisance veineuse ou un retour veineux de mauvaise qualité. Jambes lourdes, crampes, impatiences, sensations de brûlure aux extrémités… l’insuffisance veineuse réunit tous ces troubles circulatoires qui s’aggravent au fil de la journée, sont accentués par une position prolongée (assise ou debout), et que l’exercice vigoureux, une douche fraîche ou la surélévation des membres améliorent. Des varices douloureuses au risque d’embolie pulmonaire, l’insuffisance veineuse ne se prend pas à la légère, mais les coups de pouce existent. Citons le Curcuma longa : la plante bloque le mécanisme de l’inflammation s’attaquant aux veines. Antioxydant bien connu en ayurvéda, le curcuma soulage les douleurs et les sensations de lourdeurs.



Menus pour un bouclier cardiovasculaire

Plusieurs nutriments, pris en synergie, aident à conserver une circulation de champion. En complément du curcuma, on misera sur les aliments riches en quercétine, un flavonoïde qui protège le muscle cardiaque : oignons, fruits rouges, vin rouge, aromates verts (persil, ciboulette, aneth).

En parallèle, il faudra trouver des sources de coenzyme Q10 qui augmente la résistance du cœur, diminue sa fatigabilité ainsi que la tension : viandes, poissons gras, huile de colza, oléagineux. La vitamine B6 jouera aussi un rôle essentiel pour réduire le taux d’homocystéine, facteur de risque cardiovasculaire, en atténuant l’oxydation des lipides sanguins impliqués dans les thromboses : les lentilles, les pois chiches et les bananes en sont riches. Combler une éventuelle carence en sélénium permettra de protéger les vaisseaux contre le LDL, le cholestérol aux effets délétère. On trouvera cet oligoélément dans les poissons, les fruits de mer et les noix du Brésil.

Enfin, la consommation régulière d’aliments riches en lycopène reste associée à une réduction des maladies cardiovasculaires. Alors cap sur tous les caroténoïdes reconnaissables à leur pigmentation rouge carmin : tomates, poivrons, kakis, goyaves, pastèques.

Œdème, thrombose, embolie… faisons le point ensemble sur les remèdes naturels pour une bonne circulation sanguine.

Prenez soin de vous,

Précautions

Les personnes souffrant de crise hémorroïdaire ont recours la plupart du temps à l’automédication. En soi, cela ne pose pas de problème, mais rappelons néanmoins que la présence de sang dans les selles n’est pas toujours causée par des hémorroïdes. D’autres pathologies peuvent se cacher derrière ce symptôme, et il convient pour cette raison de consulter un médecin au moindre doute. Une fois le diagnostic posé, en complément de conseils alimentaires et d’un mode de vie sain, les soins locaux sont très efficaces.

la Myrte

L’aromathérapie apporte une réponse tout à fait honorable. Elle vise à soulager la douleur éprouvée en calmant l’inflammation. Par ailleurs, elle permet une décongestion veineuse et lymphatique et favorise donc une meilleure circulation sanguine dans l’ensemble de la zone anale tout en prévenant les risques infectieux éventuels. La cicatrisation des tissus est également améliorée.

A lire aussi sur Alternative SantéHémorroïdes : l’automédication qui marche.



Article de Lucile de La Reberdière pour le magazine GINKGOMEDIA newletter

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MALADES « COVID LONG » : IL FAUT EN PARLER AUSSI

Dossier du magazine NOTRE TEMPS – article du 18 mai 2021 par Agnès Duperrin

Au-delà des conséquences sociales et psychiques de la pandémie, on a longtemps ignoré les « Covid long », ces malades en souffrance des mois après avoir contracté le virus. Ils seraient 500 000 en France, de tous âges.

Et soudain ses jambes semblent devenues en coton, impossible de faire un pas de plus. Le cœur qui s’emballe, le diaphragme bloqué, et cette fatigue intense qui vous empêche de reprendre votre souffle et une vie normale… Martine Mounier en souffre encore, un an après. Et ça dure depuis des mois…

Dans le Magazine « Notre Temps« , cette quinquagénaire sans facteur de risque décrivait son calvaire. Les premiers symptômes, début 2020, courbatures, fièvre, quintes de toux: « au dixième jour, j’étais dans un état de fatigue indescriptible, incapable de tenir debout », puis la ‘lune de miel’, classique à la troisième semaine », et la rechute, une tachycardie terrifiante, l’épuisement « rendant impossible la reprise d’une vie normale, y compris le travail ».

Laëtitia Heuveline, 35 ans, journaliste à France Bleu Gironde, décrit la même fatigue « intense, inconnue. À la maison, les chambres sont à l’étage. Quand mes muscles ne peuvent pas répondre, je dois demander de l’aide pour lever mes jambes et monter les escaliers ». Martine et Laëtitia souffrent d’un « Covid long », forme prolongée de la maladie. Les patients ne sont plus contagieux mais doivent faire face à des séquelles et des symptômes très handicapants dont ils ne voient pas la fin.

• Une prise en charge spécifique

Longtemps, il a fallu encaisser le déni médical. « Pas de validation biologique égale, pas de maladie », affirmaient les médecins à ceux touchés avant l’époque des tests. « On nous disait: c’est dans la tête », se souviennent à l’unisson les témoins qui nous ont confié leurs histoires. La publication par la Haute Autorité de santé (HAS) en février 2021 de recommandations de prise en charge spécifique sonne comme une reconnaissance, enfin, avec un appel à une attitude d’écoute et d’empathie en consultation. 

Dix fiches pratiques détaillent les examens et soins conseillés pour les dix symptômes les plus fréquentsfatigue, dyspnée (troubles respiratoires), douleurs thoraciques, troubles du goût et de l’odorat, douleurs, manifestations neurologiques, déconditionnement à l’effort, hyperventilation, troubles somatiques fonctionnels (palpitation, troubles d’attention, nausées…) et troubles du système nerveux autonome (vertiges, frissons…). Une liste de contacts utiles (groupes de soutien et associations de malades) doit être remise aux patients.

• La situation persiste?

 

Le médecin traitant doit orienter vers des équipes territoriales spécialisées. La HAS met enfin en garde contre « les régimes alimentaires d’exclusion et les suppléments en vente libre, inutiles et potentiellement nocifs en automédication ».

• Unis pour résister

Pour tenir le coup moralement, Laetitia a créé un groupe de parole sur Facebook. Les 800 membres y partagent des astuces: port de bas de contention ici, stimulation de l’odorat là. Surtout ne pas rester seul, renchérit Nathalie, infirmière de 34 ans contaminée mi-septembre 2020 à son travail : « J’ai rejoint l’association UPGCS pour ne pas m’apitoyer sur mon sort et m’informer sur les évolutions scientifiques: maladie auto-immune ou phénomène inflammatoire, on a encore beaucoup à apprendre sur le ‘Covid long’. » Elle, si active avant, accumule les rechutes. Le moindre effort l’empêche de bouger, de se concentrer, lui casse la voix. L’association #ApresJ20, en germe depuis avril 2020, a été pionnière. Pauline Oustric, 27 ans, en est cofondatrice: « Nous sommes enfin reconnus par le ministère de la Santé, l’OMS… 

Reste à faciliter la vie des malades en les déclarant en affection longue durée (ALD), voire en maladie professionnelle, et créer les centres de soins pluridisciplinaires annoncés… »

• Des patients de tous âges

L’étude Cocolate, coordonnée au Centre hospitalier de Tourcoing, cherche à comprendre qui est à risque. Une première étude publiée fin 2020 par l’Hôtel-Dieu, à Paris, observe que les malades « Covid long » ont généralement eu une forme modérée de la maladie, sans hospitalisation. Parmi eux, beaucoup d’adultes jeunes et même des enfants. Souvent, les analyses biologiques sont normales. « Une imagerie cérébrale pourrait objectiver les troubles », indique le Pr Éric Guedj, de l’hôpital de la Timone à Marseille.

Selon la HAS, plus de la moitié des patients présentent encore au moins un des symptômes initiaux quatre semaines après le début de la maladie, plus de 10% n’ont pas récupéré à six mois. L’OMS parle de 20% parmi les 18-34 ans, et note qu’avec le coronavirus de 2003, jusqu’à 40% des patients signalaient la persistance de symptômes deux à trois ans après le diagnostic. 

Le phénomène, identique dans tous les pays, s’apparente à une bombe à retardement : 500000 personnes concernées en France, chiffre officiel début 2021, c’est autant de soignants, enseignants, commerçants, maçons… indisponibles, de quoi déstabiliser toute la société. Une note d’espoir: selon la quinzaine d’experts entendus par la HAS, l’état de santé finirait par s’améliorer, même s’il faut des mois de patience. En attendant, les malades tentent de convaincre que, oui, lutter contre le virus, c’est bien protéger toute la population, et pas seulement « les vieux »!

A LIRE EGALEMENT :

LES LECONS DU MAGICIEN en matière de SANTE

Alors que certains d’entre nous semblent encore empêtrés dans la croyance du narratif « officiel » covidien, que d’autres prennent conscience qu’ils sont des êtres souverains, et que beaucoup de Semeurs de Lumière sont en train de transmuter d’anciennes mémoires erronées pour le collectif, j’ai eu envie de me recueillir dans ma « grotte de cristal ».

Bien sûr, aussitôt ce désir conscientisé, Buzzy ce cher ego 3D me sortit la liste de tout ce que j’avais à faire dans la journée. Et son compère Petit Mental lança la procédure d’injonctions « il faut faire ». Dans la To Do liste, je choisis de passer l’aspirateur, en invoquant la Flamme Violette.



Et alors que je tentais de me concentrer sur ce nettoyage de mon habitat, boum, un livre tombe d’une étagère. Il s’agit de La voie du magicien de Deepak Chopra. Il  est ouvert sur une page du chapitre Vivre avec la leçon 19 : « Les magiciens ont toujours enseigné que le désir  devrait s’envisager comme un chemin. »

Tiens, j’avais oublié ce pas-Sage.. .Je parcours quelques lignes, debout, l’aspirateur qui vrombit dans le vide. Et puis, le calme qui arrive, comme si Merlin était venu me rappeler l’eSensCiel. J’ai arrêté l’aspirateur, et me suis installée confortablement dans le canapé avec une tisane pour relire cet ouvrage.

Quelle Joie de retrouver Merlin l’Enchanteur et sa facilité à nous faire ressentir comment transcender notre quotidien. Se souvenir que chacun de nous abrite un magicien et permettre à l’Âme-Agit de Merlin de découvrir ou redécouvrir le nôtre, ce soleil intérieur. Une pause lecture qui m’a fait tant de bien, que je souhaite en partager le condensé de sagesse avec vous.

« Ce livre La voie du magicien comprend 20 leçons qui expriment toutes le point de vue du magicien. Chaque leçon commence par un aphorisme, extraits condensés de sa sagesse, qui vous aideront à transcender la réalité ordinaire. Lisez-les et laissez-les décanter en vous. N’espérez pas de résultat immédiat, tentez simplement l’expérience. Il ne s’agit pas d’un travail, d’un effort à produire :  l’effort, semblable à une lutte pour s’extraire des sables mouvants, ne ferait que vous enfoncer encore plus. Le magicien intérieur ne demande qu’à s’exprimer, et cela est valable pour chacun d’entre nous. Encore faut-il lui en donner la chance, lui ouvrir une porte. A l’instar des koans zen, les aphorismes permettent cette ouverture en modifiant notre perception et, par conséquent notre réalité. Nous devons réapprendre à entendre la voix du magicien dans la vie quotidienne. » – Deepak Chopra.

Par respect pour l’auteur, j’ai extrait des 20 leçons, uniquement les aphorismes, ce qui est déjà beaucoup. Dans le livre, après l’aphorisme, il y a les paragraphes « comprendre la leçon » qui s’adresse à l’esprit linéaire, et « vivre avec la leçon » qui aide à intégrer la sagesse du magicien à son expérience de vie personnelle.

 


Leçon 1

Un magicien existe en chacun de nous. Ce magicien voit et sait tout.
Le magicien est au-delà des oppositions Lumière/Obscurité, Bien/Mal, Plaisir/Douleur.
Tout ce que voit le magicien plonge ses racines dans un monde invisible.
La nature reflète les humeurs du magicien.
Le corps et l’esprit peuvent dormir, mais le magicien reste toujours en éveil.
Le magicien détient le secret de l’immortalité

Leçon 2

Le retour du magique suppose le retour de l’innocence.
L’essence du magicien est la transformation.

Leçon 3

Le magicien regarde les transformations du monde, mais dans son âme habite les royaumes de lumières.
Le décor change, le voyant demeure le même.
Votre corps est simplement le lieu qui abrite vos souvenirs.

Leçon 4

« Qui suis-je ? » est la seule question qui soit digne d’être posée et la seule à laquelle on ne répond jamais.
Votre destin comprend une infinité de rôles, mais ces rôles ne sont pas vous-mêmes.
 L’esprit n’est pas localisé, mais il laisse derrière lui une empreinte digitale, que nous appelons le corps.
Un magicien ne se voit pas comme un événement localisé rêvant d’un monde plus vaste.
Un magicien est un monde rêvant d’événements localisés.

Leçon 5

Les magiciens ne croient pas à la mort.
Dans la lumière de la conscience, tout est vivant.
Il n’y a ni commencement ni fin.
Pour le magicien ce ne sont que des constructions mentales.
Pour être pleinement vivant, il faut être mort du passé.
Les molécules se dissolvent et disparaissent, mais la conscience survit à son support charnel.



Leçon 6

La conscience du magicien appartient à un champ infini.
Les flux de connaissance que renferme ce champ sont éternels et inépuisables.
Des siècles de connaissance sont contenus dans quelques instants de révélation.
Nous sommes des vaguelettes d’énergie sur un immense océan d’énergie.
Quand on évince l’ego, on accède à la mémoire totale.

Leçon 7

Quand les portes de la perception seront nettoyées, vous commencerez à voir le monde invisible – le monde du magicien.
Vous êtes porteur d’une source de vie où vous pouvez puiser pour vous purifier et vous transformer.
La purification consiste à vous débarrasser des toxines de votre vie – les émotions toxiques, les pensées toxiques, les rapports toxiques.
Tous les corps vivants, physiques et subtils sont des magmas d’énergie directement perceptibles.

Leçon 8

Le pouvoir est une épée à double tranchant. Celui de l’ego veut contrôler et dominer; celui du magicien est le pouvoir de l’amour.
Le siège du pouvoir est le moi intérieur.
L’ego nous suit comme une ombre. Son pouvoir engendre intoxication et dépendance et finalement se révèle destructeur.
L’éternel conflit pour le pouvoir s’achève par la réconciliation.


Leçon 9

Le magicien est en état de connaissance. Cette connaissance gouverne son propre épanouissement.
Le champ de la conscience s’organise autour de nos intentions.
La connaissance et l’intention sont des forces. Vos intentions modifient le champ en votre faveur.
Les intentions contenues dans les mots referment un pouvoir magique.
Le magicien n’essaie pas de résoudre le mystère de la vie. Il est ici-bas pour le vivre.

Leçon 10

Nous renfermons tous un moi obscur qui est une part de notre réalité totale.
Cette part d’ombre n’a pas pour fonction de nous blesser mais de faire ressortir notre imperfection.
Quand l’ombre est acceptée, elle peut être guérie. Quand elle est guérie, elle se transforme en amour. Quand vous pourrez concilier toutes vos caractéristiques opposées, vous coïnciderez complètement avec vous-même, comme le magicien.

Leçon 11

Le magicien enseigne l’alchimie. L’alchimie est la transformation. A travers l’alchimie, vous commencerez votre quête de la perfection.
Vous êtes le monde. Quand vous vous transformerez vous-même, le monde dans lequel vous vivez sera aussi transformé.
Les buts de la quête – l’héroïsme, l’espoir, la grâce et l’amour – constituent un legs intemporel.
Pour faire appel à l’aide d’un magicien, vous devez être fort dans la vérité et libre de préjugés.

Leçon 12

La sagesse est vivante et par conséquent toujours imprévisible.
L’ordre est le revers du chaos.
Le chaos est le revers de l’ordre.
L’incertitude que vous sentez en vous est le prélude à la sagesse.
L’insécurité accompagnera toujours le chercheur. Il trébuche souvent, mais ne tombe jamais.
L’ordre humain est constitué de règles. L’ordre du magicien ignore les règles – il est fluide comme la vie.

Leçon 13

La réalité que vous percevez est le reflet de vos attentes.
Si vous projetez les mêmes images tous les jours, votre réalité sera la même tous les jours.
Quand l’attention est impeccable, elle fait surgir l’ordre et la clarté du chaos et de la confusion.

Leçon 14

Les magiciens ne s’affligent pas des pertes parce qu’on ne peut perdre que l’irréel. Perdez tout, le réel n’en subsiste pas moins.
Dans les décombres de la dévastation et du désastre sont enterrés des trésors cachés.
Quand tu regardes les cendres, regarde bien.

Leçon 15

Plus vous connaissez l’amour, plus vous devenez l’amour.
L’amour est bien supérieur à l’émotion. C’est une force de la nature ; en tant que tel, il renferme la vérité.
Quand vous prononcez le mot « amour », vous saisissez peut-être le sentiment, mais l’essence de l’amour reste ineffable.
L’amour le plus pur réside là où on l’attend le moins : dans le détachement.

Leçon 16

Par-delà l’éveil, le rêve et le sommeil, les royaumes de la conscience sont infinis.
Un magicien existe simultanément dans tous les temps.
Un magicien perçoit de multiples versions de chaque événement.
Les lignes droites du temps sont en fait les fils d’un faisceau infini.

Leçon 17

Les chercheurs ne sont jamais perdus, parce que l’esprit leur fait toujours signe.
Ceux qui cherchent reçoivent sans cesse des indices du monde de l’esprit. Les gens ordinaires appellent ces indices les coïncidences. Pour un magicien les coïncidences n’existent pas. La fonction de chaque événement est de dévoiler une nouvelle facette de l’âme.
L’esprit veut vous rencontrer. Pour répondre à son appel, vous devez être désarmé.
Quand vous cherchez, partez de votre cœur – le cœur est la maison de la vérité.



Leçon 18

On peut vivre l’immortalité au sein de la mortalité.
Le temps et l’intemporel ne sont pas des contraires.
L’intemporel n’a pas de contraire, parce qu’il englobe tout.
Concernant notre ego, nous luttons pour résoudre nos problèmes… mais pour l’esprit, le problème c’est la lutte. Le magicien est conscient de conflit entre l’égo et l’esprit, mais il comprend que tous deux sont immortels. Tout ce qui vous compose est immortel, y compris les aspects que vous critiquez le plus sévèrement.

Leçon 19

Les magiciens ne condamnent jamais le désir. C’est en suivant leurs désirs qu’ils sont devenus magiciens. Tout désir est engendré par un désir antérieur. La chaîne du désir est infinie. Elle est la vie même. Ne considérez pas vos désirs comme inutiles ou erronés – un jour chacun d’eux sera exaucé.
Les désirs sont des graines attendant le bon moment pour germer. Une simple graine de désir engendre une forêt entière. Chérissez tous les souhaits qui naissent dans votre cœur, si triviaux qu’ils vous paraissent. Un jour ces souhaits triviaux vous conduiront à Dieu.

Leçon 20

Le plus grand bien que vous puissiez faire au monde est de devenir un magicien.

Extraits choisis du livre « La voie du Magicien » du Dr Deepak Chopra.

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Douleur et Souffrance ne sont pas synonymes

Lorsque vous êtes malade ou ressentez un malaise quelconque, il y a douleur. Dès ‘instant où vous commencez à résister à cette douleur, à refuser qu’elle soit, elle se transforme en souffrance. La douleur est partie intégrante de l’expérience humaine, elle constitue pour ainsi dire l’un des termes du marché conclu au moment de notre naissance.

Le fait même d’être né implique que nous fassions de temps à autre l’expérience de la douleur. « La souffrance, c’est autre chose. Elle n’est pas inévitable, elle est fonction de notre conditionnement. Car qu’est-ce que la souffrance sinon notre façon de réagir à la douleur ? Plus nous réagissons à la douleur, plus nous nous entons malades et surtout perdus, identifiés à la maladie.

Fuir la douleur, se rétracter à son approche engendre la souffrance ; l’accueillir et la regarder pour ce qu’elle est constitue le début de la vraie compassion et de la guérison, sinon corporelle – encore que cela y contribue grandement – en tout cas spirituelle.

C’est d’abord dans son cœur que l’on guérit. La guérison n’est peut-être qu’une volonté d’accueillir ce que nous n’avons jusque-là cessé de fuir. Allons-nous nous ferme, nous crisper comme on nous a conditionnés à le faire ? Ou au contraire nous ouvrir ? C’est là que tout se joue.

Pour beaucoup d’entre-nous, pour nous réveiller, il a fallu la maladie. Tout comme il a fallu la guerre pour les secouer de leur torpeur, alors que la guerre est une bonne chose, si horrible soit-elle par ailleurs. La guerre est déclarée, ils descendent dans la rue pour protester et dénoncer cet engrenage ; mais une fois la guerre finie, je crains que la guerre ne retombe et que l’individu de rendorme…

Bien souvent, le ferveur spirituelle est uniquement fonction des circonstances. La menace de mort disparue, les gens sont retombés dans  leurs vieux mécanismes.

Ce processus, nous pouvons le voir à l’oeuvre en nous tous. Quelque chose nous réveille, puis nous nous rendormons. Certaines maladies ont ceci de particulier que leur évolution suit un cours en dents de scie ; lorsque vous êtes plutôt malades, vous vous passionnez pour la métaphysique, la méditation et les moyens de faire face à la souffrance. Dès que vous allez mieux, la spiritualité devient simplement quelque chose d’intéressant, un « truc »  à approfondir ; et si vous retombez malade, vous ressortez vos bouquins sur le bouddhisme !

En vérité, tout le monde se trouve dans cette situation, c’est tout le pathétique de la condition humaine la plupart du temps, il nous faut subir des traumatismes pour seulement commencer à entrouvrir les yeux. Ne serait-ce pas merveilleux de chercher à s’éveiller sans avoir besoin d‘essuyer des secousses sismiques ?

Plus on résiste, plus on se ferme, plus la vie doit frapper fort dans l’espoir de nous ranimer. Mais il en va tout autrement si nous tirons les leçons de l’épreuve et à la convertir, tout change ! Prenez votre colère, votre douleur, votre irritation face à la stupidité ambiante, prenez tout et faites-en votre miel pour l’éveil. En définitive, que nous soyons malade ou bien portant ne change rien : de toute façon, il nous faut poursuivre le travail intérieur, car en vérité que faire d’autres ?

Extrait du livre de Gilles Farcet : L’HOMME SE LEVE A L’OUEST aux Editions Albin Michel p.156_159

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Apprendre à douter pour avoir une chance de guérir

Non seulement pour éviter que les démarches au service de la santé et de la guérison deviennent des religions intégristes, mais surtout pour préserver le libre-arbitre du malade et pour respecter la complexité des processus naturels de guérison… Aujourd’hui, je vous invite à pousser encore plus loin notre apprentissage du doute pour questionner les fondements mêmes de la démarche scientifique.

 Le problème ne vient pas tant du réductionnisme lui-même que de l’inconscience de ceux qui font la science ! Si un scientifique est inconscient de la relativité et de l’imprécision de toutes les lois avec lesquelles il travaille, il confond la carte avec le territoire représenté par cette carte. Et il tend alors à considérer la théorie comme La Vérité incontestable et indubitable, puisque cette théorie se confond avec le Réel qui lui, ne peut être remis en doute. Du coup, il cherche à ce que les faits observés se plient à la théorie plutôt que de soumettre la théorie aux faits. En faisant cela, ce n’est plus de la science qu’il pratique, mais du scientisme.


À ce propos, le philosophe Louis Jugnet écrivait fort justement : « Le scientisme, c’est […] l’impérialisme de la Science de laboratoire sur tous les domaines de la pensée et de la conscience de l’homme. » Une fois installé dans cette attitude rigide, il ne reste qu’un pas pour entrer dans l’intégrisme scientifique. Ce pas est franchi lorsqu’on rejette tous les faits nouveaux qui pourraient remettre en question la théorie, afin de préserver, coûte que coûte, l’orthodoxie scientifique !

La santé humaine peut-elle faire l’objet d’études scientifiques ?

Nous venons de voir que les sciences dites exactes ne sont pas si précises et exactes que cela. Alors, qu’en est-il lorsqu’on cherche à étudier l’être humain, dans toute sa complexité et dans toutes ses dimensions (physiologique, psychologique, sociale, spirituelle, etc.) ? Pour répondre à cette question, un nouveau retour vers la physique ne sera pas inutile ! Imaginez qu’on attache trois pendules ensemble.

Le premier pendule est suspendu à un support fixe, le deuxième est suspendu à l’extrémité du premier et le troisième à l’extrémité du deuxième. Savez-vous que, dans ce cas, il devient non seulement impossible d’écrire l’équation du mouvement de cet ensemble pourtant simple, mais en plus, l’évolution du système devient imprédictible ? Autrement dit, dès qu’un système devient trop complexe, aucune loi scientifique ne peut plus être énoncée !


Si on revient à l’être humain, et qu’on restreint pour l’instant notre étude à son seul corps physique, on comprend immédiatement qu’une description scientifique du fonctionnement du corps est strictement impossible ! Car le corps est composé de milliards de cellules, de centaines de tissus et d’organes, de milliers de substances physico-chimiques différentes… De plus, chaque organe influence le fonctionnement d’autres organes qui, à leur tour, rétroagissent sur cet organe ! C’est ce qu’on appelle, dans l’approche systémique, les boucles de rétroaction.

La médecine officielle continue de vouloir se présenter comme scientifique. Probablement pour que tous les humains finissent par adhérer à sa vision, comme on adhère à une religion qui se veut universelle. La médecine prétend être scientifique, et pourtant elle ne l’est pas et ne pourra jamais l’être ! Car c’est un art, pas une science. Ceux qui prétendent le contraire tombent dans le piège du réductionnisme, du scientisme et/ou de l’intégrisme que j’ai définis plus haut. Leurs arguments pour défendre le statut scientifique de la médecine résistent très peu de temps à une analyse critique. Car le fait d’utiliser de plus en plus d’appareillages techniques et technologiques ne confère nullement à la médecine le statut de science ! De même que ce n’est pas parce que vous utilisez un GPS ou un téléphone intelligent que vous devenez, pour autant, un scientifique…

Par ailleurs, fonder ses affirmations sur des statistiques ne transforme pas la médecine en une science. Je rappelle que pour qu’une affirmation devienne une loi scientifique, il faut que l’énoncé soit vérifié dans 100 % des cas. Or, en médecine, aucun énoncé ne se vérifie dans tous les cas… Enfin, la médecine se contente de décrire des phénomènes isolés les uns des autres en coupant systématiquement toutes les boucles rétroactives présentes dans le corps… C’est comme si on essayait de décrire le fonctionnement d’un thermostat de chauffage en n’étudiant que le lien entre la chaleur du radiateur et l’arrêt du thermostat, mais sans tenir compte du lien entre le thermostat et la chaudière ni du lien entre la chaudière et le radiateur. En linéarisant les boucles systémiques, on perd totalement la compréhension des phénomènes complexes.


Pour toutes ces raisons, je vous invite à cultiver le doute à l’égard de toute démarche scientifique en général, et ainsi qu’à l’égard de la médecine officielle qui revendique un statut qu’elle ne possède même pas… 

LIRE L’ARTICLE EN SON ENTIER ICI : https://www.neosante.eu/faut-il-douter-de-la-medecine-scientifique%e2%80%89/#more-5975

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