Le corps, gardien des mémoires cellulaires

Notre corps serait le fidèle gardien des souvenirs enfouis qui ont balisé notre existence, notre naissance, voire des expériences de nos parents et de nos ancêtres. « À notre insu, le corps porte dans nos cellules notre mémoire, qui va résonner avec régularité au fil du temps », a pu observer la psychothérapeute Myriam Brousse, pétillante octogénaire soutenant l’existence d’une mémoire corporelle inconsciente, dite « cellulaire ». Sous l’influence de stimuli subtils (des stress ou des événements en lien avec le choc initial), ces mémoires « réactivées » entraînent des comportements inadaptés et parfois des pathologies, comme des maux de dos, des migraines épouvantables, ou de profondes dépressions.


Cette découverte a pour origine la déclaration d’un cancer des ovaires, à l’aube de ses quarante ans, qui va bouleverser sa vie. C’est à l’issue d’un voyage au bout de son corps jusqu’aux confins de la souffrance et de plusieurs rencontres qu’une nouvelle compréhension émerge, éclairée par les travaux de Mère et de Sri Aurobindo. Il y a tout d’abord celle d’un maître tibétain, puis d’une mathématicienne, artiste peintre, pianiste et pionnière des réflexions sur la mémoire cellulaire, et enfin d’un maître indien, philosophe et adepte du yoga intégral. Selon eux, pour se libérer, il faut descendre dans le corps, lui redonner la parole, l’écouter, même si c’est souvent éprouvant…

Il s’agit de recontacter la blessure originelle pour l’accepter et la transformer, dans un choix conscient, grâce à des outils spécifiques de la méthode, comme la grille de vie et la biorésonance cellulaire. Ainsi, nous pouvons nous libérer des répétitions et tracer en conscience notre chemin de vie. Avec bienveillance, assurance et une profonde douceur, Myriam Brousse nous convie à un long voyage intérieur qui va nous demander courage et détermination, pour accéder enfin à notre projet-sens, celui de notre âme.

Votre approche est fondée sur l’existence des mémoires du corps. Et si nous retournions au point de départ : quelle a été l’origine de vos recherches ?


C’est à l’issue d’une très grave maladie, vers 39-40 ans, que j’ai pu entamer un chemin de guérison par un travail précisément dans le corps. J’ai été guidée par mon maître tibétain, pionnier à l’époque des travaux sur la mémoire cellulaire, pour aller plus loin dans le corps, là où était la partie souffrante, la programmation du cancer. Il tirait son enseignement des travaux de Sri Aurobindo et de Mère. Bien avant les découvertes sur l’ADN, Mère, Mirra Alfassa de son vrai nom (Paris 1878 – Inde 1973) s’interrogeait déjà sur cette mémoire cellulaire vibratoire qui garde l’empreinte de toutes nos expériences passées. L’une de ses phrases a toujours guidé mes propres recherches : « Le passage est dans le corps ! »

Comment définiriez-vous cette notion de mémoire cellulaire ?


La mémoire cellulaire contient les informations qui sont inscrites dans la cellule du corps, à l’insu du mental, qui lui n’y a pas accès. Notre corps engramme tout ; en lui sont contenues toutes nos pensées, nos empreintes de l’âme. Il nous livre avec exactitude notre histoire biologique et terrestre. C’est notre bibliothèque, comme l’affirmait Mère. C’est-à-dire qu’il garde en mémoire également les histoires de nos parents, et celles de nos ancêtres. Du point de vue cellulaire, le corps est cet incroyable réceptacle.

Ainsi, vous remontez même aux mémoires intra-utérines. Qu’est-ce que le corps mémorise ?


Pour commencer, la mémoire du corps contient ce que j’appelle « la descente en incarnation », qui tient compte du père et de la mère. Le ventre de la mère, qui accueille l’enfant, contient la mémoire de l’acte sexuel des parents lors de la conception. Comment cet acte sexuel a-t-il été produit ? Est-ce qu’il a été plein d’amour, subi, dans le plaisir, ou violent ? Et l’enfant, l’être est marqué par cette empreinte. Elle est précisément ce qu’il est venu travailler…


C’est la fameuse empreinte fœtale ?


Tout à fait ! À laquelle vont s’ajouter les différents événements qui auront lieu pendant les neuf mois de la gestation. Toute notre vie fœtale est inscrite dans nos cellules. Et puis après, il y a la naissance, ce passage. Là aussi, son déroulement laisse une empreinte. Une naissance longue, les forceps, le cordon autour du cou, une césarienne, ou une naissance naturelle et facile. Tout s’imprime dans le corps, dans la matière du corps.

Extrait du Magazine INEXPLORE 2021

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Voulez-vous être libres de la souffrance

Nous pouvons nous demander : Comment pouvons-nous être gentils et aimants, dans un monde de chaos et de destruction permanente, de mensonges et de manipulation ?

C’est une question que beaucoup d’êtres humains se sont posés sur cette planète avant nous, ainsi que beaucoup de Grands Penseurs, Grands Enseignants, Grands Savants, et Grands Leaders. Ils sont tous arrivés à la même conclusion : La Guerre ne peut pas être gagnée par la Guerre.

La Guerre ne peut être gagnée, que si l’autre parti veut la Paix, et arrête le programme victime-bourreau, arrête la désignation d’ennemi, et se retire de l’insanité, en restant le Christ lui-même, en restant la Paix lui-même, en restant la Gentillesse lui-même, en restant la Compassion lui-même, en restant la Pureté lui-même. C’est ainsi que nous sauvons nos âmes de l’insanité. C’est ainsi que nous sauvons nos âmes de tomber dans les abysses du démon, qui veut attirer autant d’êtres humains angéliques qu’il peut, dans son piège. Le piège de l’insanité, par le fait de perdre son centre, afin de devenir violent, lorsque quelqu’un d’autre l’est envers nous. Nous devenons alors possédés nous-mêmes, par l’Esprit de la colère et de la rage, qui détruit notre connexion à Dieu, et dévore nos coeurs.

La fréquence de la Peur, est un autre ennemi de notre propre connexion à Dieu.

Parce qu’elle ne nous permet pas d’expérimenter la Paix nécessaire à ouvrir le passage vers le Royaume de Dieu, à l’intérieur de nos propres coeurs. Ce ne sont pas de simples images, que quelqu’un peut répéter afin de se rassurer, ou en tant que systèmes de croyances enseignés par la religion. Ce sont des Vérités que quiconque peut décider de découvrir par son propre chemin de gnose, ce qui signifie l’expérience personnelle, afin de découvrir ce que cela signifie d’être capable de se connecter directement à Dieu à l’intérieur de nos propres coeurs. Non dans une église, et non dans un Temple.

Il est Temps pour nous de construire notre propre Temple intérieur.

Le Temple de Dieu à l’intérieur de nos propres coeurs, et d’allumer la bougie de notre propre autel de Dieu. Nous avons tous la capacité de faire cela, nous avons tous la capacité de créer notre propre espace, afin de prier et de nous connecter à l’intérieur de nous-mêmes, à la Source de Dieu, à nos propres guides spirituels, aux Esprits de la Nature, car beaucoup de Royaumes sont volontaires pour nous aider dans ce cycle d’Ascension.

C’est à chacun de nous de développer cette connexion très intime avec ces Esprits, qui attendent notre signal de Volonté de coopérer, dans la Coopération Egalitaire Unifiée, parce que c’est le modèle qu’ils incarnent. Aucun abus de pouvoir n’est permis ou constaté dans les Mondes Spirituels qui sont alignés à la véritable Conscience Christique, à la réalité énergétique de la Loi de l’Un, qui signifie le Service à Autrui, tout en se respectant soi-même, ainsi que notre propre intégrité.

La Souveraineté Personnelle signifie que nous ne permettons à plus personne de voler notre propre Pouvoir interne, de nous abuser, que ce soit physiquement, émotionnellement, spirituellement, ou mentalement. Au travers du chantage, du gaslighting, des déséquilibres de Pouvoir, des mensonges, et de la manipulation. Cela doit être éradiqué de nos vies en ce Temps, ou cela sera utilisé pour nous affaiblir, pendant la guerre.Aucun soldat blessé ou soldat lié à la volonté d’une autre personne, alors que dans le champ de bataille, ne peut avoir son plein Pouvoir, son plein discernement, ses pleines capacités ; et les aliens négatifs savent cela.

Ils savent que si et lorsque nous sommes noués à quelqu’un d’autre, nous perdons notre Force, nous ne pouvons pas pleinement accomplir la volonté de nos âmes, et nous n’écoutons pas notre propre guidance interne, parce que cela est recouvert par la Volonté de quelqu’un d’autre, ou par la perception de quelqu’un d’autre, de la réalité, et nous manquons des informations.

Nous manquons de stratégie.

Et c’est pourquoi tant d’êtres humains meurent, sans n’avoir accompli ce qu’ils étaient véritablement venus ici pour faire initialement, parce qu’ils ont laissé d’autres personnes dicter ce qu’ils devraient faire ou ne pas faire. Ils ont laissé d’autres personnes dicter ce qui était possible et impossible pour eux d’accomplir. Ils ont laissé d’autres personnes dicter quelle direction ils devaient suivre, même si cela n’était pas en résonance avec leurs propres ressentis, intuitions, et guidance interne. Car la plupart des êtres humains ont perdu leur système de guidance interne, au milieu de ce contrôle mental auquel nous sommes tous assujettis ici. Parce qu’ils ne prennent pas le temps de se retirer de la programmation de la société.

C’est pourquoi nous disons souvent que les gens pauvres des contrées et pays lointains, sont souvent plus heureux que les gens riches de la société. Parce qu’ils sont plus libres. Ils sont plus souverains. Leur âme est plus heureuse, et accomplie.

Indicateur d’Evolution de la Conscience et de Liberté Personnelle

La Souveraineté Personnelle est le véritable indicateur de l’évolution de la Conscience d’un individu, du niveau de Liberté de Conscience d’un individu ; et la Liberté est ce qui apporte le plus de bonheur à l’intérieur du coeur de quelqu’un. Lorsque nous ne sommes pas heureux, nous essayons de palier à ce manque de bonheur avec des choses externes, qui amènent toutes à des addictions. Que cela soit le shopping, les relations, le sexe, l’alcool, les drogues. Elles proviennent toutes d’un manque de bonheur de l’âme, qui n’est pas satisfaite de sa vie.

Il est Temps pour nous de nous poser les questions profondes, et les véritables questions, et de ne pas essayer de les fuir, parce qu’arrivera un Temps, où nous ne serons plus capables d’échapper à quoique ce soit qui est l’Ascension de notre Âme ; et cette crise que l’humanité affronte, est en Vérité un immense catalyseur pour l’éveil, car si cela ne s’était pas produit, tout serait resté identique.

Beaucoup d’individus qui ne recherchent pas eux-mêmes l’expansion spirituelle et la croissance, et recherchent le confort, la fuite, et le bonheur artificiel de l’ego et non de l’âme, auraient mis un très long Temps, s’ils n’avaient pas eu d’événements majeurs d’éveil comme celui-ci, se produisant dans leur vie, afin de briser leur illusion de la réalité. 

La réalité dans laquelle nous vivons est une complète illusion, ce qui signifie que tout ce qui est promu comme étant du Succès dans cette société, tue l’âme. C’est ce que nous pouvons appeler une société anti-vie, et nous devons nous réveiller à cette réalité, ou devrions-nous dire, de cette illusion.

Voulez-vous être libres de la souffrance ?

Si la réponse est oui, alors vous devez rechercher l’Esprit de la Souveraineté Personnelle dans votre vie. Et véritablement comprendre ce que cela signifie d’être souverain, dans sa véritable signification. Et non dans la signification distorsionnée que les lucifériens ont créée, car ils ont distorsionné les Lois Universelles, pour leurs propres bénéfices. Les entités néfastes veulent être libres, mais libres de responsabilités, et ce n’est pas ce que la Souveraineté Personnelle signifie.

 Souveraineté Personnelle et Application de la Loi

La Souveraineté Personnelle signifie que nous sommes libres, mais nous devons appliquer la Loi, nous devons obéir à la Loi, qui sont les Lois de l’Innocuité, les Lois de Dieu, la Loi de l’Un.

Lorsque nous commençons à véritablement expérimenter la Souveraineté Personnelle, nous expérimentons une façon de vivre complètement nouvelle, ainsi que d’expérimenter la réalité. Et, à nos débuts de véritablement implémenter cela dans nos vies, cela peut être ressenti comme un fardeau, ou comme un poids supplémentaire sur nos épaules, parce que, nous allons en réalité ressentir que nous portons plus de responsabilités qu’avant, et ainsi donc, nous pouvons nous trouver demander à Dieu : « Pourquoi est-ce qu’en réalité je souffre plus qu’avant, lorsque j’étais insouciant(e) ? Lorsque je ne me préoccupais pas de mes actes, de mes pensées, et de mes paroles ?

J’étais plus léger, j’étais plus heureux. »

Mais la Vérité, est que nous pouvons être plus heureux lorsque nous sommes insouciants, mais cette insouciance apportera à un certain point, des résultats négatifs dans nos vies, parce que la vie n’est pas faite pour être négligents.  La vie n’est pas faite pour être remplie avec des morceaux de Temps inutiles ou insignifiants. Elle est faite pour être remplie avec des choses, des évènements, et des personnes importantes et significatives. Et c’est pourquoi nous disons que tout a été inversé sur cette planète.

Tout ce qui est insignifiant, non-important, ou nuisible, est lourdement promu sur cette planète, alors que l’opposé ne l’est pas, ou est même attaqué, ou persécuté ; comme la Vérité, par exemple. La Vérité dans nos vies, et la Vérité de ce qui s’est véritablement passé sur cette planète et au-delà.

La Souveraineté Personnelle est un acte de Responsabilité Personnelle dans le monde.

EXTRAIT SOURCE de cet Article : https://harmonicuniverse.academy  Laura Marie – Newsletter Septembre 2020 – Souveraineté Personelle

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Prendre le temps de s’arrêter pour mieux guérir

Se connecter avec soi-même, le moment présent ou un être supérieur… Les pratiques spirituelles semblent être aussi anciennes que l’être humain lui-même. Mais ce n’est que depuis les années septante qu’elles commencent à intéresser véritablement les neuroscientifiques. Il est désormais prouvé que des activités comme la méditation ou la prière ont des effets directs sur notre cerveau. Pratiquées à haute dose, elles sont même capables de transformer la structure cérébrale.

La plupart du temps, la prière se construit au travers d’un dialogue. Lorsqu’une personne prie, elle entre en relation avec Dieu et fait donc intervenir le langage. Cette particularité se reflète sur l’activité cérébrale.

Jacques Besson, professeur honoraire à l’Université de Lausanne, a beaucoup étudié ces mécanismes. Il est l’un des très rares spécialistes au monde en neurothéologie, une science émergente qui s’intéresse au fonctionnement du cerveau lié à des expériences qualifiées de «religieuses».  A l’aide de l’imagerie médicale, lui et ses confrères ont ainsi pu observer que «lorsqu’un sujet est en prière, les régions de son cerveau liées à l’orientation spatiale ont tendance à être inhibées. En revanche, grâce au langage, plusieurs autres régions cérébrales, en particulier celles liées au relationnel, sont fortement mobilisées».

Et ce n’est pas tout.

Des scientifiques de l’Université de l’Utah aux États-Unis ont montré dans une étude publiée dans la revue Social Neuroscience que les sentiments religieux activent le circuit cérébral de la récompense. Les chercheurs ont recruté treize membres de la communauté des Mormons. En observant leur cerveau par IRM, ils ont pu mettre en avant leur plaisir de croire. Les circuits cérébraux activés par la prière sont les mêmes que ceux stimulés par la musique, le sexe ou la nourriture.

«Lorsqu’une personne prie intensément, son cerveau peut sécréter des endorphines», confirme le Pr Besson. Des propriétés utilisables en médecine, notamment pour combattre une addiction. Les alcooliques anonymes, par exemple, ont recours à une prière de sérénité en fin de réunion. «Cela permet d’accepter ce qui ne peut pas être changé, se donner le courage de changer ce qui peut l’être et acquérir la sagesse de faire la différence entre les deux», détaille le spécialiste.

Les moines bouddhistes sous la loupe

Prière et méditation ne doivent pas être confondues. Si ces deux activités s’inscrivent dans un contexte spirituel, elles sont très différentes l’une de l’autre et mobilisent différentes régions cérébrales. La méditation est une activité unitive. En clair, le sujet qui la pratique se sent faire partie de l’univers, expérimente l’instant présent et un dépassement de soi. Nul besoin d’être religieux: elle peut être pratiquée de manière tout à fait laïque ou profane.

Le développement de l’imagerie médicale a permis aux scientifiques de s’intéresser en profondeur aux fonctionnements cérébraux des sujets en méditation. Des données ont été relevées grâce à des moines bouddhistes, particulièrement entraînés à l’exercice méditatif. En les soumettant à des IRM, des scientifiques ont découvert que certaines zones de leur cerveau s’activaient de manière plus intense que chez les personnes lambda.

Mais ce n’est pas tout. «Au cours de la vie, nous perdons tous un certain nombre de neurones, explique le Pr Guido Bondolfi, spécialiste en psychiatre et mindfulness à l’Université de Genève. Pourtant, dans certaines zones du cerveau des moines ayant participé à l’étude, la réduction du nombre de neurones était moindre que chez les individus « normaux »». Preuve que la méditation, pratiquée plusieurs heures par jour pendant de nombreuses années, peut même aboutir à une modification visible de la structure cérébrale.

Une capacité d’attention améliorée

Chez les méditants «naïfs», qui la pratiquent de manière moins intensive, ces changements structurels ne sont pas observables. Des spécificités sont toutefois rapidement notables en termes d’activation cérébrale. «Des études montrent qu’après huit semaines d’exercice méditatif, des changements sont déjà observables, indique le Pr Bondolfi. Certaines zones du cerveau comme celle de l’attention, de la régulation des émotions ou encore de la conscience corporelle sont plus activées que chez les personnes qui n’ont jamais médité.»

L’amélioration de la capacité d’attention est d’ailleurs le premier bénéfice de la méditation de pleine conscience. La bienveillance, l’acceptation, la confiance ou encore la patience sont autant de compétences qui peuvent être développées grâce aux pratiques méditatives.

Faire cohabiter science et spiritualité

Aujourd’hui, la médecine occidentale tire parti de ces bénéfices en utilisant la méditation comme outil d’accompagnement des patients. Des programmes proposés dans certains hôpitaux aident par exemple à lutter contre le stress engendré par une maladie chronique ou à prévenir les rechutes dépressives. Mais avant d’en arriver là, pratiques spirituelles et médecine traditionnelle ont eu de la peine à cohabiter.

«Le 20e siècle est caractérisé par un courant très réductionniste, souligne Jacques Besson. Pour de nombreux scientifiques de cette époque, la théologie ne serait qu’un simple besoin psychique.» Ce sont les progrès de l’imagerie médicale et la diversification des recherches en neurosciences qui ont permis de créer un véritable lien entre les deux disciplines.

Les premiers travaux concernant l’influence de la méditation sur le cerveau remontent aux années 1950. Les scientifiques se sont alors intéressés à des praticiens expérimentés du Yoga en Inde. Puis, dans le courant des années septante, la rencontre entre méditation et neurobiologie s’est intensifiée. Des scientifiques collaborent notamment avec le Dalaï Lama, et fondent en 1990 Mind & Life, une association qui explore la relation entre la science et le bouddhisme. Leurs études permettent de donner un éclairage scientifique aux expériences subjectives liées à la spiritualité.

Mais attention : comme bien souvent en médecine, ces pratiques n’ont rien d’une «pilule miracle». Dans la prière comme dans la méditation, une pratique régulière est indispensable pour engendrer des effets bénéfiques. La plasticité cérébrale est comme un muscle: pour créer de nouvelles connexions entre les neurones, il faut s’entraîner à la spiritualité.

SOURCE de cet article : https://www.planetesante.ch/Magazine/Psycho-et-cerveau

ETRE en BONNE SANTE

Si les humains vieillissent tellement vite, c’est qu’ils ne savent pas comment appeler chaque matin la joie et l’amour.

Ce qui perturbe le plus le plexus solaire, ce sont les manifestations désordonnées du corps astral : la peur, la colère, la jalousie, l’amour passionnel. Et comme le plexus solaire est le réservoir des forces, la conséquence de cette désharmonie est une démagnétisation totale. Quand vous ressentez une frayeur ou un choc, vous êtes immédiatement vidé de vos forces, vos jambes ne vous soutiennent plus, vos mains tremblent, votre tête est vide, cela signifie que votre plexus solaire a épuisé ses forces. Mais si le plexus solaire peut se vider, il peut aussi se remplir, et c’est justement ce que le disciple doit apprendre ; comment remplir son plexus solaire.

Choisissez un grand arbre, adossez-vous à lui en plaçant votre main gauche dans votre dos, la paume appuyée contre le tronc de l’arbre, et la paume de votre main droite sur le plexus solaire. Vous vous concentrez sur l’arbre en lui demandant de vous donner des forces ; vous recevez ces forces par votre main gauche et vous les déversez par la main droite dans votre plexus solaire ; c’est une sorte de transfusion d’énergies.

Vous pouvez aussi renforcer votre plexus solaire en regardant et en écoutant couler une source, une cascade, une fontaine, ce sont là des méthodes en apparence insignifiantes, mais qui donnent de grands résultats ; on regarde parfois l’eau couler, mais inconsciemment, on ne se rend pas compte du travail que l’on pourrait faire grâce à elle pour son avancement spirituel. Si vous êtes chez vous, vous pouvez vous étendre sur un lit et placer vos deux mains sur le plexus solaire en imaginant que vous puisez des énergies du cosmos tout entier.

Vous pouvez aussi plonger vos mains dans l’eau ou mieux encore, vos pieds. Lorsque vous vous sentez démagnétisé, troublé ou contracté, préparez de l’eau chaude, plongez-y consciemment vos pieds et commencez à les laver avec beaucoup d’attention. Et lorsque vous éprouvez des difficultés pour méditer, prenez aussi un bain de pieds, vous sentirez une harmonie s’installer dans le plexus solaire, et cette harmonie se reflétera sur le fonctionnement du cerveau.

Extrait des LIVRES de OMRAAM

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Mon médecin n’est pas sensible à mes croyances

Pourquoi devrions-nous aller voir un médecin si nous pouvons guérir nous-mêmes ?

Alors je vais maintenant vous demander : combien d’entre vous peuvent le faire, tout de suite ? Nous sommes tous de vieilles âmes, mais êtes-vous vraiment prêts à guérir par vous-mêmes ? Savez-vous comment ? Avez-vous vraiment de bons résultats ? Pouvez-vous vous débarrasser maintenant, par votre esprit, de la maladie et du déséquilibre chimique ?

Les Lémuriens le pouvaient, car les Pléiadiens le leur ont enseigné. C’est l’une des promesses de D i e u : un jour viendra où votre ADN fonctionnera avec une telle efficacité que vous pourrez vous détourner à jamais des médicaments chimiques et de l’industrie médicale, car vous bénéficierez à fond de l’énergie du Créateur, comme vous l’avez vu chez les grands maîtres qui ont vécu sur la Terre. Ce sera possible sur la Terre ascensionnée que vous entrevoyez, chers amis.

Avez-vous vu les actualités dernièrement ? Nous vous disons que l’énergie va dans cette direction, mais que vous n’y êtes pas encore. Que ceux qui ont la conviction de pouvoir se guérir eux-mêmes commencent à apprendre comment faire. Beaucoup apprécieront le fait d’avoir déjà certains dons. Que le processus commence mais ne vous croyez pas un moment arrivé au point où chaque problème de santé pourra être guéri par vous-mêmes. Vous étudiez un processus grandiose que vous finirez pas maîtriser si vous voulez vous lancer dans ce processus quantique qui consiste à parler à vos cellules. Certains y excelleront, mais d’autres ne feront que commencer.

Alors, j’aimerais vous dire comment fonctionnent l’Esprit et les potentialités de ce qui va se dérouler au cours des prochaines années. Nous allons donner aux médecins de la planète de nouvelles inventions et une nouvelle science. Ce seront des découvertes majeures sur le corps humain et sur les attributs quantiques inhérents.

Regardez ce qui s’est déjà passé, car cette science vous a déjà été donnée en partie, et vous vous en servez vraiment. Imaginez une science qui permettrait une transplantation cardiaque en cas de défaillance. Mais oui. Cette opération à déjà lieu plusieurs fois par mois sur cette planète. Cette information est venue du Créateur, le saviez-vous ? Elle n’est pas tombée de quelque bibliothèque d’énergie noire pour être utilisée de façons maléfiques. Alors si vous avez besoin d’un nouveau cœur, Travailleur de lumière, devriez-vous aller voir le médecin, ou en créer un avec votre esprit ?

Jusqu’à ce que vous vous sentiez assez à l’aise pour pouvoir vous-même remplacer votre cœur par un nouveau, vous pourriez envisager le fait d’utiliser l’information divine qui se trouve entre les mains du chirurgien. Cela vous sauvera la vie et créera une situation dans laquelle vous pourrez rester, tout en continuant d’envoyer votre lumière à la Terre.

Comprenez-vous ce que nous disons ?

Vous pouvez également modifier les médicaments et entamer un processus d’une conception spectaculaire, mais pas vraiment propre à la troisième dimension. Je vous mets au défi de commencer à utiliser ce que j’appellerais le principe homéopathique avec des médicaments d’importance majeure. Si certains d’entre vous prennent des médicaments importants pour modifier leur chimie de manière à pouvoir vivre mieux et plus longtemps, ils ont peut-être l’impression de n’avoir aucun choix.

« Eh bien, ça me garde en vie, direz-vous. Comme je n’ai pas encore la capacité de le faire avec ma conscience, je prends des médicaments. Dans cette nouvelle énergie, il y a autre chose à essayer si vous êtes dans cette catégorie. Faites-le dans la sécurité, l’intelligence, le bon sens et la logique. Voici le défi : selon le principe homéopathique, votre inné considère une teinture d’une substance quasi absente que vous ingérez. L’inné « voit » ce que vous essayez de faire, puis en réaction, ajuste la chimie du corps.

 Par conséquent, vous pouvez dire que vous envoyez au corps un « signal en vue d’atteindre l’équilibre ». La quantité de teinture véritable n’est pas suffisamment grande pour affecter quoi que ce soit d’un point de vue chimique – et pourtant, cela fonctionne.

Le corps (inné) voit ce que vous essayez de faire, puis coopère. En un sens, on peut dire que le corps se guérit de lui-même parce que vous l’avez informé de ce qu’il fallait faire au moyen de la substance homéopathique. Alors, pourquoi pas avec un médicament important ? Commencez à en réduire la dose et à parler à vos cellules, et voyez ce qui se passe. Si ça ne fonctionne pas, revenez à la dose de départ.

A votre grand étonnement, vous réussirez peut-être mieux que vous ne le pensiez.

Vous pourriez réduire de trois quarts la dose à laquelle vous êtes habitué. C’est le principe homéopathique, et il vous permet de conserver l’usage du médicament, tout en le réduisant à une fraction d’une dose tridimensionnelle courante. Vous prenez encore cette dose, mais à présent, elle fonctionne au moyen d’un signal plutôt que seulement du point de vue chimique.

 Le signal est envoyé, le corps collabore, et vous réduisez le risque d’effets secondaires. Vous ne pouvez séparer les choses de façon binaire, par oui ou par non, lorsqu’il est question du grand système de l’Esprit.

Utilisez plutôt la logique spirituelle et voyez ce que Dieu vous a donné parmi les inventions et les processus de la planète. Si vous subissez une opération qui sauve votre vie, levez-vous et dites : « Merci, Dieu, pour cela et pour le fait que je sois né dans un pays où ces choses sont possibles ». C’est un sujet compliqué, n’est-ce pas ? Chacun de vous est si différent. Vous savez quoi faire, chers amis. Ne vous troublez pas quant à cette décision, car si vous êtes prêts à écouter, votre inné vous dira ce qui vous convient.

Dieu ne change pas. Respectez la tradition.

Maintenant, le dernier élément. Certains vous diront que Dieu était le même hier, qu’il  est le même aujourd’hui et qu’il sera le même à jamais. Ils diront que vous ne devez pas appartenir à un mouvement du nouvel âge, car Dieu ne changera jamais et Son énergie sera toujours la même.

Par conséquent, vos idées quant au changement de l’énergie et de Dieu sont ridicules. Puis ils vous avertiront : « Méfiez-vous du nouvel âge, et allez plutôt du côté des traditions et des religions établies, qui ont une histoire et qui comptent des milliards d’adeptes sur la Terre ».

Tout cet argument est fondé sur un malentendu, chers amis. Voici ce que j’affirme : Dieu reste toujours le même. C’est magnifique, car Dieu le Créateur ne changera jamais. Ce qui change vraiment, cependant, c’est la relation de l’humain avec un Dieu immuable. Ce qui change, c’est lc capacité de l’humain à dépasser une vieille énergie et à rencontrer le créateur intérieur dans la nouvelle compréhension.

C’est l’humain qui change, non Dieu.

L’environnement même qui vous entoure [Gaïa] coopère afin de mieux comprendre un Dieu qui était le même hier, qui est le même aujourd’hui et qui sera le même à jamais. Le nouvel âge, ce sont des humains qui reconnaissent que leur relation à l’Esprit change et devient plus réelle dans leur vie. Cela signifie que les humains peuvent maintenant commencer à voir et à sentir le créateur en eux, d’une façon nouvelle et profonde. De nouveaux outils spirituels sont disponibles, et une conscience de soi commence lentement à se développer. Les humains sont en train de changer. Dieu reste le même.

Ecartez-vous de la tradition, car elle ne fera que vous garder prisonniers d’une cage que vous avez-vous-mêmes bâtie, dans laquelle vous vous attachez à la mythologie et ne voyez jamais la magnificence de votre âme.

Texte issu du Livre : « Recalibrage de l’Humanité – Le début d’un nouveau cycle évolutif » – TOME XI de KRYEON aux Editions Ariane 2014 – Source : http://francesca1.unblog.fr/  

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Langage des corps….. Mémoires

Après plusieurs années Bernard Montaud, l’auteur de « César l’éclaireur » fait une première découverte.

Au travers de sept niveaux de lapsus corporel, il lui apparaît que le corps peut tout nous raconter des événements clés de notre histoire, ceux que la mémoire a mis de côté. Le corps peut nous faire retrouver, avec une finesse de détails comme si nous les vivions à nouveau, les scènes fondatrices de notre personnalité. Pendant quelques séances, nous allons être l’enfant de notre passé, voir le monde avec ses yeux, retrouver son monde intérieur…, tout ce que l’adulte d’aujourd’hui ne peut pas faire par la mémoire du cerveau.

Cette première découverte se complète quand plusieurs personnes font expérience d’un profond  soulagement quand ils atteignent, au septième niveau, un état intérieur que Bernard Montaud nomme « le champagne ». Il est produit par la prise de conscience que ceux que nous avons pris pour nos bourreaux ont eux aussi leurs propres blessures. Touchés par l’envers du décor, nous pouvons alors vivre une expérience de miséricorde profonde où il n’y a ni bourreau ni victime. Soudain, notre passé s’apaise d’une compréhension nouvelle.

Outil de connaissance de soi, la psychanalyse corporelle prend tout son sens quand on prend conscience que notre présent vit sous l’influence de notre passé. Les comportements issus de notre histoire se répètent aujourd’hui encore. Nous pensons décider notre présent librement alors qu’en fait, notre passé nous mène par le bout du nez. Mais, en découvrant comment notre passé nous influence encore aujourd’hui, nous devenons alors en mesure de nous en libérer.*

Plusieurs années plus tard, Bernard Montaud fait une deuxième découverte : le corps peut nous parler des enjeux de notre présent et de la croissance intérieure qui est attendue de nous. Il complète sa technique par la psychanalyse du présent. Cette nouvelle dimension nous met en contact avec les évènements qui structurent notre vie d’aujourd’hui. Elle nous montre quelle est la douleur centrale de notre vie  qui régit toute notre actualité personnelle. Elle nous révèle comment cette douleur du présent est une répétition subtile de notre passé. Alors nous pouvons retrouver cet état de miséricorde pour nos bourreaux du présent, comme nous l’avons retrouvée pour nos bourreaux du passé. Soudain des solutions inattendues apparaissent.

Ainsi la psychanalyse du présent apaise nos conflits en cours et nous indique comment nous pouvons continuer à devenir meilleur dans notre quotidien. Mais devenir meilleur, pour quoi faire ? C’est à cette question que va répondre la troisième découverte de Bernard Montaud : la psychanalyse corporelle du futur. Le corps peut nous enseigner que toutes nos blessures du passé débouchent sur des grâces à venir, qui nous mettent en route vers notre tâche. La tâche c’est la mission de vie qui va nous faire dire « voilà ce pourquoi je suis fait, voilà ceux pour qui je suis fait». Alors, toute notre vie prend sens. Le corps peut nous mettre en contact avec cette nouvelle vie, c’est tout le but de la psychanalyse du futur.

Le livre, « D’où je viens ? Où j’en suis ? Où je vais ? – 3 psychanalyses corporelles pour y répondre ? »

Paru aux éditions Dervy, ce livre expose les fondements de ces différentes techniques corporelles. Mais, il est aussi un plaidoyer spirituel pour l’homme inspiré. Le corps délivre une connaissance immédiate et authentique dépolluée des commentaires de l’intelligence. Il est un vecteur sans fard de la vérité de notre passé, de notre présent et de notre avenir, il incite notre intériorité à prendre confiance dans nos inspirations profondes. L’homme intelligent entre de plus en plus en interaction avec des machines dont l’intelligence, même si elle est artificielle, est bien plus rapide et performante que la sienne. Est-ce pour autant la fin de l’homme comme on l’entend souvent ? Certainement pas, si nous savons nous éveiller à l’inspiration humaine qu’aucune machine ne pourra jamais imiter. Redécouverte du corps comme source profonde de vérité sur nous-mêmes, enseignement spirituel, perspectives sociales et politiques d’un monde à refonder font toute la richesse de ce livre dont nous ne pouvons que vous recommander la lecture.

Le film, « La révolution de la psychanalyse corporelle »

Gabriele Fonseca est un cinéaste italien touché par la psychanalyse corporelle. Avec son équipe, il a pu filmer librement les séances, poser des questions aux psychanalysés comme aux psychanalystes, ….. et bien sûr retracer avec son fondateur, Bernard Montaud tout le parcours de cette découverte.

Le résultat est magnifique de sincérité et permet de mesurer à quel point cette psychanalyse corporelle crée véritablement une révolution dans la psychanalyse et dans la compréhension profonde de ce qui régit le fonctionnement des êtres humains.

Pour voir ce film, rendez-vous sur la page :
www.artas.org/3pc/

Pour rencontrer Bernard Montaud chaque mois :
https://bernardmontaud.org/ou-me-rencontrer/

Les douleurs fantômes

Les personnes amputées ressentent parfois des douleurs, là où se situait le membre avant l’amputation.
Comment comprendre ce phénomène ? À quel niveau sont ressenties les douleurs ?
Où se produisent-elles ?

Là où le membre n’est plus

Lorsque quelqu’un subit une amputation, personne n’imaginerait qu’il soit possible qu’il puisse ressentir des douleurs là où se situait le bras ou la jambe qui manque. Or, c’est précisément ce qui se passe dans la grande majorité des cas. Non seulement le sujet ressent la présence de son membre manquant, mais il souffre de douleurs dans celui-ci. Les douleurs sont soit occasionnelles et fortes, soit constantes mais de faible intensité. Dans certains cas, elles diminuent avec les années, dans d’autres, elles subsistent toute la vie.

Témoignages

Le plus ancien témoignage sur le phénomène des membres fantômes et des douleurs qui y sont liées provient du célèbre chirurgien militaire français, Ambroise Paré (1510–1590). Autodidacte, il avait appris l’art de la chirurgie sur les champs de bataille de l’époque où l’emploi d’épées, de lances, de flèches et d’arquebuses causait d’affreuses blessures conduisant souvent à la nécessité d’amputer. Il écrit à ce sujet : «Les patients disent, longtemps après que l’amputation ait été faite, qu’ils ressentent encore des douleurs dans la partie amputée. Ils s’en plaignent fortement, ce qui est étonnant et presque incroyable pour les gens qui n’ont pas vécu cela.»

Au milieu du 19e siècle, une courte nouvelle ayant pour titre «Le cas de George Dedlow» fut publiée dans un magazine américain. Elle relatait l’histoire d’un jeune homme qui fut sévèrement blessé aux deux jambes, au cours de la bataille de Chickamauga pendant la guerre civile américaine. Il est opéré dans un hôpital de campagne, et à son réveil, il ne sait pas que ses deux jambes ont été amputées. Il demande à un aide soignant de lui masser le mollet gauche, dans lequel il ressent une crampe. Quand l’aide soignant soulève la couverture, tous deux se rendent alors compte qu’il n’a plus de jambes. Cette nouvelle, publiée anonymement, s’avéra avoir été écrite par Silas Weir Mitchell (1829–1914), neurologue et écrivain américain qui fut le premier à faire des descriptions cliniques objectives et approfondies sur les membres fantômes et les douleurs qui y sont associées.

Parmi les victimes actuelles de ce phénomène, il faut compter les personnes ayant perdu un pied ou une jambe en marchant sur une mine anti-personnel, comme en témoigne Rasha, une jeune libanaise : «Quand je me couche, le soir, j’ai mal à la jambe, celle qui manque. Je la sens comme si elle était là».

L’existence de douleurs fantômes est aussi un fait mentionné en littérature. Il en est question dans le célèbre roman «Moby Dick» de l’auteur américain Hermann Melville. Le capitaine Ahab, le héros du roman, qui a perdu une jambe, s’adresse au charpentier du bord pour lui demander de lui faire une jambe de remplacement en bois. Au cours de la conversation, il lui explique qu’il sent une autre jambe là où était l’ancienne. Il s’ensuit alors un échange avec le charpentier au cours duquel ce dernier lui dit : «Oui, j’ai entendu dire des choses curieuses à ce sujet, sir… et comment un homme démâté ne perd jamais entièrement le sentiment de son vieil espar, mais qu’il y sentira parfois des picotements. Puis-je humblement vous demander s’il en est ainsi, sir ?

– Il en est bien ainsi, homme. Tiens, mets ta jambe vivante là où autrefois se trouvait la mienne. Maintenant l’œil n’y voit qu’une jambe, toutefois l’âme en voit deux. Là où tu sens vibrer la vie, là exactement là, à un cheveu près, je la sens. N’est-ce pas une énigme ?»

L’explication de la science

Pour la science, les douleurs fantômes s’expliquent par le fait que le cerveau possède en lui une représentation mentale de chaque membre. Cette représentation subsiste même après l’amputation. Comme il reçoit constamment des informations sensorielles de tous le corps, le cerveau en attribuerait parfois à tort au membre qui n’existe plus. Le sujet croit ainsi ressentir des douleurs dans le membre manquant, mais ce ne serait pas le cas. Il s’agirait d’une sorte de projection due à la stimulation de la représentation du membre en question dans le cerveau.

Une étude menée sur des enfants nés avec un membre en moins contredit cependant cette explication. Ces enfants ayant été dépourvus de ce membre dès le début de leur vie, leur cerveau ne pouvait par conséquent pas l’avoir en mémoire. Eux aussi, cependant, ressentaient des sensations là où le membre qu’ils n’avaient jamais possédé aurait dû se trouver.

L’être humain est plus que son corps

La science a une approche matérialiste. Elle considère que seule la matière existe et, par conséquent, que l’être humain est uniquement un corps physique. Il existe cependant une autre manière de considérer les choses, qui est l’approche spiritualiste. D’après cette dernière, l’être humain est plus qu’un corps de chair et de sang, il est un esprit immatériel incarné dans un corps physique. Cet esprit est d’ailleurs entouré de différentes enveloppes ou corps subtils. La constitution de l’être humain comprend donc également des composantes invisibles.

Pour les matérialistes, les cellules s’assemblent elles-mêmes, grâce au code génétique, pour former le corps physique. Les spiritualistes considèrent cependant que les cellules ne peuvent pas s’assembler toutes seules pour construire l’édifice corporel. Elles ont besoin d’un modèle, qui plus est, en trois dimensions, auquel se conformer et dans lequel s’insérer. Ce modèle qui agit comme un moule est un double éthéré du corps physique, appelé le corps astral. À cause de sa constitution plus fine, il est invisible à l’œil terrestre.


Lors de la formation de l’organisme, le corps astral, qui préexiste au corps physique et qui a la forme que doit prendre ce dernier, contrôle que les cellules qui se multiplient se différencient en cellules musculaires, cardiaques, rénales, etc. De plus, en tant que moule, il interrompt l’expansion de ces différents genres de cellules aux limites de l’espace réservé à chaque organe. Son rôle ne se limite pas à la seule construction du corps. Il contribue également à animer les organes, ainsi qu’à orchestrer et harmoniser les différentes fonctions corporelles.

Le corps astral est un corps vivant à part entière. Il est par conséquent sensible et c’est à son niveau que sont ressenties les sensations et les douleurs en général. C’est également à son niveau que les douleurs fantômes sont ressenties par les personnes amputées. En effet, en tant que modèle distinct et indépendant du corps physique et d’un autre genre que lui, il subsiste malgré l’ablation d’un membre. Le corps astral d’une jambe ne disparaît donc pas lors de l’amputation de celle-ci, il subsiste à l’endroit où il a toujours été. C’est donc au niveau du membre astral que les douleurs sont ressenties et non dans sa représentation cérébrale. La personne amputée les ressent, car le membre astral est toujours là, au bon endroit.

De l’existence de l’âme

L’existence des douleurs fantômes montre que l’être humain n’est pas seulement un corps de chair, mais qu’il est aussi constitué d’une partie plus subtile. Celle-ci est composée de l’esprit dont l’origine est le plan spirituel. En font également partie les différents corps subtils qu’il a revêtus lors de sa descente d’un plan de l’au-delà à l’autre pour se rendre sur la Terre. La dernière de ces enveloppes éthérées qu’il revêt avant de s’incarner dans le corps physique est le corps astral. Ensemble, l’esprit et toutes ces enveloppes subtiles forment ce qui est couramment appelé l’âme. Elle n’est pas informe, mais possède la forme humaine. C’est elle qui s’incarne dans le corps physique et qui, à la mort, s’en détache lorsque le mourant «rend l’âme».

Une telle manière de considérer les choses ne serait pas contredite par un amputé célèbre, Lord Nelson (1758–1805), l’amiral anglais qui perdit son bras droit lors de la bataille navale de Santa Cruz de Tenerife. Les sensations qu’il ressentait dans les doigts du bras amputé lui firent dire qu’il voyait là, la preuve directe de l’existence de l’âme.

Christopher Vasey

Les explications données dans cet article sont basées sur les connaissances de l’œuvre « Dans la Lumière de la Vérité, www.Messagedugraal.org  »  

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L’AMOUR, LA MÉDECINE ET LES MIRACLES

Ainsi le Dr Bernie Siegel titrait-il son besteller il y a une vingtaine d’années.

L’Amour, qui permet aux êtres vivants de vivre en unité sans conflit, est à la base de bien des miracles ou de guérisons spontanées en médecine.

L’Amour, c’est ce qui devrait animer les fabricants de médicaments et d’appareils de bien-être en tout genre car dans le cas contraire le patient n’est pas aidé à guérir mais utilisé comme un produit.

L’Amour devrait être le premier critère de sélection des futurs médecins afin qu’ils puissent faire preuve d’assertivité, d’empathie et de compassion.

Aujourd’hui, le fait est que le profit prime souvent sur l’Amour. Industriels pharmaceutiques et soignants souffrent de conflit d’intérêt. Le triste constat qui émerge est que, même si la médecine soigne de mieux en mieux, elle le fait de manière de plus en plus inégalitaire et onéreuse pour en fin de compte, trop souvent, ne pas guérir.

Le nombre de personnes qui souffrent d’une maladie chronique incurable et qui sont médiquées à vie ou à mort, étant donné les effets secondaires qu’ils finissent par présenter, est de plus en plus élevé.

Dieu merci, il y en a quand même certains qui guérissent spontanément et miraculeusement à tous les stades de la maladie et même en phase terminale.

De nombreux cas de guérisons spontanées sont répertoriés dans la littérature médicale sous le nom de « Rapports de guérisons inexplicables ». Les patients prennent eux aussi la plume et sont de plus en plus nombreux à témoigner de leur expérience de guérison à travers les médias. L’espoir d’innombrables personnes confrontées à la maladie se réveille. Chacun réalise que les guérisons spontanées ne sont pas tombées du ciel, que ce sont certes des miracles au vu des diagnostics qui avaient été prononcés mais que ces personnes souffrantes ont belle et bien posé des actes qui ont illuminé les zones sombres de leur vie.

Depuis le schisme entre la science et la religion, les médecins athées réfutent les miracles. Pourtant, l’illustre Ambroise Paré ne disait-il pas : « Je soigne, Dieu guérit » ?

Pourtant bien des croyants dans la médecine ou la religion meurent avec les meilleurs traitements préconisés par la science et leurs prières semblent rester sans réponse. Cela signifie-t-il que Dieu n’existe pas ? Ou que ce sont les médicaments qui sont inefficaces ?

Quoi qu’il en soit, il y a la Foi qui, elle, permet de dépasser bien des croyances du genre « foutu », incurable, impossible ». Et il y a l’Amour qui permet de faire le deuil de ce qui est douloureusement vécu jusqu’à ressentir le Pardon et pouvoir ainsi s’en remettre à la Grâce de nouveaux possibles, gages de Ré-union et du retour de la Lumière. Cette Lumière qui est en effet indispensable à notre vie, car c’est elle qui permet à chacun d’éclairer le côté obscur de la Force.

En faisant la lumière avec foi et amour sur les secrets occultés de notre généalogie, le vécu de nos parents pendant notre périnatalité et leur impact sur notre biographie, il nous devient possible de poser un autre regard sur notre maladie. Il nous devient possible de réaliser et de ressentir qu’elle n’est pas là pour nous faire souffrir et mourir, mais pour nous faire évoluer et nous permettre de vivre plus harmonieusement avec nous-mêmes.

Nous pouvons ainsi passer de l’inconscient mortifère à l’inconscient créateur et poser des actes de guérison.

La science préfère utiliser des termes comme effet placebo (je plais) ou nocebo (je nuis). Mais qu’est-ce que finalement l’effet placébo si ce n’est notre capacité à guérir, et le nocebo, à nous nuire.

Et si la clé de notre guérison spontanée résidait en fait dans la mise en lumière de ce que nous ressentons comme nuisible (nocebo) et dans notre capacité à changer notre image mentale de ces situations vécues douloureusement ? Si la clé était de transmuter nos émotions nocebo en placebo pour retrouver l’amour et l’unité avec toutes les créativités des règnes du vivant ? Nous arrêterions ainsi de nous tuer à petit feu et deviendrions capables de rajouter de la vivance à la vie qui coule en nous. Ces clés sont bien évidemment dans nos mains mais nous ne mettons pas toute notre énergie à les faire nôtres.

La foi ne se trouve que dans notre capacité à ressentir la magnificence de la vie. Connectés à ce ressenti, nous expérimentons la puissance créatrice présente en toute vie. Il nous est alors possible de déplacer des montagnes.

La sagesse mathématique hébraïque (Kabbale) nous donne peut-être aussi la clé des ingrédients essentiels à cultiver pour enrichir la foi et devenir puissant au-delà de toute limite. En effet, la valeur des mots Amour et Unité en hébreu est 13.


Si nous additionnons la valeur Amour et Unité, soit 13 + 13, nous obtenons 26. Et la valeur 26 en hébreu correspond au Nom de Dieu (Yod Hé Vav Hé). Est-ce un hasard ?

Le bestseller du Dr Bernie Siegel et de ses patients, même s’il a 20 ans d’âge n’a pas pris une ride. La recherche de l’amour et de l’unité au sein de la science et de nos existences reste l’unique voie du miracle, celle qui nous donne des ailes et signe ainsi notre réjouissance de la vie et d’être en vie. Qu’on se le dise !

EXTRAIT « L’amour, la médecine et les miracles » –  Dr Bernie Siegel – Ed Poche

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