Le trafic humain et animal

En dehors des abductions opérées par le complexe militaro industriel, d’autres abductions sont menées par différentes races ETs sur les humains et sur les animaux, dans le but de commercialiser ensuite ces individus ou animaux, ou certaines parties de leur corps pour diverses expérimentations génétiques.

carte vital

Le trafic sexuel présent massivement sur Terre s’étend lui aussi au delà de la Terre et provient de ces races qui utilisent elles-mêmes des esclaves sexuels. Plusieurs millions d’humains sont enlevés chaque année pour servir à ces agendas anti-humains d’esclavagisme et sont acheminés en dehors de la Terre pour commerce interplanétaire. Ce sont souvent les sans abris, les enfants, et les réfugiés de guerre qui sont visés. Certains resteront sur terre pour servir aux nombreux réseaux pédophiles et sataniques des élites, qui commettent des rituels et sacrifices d’humains et d’animaux pour obtenir plus de pouvoir.

Ces crimes contre l’humanité doivent être dénoncés et il est de notre responsabilité et devoir de ne plus participer à aucun des programmes de misère sexuelle instaurés sur cette planète par ces races et élites sataniques, que ce soit via la pornographie, les relations de promiscuité non basées sur les plus hautes formes de respect mutuel et de révérence, ou l’idolâtrie de célébrités sous contrôle mental prônant des agendas sataniques et pervertissant la jeunesse humaine vers sa propre autodestruction.

Le génocide animal doit également cesser et les humains doivent comprendre ce à quoi ils contribuent lorsqu’ils encouragent l’élevage inhumain et l’abattage en chaîne d’êtres sensibles et conscients. Ces pratiques sont indignes d’une population évoluée et doivent être dénoncées et stoppées par le développement de la Conscience et le réapprentissage des Lois Universelles et du respect de toute forme de vie.

Animal[…]Mais c’est grâce à la compréhension complète et totale de la situation terrestre et cosmique, que l’humanité va pouvoir, individuellement et collectivement, guérir, et laisser place à sa reconstruction, sur de nouvelles bases saines et en accord avec les Lois Universelles, mettant peu à peu en place cette Nouvelle Terre avec une civilisation consciente de sa véritable nature. Les partisans du statut quo, pensent que divulguer à l’humanité ces informations contribue à instiller la peur. La véritable connaissance ne peut en aucun cas provoquer la peur. Seule l’ignorance le peut. Les races cosmiques avancées pensent au contraire que c’est véritablement la Connaissance, liée au travail personnel, qui aboutit justement toujours à la maîtrise, et donc, à la véritable libération.

Souhaitons-nous réellement nous libérer ? La réponse est en chacun de nous, et sera de notre propre responsabilité. Il n’y a en effet que 2 façons d’être dupés, la première étant de croire ce qui n’est pas vrai, et la 2ème, de ne pas croire ce qui est vrai. L’information est aujourd’hui disponible, à nous de déterminer ce que nous en ferons, et pour nous, et pour l’ensemble de l’humanité.

Pour lire le texte de Laura Marie en son entier – Newsletter Mai 2017 – Divulgation Cosmique – HarmonicUniverse.Academy je vous propose de rejoindre le site ici : https://harmonicuniverse.academy/ressources/newsletters-mensuelles-ascension/64-divulgation-cosmique

 

 

 

Le processus de la dépendance au tabac

 

Les méfaits physiques du tabagisme sont bien connus : intoxication à la nicotine, maladies respiratoires et circulatoires, cancer. Mais que se passe-t-il au niveau de l’esprit, le moi réel de l’être humain ? Bien qu’étant immatériel, celui-ci n’est pas préservé de l’influence du tabac. Il joue même un rôle important dans l’acquisition de l’état de dépendance. Tenir compte de ce fait permet au fumeur de mieux comprendre ce qui se passe en lui et lui ouvre des perspectives nouvelles pour se libérer de l’emprise du tabac.

Histoire du tabac

 Inconnu en Europe jusqu’à la fin du 15è siècle, le tabac fut ramené d’Amérique par Christophe Colomb après que celui-ci ait découvert le nouveau continent en 1492. Produit rare et précieux, le tabac était avant tout utilisé à des fins médicales, entre autre, bu sous forme de décoction.

malade FLe tabac se répand d’abord en Espagne et au Portugal, puis dans le reste de l’Europe. La demande allant en augmentant, la culture à grande échelle du tabac est organisée par les européens à partir de 1520 déjà, en Amérique du Nord, aux Antilles et à Cuba. Différentes sélections permettront ensuite d’obtenir une variété adaptée au climat de l’Europe, où sa culture débutera vers 1561.

A cette époque, le tabac était avant tout consommé sous forme de prise (fine poudre de tabac reniflée pour la mettre en contact avec les muqueuses du nez) ou sous forme de chique (tabac que l’on mâche). Ceux qui fumaient le tabac dans des pipes, ou sous forme de cigare ou de cigarettes étaient rares. En fait, la cigarette si répandue de nos jours, n’apparut qu’en 1674 seulement, c’est-à-dire deux siècles après l’introduction du tabac en Europe. Elle était alors roulée par le fumeur lui-même. Ce n’est qu’en 1842, qu’elle commencera à être fabriquée industriellement, ce qui permettra au tabac de devenir extrêmement populaire. A partir de ce moment, le nombre de fumeurs augmentera alors de manière spectaculaire ; en Europe d’abord, puis dans le monde entier.

Quelques chiffres concernant la France permettent de se rendre compte de cette incroyable explosion du nombre de consommateurs. En effet, si en 1860 la production annuelle de cigarettes avoisinait 7 millions de cigarettes, en 1893 (trente trois années plus tard) elle atteignait 1 milliard, et en 1960 les 50 milliards. De fait, les statistiques montrent que 73% des français et 27% des françaises sont des fumeurs ! (chiffres de 1961, à adapter)

De précieux et rare à ses débuts, le tabac est devenu ordinaire et courant. Son succès est d’autant plus surprenant que, contrairement à d’autres drogues qui ne sont consommées que dans des régions, des cultures ou par des parties bien définies de la population, le tabac, lui, a un caractère universel. Il est fumé sur toute la surface du globe, par les peuplades les plus primitives comme celles qui vivent au cœur des métropoles les plus modernes, par les femmes comme les hommes, les intellectuels comme les manuels, les adultes comme les jeunes.

Comment la nicotine agit-elle sur le psychisme ?

 Comme pour la plupart des drogues, l’effet obtenu par la nicotine n’est pas exclusivement physique. Il se manifeste également au niveau psychique, puisque le bien-être intérieur recherché modifie l’état d’âme du fumeur, c’est-à-dire touche son moi profond : l’esprit.

Une question se pose dès lors : comment se fait-il qu’une substance matérielle comme la nicotine puisse avoir un effet sur quelque chose d’immatériel comme l’esprit ?

Pour quelqu’un qui a une vision matérialiste, la question ne se pose même pas. La vie psychique n’a rien d’immatériel et a entièrement lieu dans le cerveau. Les pensées et les émotions ne sont par conséquent pas les manifestations d’une entité indépendante du corps, l’âme par exemple, mais le résultat direct de l’action des substances chimiques sécrétées par le cerveau. Les effets ressentis par le fumeur découleraient donc directement de l’action de la nicotine sur le cerveau.

Pour quelqu’un qui pense que l’être humain est plus que son corps, autrement dit que l’être humain est un esprit incarné dans un organisme de chair et de sang, la question se pose différemment. L’esprit immatériel ne peut être directement influencé par les molécules de la nicotine. Un élément intermédiaire doit exister.

Le corps et l’âme (cette dernière étant l’esprit entouré de ses enveloppes subtiles, mais sans le corps physique) sont de genres très différents. Pour qu’ils puissent rester liés l’un à l’autre pendant toute la durée de l’incarnation, il faut un élément de transition qui fasse la liaison. Cet élément est le sang, plus précisément l’irradiation du sang. Le sang, ce suc tout particulier, émet des ondes ou irradiations de nature plus subtiles que lui-même. Or, les irradiations les plus subtiles émanant du sang sont de densité similaire aux irradiations les plus denses en provenance de l’enveloppe la plus extérieure et la plus grossière de l’âme : le corps astral. La similitude de genre des irradiations permet ainsi la liaison entre les deux éléments de genres différents.

L’esprit et le corps sont donc reliés par un pont d’irradiations qui, en plus de son rôle de lien, est la voie par laquelle circulent les informations entre l’esprit et le corps. Lors de son incarnation sur terre, l’esprit ne doit en effet pas planer au dessus des réalités terrestre mais les ressentir pleinement à travers son corps. Il fait ainsi des expériences qui lui permettent d’apprendre à se diriger dans la création et à développer ses facultés.

Les états d’âmes de l’esprit – la manière dont il ressent la réalité – dépendent donc de l’irradiation du sang. Or, le sang irradie en fonction de sa composition. Si celle-ci se modifie, l’irradiation et les états d’âme qui en découlent se modifieront forcément aussi. Il est bien connu par exemple qu’une diminution du taux du sucre sanguin (l’hypoglycémie) fait apparaître un état d’âme angoissé, le manque de vitamine B 1 des peurs, l’excès de plomb un état déprimé, etc. On conçoit ainsi aisément que la présence de nicotine altère également l’irradiation du sang et modifie l’état d’âme du fumeur.

Nicotine

La nicotine n’agit donc pas directement sur l’esprit mais par l’intermédiaire de l’irradiation du sang. Cette dernière transmet au corps astral l’impression engendrée par le tabac et, par des processus similaires d’irradiation, aux enveloppes subtiles qui entourent l’esprit, lui permettant ainsi de ressentir indirectement les effets de la nicotine.

Au premier abord, l’esprit pourrait apparaître comme étant sans défense face aux contingences terrestres qui engendrent l’irradiation du sang, mais ce n’est pas le cas. En effet, il peut lui aussi influencer cette irradiation.

L’influence de l’esprit sur le bien-être intérieur

 Pour l’avoir déjà vécue, la possibilité de modifier son état d’âme par un effort de volonté de l’esprit est une chose bien connue. En « se prenant en main », en se maîtrisant, il est tout à fait possible de devenir plus joyeux si l’on était déprimé, plus calme si l’on était agité, plus concentré si l’on était dispersé ou plus confiant si l’on avait perdu courage.

Lorsque l’esprit désire quelque chose, une pression est exercée sur les enveloppes subtiles qui entourent l’esprit et finalement sur le corps physique. Ce dernier produira des sécrétions, de nature hormonale ou autre, ce qui modifiera la composition et l’irradiation du sang. L’esprit baignera alors dans des irradiations différentes qui lui feront aussi ressentir un état d’âme différent.

Par exemple, par son aspiration à être dans un état d’âme calme, l’esprit poussera le corps à produire des endorphines. Au contraire, s’il souhaite stimuler sa vigilance et son activité, les glandes surrénales produiront de l’adrénaline. Le processus a bien sûr lieu inconsciemment.

Or, les principes actifs des drogues ne sont pas des molécules étrangères et totalement inconnues du corps, sinon ce dernier ne pourrait les utiliser. Elles sont au contraire des substances très proches de celles produites par l’organisme lui-même. Elles sont d’ailleurs si ressemblantes qu’elles peuvent se substituer à celles-ci et agir à leur place. L’effet inhabituel qu’elles produisent provient de ce qu’elles accentuent d’une manière particulière l’effet de la substance normalement produite par l’organisme. Ainsi, la morphine extraite du pavot ressemble de très près aux hormones appelées endorphines, et le cannabis à l’anandamine sécrétée par le cerveau. La nicotine, elle, se substitue à l’acétylcholine qui est un neuro-transmetteur, c’est-à-dire une des différentes substances qui permet la transmission chimique des messages nerveux dans l’espace synaptique qui sépare les neurones les uns des autres.

Dans des situations de stress, d’agitation ou de trac, le calme intérieur peut ainsi être obtenu de deux manières différentes : soit par des efforts faits dans ce sens par l’esprit, ce qui se traduira par des sécrétions correspondantes, soit artificiellement par l’apport de nicotine, pour ceux qui décident de recourir au tabac pour obtenir une certaine détente intérieure. Le choix existe, et l’esprit humain étant doté du libre arbitre, il est à même de décider laquelle des deux possibilités il veut utiliser.

La question se pose cependant de savoir pourquoi utiliser un moyen connu comme malsain (le tabac) plutôt que celui qui est naturel (la maîtrise de soi) ? Tout le problème de la drogue débute là, dans cette décision initiale prise par l’esprit.

La réponse la plus évidente, mais également celle qui circonscrit véritablement le fond du problème, est qu’il est plus facile de recourir à une aide extérieure plutôt que de faire des efforts soi-même. Car des efforts sont nécessaires. Se maîtriser, manifester sa volonté, chercher à atteindre un but, nécessite des efforts. Or, ces efforts sont quelques choses de positifs pour l’évolution de l’esprit humain, parce qu’ils permettent à l’esprit de se développer et d’épanouir les facultés qui reposent en lui. En effet, de même qu’un muscle ne se développe et ne se fortifie que dans l’action, de même l’esprit n’évolue et ne s’affermit que dans l’activité. Le recourt à une drogue comme le tabac dénote par conséquent une certaine paresse, ou encore un manque de volonté et de confiance en soi. Donc précisément le contraire de ce qu’essaye de faire croire la publicité pour les cigarettes où le fumeur est faussement présenté comme quelqu’un d’actif, décidé, volontaire et sûr de lui.

Que l’esprit fasse preuve d’une certaine paresse ou non, la décision de fumer a été prise par lui et en vertu de la grande loi de la création qui fait que ce que l’on sème, on le récolte, il doit en récolter les conséquences. Pour le fumeur régulier, une des ces conséquences est de tomber dans un état de dépendance au tabac.

Le processus de la dépendance

 Lorsqu’un fumeur décide de recourir à une cigarette pour se calmer – ou tout autre drogué avec sa drogue, puisque les processus sont similaires – il y réussit effectivement plus ou moins bien, mais en faisant cela il se soustrait à l’effort intérieur qu’il devrait déployer lui-même pour atteindre ce but. Son esprit n’a donc pas participé, il n’a pas fourni d’effort. Si cela ne se produisait qu’exceptionnellement, cela ne prêterait pas tellement à conséquence. Mais le propre du fumeur est de recourir à une cigarette en toute occasion, souvent même inconsciemment, pour retrouver son équilibre intérieur.

Le début de l’engrenage se situe ici : l’esprit n’étant pas sollicité – puisque la nicotine fait le travail pour lui – il perd peu à peu l’habitude de réagir lui-même pour retrouver son équilibre intérieur. Mais, moins il le fait, plus cette tâche lui devient difficile à accomplir, et plus la volonté même de réagir s’amenuise en lui.

tabac

Une fois ce stade atteint, il devient extrêmement difficile au fumeur de retrouver son calme sans apport de nicotine. Il a besoin d’elle et ne peut plus s’en passer. La nécessité de cet apport est ce que l’on appelle l’état de dépendance. Notons que cette dépendance est avant tout le propre de l’esprit. C’est en effet lui le seul élément vivant dans l’être humain, donc le seul qui soit capable de ressentir quelque chose. C’est donc lui qui souffre, qui ressent un malaise, un manque, qui vit de manière inconfortable le tiraillement intérieur dû au manque, et non le corps. Celui-ci en effet ne fait que transmettre des informations sensitives de douleur. Un nerf, un muscle ou tout autre organe ne possède en effet pas un centre de conscience qui lui permette de ressentir la privation. Le corps sera certes entravé dans son fonctionnement, mais la sensation de manque sera ressentie au niveau du moi véritable de l’être humain, c’est-à-dire son esprit. Il ne faut pas oublier que le corps n’est qu’un outil à disposition de l’esprit, et qu’il ne fonctionne et ne vit que grâce à la présence de l’esprit en lui.

Une distinction est généralement établie entre dépendance physique et psychique. Quelle est l’importance relative de ces deux types de dépendances ? Un des moyens de le découvrir – moyen inhabituel il est vrai – serait d’observer, grâce au don d’un voyant, ce qui se passe lorsqu’un fumeur décède. Si le penchant au tabac subsiste après la mort, c’est qu’il n’est pas inscrit dans le corps physique qui s’est décomposé, mais dans l’âme qui lui survit. Si au contraire le penchant n’est plus présent, cela signifie que celui-ci ne réside pas dans l’âme, mais dans le corps, et qu’il disparaît en même temps que celui-ci se décompose.

Or, les récits de nombreux voyants confirment que le penchant au tabac se situe bien dans l’âme. Ceux-ci relatent en effet l’existence d’âmes de désincarnés qui au lieu de poursuivre leur évolution dans d’autres plans de la création, restent liés à la terre par leur penchant. Le désir de fumer les retient dans la proximité de ceux qui peuvent encore se livrer à cette inclination, c’est-à-dire des êtres humains vivant encore sur terre. En effet, dans l’au-delà, des substances matérielles comme le tabac n’existent pas. Ces âmes désincarnées sont donc contraintes à assouvir leur désir par l’intermédiaire des sensations intuitives des fumeurs séjournant encore en chair et en os sur le plan terrestre.

Mais sans faire appel aux témoignage des voyants, il est aussi possible de constater d’une autre manière que le penchant de fumer réside bien dans l’âme et survit à la séparation de celle-ci d’avec le corps. Un médecin raconte, par exemple, qu’un mourant dont il s’occupait ne fumait plus depuis deux ans, alors qu’il avait été un grand fumeur auparavant. Or, dans les jours qui précédèrent sa mort, le lien entre l’âme et l’organisme se relâchant de plus en plus, l’âme du mourant s’était plusieurs fois éloignée de son corps. Lorsqu’elle le réintégrait, le mourant racontait au médecin où il s’était rendu : il avait rejoint des membres de son club de fumeurs ! Le penchant était donc encore présent dans l’âme, malgré les efforts consentis les deux dernières années pour arrêter de fumer.

Le fait que la dépendance soit ancrée dans l’âme plutôt que dans le corps explique en outre pourquoi les moyens aussi nombreux que variés utilisés pour arrêter de fumer ne donnent que peu de résultat. Tant qu’un fumeur n’a pas véritablement décidé de retrouver son équilibre nerveux en faisant des efforts sur lui-même avec son esprit plutôt que de fumer, il n’atteindra pas son but. Des moyens extérieurs peuvent certes aider et soutenir les efforts de l’esprit, mais pas le pousser à être plus actif .

drogue

Que la dépendance se situe au niveau de l’âme explique aussi pourquoi certaines personnes ne ressentent que très peu ou pratiquement pas de malaises physiques en arrêtant de fumer. Etant prêts à faire un effort au niveau de l’esprit, elles poussent à nouveau l’organisme à produire les substances auxquelles se substituait la nicotine. Mais cela explique également pourquoi certaines personnes deviennent étonnamment vite dépendantes au tabac alors que d’autres, qui fument depuis aussi longtemps qu’elles et en quantités égales, ne le deviennent pas. Un fumeur qui décède et qui, dans l’au-delà, n’arrive pas à se débarrasser de son penchant avant de se réincarner revient sur terre avec ce penchant : celui-ci se manifestera alors rapidement, sitôt que l’occasion lui sera donnée. Au contraire, quelqu’un qui n’a pas ce penchant au départ, devra le développer avant qu’il ne se manifeste pleinement, ce qui prend plus de temps.

* * *

En agissant sur les irradiations du sang, la nicotine procure au fumeur un état de détente et de bien-être. Mais cet état d’âme ne s’obtient pas seulement par un apport de nicotine. Comme nous l’avons vu, les irradiations du sang qui correspondent à cet état peuvent également être engendrés par l’esprit, lorsque celui-ci fait un effort dans ce sens.

Le problème de la dépendance au tabac est donc étroitement lié à l’irradiation du sang. Pour se débarrasser de l’habitude de fumer, il est donc nécessaire que le fumeur agisse sur cette irradiation, non plus par la nicotine, mais avec son esprit.

Christopher Vasey

Article basé sur les connaissances du Message du Graal – http://messagedugraal.org   

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La magie des cristaux pour notre Guérison

 

Les cristaux apaisent, apportent confiance et énergie, mais aussi protègent, développent l’intuition… Ils agissent sur le corps, l’esprit et les émotions. Leur magie, c’est d’illuminer la vie, d’offrir équilibre, bien-être et harmonie.

Inspirante, Aurore Widmer ouvre son univers minéral, chamanique et doux pour accompagner le lecteur vers plus de bienveillance.

Comment les utiliser sur soi, chez soi, pendant ses activités ? Comment augmenter leur puissance avec d’autres méthodes de bien-être et trouver tout de suite la pierre qu’il faut, quel que soit son besoin (usage physique, émotionnel, âge, lieu, signe astrologique…), c’est ce que l’auteure nous révèle au fil des pages suivantes.

pierres

Je me rappelle que, toute petite déjà, j’arpentais les salons et foires à la recherche de cristaux. J’en faisais la collection, fascinée par leurs couleurs et leurs formes. Je ne soupçonnais pas encore leur magie. Un jour, quelques années plus tard, j’ai retrouvé dans un placard ces trésors que j’avais conservés. Parmi les pierres, il y avait une tourmaline. Je l’ai prise dans mes mains, j’ai fermé les yeux… Je n’ai jamais senti mon corps aussi ancré, aussi lourd. Un sentiment de sécurité m’a envahie. Ce fut l’électrochoc. J’étais bouleversée par cette connexion.

Et puis, il y a quelques années, je suis brutalement tombée malade. Après de longues nuits de douleur, j’ai été déclarée souffrante du syndrome de Parsonage et Turner. Personne n’était capable d’expliquer pourquoi, mais mon bras s’est soudain trouvé à moitié paralysé. Je ne comprenais pas ce qui était en train de m’arriver, et il n’existait pas de traitement.

C’est en cherchant des solutions que j’ai découvert la naturopathie et son idée d’intégrer nos différents corps, d’entretenir une bonne hygiène de vie et de pensée, mais surtout de développer notre faculté à s’auto-guérir. Petit à petit, à travers cette approche holistique, je me suis reconnectée à la spiritualité et à l’énergétique, j’ai réalisé que je ressentais le fluide de l’énergie dans mes mains, que j’étais capable d’apaiser les maux de mes proches et de capter les informations contenues dans un cristal.

Aujourd’hui, je possède une cinquantaine de pierres chez moi. Quelques-unes me suivent toujours dans mon sac, certaines ornent mes bijoux… Elles sont devenues comme des amies chères à mon cœur, capables d’accompagner mes émotions et ma guérison.

La vibration des pierres

Dans de nombreuses traditions, indienne, bouddhiste ou encore amérindienne, il ne fait aucun doute que l’énergie existe, et on considère qu’elle est à la base de toute forme de vie. Elle constitue chaque être humain, les végétaux, les animaux et les pierres.

Il s’agit d’une énergie de vie, primaire. Elle circule et donne vie au corps comme à l’univers entier. C’est sur elle que les thérapies énergétiques telles que l’ayurveda, le qi gong ou encore l’acupuncture dans la médecine chinoise travaillent.

Une pierre possède sa propre structure chimique, physique et énergétique.

Certaines ont la capacité d’absorber les énergies indésirables, d’autres rayonnent de vibrations positives.

Il existe un lien entre notre propre structure énergétique et celle du cristal, c’est ainsi qu’une pierre peut entrer en résonance avec nous. Malgré un intérêt fulgurant pour les cristaux ces dernières années, la science n’a toujours pas prouvé leur action. Cependant, de très nombreuses personnes témoignent de leurs effets, et lorsque nous ouvrons nos canaux subtils, il est alors possible de ressentir leurs influences. Chacun possède ses croyances, mais il serait dommage de se priver d’outils qui peuvent nous être bénéfiques.

Corps énergétiques et cristaux

Dans la tradition indienne, et dans le yoga notamment, mais également dans les traditions bouddhiste ou chinoise, notre organisme est divisé en plusieurs plans invisibles, imperceptibles pour nos sens. Selon mes apprentissages et croyances, ces différentes couches sont des prolongements de notre corps physique, que la médecine traditionnelle s’attelle à soigner au quotidien. Nous avons 7 corps, dont 6 invisibles et je décrirai ci-après les 2 premiers corps subtils pour étayer mon propos.

Le corps éthérique :

C’est notre premier corps constitué de matière subtile. Il englobe, anime et épouse fidèlement la forme du corps. Il assure l’activité des fonctions vitales et les échanges énergétiques entre les différents corps subtils. Dans celui-ci se trouvent les méridiens et les chakras, connectés aux énergies cosmo-telluriques.

Le corps émotionnel :

 Il contient nos émotions, désirs, joies et peines. C’est avec ce corps subtil que nous voyageons dans nos rêves. Il permet également de se déplacer dans les plans astraux lors des méditations et visualisations.

Selon mes croyances et expériences, les cristaux impactent directement notre plan éthérique ainsi que le plan astral avec leur énergie vibratoire.

Chaque pierre possède ses propres vibrations, tel un code génétique, et une fois en contact avec nos corps, elle corrige les déséquilibres potentiels. Des informations subtiles naviguent alors de la pierre à nous, mais également de nous vers la pierre, dans un échange harmonieux et bénéfique à notre bien-être.

C’est sur ce principe qu’une pierre peut nous « charger » en onde positive et stimuler notre corps physique, mais également nous « nettoyer » d’émotions ou d’énergies subtiles dont nous n’avons plus besoin. C’est via les chakras, vos différentes portes énergétiques, que vous pourrez demander aux pierres de remédier à vos déséquilibres.

La forme des pierres

Les cristaux n’ont pas tous les mêmes formes selon la façon dont ils ont été traités après leur extraction minière. Certains sont plus souvent utilisés taillés et d’autres seront plus puissants dans leur apparence brute.

Chacune des formes est intéressante, il n’en existe pas de meilleure, chacune peut être belle et efficace à sa manière. J’aime les pierres roulées pour les porter dans mon sac ou les placer sous mon oreiller, j’utilise les pierres taillées pour diriger l’énergie sous mon lit et faciliter mon endormissement ou lorsque je fais des soins énergétiques, par exemple, et une géode diffuse ses vibrations dans mon salon pour m’apaiser.

pierre

À vous de choisir ce qui vous convient en fonction de votre utilisation quotidienne… (VISITEZ mon site sur le pouvoir des Pierres : https://divinations938228816.wordpress.com/category/oracle-des-cristaux-eternels/ )

Par Aurore Widmer* Pour en savoir plus : article complet dans le magazine Essentiel n°44

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La constipation et les autres troubles Intestinaux

 

 Une alimentation pauvre en fibres alimentaires fournit insuffisamment de matières à notre système digestif — mises à part les bactéries — pour que le bol fécal puisse se former. En effet, il n’est pas rare qu’avec un régime alimentaire basé sur la viande et pauvre en fibres, les matières fécales renferment jusqu’à 75 % de bactéries. Soulignons en passant que les selles des Américains sont constituées pour la moitié de bactéries !

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Évidemment, cela soulève certains problèmes. Ayant peu de matières à traiter, le mouvement péristaltique des intestins agit très lentement tout le long du côlon. Plus ce mouvement est lent, plus les matières fécales s’assèchent et plus il devient difficile de les éliminer sans effort. Dans ce cas, nous avons l’habitude de recourir aux laxatifs pour que le bol fécal ramollisse et puisse suivre plus docilement le mouvement des intestins. À la longue, les laxatifs ne font qu’aggraver la situation car ils irritent la paroi intestinale. La meilleure solution reste donc une alimentation pauvre en graisses et riche en fibres. Les crudités, les céréales entières, les légumes et les fruits favorisent la formation de selles molles, humides et de dimensions raisonnables qui suivent sans heurts les mouvements des intestins.

Une alimentation pauvre en fibres et riche en matières grasses favorise par ailleurs l’apparition des hémorroïdes, autrement dit de varices. L’alimentation des Blancs sud-africains est l’une des pires du genre et ils ont l’un des taux d’hémorroïdes les plus élevés au monde. Tout au contraire, celle des Noirs sud-africains est pauvre en lipides et riche en fibres; ils n’ont presque jamais d’hémorroïdes.

Les chercheurs ont déjà pensé attribuer l’importance de cet écart à l’hérédité. Or, les Noirs sud-africains qui consomment de la viande ont plus souvent les hémorroïdes que les autres et les Noirs américains en souffrent autant que les Américains de race blanche.

Des millions d’Américains se procurent au comptoir de leur pharmacie des médicaments pour soulager la douleur due aux hémorroïdes. Malheureusement, on les informe rarement de leurs véritables causes et des différentes façons d’y remédier. S’efforcer d’éliminer des selles dures et sèches dilate les veines du rectum et des jambes. Après quelque temps, des hémorroïdes — qui sont en fait des tumeurs variqueuses — se forment autour du rectum et, parfois de la même manière, dans les jambes.

Une alimentation riche en fibres et pauvre en lipides assure la formation de selles molles, humides et abondantes, excluant du même coup tout effort d’élimination. Son efficacité ne s’arrête pas là : En plus de prévenir la constipation, elle nous épargne hémorroïdes et varices.

D’autres problèmes peuvent aussi naître des efforts que l’on fait pour éliminer des selles durcies. La fréquence de tels efforts augmente la pression de l’estomac sur le diaphragme qui, à force d’être malmené, peut s’élargir et laisser s’infiltrer une section de l’estomac. C’est ce qu’on appelle une hernie hiatale. Avec elle, viennent douleurs thoraciques, vomissements et éructations. Un régime riche en fibres et pauvre en lipides prévient assurément ces malaises parfois très pénibles.

Une large proportion de gens âgés en Amérique du Nord souffrent de constipation réfractaire, d’hémorragies et de douleurs abdominales. Comment cela se fait-il ? La présence prolongée de matières fécales sèches et dures dans leurs intestins a modifié la forme de leur côlon et favorisé la formation de petites cavités appelées diverticules.

Médecine tisane

Si l’inflammation des diverticules, appelée diverticulite, se voit rarement dans les pays où l’alimentation est riche en fibres et pauvre en matières grasses, elle est si fréquente dans les pays où viande, produits laitiers et autres aliments riches en lipides font partie de l’alimentation qu’on la considère dans l’ordre des choses. Aux États-Unis, plus de 75 % des gens de 75 ans et plus souffrent de diverticulite.

La diverticulite se manifeste par des crises durant lesquelles l’intestin saigne abondamment.

Sous l’effet de la panique, les gens se tournent alors vers les laxatifs qui, au lieu de les soulager, aggravent la situation en irritant les muqueuses intestinales. Dans bien des cas, il semble admis que seule une ablation chirurgicale du segment infecté puisse apporter un réel soulagement. Il n’en est rien. Un traitement aussi radical n’a rien d’essentiel. Une alimentation riche en fibres et pauvre en lipides prévient non seulement la diverticulite mais permet aussi de la soigner.

L’American Journal of Digestive Disorders rapporte une étude au cours de laquelle 62 sujets souffrant de diverticulite ont été soumis à un régime à haute teneur en fibres. Quatre-vingt-cinq pour cent d’entre eux ont affirmé que leurs symptômes avaient complètement disparu. Lors d’une autre étude, 70 sujets ont adopté le même type de régime. Cette fois, 88 % des symptômes ont été soulagés ou éliminés et le nombre des sujets recourant tout de même aux laxatifs est passé de 49 à 7.

Si vous souhaitez augmenter la teneur en fibres de votre alimentation, le psyllium est préférable au mélange blé et son. Son effet sur la motilité intestinale est plus doux, plus léger et moins irritant. Prenez-le avec beaucoup d’eau, une heure avant les repas; mais rappelez-vous que rien ne remplace les fibres elles-mêmes. Les études qui ont incorporé le psyllium au régime alimentaire n’ont pas eu des résultats aussi satisfaisants que celles où les aliments pauvres en fibres et riches en matières grasses, surtout en graisses saturées, ont été interdits.

Le malaise gastro-intestinal le plus courant, aux dires de certains médecins américains, porte le nom de colopathie fonctionnelle ou colite spasmodique. Le patient rapporte des douleurs au bas-ventre, une alternance de constipation et de diarrhée, et la présence de mucus dans des selles de petites dimensions. Les médecins attribuent aujourd’hui ces symptômes à des troubles émotifs, mais ceux qui ont prescrit un régime riche en fibres et pauvre en lipides ont vu ces problèmes « psychologiques » disparaître comme par enchantement. D’autre part, l’appendicectomie est aujourd’hui l’intervention chirurgicale d’urgence la plus pratiquée aux États-Unis. Lorsque l’orifice de l’appendice se bouche, il gonfle, s’infecte et favorise la prolifération de bactéries. Les douleurs, le plus souvent localisées dans le quadrant inférieur droit de l’abdomen, deviennent dès lors insoutenables.

paix intérieure

Le coupable : un petit morceau de matières fécales qui bloque l’appendice et interrompt brusquement la digestion. La raison sous-jacente : une alimentation pauvre en fibres qui ralentit la motilité intestinale. Résultats : Un bol fécal de petites dimensions, dur et sec ferme l’appendice et provoque l’infection.

Constipation, hémorroïdes, hernie hiatale, diverticulite, colite spasmodique et appendicite dépendent étroitement de la quantité de fibres et de lipides contenue dans l’alimentation. Malheureusement, beaucoup de gens ne se rendent pas compte des conséquences désastreuses que peuvent avoir leurs choix alimentaires sur les intestins : Ou ils acceptent d’être constamment incommodés, ou encore, ils passent au bistouri. C’est d’autant plus dommage que vain. Bien des malaises pourraient être soulagés et évités grâce à un régime pauvre en lipides et riche en fibres.

Extrait du livre : Se nourrir sans faire souffrir

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Pourquoi les végétariens sont-ils protégés des maladies

 

 Si l’ostéoporose est causée par un excès de protéines, on peut se demander pourquoi les végétariens en sont protégés. Est-il impossible de consommer trop de protéines végétales ? Un sondage du ministère de l’Agriculture des États-Unis a montré que les végétariens américains consomment en moyenne 150 % de leurs besoins en protéines. Le taux le plus élevé se retrouve chez les enfants entre trois et huit ans. Ces jeunes — dont la majorité boivent trois verres de lait par jour — consomment 209 % de leurs besoins en protéines.

A l'eau

Je soupçonne que les parents de ces enfants végétariens, probablement végétariens eux-mêmes, craignent que leurs enfants ne consomment pas assez de protéines. Pensant bien faire, ils veillent à ce que leurs enfants boivent beaucoup de lait et mangent du yaourt, du fromage et des oeufs. Ces enfants finissent par consommer beaucoup plus que les protéines nécessaires même en tenant compte des exigences de la croissance.

Toutefois, même hantés par le mythe des protéines, les végétariens ne surconsomment pas les protéines au même degré que les consommateurs de viande et c’est pour cette raison qu’ils souffrent moins d’ostéoporose. Même si un végétarien consommait autant de protéines qu’une personne qui mange de la viande, ses os seraient quand même plus forts car la viande, les œufs et les produits laitiers contribuent à l’ostéoporose d’autres façons.

LE PROBLÈME DU PH 

Pour l’organisme, il est essentiel que le pH du sang demeure neutre. Un sang trop acide peut entraîner la mort. Ainsi, si un régime contient trop d’aliments acides, l’organisme retire le calcium des os et s’en sert comme minéral alcalin pour équilibrer le pH sanguin. Comme on peut le constater au tableau, la viande, les oeufs et le poisson sont les aliments les plus acides, donc ceux qui causent la résorption du calcium des os pour équilibrer le pH du sang. Par ailleurs, les fruits et les légumes dont les cendres sont généralement alcalines n’entraînent pas de résorption du calcium des os pour maintenir le pH du sang neutre. Même si le Conseil laitier national prétend que la consommation de plus grandes quantités de calcium est la réponse à cette maladie, il existe une autre explication de la résistance des végétariens à l’ostéoporose. En effet, l’absorption et l’utilisation du calcium par l’organisme dépendent de la quantité de phosphore dans le régime alimentaire.

guérir

Une étude a démontré que des jeunes femmes dont le régime quotidien contient 1 500 mg de calcium et 800 mg de phosphore maintiennent un bilan positif en calcium. En augmentant l’apport en phosphore à 1 400 mg par jour, ce bilan devient négatif, même si l’apport en calcium ne change pas. Le rapport calcium/phosphore est donc plus important que la quantité de calcium ingérée. Plus ce rapport est faible, plus la perte de densité osseuse est importante. Plus il est élevé, pourvu que l’apport en protéines ne soit pas excessif, plus les os sont forts.

Les aliments dont le calcium est le moins disponible en raison d’un faible rapport calcium/phosphore sont le foie, le poulet, le boeuf, le porc et le poisson, dans cet ordre.

En raison d’un rapport calcium/phosphore plus élevé, le calcium des fruits et des légumes est beaucoup plus disponible. La laitue, par exemple, ne contient pas beaucoup de calcium, mais celui-ci est facilement utilisé par l’organisme car son rapport calcium/phosphore est relativement élevé — 70 fois plus élevé que celui du foie et 23 fois plus élevé que ceux du bœuf et du porc. Les aliments dont le calcium est le plus facilement assimilable par l’organisme sont ceux dont le rapport calcium/phosphore est le plus élevé, comme les légumes verts. Dans ces aliments, le calcium est remarquablement plus disponible que dans les produits animaux.

Nous savons maintenant comment prévenir les crises cardiaques et les thromboses cérébrales. Nous savons nous préserver contre les agents meurtriers qui sont responsables de plus de la moitié du nombre annuel de décès aux États-Unis. Grâce au travail acharné des producteurs de viande, de produits laitiers et d’oeufs, cependant, la plupart des Américains n’ont pas appris ces heureuses nouvelles. Ils croient encore qu’ils doivent consommer des matières animales pour se garder en santé. Ils pensent encore que les crises cardiaques et les thromboses cérébrales sont les conséquences regrettables mais inévitables du fait de mener une belle vie et de vieillir. Les crises cardiaques font tellement partie de la vie aux États-Unis qu’on en a fait une institution. Elles sont une réalité que l’on prend pour acquise.

Peu de gens se rendent compte que les producteurs d’aliments faisant augmenter les risques de maladie cardiaque sont les grands responsables de l’ignorance du public et de son attitude passive.

végétaux

Tant que les gens conserveront cette attitude passive, ils ne feront pas les choix qui les rendront  maîtres de leur santé. Malgré tous les efforts déployés pour embrouiller les choses et nous empêcher de faire de tels choix, nous disposons maintenant de toute l’information nécessaire pour prendre la responsabilité de notre corps et de notre vie. Nous devrions tous pouvoir choisir en pleine connaissance de cause les aliments capables de contribuer à améliorer considérablement la santé de notre système cardiovasculaire, à prévenir les thromboses cérébrales et les crises cardiaques et, du même coup, à soulager la misère dans le monde.

Un article paru dans un journal américain réputé affirme :

« Un régime végétarien peut prévenir 97 % des occlusions coronariennes. »

La publication à laquelle nous faisons référence ici n’est pas le Vegetarian Times ou le New

Age Journal. Il s’agit en fait du Journal of the American Médical Association.

Extrait du livre : Se nourrir sans faire souffrir

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Des techniques de centration pour ne plus souffrir


Carpe diem (Cueille le jour qui passe), Hic et nunc (Ici et maintenant)… Il est des locutions latines qui sont, à elles seules, un véritable enseignement…

Le présent reste insaisissable puisque sans cesse en mouvement, l’arrêt sur image n’étant qu’une illusion qui voudrait fixer le temps qui passe inexorablement. C’est en ce sens qu’il relève d’une vraie difficulté. Ainsi, prendre les choses comme elles viennent demande une certaine adaptabilité. Vivre au présent, c’est en quelque sorte dé-buter, c’est-à-dire commencer à voir ce qui est, afin d’en laisser jaillir le sens. La vie n’est pas un long fleuve tranquille et nous sommes embarqués dans son courant. « L’agir » de l’instant conditionne l’état de demain et nous y prépare déjà. C’est ce que les philosophies orientales appellent action-réaction.

Perle-tahiti-

Une attitude simple

Se positionner dans un processus de réceptivité est le travail de toute une existence et demande, outre un exercice, un entraînement ! Il s’agit tout d’abord de retrouver un état d’équilibre entre rigidité et dissolution : être capable d’accueillir les évènements du quotidien, sans en être perturbé, c’est-à-dire sans les redouter. La tradition Zen propose l’exercice de l’assise en silence qui peut permettre de relâcher les tensions, tout en restant vigilant. Il est question en premier de souffler, dans le but d’un lâcher-prise des tensions physiques.

C’est pourquoi la méditation Zazen insiste sur l’expiration. Le centre de transformation se situe dans le Hara (région au-dessous du nombril).

Jacqueline, ostéopathe, prend tous les matins une demi-heure pour cette pratique qui ne demande aucune condition physique particulière mais prépare à un mieux-être.

Depuis que j’ai découvert cette technique, explique-t-elle, je me sens beaucoup plus disponible dans mon quotidien, aussi bien affectif que professionnel. Jacqueline nous confie sa méthode : Pas besoin de stage, ni de retraite dans un quelconque monastère. Un siège suffit. L’important est de suivre sa respiration telle qu’elle est, sans chercher à la modifier. Le dos droit sans crispation, laissez descendre le souffle dans le ventre, jusqu’à ce que « l’inspir » se fasse naturellement. Observez ce qui se passe sans jugement. Laissez descendre simplement et l’équilibre de la posture va s’imposer de lui-même. Faites l’exercice cinq minutes par jour et augmentez la durée jusqu’à atteindre un idéal d’une demi-heure. Ne forcez jamais et sachez goûter l’instant. Je peux vous assurer que cela peut suffire pour retrouver une disponibilité physique et mentale. Je me surprends même à ne plus être perturbée par un embouteillage ou quelqu’autre souci du même ordre. L’attitude juste s’impose à moi de manière spontanée

Le quotidien comme exercice

Notre corps se transforme à chaque seconde. Même nos émotions changent. Nous passons de la joie à la peine, du rire aux larmes et inversement. Comme les deux faces d’une même pièce, vie et mort sont donc les deux manifestations journalières. Il convient d’accepter cette loi de l’existence qui veut que tout se termine mais qu’il y a aussi un début à tout. Après l’orage, l’arc-en-ciel. Après la pluie, le soleil. Rien n’est immuable, tout passe, y compris la souffrance, aussi tragique soit-elle. Choisir de regarder du côté de la vie, c’est bien assumer son destin, destin qui se joue surtout ici et maintenant ! À vouloir résister au flux vital qui n’est que transformation, nous en oublions de vivre.

harmonie

Aussi, Karlfried Graf Dürckheim, psychologue formé aux traditions orientales, propose-t-il le quotidien comme exercice : quelle que soit notre occupation, écrit-il, il nous est possible de voir son sens intérieur et d’utiliser l’occasion qui nous est ainsi offerte. Certes, nous n’y parviendrons que si nous comprenons le sens de la vie et que si, en fonction de ce sens, nous nous considérons comme responsables, c’est-à-dire si nous avons compris que l’Homme n’a pas seulement la charge de « reconnaître » et de maîtriser le monde extérieur, mais également – et peut-être surtout – celle de se transformer intérieurement

Sublimer les conflits

L’existence propose en permanence des occasions de stress qui nous parasitent. Il est possible de ne pas se laisser envahir par des affects qui renvoient au passé, en réactivant de vieilles blessures, ou à un sombre avenir qui n’existe que dans notre mental. Nous dépensons une énergie phénoménale à ne pas être là où nous sommes. Sigmund Freud en a fait un livre passionnant : « Psychopathologie de la vie quotidienne ».

Il montre, au fil des pages, combien nos actes manqués sont le fruit de ce constant décalage avec la réalité de l’instant. Nous nous défendons de vivre, par inconscient interposé, alors qu’il faudrait se protéger des conséquences de nos conflits intérieurs, en les transformant par une prise de conscience, issue d’un travail sur soi. Chaque jour, chaque heure, chaque minute, sont des opportunités pour se remettre en ordre et donc en paix, demandant toutefois une vigilance à travailler constamment. Prendre conscience de ce qui est inconscient met en adéquation avec la réalité afin d’être plus présent à soi-même et aux autres.

Khalil Gibran en montre une perspective, avec cette citation : Celui qui, par quelque alchimie, sait extraire de son cœur, pour les refondre ensemble, compassion, respect, besoin, patience, regret, surprise et pardon, crée cet atome qu’on appelle l’amour

Gilbert Robery

Quels risques existe-t-il à vivre dans le passé ?

Bonne question ! Les conséquences à développer et entretenir une âme passéiste sont plus négatives que ce que l’on peut l’imaginer. Considérons les plus importantes :

1 – Un trouble de l’identité, dans la mesure où vivre inconsciemment (c’est-à-dire à l’insu de la conscience) prive de sa propre existence. Pour exemple, n’avez-vous jamais rencontré, pour votre plus grand énervement, sur la route, un automobiliste au volant d’une belle voiture de sport récente qu’il conduit à 50 km/heure sur un axe à 90 km/heure? Ce conducteur, pour les psychanalystes, se trompe d’époque. Il conduit comme il y a quarante ou cinquante ans et se prend donc pour quelqu’un d’autre : un père, un grand-père idéalisé, etc. Le problème, c’est qu’il devient dangereux pour lui et pour… les autres !

2 – Un trouble du comportement, dans la mesure où l’inconscient de cette femme, en recherche d’emploi depuis plusieurs années, la renvoie à une époque où vivait sa tante adorée qui travaillait dans une usine de joints en caoutchouc. Cette usine n’existant plus aujourd’hui, le blocage quant aux possibilités de trouver un emploi est majeur : lors des entretiens d’embauche, ses réactions, ses attitudes, ses réponses, seront dépassées…

CENTRATION

3 – Un trouble de l’humeur, dans la mesure où chaque situation qui se présente sera abordée sous l’angle de l’angoisse. Car, comment gérer un événement difficile, en l’appréhendant avec soixante ans de retard ? Un exemple parmi des milliers de possibilités : Marie-Claude apprend que sa jeune sœur est atteinte d’un cancer du sein. Marie-Claude qui, inconsciemment, vit dans le passé, aborde la maladie en passant libidinalement par sa grand-mère maternelle, qu’elle n’a pas connue et dont elle sait qu’elle est décédée d’un cancer du sein. L’inconscient de Marie-Claude, en grande confusion, va faire un faux lien, en établissant un mauvais rapprochement entre le terme cancer et le mot mort. Cette association erronée de représentations mentales entraînera Marie-Claude à avoir la quasi-certitude que sa sœur ne pourra pas lutter contre la maladie. La peur, souvent invalidante, sera au rendez-vous dans son quotidien, la paralysant littéralement…

Ces exemples de la vie quotidienne sont là pour montrer combien il est précieux de vivre le présent. Si vous constatez une difficulté à y parvenir, n’hésitez pas à consulter un psychanalyste, la psychanalyse travaillant essentiellement sur le fantasme et l’angoisse du temps.

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Le problème complexe des remboursements médicaux


La ligue nationale contre le cancer a permis de soulever cette année ce qui, pour certains, est un véritable scandale : les femmes, atteintes d’un cancer du sein, se retrouvent – mastectomisées ou pas – avec des frais, pouvant être considérés comme incontournables, à leur charge, tels l’achat d’une perruque, de crèmes de soin hydratantes et cicatrisantes, d’un soutien-gorge spécifique…

médecin chez fran

À première vue, le plus choquant reste que la très grande majorité de ces malades ont cotisé parfois pendant de nombreuses années, continuent à le faire, et que cet argent était et est censé alimenter les caisses de la Sécurité sociale ! En outre, les cotisations assurance maladie d’assurés bien-portants sont destinées a priori (!) à permettre de pallier des sommes insuffisantes pour couvrir des dépenses sanitaires importantes… Ce dysfonctionnement étatique a donc de quoi mettre en colère, et à juste titre, l’ensemble de la population française.

Un second regard sur cette ineptie (apparente ?) est très différent et beaucoup moins complaisant : il s’agit de celui de la psychanalyse.

Effectivement, Sigmund Freud a largement postulé du fait que nous n’étions pas atteints d’une pathologie, quelle qu’elle soit, par hasard. C’est d’ailleurs en ce sens qu’il a fini par supprimer la gratuité des cures. Ce scientifique a démontré que pour guérir de nos maux, encore fallait-il un engagement pécuniaire personnel, l’argent représentant – selon ses travaux – la pulsion de mort, touchant ainsi au moi sacrificiel. Pour lui, l’acceptation du réglement financier de chaque séance s’avère indispensable pour qu’une prise de conscience du coût permette l’arrêt de toute forme de masochisme. Ainsi a-t-il parlé de  » l’influence correctrice du paiement « .

Depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale, on assiste – reconnaissons-le – à une banalisation de l’acte médical. La  » Carte vitale « , mise en place depuis 1998, n’y est pas pour rien de son côté dans la mesure où le savoir du praticien est totalement dévalorisé par voie de conséquence. Le résultat est que les consultations médicales se déroulent souvent dans un climat proche de l’indifférence, durent de moins en moins longtemps et que le patient comprend vite qu’il n’a pas intérêt à s’étendre sur ce qu’il serait cependant essentiel qu’il communique de ses douleurs et autres angoisses… La plupart des médecins prennent beaucoup de vacances annuellement et les urgences affichent des files d’attente invraisemblables, dans des conditions aussi déshumanisées que discutables…

Le cercle vicieux est désormais installé et, quant à le désinstaller, il n’apparaît guère raisonnable de l’envisager rapidement ! Je ne voudrais pas afficher un pessimisme affligeant mais, malheureusement, je pense que ce triste constat est facilement vérifiable, comme une sorte de contamination qui s’infiltre pernicieusement dans le lien transférentiel médecin/malade et vice-versa… Mais y a-t-il un remède ?

Personnellement, je ne le crois pas et, paradoxalement, cette idée ne me désespère pas ! Je peux en souffrir basiquement comme tout un chacun, je peux m’interroger mais, à la réflexion, je pense que nous assistons ici, dans ce domaine spécifique et complexe de la prise en charge des déficiences psychiques, organiques et corporelles, à une mutation inévitable de la société. Pour le saisir, il me semble qu’il est absolument nécessaire de resituer la médecine d’aujourd’hui dans un contexte économique global, victime de l’héritage facile des  » Trente Glorieuses « . Cette belle époque a modifié les mentalités jusqu’à des exigences démoniaques en matière d’assistanat.

carte vitale

L’Hexagone ne peut plus avancer sur cette cadence, et encore moins évoluer de cette façon-là. Depuis plus d’un siècle, le darwinisme nous demande de nous adapter en souplesse aux changements progressifs de l’humanité qui a pour particularité de revendiquer sa liberté. Profitons alors de la possible mauvaise utilisation de nos impôts pour nous responsabiliser davantage encore, ce qui équivaut à nous engager à être acteur de notre vie et de l’Univers…  » La vérité n’a pas d’heure, elle est de tous les temps, précisément lorsqu’elle nous apparaît inopportune « , assurait le docteur Albert Schweitzer…

propos de Carole Vallone

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La Masturbation et ses conséquences énergétiques  

 

 La masturbation solitaire ou en compagnie du conjoint ou de la conjointe, lorsqu’elle est amenée à son point culminant: l’orgasme, se trouve à dévitaliser fois après fois, la réserve énergétique d’un être. Le corps vieillira en conséquence et une dépendance sexuelle se développera graduellement car quand l’énergie est souvent expulsée, il y a une carence énergétique qui se développe et nous avons faim d’une nouvelle expérience sexuelle pour nous remplir. C’est un peu le même phénomène que celui de la boulimie alimentaire. Quand une personne mange au point de régurgiter… peu après elle aura encore faim !

ENERGIELa sexualité conventionnelle par la masturbation ou l’union sexuelle complète, dévitalise le corps à petit feu, et nous rend de plus en plus obsédés par la sexualité. À l’inverse, la sexualité tantrique blanche nous recharge constamment, nous donne une sensation intérieure de plein ou de plénitude, et fait en sorte que nous pouvons nous concentrer sur plein d’autres activités que la sexualité dans notre ou nos journées sans sentir de manque.

Quand un homme ou une femme se masturbe régulièrement (par exemple: tous les jours ou plusieurs fois par jour ou par semaine), il abaisse toujours plus sa réserve vitale et sent de plus en plus qu’il a envie de comportements sexuels pour se recharger. Mais comme cette personne ne comprend pas vraiment ce processus, il se vit en elle inconsciemment… alors cette personne recommencera bientôt une autre activité sexuelle (ex: la masturbation) et se dévitalisera encore dans l’orgasme à la fin, ce qui la conduira à avoir encore plus faim de sexualité quelques minutes ou heures plus tard. La masturbation fréquente conduit à un cercle vicieux, infernal, qui rend les gens profondément de la sexualité et cela provoque des obsessions: les pensées sexuelles deviennent très fréquentes et déséquilibrent cette personne.

Il est beaucoup plus sain et beaucoup plus santé, d’apprendre graduellement à espacer de plus en plus le nombre de jours entre les moments de masturbation, de façon à permettre à la réserve d’énergie vitale en nous de se recharger et de nous garder plus jeune et plus vitalisé.

Les sportifs le savent en général… Ils ne vont pas libérer leur énergie sexuelle dans l’orgasme (solitairement ou en couple) avant un match sportif important ! Ils sont conscients que leur réserve d’énergie sexuelle donne de la force à leurs jambes, leurs bras, leur coeur, pour performer beaucoup mieux.

Les grands initiés de toutes les époques, sont ceux qui apprennent à ne plus gaspiller leur réserve d’énergie sexuelle ou vitale et qui font toujours circuler en eux leur énergie. Pendant X temps, ils sont célibataires, et ensuite, ils sont en couple, et apprennent à augmenter encore plus leur énergie dans l’Amour tantrique en couple d’Amoureux.

LIRE d’autres articles sur l’énergie sexuelle ici : http://channelconscience.unblog.fr/search/masturbation 

Vous pouvez guérir en me rejoignant à la source du Blog-Francesca : A l’ère de la Multidimensionnalité 

 

Êtes-vous libre de toute maladie

 

 Il fut un temps où une personne pouvait se réveiller au chant du coq, admirer les Chemin1collines verdoyantes à distance, prendre une grande bouffée d’air frais et aller traire les vaches pour obtenir du bon lait frais. Cette même personne pouvait aussi cueillir les œufs frais de ses poules, prendre au passage quelques belles tomates rouges de son grand potager et humer la bonne odeur du pain fraîchement cuit. Le reste de la matinée pouvait être consacrée à exécuter des tâches physiques relevant de la moisson et de la récolte.

Le seul stress de la journée serait d’appréhender le moment où il devrait boire d’un seul coup sa dose d’huile de foie de morue. Défilons rapidement jusqu’au vingt et unième siècle… le réveille-matin vous crie à tue-tête les plus récents rapports de la circulation, vous avalez en vitesse un Pop-Tart et un café, vous subissez un trajet de 90 minutes jusqu’au bureau, vous supportez un patron qui rugit comme un lion et vous étanchez votre soif avec deux verres de martini à l’heure du dîner.

Même votre femme, qui est une fervente partisane de l’exercice et d’une alimentation saine, se démène pour transporter les sacs à provisions du supermarché. Le pauvre concombre qui gît dans votre assiette du souper a vu le jour dans un sol appauvri, a été génétiquement modifié pour résister aux ravages de la pulvérisation des pesticides et herbicides et, enfin, a voyagé en provenance d’une région éloignée durant trois semaines pour aboutir avec un poulet tout aussi disgracieux qui n’a jamais vu la lumière du jour. D’accord, il s’agit peut-être d’une exagération, mais le fait demeure que la grande majorité des Nord Américains ne consomment pas un nombre suffisant de nutriments essentiels à leur santé.

francesca

Il est très rare que mes patients ingèrent l’apport requis en calcium et encore plus rare une consommation appropriée de portions de fruits et de légumes à tous les jours. Pour couronner le tout, jetons un coup d’œil plus attentif sur la façon dont ses « recommandations » sont déterminées. Selon la médecine traditionnelle, le mot « santé » est souvent défini comme une « absence de maladie ». Ce fait déplorable a, en quelque sorte, servi de déclaration de mission pour la médecine… ce qui est excellent pour combattre la maladie, mais très peu efficace pour l’amélioration de notre santé.

L’apport nutritionnel recommandé (ANR) a été conçu selon cette philosophie; à titre d’exemple, la dose de vitamine C a été déterminée selon la quantité requise pour prévenir la maladie du scorbut. La dose de vitamine B3 (niacine) est suffisante pour combattre la pellagre. Je suppose que tout va bien dans le meilleur des mondes, puisque je n’ai jamais diagnostiqué le cas de l’une de ces maladies depuis le début de ma carrière en médecine. En fait, nous pouvons faire beaucoup mieux pour nous-mêmes que d’éviter simplement le scorbut. De nos jours, de plus grands efforts sont déployés afin de rechercher une véritable santé et un meilleur mieux-être. Faire face au stress, éviter des habitudes néfastes, tel que le tabac, et faire suffisamment des exercices sont tous des facteurs que nous pouvons essayer de contrôler.

Par contre, il est plus difficile d’obtenir un apport optimal en nutriments de notre alimentation quotidienne. Comment peut-on s’assurer que les grains entiers contenus dans notre pain proviennent d’un sol entretenu avec soin et contenant suffisamment de sélénium? Quels types d’oligo-éléments sont présents dans l’avocat? Quelle est la teneur en calcium contenue dans une tranche de fromage? Ce sont des nutriments essentiels qui ont besoin d’être développés, non seulement pour la prévention de maladie mais également pour une certitude de mieux-être.

 Un plus grand nombre de médecins recommandent un supplément en calcium, de bonnes multi-vitamines, et plusieurs de mes confrères et consœurs consomment eux-mêmes des acides gras oméga-3. Ces éléments représentent la base d’une bonne nutrition et hélas, nous les oublions trop facilement dans notre société d’aujourd’hui. De la même façon que vous palpez attentivement un cantaloup ou que vous humez un bon pain frais, assurez-vous que la meilleure qualité soit de mise pour les suppléments que vous achetez. C’est-à-dire que le calcium soit hautement absorbable, la multivitamine comporte les plus récentes recommandations, les minéraux contiennent tous les oligo-éléments et les huiles oméga-3 proviennent de sources adéquates.

1 francesca lotus

Tel que nous l’avons constaté par nous-mêmes, la hausse du glutathion par le biais du HMS 90/Immunocal représente une pièce essentielle du casse-tête, mais il existe également d’autres pièces qui méritent notre considération. Il ne s’agit pas d’un pur hasard si l’équipe chez Immunotec a rassemblé la « Trousse des essentiels quotidiens » qui tient compte de tous ces enjeux à l’égard de la santé. Assurez-vous de procurer à votre organisme tout ce dont il a besoin pour survivre dans notre monde d’aujourd’hui. Prenez les mesures essentielles vers un mieux-être.

Par Lucette Laferrière Québec http://www.cheminement.com/content/archives/contenu/contart124.html   (69 of 86) [2009-03-11 20:25:19] Archives : Volume 12, numéro 4 / mars-avril 2009

 

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Les miracles : Lourdes et des probabilités

 

Il y a des cas de rémissions rapportés par le comité médical international de Lourdes qui sont proprement miraculeux, comme celui D’Anna Santaniello, la 67° et dernière miraculée reconnue de Lourdes à ce jour (le caractère miraculeux de sa rémission fut officiellement déclaré le 21 septembre 2005).

miraclesCette dame était sur son lit de mort en 1952, gravement atteinte par une maladie de Bouillaud officiellement diagnostiquée : elle était « grande cardiaque », incapable de se déplacer ou de parler, atteinte d’une cyanose de la face et d’un oedème descendant sur les jambes. Le pronostic vital était plus qu’engagé, d’ailleurs elle reçut le 27 juillet l’extrême-onction. Elle arrive à Lourdes sur une civière le 16 août 1952, et après son immersion dans l’eau « miraculeuse », elle guérit presque instantanément.

Elle se remet alors sur ses pieds et participe à des processions le soir même.

Plusieurs médecins s’enquièrent de son état et l’auscultent, les symptômes pathologiques ont disparu : le coeur d’Anna Santaniello bat de façon stable et normalement alors qu’il avoisinait les 120 pulsations par minute avant sa guérison, exit la cyanose et la dyspnée, seul l’oedème aux membres inférieurs n’a pas tout à fait disparu. Mais il ne restera bientôt plus aucune trace de ses ennuis de santé.

Comme on le voit, il a fallu attendre longtemps avant qu’Anna Santaniello soit officiellement reconnue miraculée de Lourdes, malgré le caractère spectaculaire et authentifié de sa guérison. C’est que, contrairement à ce qu’on pourrait croire, les autorités catholiques ne délivrent pas facilement ce genre de « certificats ». Le Vatican a compris, en effet, qu’il était important pour sa crédibilité de réguler les phénomènes miraculeux.

Pour cela, il a notamment mis sur pied, dès les années 1920, une commission de médecins dont l’objectif était, après enquête, d’y voir plus clair dans la masse de ceux qui postulaient au statut de miraculé. En fait, une commission avait été mise sur pied dès juillet 1858, mais elle ne comptait que des ecclésiastiques, incompétents à évaluer scientifiquement les témoignages qui leur parvenaient. Cette commission a donc, un temps, été une simple instance d’enregistrement de cas signalés. On observe d’ailleurs que, depuis l’instauration de cette commission de médecins, le nombre de miraculés a décru sensiblement, comme le montre le graphique suivant.

Plusieurs remarques sur ce graphique. D’abord, il permet de voir qu’un pic d’authentifications a eu lieu entre 1900 et 1920.

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 Il faudrait faire une mention spéciale pour 1908, où vingt miracles ont été validés, ce qui constitue un record inégalé à ce jour. Un record très opportun il faut dire, car cette date correspondait au cinquantenaire des apparitions mariales à Lourdes. Ensuite, il fait apparaître que le nombre de miraculés chute vertigineusement entre 1920 et 1940, ce qui correspond à la mise en place d’une commission d’évaluation composée exclusivement de médecins. Enfin, ce graphique permet de constater que le nombre de miraculés diminue sensiblement à partir des années soixante. La encore, la rigueur accrue de la commission scientifique de Lourdes, qui devient internationale, et les progrès des connaissances médicales ne sont probablement pas étrangers au phénomène.

Devenir un miraculé de Lourdes, aujourd’hui, ressemble un peu à un chemin de croix. Il faut d’abord en passer par un entretien avec le médecin permanent du bureau médical des sanctuaires de Lourdes, Président de l’association médicale internationale de Lourdes qui comprend plus de 10 000 professionnels de santé dans plus de 75 pays. Il lui appartient d’opérer un premier tri parmi les quelques cinquante personnes qui postulent en moyenne chaque année au titre de miraculé. Les dossiers s’accumulent d’ailleurs depuis la création des archives du bureau médical en 1883, puisque sur 7012 déclarations, l’Eglise n’a reconnu que 67 miracles, soit même pas 1%.

Comme il l’explique lui-même, la sélection qu’il opère dans les dossiers ne constitue que la première étape pour que le miracle soit authentifié. En effet, le dossier est ensuite examiné par une commission de médecins qui, si elle le juge suffisamment intéressant, avertit l’évêque de son diocèse. Dès lors, et c’est une troisième étape décisive, une fois accepté par le bureau médical, le dossier est entre les mains du comité médical international de Lourdes, où des spécialistes de nombreuses disciplines sont présents. Un spécialiste de la pathologie considérée se penche sur le dossier en profondeur avant de soumettre à la commission, par un vote majoritaire, la poursuite de son étude.

La recherche initiale peut prendre plusieurs années. Le dossier qui est constitué est donc solide d’un point de vue scientifique. Il s’agit prioritairement de voir si cette guérison, supposée miraculeuse, ne peut pas s’expliquer par les voies normales de la science, ce qui nécessite de se familiariser avec les recherches les plus pointues dans le domaine.

Une dernière commission étudie enfin, avant de rendre officiel le caractère miraculeux de la guérison, le contexte religieux de la rémission. Il s’agit de voir si la personne s’est bien rendue à Lourdes dans une démarche de foi sincère qui pourrait éclairer ladite guérison.

Les critères que retient cette commission de médecins pour donner un avis favorable aux guérisons inexpliquées sont très sévères : la maladie doit être avérée et très grave avec un pronostic fatal, elle doit être organique ou lésionnelle (ce qui exclut les psychopathologies même les plus graves), et un traitement ne doit pas avoir été à l’origine de la guérison (ce qui exclut les guérisons de cancers, car la plupart font l’objet d’un traitement, même si celui-ci paraît inefficace), laquelle doit être soudaine et durable.

Tout ceci élimine la grande majorité des postulants. Il n’en reste pas moins que, malgré ce tamis serré, quelques dossiers parviennent à émerger.

Il reste des cas de guérisons à Lourdes qui demeurent inexpliqués dans l’état de la connaissance scientifique actuelle. Comme on le sait cependant, des concours de circonstances extrêmement improbables peuvent se manifester lorsque le nombre d’occurrences d’un phénomène est très grand. On est précisément, avec les miracles de Lourdes, dans un tel cas de figure. Songez seulement que depuis 150 ans que des pélérinages y sont organisés, on suppose que des centaines de millions de personnes s’y sont rendues ! On prétend en effet que 6 millions de pèlerins par an se rendent à Lourdes, soit 900 000 000 d’individus depuis 1958. Ce chiffre, cependant, doit être revu à la baisse, car il est probable que les 6 millions de pèlerins par an annoncés ont fluctué, ne serait-ce que parce que la notoriété du lieu a dû aller croissant. En outre, il est probable aussi que de nombreuses personnes se sont rendues plusieurs années de suite à Lourdes et sont donc comptabilisées plusieurs fois. Quoi qu’il en soit, une certitude demeure : pour évaluer le phénomène, il faut tenir compte du fait que, depuis 1858, un nombre impressionnant de personnes se sont rendues à Lourdes en espérant guérir d’une pathologie plus ou moins grave.

Ces considérations n’affaiblissent en rien le caractère inexplicable des rémissions dont il est question, elles soulignent seulement qu’une fois de plus, l’improbable ne se manifeste que soutenu par un nombre d’occurrences impressionnant.

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Le problème est que Lourdes n’a pas le monopole des guérisons inexplicables. Sans faire appel à la bonne volonté de Dieu ou de la Sainte Vierge, les milieux hospitaliers connaissent, eux aussi, le bonheur de voir certains de leurs patients, manifestement condamnés, guérir sans que leur médecin puisse l’expliquer.

A vrai dire, les cas de rémissions spontanés dans les milieux hospitaliers sont assez peu connus. Paradoxalement, ces guérisons ne semblent pas beaucoup intéresser les chercheurs. Ainsi, seules vingt publications annuelles dans le monde (en moyenne) évoquent et analysent ces cas, ce qui est peu. Il faut bien admettre que ces phénomènes sont assez rares.

 Brendan O’Regan et Caryle Hirshberg ont analysé de façon exhaustive les publications portant sur ce genre de guérisons de 1864 à 1992.

Ce travail de titan les a conduit à lire des milliers de pages d’analyses sur la question, il fournit des données essentielles pour qui veut réfléchir à ce type de guérisons inexplicables. Ils ont recensé 1574 cas durant les 128 années étudiées. On notera d’abord que 70% de ces guérisons concernent un cancer, lequel peut toucher n’importe quel organe (bouche, gorge, larynx, organes respiratoires et intrathoraciques, peau, seins, yeux, système nerveux, etc.) Cela ne nous intéresse pas vraiment dans notre comparaison avec les miracles de Lourdes puisque, on s’en souvient, la Commission médicale internationale de Lourdes a tendance à ne pas considérer les cas de rémission d’un cancer, car il sont, la plupart du temps, précédés par une thérapie (il est donc difficile d’évaluer la part du miracle et celle du succès thérapeutique inespéré).

Sur les 1574, ce sont donc les 30% restants qui nous intéresseront, puisqu’ils donnent lieu à des guérisons qui pourraient être considérées comme miraculeuses par la commission de Lourdes. Parmi ces 30%, on observe des guérisons de maladies très diverses : elles peuvent toucher la vascularisation, les cellules de sang ou la moelle osseuse, les maladies infectieuses, le système digestif ou respiratoire, le système nerveux, les organes sensoriels, la peau les muscles, etc.

Le point qui nous intéressera le plus est que O’Regan et Hirshberg constatent que ces cas de guérisons surviennent à une fréquence estimée de 1 cas sur 100 000. Si l’on exclut de ces résultats les guérisons de cancers, on obtient 1 cas pour 333 333. Il existe quelques hypothèses pour rendre compte de ces guérisons inexplicables en milieu hospitalier. On a constaté, par exemple, que des infections avec forte fièvre, des réactions immunes ou allergiques étaient de nature à provoquer parfois ces guérisons. Le fait est que, dans l’état actuel de la médecine, nous ignorons presque tout de ce phénomène. La médecine n’est donc pas compétente pour éclairer les cas de guérisons miraculeuses, qu’elles aient lieu à Lourdes ou en milieu hospitalier.

La question est donc de savoir si Lourdes, de ce point de vue, est en effet une terre d’élection du miracle.

La simple comparaison des chiffres apporte une réponse : non.

Même s’il est difficile d’apprécier les taux de convalescences miraculeuses en milieu hospitalier par rapport à ceux qui surviennent à Lourdes, Une comparaison approximative ne permet pas de mettre en relief une différence qui serait en faveur du lieu saint.

Nous savons qu’il y a 67 miracles authentifiés pour des centaines de millions de visiteurs depuis 1858. Nous avons vu qu’il est possible de supposer que certains reviennent plusieurs fois à Lourdes. Imaginons que 300 000 000 personnes se soient rendues à Lourdes depuis les apparitions mariales (au lieu des 900 000 000 supposés : 6 000 000 de visiteurs par an, depuis près de 150 ans). Il y aurait donc une guérison miraculeuse tous les 4 500 000 visiteurs environ. Il est vrai que toutes les personnes bénéficiant d’une guérison miraculeuse ne se manifestent peut-être pas, par crainte d’une publicité excessive ou de la lourdeur des démarches administratives, et on peut ajouter que tous les visiteurs de Lourdes ne sont pas forcément atteints d’une maladie grave.

 

Ce ne sont donc pas 4 500 000 personnes qui sont concernées par la comparaison avec le milieu hospitalier, mais beaucoup moins. Une sur dix ? Moins sans doute. Mais il faut ajouter, pour être juste, qu’il conviendrait d’effectuer ces calculs sur les cas recensés depuis les années vingt, voire depuis les années soixante où les expertises paraissent devenir sérieuses ,ce qui ne serait pas favorable au lieu saint.

La conclusion est entachée d’incertitudes, mais on peut dire qu’avec 67 guérisons en un peu plus de 150 ans, Lourdes n’affiche pas de résultats plus impressionnants que ceux du milieu hospitalier. Seulement voilà, la publicité faite autour d’un miracle constaté à Lourdes est beaucoup plus importante que celle dont peut bénéficier une rémission en milieu hospitalier. Elle va donner lieu à des reportages télévisés, radiophoniques, et des articles de presse. Des interviews du ou de la miraculé(e) seront réalisées. On cherchera à en savoir plus : comment les choses se sont-elles passées ? Comme le récit sera objectivement extraordinaire, il va frapper les esprits. Il restera dans l’air comme une impression favorable au lieu saint.

Ces convalescences extraordinaires, cependant, ne permettent de conclure qu’une chose : il reste à la médecine beaucoup de progrès à faire, et la science des hommes est loin d’avoir éclairé tous les phénomènes naturels. Quant à l’intervention de Dieu, qui sait ? En tout cas, il ne semble pas pointer plus souvent son doigt à Lourdes qu’ailleurs.

Texte de Gerald Bronner

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