COMMENT LUTTER CONTRE LA CHUTE DE CHEVEUX

La perte de cheveux est un phénomène naturel qui touche autant les hommes que les femmes. La chevelure étant un atout de séduction, une chute peut entraîner une baisse de la confiance en soi. Il est donc nécessaire d’adopter les bons gestes au quotidien afin de limiter l’alopécie de pour retrouver des cheveux vigoureux et avec un beau volume.

Les causes de la perte de cheveux

 

En moyenne, une personne perd entre 50 et 100 cheveux par jour, voire plus en fonction du type de cheveux et de l’hérédité. Cependant, il convient d’agir rapidement lorsque vous constatez une chute plus importante.

Plusieurs facteurs peuvent être à l’origine d’une perte inquiétante de cheveux, dont le changement de saison. En effet, l’automne et le printemps sont des périodes qui favorisent l’alopécie en raison des variations hormonales causées par les changements de luminosité. Ce phénomène peut aussi être un effet secondaire d’un traitement médical ou la prise de certains médicaments. Le stress et la fatigue font également partie des facteurs favorisant la perte de cheveux chronique. Chez la femme, la situation peut être aggravée par des perturbations hormonales, notamment après l’accouchement ou durant la ménopause. Dans tous les cas, il existe diverses solutions permettant de limiter et de prévenir la perte de cheveux.

Quels soins choisir pour limiter la perte des cheveux ?

 

Lorsque vous avez identifié les causes de la chute, il vous faut dans un premier temps choisir le traitement local adapté à vos besoins. En fonction de la sévérité de l’alopécie, vous pouvez appliquer un soin mécanique enrichi en nutriments essentiels pour nourrir le cuir chevelu et pour fortifier la fibre capillaire. Creastim lotion antichute de la marque Ducray traite efficacement la chute de cheveux occasionnelle. Il s’agit d’un soin qui allie la créatine, le tétrapeptide et des vitamines pour drainer le sang jusqu’au cuir chevelu et pour booster la croissance du cheveu.

Cette lotion est particulièrement recommandée aux femmes sujettes à la perte de vitalité et de densité capillaire suite à l’accouchement.

Force Kératine du laboratoire Klorane permet également de réactiver la pousse du cheveu et de lutter contre la chute. Ce soin contient de l’extrait de quinine, une plante aux vertus fortifiantes et stimulantes qui agit directement sur le bulbe capillaire. Cet actif agit en synergie avec la caféine, un actif aux propriétés antichute qui booste l’efficacité de la quinine pour améliorer la résistance des cheveux face au stress et à la fatigue.

Le soin Phytocyane antichute femme des laboratoires Phyto associe quant à lui les propriétés des acides aminés, de l’écorce de viburnum et des extraits de ginkgo biloba pour stimuler la pousse. L’action simultanée de ces actifs favorise la production de kératine, améliorant la beauté et la brillance des cheveux. Ce soin contient également des procyanidols de raisin qui luttent contre les radicaux libres responsables du vieillissement du bulbe pileux.

Adopter une alimentation saine et bénéfique pour la chevelure

 

Bien souvent, une chute anormale de cheveux peut être causée par une carence en nutriments due à une mauvaise alimentation et qui ont un impact nocif sur le renouvellement des cellules capillaires. 

Rectifiez votre alimentation pour combler vos apports en vitamines, minéraux et oligo-éléments indispensables à la santé et à la vigueur de la chevelure. Les aliments contenant des acides aminés soufrés comme la viande, le poisson et les œufs sont à privilégier pour freiner la chute pour améliorer la santé des cheveux.

Privilégiez également des aliments riches en vitamines du groupe B, notamment la vitamine B8 qui favorise le renouvellement capillaire. Le zinc permet également de préserver la beauté du cheveu, puisqu’il contribue à la synthèse de la kératine et du collagène qui participent au maintien de la structure de la fibre capillaire.

Une bonne alimentation peut être complétée par une cure de complément alimentaire pour apporter au cuir chevelu les nutriments essentiels à la croissance du follicule pileux. Forcapil Hair Activ 3 mois du laboratoire Arkopharma aide notamment à prévenir la chute et à redonner du volume à la chevelure terne grâce à sa formule unique alliant la kératine, le zinc, le cuivre et la vitamine B8. Vos cheveux retrouvent ainsi toute leur souplesse et leur résistance.

Les bons gestes pour fortifier les cheveux

 

Pour prévenir la chute chronique et importante de cheveux, vous devez limiter les facteurs aggravants. Lorsque vous vous lavez les cheveux, privilégiez le rinçage à l’eau tiède et laissez sécher à l’air libre. Vous pouvez également activer la micro-circulation et booster la croissance capillaire en massant régulièrement votre cuir chevelu. En revanche, limitez l’usage du sèche-cheveux, du fer lissant ou bouclant et autres appareils thermiques. Vous devez aussi éviter les brossages trop énergiques, les coiffures trop serrées et autres gestes de traction qui pourraient endommager la fibre capillaire et fragiliser le cheveu. Par ailleurs le tabac empêche également l’irrigation du cuir chevelu et favorise la chute.

Sources : topsante.comaufeminin.com

Vous pouvez partager ce texte à condition d’en respecter l’intégralité et de citer les sources et le site :  https://medecinehistorique.wordpress.com/

Le piège de l’extériorité

Notre âme est le véhicule qui permet à l’homme de voyager entre ces deux champs de conscience et de ramener du nagual, quand la mémoire n’est pas trop résistante, des informations et énergies qui vont permettre au tonal d’évoluer. C’est ici que nous retrouvons l’ego qui est en fait le reflet conscient du tonal . Au positif, il devrait permettre à l’homme d’être conscient de lui-même, de sa finitude, de son potentiel. Au négatif, la mémoire se sert de lui pour empêcher l’homme de changer par attachement à l’image qu’il a de lui-même. Le piège fonctionne bien, car, dans son immense majorité l’homme reste très peu évolutif sur le plan intérieur .


En réalité il s’abandonne au changement extérieur là où ce n’est pas nécessaire et même là où c’est destructif pour lui (progrès hystérique au service d’un matérialisme extrémiste) parce qu’il n’a pas la charge personnelle de mettre en place ce changement. Il se contente de le subir.


Par contre il n’a ni l’audace ni l’envie de se changer lui-même là où il devrait le faire pour accéder à sa maturité psycho-émotionnelle et être le responsable de sa conscience et de sa vie. En un mot, il ne maîtrise pas le délicat équilibre entre force de permanence et force de créativité cosmique, ni en tant qu’individu ni en tant qu’être social.


La folie du progrès

Ce serait pourtant la dynamique du changement intérieur qui permettrait à l’homme non seulement de trouver l’équilibre intérieur et le bonheur mais aussi de se détourner du péril d’autodestruction planétaire qu’entraîne la folie du changement extérieur sans frein appelée « le progrès » en lui apportant la sagesse d’une humilité dynamique nécessaire à ce type de changement et le goût d’un savoir désintéressé.En résumé , comme nous venons de le voir, bien que possédant un triple champ de conscience qui représente un outil authentiquement magique pour vivre au-delà de l’ordinaire : son tonal, son âme et son nagual,, l’homme reste, le plus souvent , confiné à son champ de conscience ordinaire, le tonal, par peur de l’inconnu et par attachement à son connu, une attitude dont son ego et le pouvoir abusif que la mémoire exerce sur sa vie sont responsables .

Écoutons nos rêves et nos… problèmes

 

Et cependant, toute sa vie, deux sortes d’évènements vont l’inciter à l’éveil : ses rêves et ses problèmes, chacun de façon très différente.Nos rêves sont des messages directs que notre âme nous envoie pour amener des changements dans notre vie mais, hélas, en particulier dans notre société moderne et trop terre-à-terre, ils ne sont considérés, le plus souvent, que comme des fantaisies de l’imagination auxquelles notre conscience au repos se livre la nuit .


Quant à nos problèmes de toutes sortes, soit nous les attribuons à la malchance, à la malveillance des autres ou à la nature injuste de la société ou de l’univers et nous les maudissons. De plus, en particulier dans le domaine de la santé, notre société mercantile et « assistanale » en a fait une gigantesque niche à profits financiers.


Et pourtant ! Si nous savions les écouter …. ! Mais les écouter avec une certaine mentalité : celle du changement intérieur, car leur rôle est précisément strictement celui-là : nous inciter à changer !

« La différence entre l’homme ordinaire et le chamane c’est que le premier prend ses problèmes comme des calamités alors que le second les aborde comme des opportunités »Pouvez-vous imaginer à quel point une telle attitude de l’esprit peut changer la vie ?
Il suffit, pour cela de comprendre que nos réactions émotionnelles à nos problèmes, si faiblement négatives soient-elles, ne font que refermer un cercle de renforcement de ceux-ci au moment où, précisément, ironie du sort , nous avons le plus besoin d’une résistance aux attaques de la vie, d’une clarté d’esprit et d’une confiance en nous-mêmes que seul l’optimisme et la plus grande sérénité peuvent nous procurer .

Changer du dedans

 

Mais pour cela il faut qu’en amont existe en nous le concept que la vie est faite pour apprendre et donc changer, que le problème en question est le signe que le moment en est venu et enfin que nous soyons persuadés que rien n’est plus indispensable à notre bonheur futur qu’une petite leçon nouvelle de vie dont il ne tient qu’à nous de profiter à travers l’écoute sereine et la résolution de ce problème.En dehors du fait qu’agir sur le monde extérieur quand nous sommes reliés à lui par une situation problématique sans changer le point de vue que nous avons sur lui, c’est faire preuve d’une grande suffisance, le plus grave, c’est qu’en agissant ainsi nous restons dans l’ignorance du pouvoir créateur de la conscience qui est pourtant ce que nous avons à découvrir maintenant, au point où nous en sommes de notre évolution collective sur la terre pour y survivre.

L’inconnu semble , il est vrai, emprunter parfois de drôles de chemins pour nous faire avancer mais c’est pourtant ainsi que notre âme, son messager attaché uniquement à notre personne, nous incite à nous ouvrir à lui et pas seulement quand il y a urgence, mais de façon plus habituelle, en introduisant dans notre quotidien d’autres changements, plus délibérés, comme par jeu, sans que ce soit lié à un problème , une souffrance ou une maladie, afin de nous familiariser avec notre dimension non-ordinaire pour qu’elle embellisse notre quotidien .


Le changement intérieur devient ainsi de plus en plus naturel, notre ego fond peu à peu comme neige au soleil, nous n’ avons plus peur de nous tromper, de ne pas savoir, le fardeau de l’image de soi ne s’interpose plus entre nous et les autres, le naturel revient car changer du dedans est devenu une chose naturelle, un élément essentiel de notre vie . Quelle liberté ! Quelle légèreté dans notre tête !

Extrait de l’article SOURCE : Article 76 Par Claude Degryse du Magazine NEO SANTE REVUE N°43 5 FÉVRIER 2018

Vous pouvez partager ce texte à condition d’en respecter l’intégralité et de citer les sources et le site :  https://medecinehistorique.wordpress.com/

LA NOURRITURE ASTRALE MULTIDIMENSIONNELLE

 L’ART MATÉRIEL OU SPIRITUEL

L’alimentation multidimensionnelle en lien avec la nourriture que nous avons besoin de recevoir est non pas uniquement dans notre corps physique, mais dans chacune des dimensions fondamentales de notre Être.

Soit, donc 7 grandes catégories : la nourriture physique (l’activité), la nourriture éthérique (la vitalité ou la sexualité), la nourriture astrale (l’émotivité), la nourriture mentale (la pensée), la nourriture causale (la volonté ou la créativité), la nourriture psychique (l’amour) et la nourriture atmique (l’intuition).

ICI donc, nous parleront de la Nourriture Astrale  – (L’art Matériel ou Spirituel)

L’art est un moyen d’expression de nos émotions. L’art exprime aussi nos autres dimensions de vie: la sexualité, la pensée, la volonté, l’amour et l’intelligence universelle. Mais actuellement dans notre société, l’art exprime en grande partie nos émotions. Ainsi, pratiquer une forme d’art ou admirer une forme d’art nourrit notre corps d’émotions, notre corps astral.

Plus l’art est harmonieux et intelligent, plus il nourrira sainement notre corps d’émotions et nous allégera, plus l’art est dysharmonieux et ignorant, plus il polluera notre corps d’émotions et alourdira nos vibrations. Observez l’effet que produit en vous l’écoute de certaines musiques, certains films, certains spectacles… et vous découvrirez la qualité des émotions qui nourrissent votre corps.

Observez comment vous vous sentez en faisant certains dessins, certaines peintures ou sculptures, certaines photos ou certains vidéos et vous découvrirez comment votre art vous nourrit.

Observez ce que vous ressentez en chantant, en écrivant un roman, un poème, un journal personnel, et vous découvrirez à nouveau la nourriture qui vous remplit ou vous appauvrit.

En résumé, l’art de type plus matériel attire notre conscience vers une admiration des dimensions les plus denses : corporelle, sexuelle et émotionnelle. L’art plus spirituel attire notre conscience vers une admiration des dimensions les plus subtiles : intellectuelle, créative, amoureuse et intuitive. Les deux types d’art ont leur place et nous font nous découvrir dans des facettes plus denses ou plus subtiles de nous-mêmes. L’art peut nous élever vers le ciel ou nous rapprocher des enfers. Il est puissant, comme un cheval volant, et c’est à nous d’embarquer ou non sur ce cheval, pour prendre telle ou telle autre direction…

Vous pouvez partager ce texte à condition d’en respecter l’intégralité et de citer la source de Francesca : A l’ère de la Multidimensionnalité

Conséquences énergétiques d’une cicatrice

Si la science nous a appris que le corps  humain est composé d’énergie, à différents niveaux vibratoires, nous savons également que cette énergie vitale (prâna pour certains), circule à l’intérieur du corps, dans les tissus et organes, par l’intermédiaire de nadis (sorte de « veines » ou « conduits » d’énergie).

Ce réseau de nadis https://devantsoi.forumgratuit.org/t1570-les-chakras-de-a-a-z#12430 des plus importants aux plus minuscules, est immense : évalué à environ 72 000 nadis…

L’énergie vitale est captée par des centres énergétiques appelés « chakras« , et distribuée dans le corps par l’intermédiaire des nadis, puis renvoyée vers l’extérieur du corps.

Lorsque l’on incise la peau (épiderme et derme), puis éventuellement les muscles, ou que ces tissus sont déchirés accidentellement suite à une fracture, un traumatisme, on sectionne énormément de nadis, quelquefois des milliers…

La bonne cicatrisation physique d’une plaie n’a aucune incidence sur les nadis sectionnés, car ceux-ci ne se situent pas sur le même plan vibratoire que le corps physique.  Au fur et à mesure de la cicatrisation, l’énergie vitale en se frayant un passage au travers des tissus, recréé de nouveau nadis. Par contre, pour diverses raisons, il est possible que la création de nouveau nadis ne se déroule pas correctement et que ceux ayant été sectionnés, ne soient pas colmatés.

De cette situation où les cicatrices subtiles ne se colmatent pas, au niveau subtil, il s’en suivra des fuites d’énergieCes fuites d’énergies vont dévitaliser l’ensemble de l’organisme ce qui occasionnera des troubles divers. La coupure énergétique qu’elles entraînent occasionne un affaiblissement de la partie concernée.

Les fuites d’énergie peuvent être à l’origine de fatigue chronique, de douleurs non définissables… Elles peuvent se développer et demeurer en place très longtemps, voire des dizaines d’années… Dans ce cas là, il convient de colmater les fuites énergétiques et de rétablir la bonne circulation de l’énergie vitale dans les nadis.

Cette opération peut être aisément réalisée par un énergéticien dûment formé à cet art qui consiste é faire circuler harmonieusement l’énergie vitale dans les différentes composantes de l’être. Il convient de noter là, que cette problématique de circulation d’énergie, dans le cas de fuites, s’applique autant aux humains qu’aux animaux. (A LIRE….. Les CHAKRAS de A à Z )

Pourquoi une cicatrice peut générer une fuite d’énergie

Nous venons de voir que l’énergie vitale, en quelque sorte le « carburant » de notre être, est véhiculé à travers ce dernier à l’aide de « conduits », sorte de « veines d’énergie », appelés nadis.


Ces nadis vont alimenter les différents corps subtils composant l’être multidimensionnel qu’est l’être humain. Chacun de ces corps subtils se situant sur un plan vibratoire différent et beaucoup plus élevé que le corps physique.

L’incision lors d’une opération, ou la déchirure accidentelle des tissus, ne va pas seulement ouvrir une brèche dans le corps physique, à commencer par la peau, puis les autres tissus, mais également dans les corps subtils.

Nous pouvons constater qu’une cicatrice physique peut être totalement fermée depuis longtemps, et pourtant laisser subsister une fuite d’énergie émanant d’un ou de plusieurs corps subtils. La raison de ce dysfonctionnement est propre à chacun et dépend de l’état émotionnel, psychique et physique de la personne concernée. De plus, la cicatrice peut être très ancienne et la fuite bien actuelle. Ce n’est qu’après avoir colmaté la fuite, sur un plan énergétique, que la cicatrice sera rendue totalement inopérante au niveau énergétique.

Qu’est-ce qu’une cicatrice ?

 

Une cicatrice est une lésion du derme plus ou moins profonde dont la taille, la couleur, l’épaisseur et la profondeur peuvent varier. Une cicatrice se forme lorsque non seulement la couche supérieure de la peau (épiderme), mais aussi les couches cutanées plus profondes sont lésées. Les cicatrices sont des traces visibles sur la peau.

Une cicatrice est la partie visible d’une lésion du derme après la réparation du tissu, à la suite d’une incision effectuée au cours d’une opération ou à la suite d’une blessure. La cicatrisation fait partie intégrante du processus de guérison.

Les cicatrices extérieures se forment normalement après une lésion des couches cutanées plus profondes. Une petite coupure ou une lacération superficielle ne lèsent souvent que la couche cutanée supérieure, l’épiderme. Dans un tel cas, une nouvelle couche cutanée intacte se forme à partir de la couche inférieure de l’épiderme, appelée couche basale ou tissus cicatriciel, et referme la plaie. La peau nouvellement formée remplit en général les mêmes fonctions que la peau environnante. Au bout de quelques semaines, elle a exactement le même aspect que cette dernière.

Une cicatrice peut résulter d’un accident, d’une brûlure, de la suppression de tatouages, de vergetures, d’un accident, d’un accouchement compliqué, de fractures, de césariennes, épisiotomies, commotions, réductions mammaires, implants mammaires, ablations mammaires (mastectomies) ou reconstructions mammaires, opérations diverses suite à des cancers, chirurgie esthétique, gastrectomies, rhinoplasties (nez), abdominoplasties (tablier abdominal), blépharoplastie (paupières), liftings, lipo aspirations,  etc… ou d’un quelconque autre traumatisme.

La cicatrice peut être externe (visible), interne ou les deux.

Original de l’article : ICI  _ Jean-Paul Thouny

Thérapeute énergéticien, formateur – Voiron (Isère) France

Libérez vos souffrances

S’il y a une confrontation avec les énergies de l’ombre et de la Lumière à l’extérieur de vous, il y a la même confrontation à l’intérieur de vous-même, parce que vous êtes dans la grande période du grand, très grand nettoyage de la dimension actuelle, et que la souffrance qui peut venir de votre plus petite enfance, de votre adolescence ou de votre âge adulte remonte. Cette souffrance vient des états vibratoires enfermés dans votre centre émotionnel, et il faut les libérer.

Vous avez beaucoup de possibilités pour la libérer, par exemple au travers d’un petit problème de santé qui n’en est pas réellement un, au travers de vos rêves, etc.
Vous avez également la possibilité de vous libérer tout ce que vous avez vécu de difficile dans cette existence en vous pardonnant à vous-même, en mettant de la Lumière sur vous-même, en envoyant de la Lumière à tous les êtres qui vous ont blessé au courant de votre vie.

Le petit travail à faire est de voir si tout est en ordre en vous et si vous n’avez pas encore à vous pardonner et à pardonner aux autres. Vous allez constater à quel point l’être humain peut être très grandement perturbé. Vous subissez des vagues d’énergies considérables qui viennent sur votre monde, nous vous l’avons dit maintes et maintes fois, ce qui accentue énormément le processus de libération.

Processus de libération de la 3e dimension

Ce processus de libération vient de l’extérieur, des plans de Lumière, de vos Guides, des Êtres de Lumière, etc., et il vous donne la possibilité d’éradiquer le plus vite possible les coins d’ombre qui sont encore en vous.

Jusqu’à la transition, il y aura toujours quelques petits coins d’ombre, vous ne pourrez pas être dans la perfection de la Lumière. Ce n’est pas dans cette dimension, ni même dans la quatrième, que vous pourrez être dans cette perfection ! Donc vous aurez encore est petites imperfections, et vous emmènerez, au tout début du temps intermédiaire des petites scories, des petites vibrations inférieures. Ce ne sera pas très grave parce que dans ce monde intermédiaire il y aura une telle aide que cet état ne durera pas très longtemps.

Nous désirons essentiellement vous parler de ce qui vous arrive actuellement. Vous êtes brassés, perturbés, non seulement par ces immenses vagues d’énergies de Lumière et d’Amour, mais vous êtes également bouleversés, bousculés par d’immenses vibrations inférieures qui sont créées par les peurs.

La vibration de peur

Tous les êtres humains projettent la vibration de peur autour d’eux, et vous pouvez être en résonnance avec cette vibration qui peut vous affecter, même si vous ne vous en rendez pas compte. En ce moment votre monde est traversé par des fils de Lumière, comme des lasers de toutes sortes, qui se croisent et s’entrecroisent ; c’est une immense énergie de transformation pour les humains et également pour les divers règnes.

Cependant il y a la dualité entre les énergies émises, pas forcément par les humains, mais par ceux qui les dirigent, ceux qui, pour l’instant, détiennent le pouvoir et qui veulent absolument perturber et freiner au maximum le réveil de l’humanité.

A partir du moment où les êtres resteront centrés en eux-mêmes, à partir du moment où les êtres ne seront plus vulnérables à la vibration de la peur, à partir du moment où les êtres auront confiance en leur destin et en l’aide considérable que tous les cœurs purs peuvent avoir des plans de Lumière, ils ne risqueront plus rien parce qu’ils créeront autour d’eux une sorte de coque d’énergie (qui pourra être très blanche ou blanche avec des scintillements dorés) qui sera une protection contre ces ondes perturbantes qui les traversent et qui les traverseront également en permanence.

Vous vivez des moments terribles ; vous ne voyez pas réellement tout ce qui se passe et toute la souffrance parce que vous avez ouvert votre conscience. Vous vous êtes déjà protégés des perturbations, mais puisqu’il y a encore des coins d’ombre en vous, la protection n’est pas totale et la transformation ajoutera donc à cette mutation.

La mutation et la vibration d’Amour

Vous êtes en train de muer, vous êtes en train de commencer à aborder vos nouvelles fréquences vibratoires, votre nouvelle conscience. Vous évoluez, vous muez même dans votre matière, et c’est pour cela que vous ressentez de grandes fatigues.

Que ce soit dans la vibration ou dans la matière, tout est en train de bouger, d’avancer vers un autre état d’être. Comme le papillon qui naît de la chrysalide, vous allez renaître à vous-même.

Vivre une renaissance, quelle qu’elle soit, humaine ou spirituelle, présente toujours un moment de difficulté. Vous vivez ce moment de mutation, de mue, ce moment de difficultés où par moment vous êtes tellement ballotés par tout ce qui se passe en vous et autour de vous que vous n’arrivez plus à trouver votre ancrage.

Vous arriverez de plus en plus à le trouver à partir du moment où vous ferez appel à l’Amour qui est en vous, à la Vibration Amour qui est tout autour de vous, cette Vibration Amour qui vient des plans de Lumière et que vous ne devez pas ignorer. C’est une aide considérable pour tous les Travailleurs de Lumière, pour tous les Chercheurs de Vérité, pour tous ceux qui sont portés chaque jour davantage vers l’évolution, vers cette nouvelle conscience, vers cette nouvelle dimension de l’être.

Message reçu des Frères Galactiques par Monique Mathieu

Site web : www.ducielalaterre.org

GUERIR par les voies naturelles de l’EAU

Les secrets cachés de l’eau et des champs de possibilités qu’elle ouvre !  L’eau a des pouvoirs secrets qui vont bien au-delà de ce que vous pouvez imaginer ! Pouvez-vous croire que notre bien-être dépend en grande partie de l’eau de notre corps ? Pouvez-vous imaginer que l’eau a le pouvoir de réinventer 99% de notre quotidien ?
 

Ce nouvel état de l’eau, découvert récemment par plusieurs scientifiques et chercheurs, est appelé « quantique », « cristallin », « interfacial » ou encore « morphogénique ». Un nouvel univers intérieur, celui de l’océan de conscience associé à un quatrième état de l’eau.

Les états quantiques de l’eau, et tous nos liquides corporels, nous permettent de capter 99,999 % des nouvelles solutions et ressources du champ quantique, cet espace de tous les possibles ;  ils peuvent apaiser nos frustrations, ils ralentissent notre vieillissement, ils déterminent notre destinée, ils dissolvent nos certitudes, ils nous permettent de vivre et de raviver l’état amoureux et surtout, ils nous permettent de vibrer l’illimité de la Vie dans notre Vie au quotidien.
 

Pour la première fois, vous entendrez parler de l’eau, de son incroyable pouvoir qui est unique, de sa mémoire et de l’implication qu’elle a sur nous ! Pour cela, vous pourrez vous reporter sur LA VIE DEVANT SOI ICI : https://devantsoi.forumgratuit.org/t1353-rituels-a-leau

« L’eau que nous connaissons et dont nous nous servons tous les jours pour nous laver est une matérialisation du fluide cosmique qui remplit l’espace. Par la pensée il est possible d’entrer en relation avec ce fluide et de se purifier à son contact.

La première condition pour cela, c’est de se laver avec la conscience qu’à travers l’eau physique on touche un élément de nature spirituelle. Efforcez-vous donc de vous laver avec des gestes mesurés, harmonieux, afin que votre pensée aussi puisse se dégager et faire son travail. Concentrez-vous sur l’eau, sur sa fraîcheur, sa limpidité, sa pureté, et vous sentirez bientôt qu’elle touche en vous des régions inconnues pour y produire des transformations. Non seulement vous serez allégé, purifié, mais votre cœur, votre intellect seront nourris par de nouveaux éléments plus subtils et vivifiants. L’eau physique contient tous les éléments et les forces de l’eau spirituelle, il faut seulement apprendre à les éveiller pour les recevoir. »


Omraam Mikhaël Aïvanhov

Nous savons tous que l’eau est essentielle à la vie.

Toutefois, très peu d’entre nous sommes conscients que l’eau est détentrice de propriétés qui ont le potentiel de transformer autant notre santé que notre vie toute entière.. Nous comprendrons mieux pourquoi c’est le corps qui guide notre bien-être et non pas les pensées.

L’EAU est porteuse d’ondes et de vibrations et elle est un élément capital de notre santé physique, psychique et spirituelle. Et de là, nous débuterons l’exploration du rôle que jouent les liquides corporels et leurs influences sur nos états d’âme, notre santé et notre vie. Nous entrerons dans ce vide qui nous entoure, cet espace quantique, riche bassin rempli d’informations.

Pouvez-vous imaginer que l’eau présente en chacun de nous, incluant nos liquides corporels, puisse réinventer 99% de notre quotidien ?

Notre bien-être dépend de chacune de ces gouttes d’eau. Ce sont elles qui, en secret, façonnent nos organes et nos membranes dès notre origine. Ces liquides que contient notre corps construisent nos états d’âme et notre mémoire car OUI, l’eau télécharge une mémoire qui vibre à l’intérieur de nous.

La mémoire de l’eau ouvre une voie toute nouvelle pour l’humain. Comme l’a souvent expliqué le professeur Marc Henry, nous basculons dans la nouvelle médecine, celle où on soigne avec des ondes et avec de l’eau. L’eau corporelle «connectée» nous rend illimités. OUI l’eau, c’est la vie… mais c’est la VIE dans tous les aspects de notre vie ! L’eau c’est aussi et surtout tous nos liquides corporels, l’eau intra et extra cellulaire, le sang et la lymphe, qui nous connectent dans leur dimension quantique à la sagesse du Vide quantique, notre grand inspirateur et notre médecin naturel.

Vous découvrirez comment les 0,00001% de notre réalité visible limitée peuvent communiquer avec les 99,9999% de notre réalité invisible illimitée et ce, par l’intermédiaire des photons et cette lumière absorbée par nos liquides corporels quantiques. Vous apprendrez comment ces vortex quantiques rendent nos vies illimitées. Ceux et celles qui le désireront pourront expérimenter encore davantage et entrer dans l’univers de l’eau quantique et de son pouvoir infini ! ( https://conversationpapillon.com/eau-quantique/?x=jeanrivest&mc_cid=0979491e3d&mc_eid=550b3df68d )

HYDROLATS = Toute l’information de la plante

Encore peu étudiés jusqu’à présent, les hydrolats présentent à la fois un profil biochimique proche de leur huile essentielle, voire identique, tout en pouvant varier de manière notable en fonction de la plante distillée. Les auteurs de Hydrolats et eaux florales relatent dans leur guide, pour chacune des 56 fiches d’hydrolats étudiés, les composants biochimiques dominants.

Pourtant, au-delà de la stricte chimie, Patricia Dalmas (auteur du Guide des eaux florales et des hydrolats, éditions Médicis), estime avec d’autres spécialistes que, dans la lignée des travaux de Jacques Benveniste sur la mémoire de l’eau, l’hydrolat posséderait toute l’« information » de la plante. Elle se base sur le principe que « l’eau en contact avec une substance conserve les propriétés de cette substance alors que celle-ci ne s’y trouve plus statistiquement ».

À l’image du principe homéopathique, avec une faible concentration en principes actifs, les hydrolats sont de plus en plus utilisés et reconnus en phytothérapie, pour leurs propriétés sur les maux physiques, mais aussi sur la sphère psycho-émotionnelle.

On peut les utiliser sous forme orale, en ingérant une cuillère à café ou à soupe dans un peu d’eau (tiède de préférence), mais aussi en application dermique grâce à des compresses imbibées, ou en pulvérisation.

Leur faible concentration en huile essentielle les rend utilisables par tous, y compris les enfants, les femmes enceintes, les personnes à la santé fragile, et même les animaux, dont les chats, auxquels les huiles essentielles sont interdites. À noter cependant que les hydrolats issus de la distillation de plantes à phénols produisant une huile essentielle dermocaustique, comme la cannelle ou la sarriette, sont à manier avec précaution et à diluer en cas d’application sur la peau ou les muqueuses.

Vous pouvez partager ce texte à condition d’en respecter l’intégralité et de citer les sources et le site :  https://medecinehistorique.wordpress.com/

S’AIMER ET SE GUERIR DE L’INTERIEUR

La guérison n’est pas une technique, c’est un état d’être.

La guérison c’est être le plus simple, le plus naturel possible. Apprendre à être guérisseur, c’est aussi expérimenter, comprendre et sonder les profondeurs de son être intérieur pour ensuite mieux accompagner et aider l’autre à se guérir.

Par la découverte, l’expression et l’acceptation de nos émotions, la prise de conscience de nos fonctionnements, la méditation et l’observation, nous nous rapprochons alors de notre centre, de notre cœur conscient et innocent. En permettant à toutes les couleurs de la vie de pénétrer en nous, nous devenons intégrés. Dans une telle attitude d’ouverture et d’acceptation, nous pouvons alors être guéris et aussi amener les autres dans leur chemin spirituel.

La guérison est la transformation de la maladie et de la souffrance, mais c’est surtout la prise de conscience de sa propre vérité et de son authenticité. Pour cela nous devons recevoir, reconnaître et accepter nos blessures, nos souffrances et nos conditionnements, c’est-à-dire tout ce qui nous a rendu malade, tout ce qui nous a éloigné de notre propre être intérieur.

La guérison ne vient que de l’intérieur. Elle peut provenir d’une cellule de l’organisme qui se propage à toutes les autres cellules. Lorsque l’être humain devient conscient de son intérieur profond, il libère chaque cellule qui le rendait malade. Se guérir, c’est simplement éliminer tout ce qui ne nous appartient pas et qui nous empêche d’exprimer notre essence propre. Il est inutile d’accuser l’extérieur, les autres et les parents… tout est caché en nous, nous pouvons le regarder et l’exprimer, car maintenant tout nous appartient. Même si le responsable est l’extérieur.

Chaque guérison individuelle apporte la guérison, la transformation à son entourage. La guérison crée l’amour et la paix. La guérison et l’authenticité sont inséparables. La guérison est la prise de conscience de notre propre être et de son individualité. Elle est un état spirituel.

La guérison est un art naturel et spirituel que l’on s’offre à soi-même. Chaque être humain a une mission avec son Créateur et avec l’existence et doit se guérir pour vivre dignement. C’est une responsabilité et un respect individuels que de se guérir. Se guérir soi-même ne veut pas dire qu’il faille ignorer et rejeter l’aide des autres, mais sans sa propre dimension, sa propre volonté de guérir, l’autre n’a pas beaucoup de pouvoir.

La guérison s’obtient grâce à la relation entre l’existence et nous-mêmes.

Le succès de la guérison se réalise par la conscience, séparée du mental et de l’égo.

La guérison, c’ est s’abandonner totalement à l’existence, c’est dire OUI inconditionnellement aux situations qui perturbent notre vie.

Si un malade dit oui totalement à sa maladie c’est déjà une guérison. La voie du cœur est un chemin de guérison pour arriver à la transformation. La guérison est un acte spirituel envers soi. La guérison, c’est simplement être spirituel.

citations :

« Lorsque vous essayez de faire quelque chose seuls, séparés du Tout, c’est un échec. Le succès est en Dieu et avec Dieu. » (Osho)

« L’échec est égal à toi moins Dieu.» (Kabir)

« La non-guérison est égale à toi moins Dieu. » (Manish)

La prise de conscience est la compréhension d’une expérience vécue dans le quotidien, ou dans une thérapie spirituelle, pour l’inscrire dans la conscience intérieure. Recréer les situations passées pour les revivre et exprimer les émotions réprimées pendant les évènements permet de prendre conscience de sa propre nature et redevenir soi-même.

Lorsque nous prenons conscience de nos attitudes et de nos comportements émotionnels, nous pouvons les recevoir et les accepter.

L’acceptation permet la prise de conscience de la réalité, positive ou négative, c’est un facteur important et nécessaire à l’état de guérison.

Beaucoup de personnes ne connaissent pas leur propre potentiel et vont chercher à l’extérieur, chez les autres, des solutions, des réponses, des conseils, alors qu’ils ont peut-être en eux, toutes les solutions et les réponses qu’ils ont besoin.

Ce potentiel est souvent plus important que l’on pourrait l’imaginer, mais l’être humain a tellement été conditionné dans son enfance pour être dépendant des parents et des autres qu’il oublie sa propre valeur. En résumé, le potentiel c’est notre propre valeur.

Vous pouvez partager ce texte à condition d’en respecter l’intégralité et de citer les sources et le site :  https://medecinehistorique.wordpress.com/

Comment les animaux se soignent-ils

Hôpitaux, médecins, médicaments, toute une infrastructure médicale est en place pour soigner l’être humain lorsqu’il tombe malade. Les animaux dans la nature en sont dépourvus. Cela signifie-t-il qu’ils ne peuvent rien faire pour se soigner et sont, en quelque sorte, condamnés sitôt que la maladie les atteint ? Non, les animaux ne sont pas abandonnés sans défense, ils utilisent les nombreux remèdes que leur offre la nature.

Les plantes médicinales

La nature regorge de plantes médicinales. Si les êtres humains en utilisent, beaucoup d’animaux font de même. Les cas les plus connus d’animaux faisant usage de plantes ont trait aux chats et aux chiens. Ceux-ci mangent du grammont ou chiendent pour se soulager de leurs maux. Selon le dosage, l’ingestion de la plante déclenchera une légère expectoration qui nettoiera les bronches, un sérieux vomissement qui videra l’estomac, ou encore un effet laxatif qui dégagera les intestins. Le fait est si connu que des barquettes «d’herbe à chat» sont proposées dans les magasins spécialisés pour que les chats d’appartement puissent eux aussi se soigner.



Mais les chats et les chiens ne sont pas les seuls animaux à se soigner avec des plantes. Les chimpanzés de Tanzanie font de même. Ils consomment une plante nommée Aspilia pour calmer leurs maux d’estomac. Lorsqu’ils souffrent de problèmes intestinaux, ils mâchent, puis sucent le jus des rameaux de vernonia amydalina, une plante qu’ils évitent d’habitude à cause de son goût amer. Des belettes ont aussi été observées en train de consommer des fleurs de rue pour se soigner.



La morsure de serpents venimeux est un autre problème médical auquel doivent faire face les animaux. Les chamois mordus vont brouter de l’euphorbe, une plante que d’ordinaire ils ne mangent pas. Celle-ci agit comme une purge violente et grâce aux fortes éliminations qu’elle provoque les débarrasse du poison. Les loups, eux, creusent le sol pour déterrer et manger la racine de la renouée bistorte (appelée aussi herbe aux serpents) qui les purge violemment. Dans la même situation, les tortues mangent de la marjolaine.

Et en cas de blessure, que font les animaux ? Les chamois blessés soignent leurs plaies en se roulant dans le plantain des Alpes. Cette plante a en effet une action cicatrisante très nette. Un rat musqué qui s’était blessé en passant à travers un grillage a été observé en train de s’enduire de résine de pin. Il mit ensuite sa patte alternativement au soleil et à l’ombre pour activer la guérison.

Autre usage inattendu des plantes médicinales : les hirondelles appliquent du suc de chélidoine sur les yeux voilés de leurs petits. Cette plante a des vertus désagrégeantes sur les tissus. Elle est utilisée par l’homme pour dissoudre les verrues.

L’argile

L’argile, la simple terre du potier, est un remède couramment utilisé par les êtres humains en médecine naturelle. Elle a la faculté de fixer des substances toxiques et ainsi de les neutraliser. Elle attire ou absorbe les toxines et poisons des tissus, ce qui détoxique l’organisme. Elle a aussi des vertus cicatrisantes et éliminatrices. Or, des chimpanzés et des singes de régions aussi diverses et éloignées que le Gabon, le Zanzibar ou le Sri Lanka consomment tous de l’argile pour soigner leurs problèmes digestifs. Les éléphants recourent d’ailleurs aussi à l’argile lorsqu’ils veulent se purger.

Les vertus de l’argile peuvent également être mises à profit en usage externe sous forme de cataplasme. En Sibérie, une région riche en argile a été découverte parce que les animaux blessés de la région : sangliers, chevreuils, cerfs… venaient se plonger dans ses boues bienfaisantes. Le cataplasme d’argile qui se formait ainsi nettoyait et protégeait les plaies, et ses vertus cicatrisantes hâtaient la guérison.

Dans nos campagnes, les chevaux malades de la corne trempent leurs sabots dans les boues argileuses.

VOIR EGALEMENT : L’ACUPUNCTURE SUR ANIMAL https://devantsoi.forumgratuit.org/t456-acupuncture-sur-animaux-domestiques#3215

Autres remèdes

Les capucins rouges, une autre espèce de singe, mangent du charbon de bois pour se débarrasser des vers intestinaux.

Les animaux recourent aussi au jeûne et au repos lorsqu’ils sont malades. Ils se retirent dans un endroit écarté et protégé et laissent ainsi les forces de défense du corps agir librement. Les principes de l’hydrothérapie sont également employés par certains animaux. L’application successive de froid, qui contracte les tissus, et de chaud qui les dilate, active la circulation du sang et les échanges cellulaires, et par là la guérison. Le chien qui lèche régulièrement sa patte blessée puis la laisse sécher au soleil, ou qui se couche alternativement au soleil puis à l’ombre lors d’une fièvre, agit dans ce sens. Le rat musqué cité plus haut en est un autre exemple.

Auto-médication ?

Certains zoologistes contestent qu’il s’agisse véritablement d’automédication, car, disent-ils, les notions de maladie et de médicament sont le propre de l’homme et échappent à l’intelligence des animaux. D’autres, au contraire, parlent sans détours d’automédication, ce qui semble tout à fait correspondre à la réalité. En effet, comme nous l’avons vu, les remèdes auxquels recourent les animaux ne font pas partie de leur régime alimentaire habituel. Ils ont même souvent mauvais goût et, pour certains, sont compliqués à trouver. Pensons au loup qui doit creuser le sol pour trouver les racines qui contiennent les substances actives susceptibles de le guérir. De plus, ces remèdes sont consommés uniquement lorsqu’il y a maladie.



Plutôt que d’entrer dans le débat sur l’automédication, il semble plus intéressant de se demander comment les animaux font pour savoir à quelle plante ou quel remède recourir pour se soigner. N’ayant pas les facultés réflexives et déductives de l’homme, ils ne peuvent pas expérimenter ou faire des recherches sur les éventuelles propriétés médicinales des substances qui les entourent. Et pourtant, ils se soignent.

Une explication possible est celle de l’instinct. Celui-ci dirigerait l’animal vers la plante, la terre argileuse ou tout autre remède dont il a besoin. À l’aide de son odorat et de son sens du goût, il repérerait ce qui lui fait du bien. Des expériences en laboratoire ont effectivement montré que des rats carencés en vitamines bien précises savaient trouver d’instinct les aliments qui contenaient les substances manquantes. Cela expliquerait, par exemple, que les cerfs, bien qu’ils soient herbivores, comblent leurs carences en calcium en mangeant les cadavres d’oiseaux qu’ils trouvent. Le squelette de ces volatiles est en effet à même de leur fournir le calcium manquant.

Une autre façon d’expliquer «la capacité des animaux à se soigner dans leur environnement naturel» fait appel à l’existence des êtres essentiels, aussi appelés êtres élémentaux, autrement dit aux forces personnifiées de la nature que sont les gnomes, les elfes ou les ondines. Ces êtres ont non seulement pour rôle d’animer et de gérer la nature, mais aussi d’aider les créatures qui y vivent.

S’il existe de nombreux témoignages qui relatent l’aide apportée à l’homme par les êtres essentiels pour façonner des poteries, travailler les métaux, extraire les fibres des végétaux pour tisser… il en existe aussi sur l’art de soigner. Bien des plantes médicinales qui font partie de la pharmacopée ont été indiquées aux humains par les êtres essentiels. Or, des indications similaires sont aussi données aux animaux.

Les êtres essentiels montrent aux animaux quelle plante consommer ou quelle terre argileuse avaler pour se soigner. Ils sont d’ailleurs les plus à même de le faire puisque ce sont eux qui sont responsables de ces éléments naturels et de leurs vertus. Les animaux n’ont bien sûr pas de concepts de maladie et de remède avec lesquels ils raisonnent, mais ils acquièrent un savoir en mettant en pratique ce que les êtres essentiels leur indiquent. Ce savoir leur reste et entre dans leurs habitudes non parce qu’il serait transmis d’une génération à l’autre, mais grâce à l’existence de ce que l’on appelle l’âme-groupe animale.

L’âme-groupe des animaux

Contrairement à l’être humain qui est un esprit indépendant de tous les autres esprits humains, les animaux d’une même espèce ont une âme-groupe en commun. Cette différence a des conséquences très grandes sur les possibilités d’apprentissage.

Une âme-groupe est comme un énorme réservoir qui contient toutes les âmes d’une espèce animale, celles des éléphants, par exemple. Pour s’incarner, une âme d’éléphant quitte l’âme-groupe et revêt un corps physique d’éléphant comme outil pour séjourner sur Terre. Au cours de ce séjour, cette âme est confrontée à de nombreuses situations. Obligée de réagir pour survivre, elle intériorise un certain savoir-faire. À la fin de sa vie, lorsque cette âme d’éléphant se détache du corps, elle emporte ce savoir avec elle. Quand elle réintègre l’âme-groupe dont elle est issue, cette âme se retrouve dans le «réservoir» de son espèce. Le savoir qu’elle porte en elle ne sera pas conservé pour elle seule, mais mis à disposition de toutes les âmes dans l’âme-groupe.

Cela signifie que même les âmes qui n’ont pas été confrontées aux situations qui leur auraient permis d’acquérir ce savoir-faire, vont le posséder. Elles l’intègrent et pourront l’utiliser lorsqu’elles descendent sur Terre pour s’y incarner. Ce mode de transmission explique des faits qui, sans cela, demeureraient mystérieux.

Les corbeaux, par exemple, crient pour donner l’alarme à leurs congénères quand un homme s’approche trop près d’eux. Or, peu de temps après l’introduction des fusils dans les campagnes, fusils utilisés entre autres pour tuer les corbeaux qui dévastaient les cultures, il fut constaté que les corbeaux s’enfuyaient sitôt qu’un être humain apparaissait avec un fusil, alors qu’ils se contentaient de donner l’alarme lorsqu’il n’en avait pas.



Étant donné que les expériences d’une vie ne se transmettent pas aux descendants par l’intermédiaire des gènes, et que seule l’existence de l’âme-groupe est à même de le faire, l’expérience acquise par les corbeaux blessés et tués est portée par leur âme à l’âme-groupe dans laquelle ils retournent après leur mort. Les corbeaux qui s’incarnent sur Terre après ce retour emportent cette connaissance avec eux.

Dans le même ordre d’idées, le berger allemand qui de manière générale est amical avec l’homme est devenu agressif avec lui après la seconde guerre mondiale. Lors de ce conflit, ces chiens avaient été incorporés dans l’armée et dressés pour attaquer l’homme. L’existence de l’âme-groupe explique également pourquoi certaines races de chiens peuvent être dressées pour devenir des chiens de garde, de chasse ou de berger… et pourquoi elles deviennent de plus en plus performantes dans leur activité. Les caractères acquis au cours d’une vie ne se transmettant pas par les gènes, ils sont transmis aux autres et renforcés par le canal de l’âme-groupe.

Il en va de même lorsqu’un être essentiel montre à un chimpanzé comment utiliser de l’argile pour soigner ses problèmes digestifs. En suivant les indications données et en ressentant un soulagement, le chimpanzé acquiert par expérience vécue un savoir qui s’inscrit en lui. Lorsqu’il souffrira à nouveau de tels maux, il recourra encore une fois à l’argile et ce savoir s’inscrira d’autant plus fortement en lui. Certains de ses pairs l’imiteront peut-être aussi. En remontant dans l’âme-groupe, l’âme de ces chimpanzés emporte avec elle ce savoir qui sera alors à la disposition de toutes les âmes de l’âme-groupe. De cette manière, le savoir sur l’emploi de l’argile s’inscrira peu à peu dans toute l’espèce.

Article basé sur les connaissances du Message du Graal www.messagedugraal.org 

Vous pouvez partager ce texte à condition d’en respecter l’intégralité et de citer les sources et le site :  https://medecinehistorique.wordpress.com/

Le corps, gardien des mémoires cellulaires

Notre corps serait le fidèle gardien des souvenirs enfouis qui ont balisé notre existence, notre naissance, voire des expériences de nos parents et de nos ancêtres. « À notre insu, le corps porte dans nos cellules notre mémoire, qui va résonner avec régularité au fil du temps », a pu observer la psychothérapeute Myriam Brousse, pétillante octogénaire soutenant l’existence d’une mémoire corporelle inconsciente, dite « cellulaire ». Sous l’influence de stimuli subtils (des stress ou des événements en lien avec le choc initial), ces mémoires « réactivées » entraînent des comportements inadaptés et parfois des pathologies, comme des maux de dos, des migraines épouvantables, ou de profondes dépressions.


Cette découverte a pour origine la déclaration d’un cancer des ovaires, à l’aube de ses quarante ans, qui va bouleverser sa vie. C’est à l’issue d’un voyage au bout de son corps jusqu’aux confins de la souffrance et de plusieurs rencontres qu’une nouvelle compréhension émerge, éclairée par les travaux de Mère et de Sri Aurobindo. Il y a tout d’abord celle d’un maître tibétain, puis d’une mathématicienne, artiste peintre, pianiste et pionnière des réflexions sur la mémoire cellulaire, et enfin d’un maître indien, philosophe et adepte du yoga intégral. Selon eux, pour se libérer, il faut descendre dans le corps, lui redonner la parole, l’écouter, même si c’est souvent éprouvant…

Il s’agit de recontacter la blessure originelle pour l’accepter et la transformer, dans un choix conscient, grâce à des outils spécifiques de la méthode, comme la grille de vie et la biorésonance cellulaire. Ainsi, nous pouvons nous libérer des répétitions et tracer en conscience notre chemin de vie. Avec bienveillance, assurance et une profonde douceur, Myriam Brousse nous convie à un long voyage intérieur qui va nous demander courage et détermination, pour accéder enfin à notre projet-sens, celui de notre âme.

Votre approche est fondée sur l’existence des mémoires du corps. Et si nous retournions au point de départ : quelle a été l’origine de vos recherches ?


C’est à l’issue d’une très grave maladie, vers 39-40 ans, que j’ai pu entamer un chemin de guérison par un travail précisément dans le corps. J’ai été guidée par mon maître tibétain, pionnier à l’époque des travaux sur la mémoire cellulaire, pour aller plus loin dans le corps, là où était la partie souffrante, la programmation du cancer. Il tirait son enseignement des travaux de Sri Aurobindo et de Mère. Bien avant les découvertes sur l’ADN, Mère, Mirra Alfassa de son vrai nom (Paris 1878 – Inde 1973) s’interrogeait déjà sur cette mémoire cellulaire vibratoire qui garde l’empreinte de toutes nos expériences passées. L’une de ses phrases a toujours guidé mes propres recherches : « Le passage est dans le corps ! »

Comment définiriez-vous cette notion de mémoire cellulaire ?


La mémoire cellulaire contient les informations qui sont inscrites dans la cellule du corps, à l’insu du mental, qui lui n’y a pas accès. Notre corps engramme tout ; en lui sont contenues toutes nos pensées, nos empreintes de l’âme. Il nous livre avec exactitude notre histoire biologique et terrestre. C’est notre bibliothèque, comme l’affirmait Mère. C’est-à-dire qu’il garde en mémoire également les histoires de nos parents, et celles de nos ancêtres. Du point de vue cellulaire, le corps est cet incroyable réceptacle.

Ainsi, vous remontez même aux mémoires intra-utérines. Qu’est-ce que le corps mémorise ?


Pour commencer, la mémoire du corps contient ce que j’appelle « la descente en incarnation », qui tient compte du père et de la mère. Le ventre de la mère, qui accueille l’enfant, contient la mémoire de l’acte sexuel des parents lors de la conception. Comment cet acte sexuel a-t-il été produit ? Est-ce qu’il a été plein d’amour, subi, dans le plaisir, ou violent ? Et l’enfant, l’être est marqué par cette empreinte. Elle est précisément ce qu’il est venu travailler…


C’est la fameuse empreinte fœtale ?


Tout à fait ! À laquelle vont s’ajouter les différents événements qui auront lieu pendant les neuf mois de la gestation. Toute notre vie fœtale est inscrite dans nos cellules. Et puis après, il y a la naissance, ce passage. Là aussi, son déroulement laisse une empreinte. Une naissance longue, les forceps, le cordon autour du cou, une césarienne, ou une naissance naturelle et facile. Tout s’imprime dans le corps, dans la matière du corps.

Extrait du Magazine INEXPLORE 2021

Vous pouvez partager ce texte à condition d’en respecter l’intégralité et de citer les sources et le site :  https://medecinehistorique.wordpress.com/

Les facteurs de maladies

Nous connaissons tous l’adage « un esprit sain dans un corps sain ». Une étude menée par Christian Cransac relative à la géobiologie – la science permettant de comprendre l’influence des ondes sur le vivant – mériterait-elle que l’on ajoute « une maison saine pour un corps sain » ? Construite en trois volets, cette étude a pour vocation de répondre aux questions suivantes : y a-t-il une corrélation entre le taux vibratoire d’une habitation et la présence de maladies chez ses habitants ? Quelle influence ont les ondes électromagnétiques dans cette équation ? Enfin, les perturbations cosmo-telluriques contribuent-elles à la récurrence d’accidents de la route dans certains lieux ?


Cette enquête a pour particularité d’avoir été conduite avec un très grand nombre de données : 62 géobiologues sélectionnés pour leurs qualifications ont été rassemblés et ont travaillé sur l’ensemble du territoire français. Par ailleurs, elle comporte un échantillon aléatoire de 1200 habitations dans lesquelles demeurent des personnes souffrant de maladies graves (c’est-à-dire les cinq maladies causant le plus de décès en France chaque année : cancer, maladies du cœur, addiction, obésité et diabète). Comment établir si une maison est « saine » pour ses occupants ?

Depuis le XIXe siècle, les géobiologues se fondent sur une unité de mesure appelée « unité Bovis ». Théorisée par le médecin et radiesthésiste français Alfred Bovis (1871-1947), elle permet d’évaluer le taux vibratoire d’une personne, d’un lieu, d’un autre organisme vivant…et de tout ce qui existe.

Échelle de mesure pour le taux vibratoire


Pour mesurer les unités Bovis, un cadran ou biomètre est utilisé. Il se présente aussi sous forme de règle. La fréquence vibratoire est déterminée par le radiesthésiste à l’aide d’un pendule. Pour arriver à cette unité, Alfred Bovis a répétitivement évalué toutes sortes d’organismes. Il a par exemple testé des fruits à diverses étapes de décomposition, de fraîchement cueillis à pourris. Les fruits décomposés obtenaient des valeurs proches de zéro, tandis que les fruits frais obtenaient des valeurs allant jusqu’à 9 000 unités Bovis. L’idée sous-jacente serait que l’aliment à peine cueilli est au maximum de son énergie vitale, puis que celle-ci diminue progressivement. Entre autres, ce système de mesure permet d’évaluer l’énergie d’une maison, ou la santé d’un individu.

Cette unité de mesure sur laquelle repose l’ensemble de l’étude est-elle fiable ? Raymond Montercy est un scientifique de renom, expert en radiesthésie. Il a travaillé en tant que technicien au CNRS de Toulouse et a été consulté pour l’étude. D’après lui, « Les travaux de Bovis sont très sérieux. Toutefois, la justesse des mesures dépend de l’opérateur. La radiesthésie est un système de perception relativement aléatoire, lié à la fiabilité de l’individu, à sa qualité intrinsèque : ce qu’il est, ce qu’il veut dire, est-il fiable ? C’est là que le bât blesse, et c’est pour cette raison que bon nombre de personnes ne font pas confiance à ce système. » Il précise que les intervenants sélectionnés pour l’étude étaient tous très compétents, et avec un solide bagage de connaissances.

 Le taux vibratoire moyen de la terre, mesuré à 100 KBovis (une sous-division des unités Bovis), a servi de base de comparaison pour les lieux étudiés. Les géobiologues consultés ont dû, pour chaque cas, établir la présence de nuisances naturelles (courant d’eau souterrain, cheminée cosmo-tellurique, faille tellurique, mémoire du sol) ou artificielles (ligne de Hartmann négative, courant tellurique, transformateur, ligne à haute tension, antennes relais, télévision, téléphone, ondes électromagnétiques).

Y a-t-il une corrélation entre l’état de santé des habitants et le taux vibratoire de leur habitat ? L’analyse est sans équivoque ! Dans 43 % des cas, on a relevé des perturbations liées aux ondes électromagnétiques.

Consultez plusieurs articles sur le FORUM LA VIE DEVANT SOI : https://devantsoi.forumgratuit.org/search?search_keywords=TAUX

Les perturbations d’origines naturelles sont aussi l’une des principales causes établies : courants d’eau souterrains et cheminées cosmo-telluriques totalisent à eux seuls quasiment le tiers (33 %) des phénomènes identifiés. Vient ensuite une tranche rassemblant 25 % des perturbations de la maison, qui inclut les lignes de Hartmann négatives et les transformateurs électriques. Les présences telluriques, failles et courants sont quant à eux évalués à 21 % des éléments nocifs de cette étude.

Enfin, les mémoires du sol, et les dispositifs électriques présents dans l’environnement proche de ces lieux (lignes à haute tension, relais télévision/téléphonique) représentent chacun 10 % des perturbations. « Dans un habitat, la présence d’un courant d’eau va vous polluer, car l’eau est une onde électromagnétique qui monte dans le sol. Mais s’il y a en prime une faille ou un courant tellurique, les énergies sont d’autant plus phagocytées par ces éléments. Les effets additionnés amplifient les perturbations. »


Autre information surprenante : ces lieux de vie présentent un taux vibratoire global moyen de 22 KBovis, et on constate qu’il s’établit de façon assez précise une corrélation entre cette valeur et le taux vibratoire moyen des individus malades du panel, qui est de 21 KBovis. Un chiffre cinq fois plus faible comparé aux 100 KBovis de la terre ! Christian Cransac explique ce phénomène : « Si l’on prend l’image des écluses sur les canaux, quand l’une d’elles est fermée nous avons un niveau haut et un niveau bas. Le niveau haut représente la maison avec une énergie “normale”. Dans ce cas-ci, lorsqu’une personne rentre le soir et qu’elle n’a pas d’énergie, elle pourra bénéficier d’un sommeil réparateur, car nos corps subtils captent ces énergies vitales. Grâce à un effet de vases communicants, on a alors ouvert l’écluse et notre énergie peut remonter. À l’inverse, si une maison dispose de peu d’énergie, le corps va lutter, et petit à petit il va s’aligner au niveau vibratoire de la maison. C’est ce que démontre l’étude. »

D’après le géobiologue, un taux vibratoire anormalement bas est un très grand handicap pour les personnes concernées, car il affaiblit considérablement les défenses immunitaires indispensables pour lutter contre la maladie… « Quand une maison ne fournit pas suffisamment d’énergie à ses habitants, on commence par perdre le sommeil, puis la dépression peut suivre, ou la maladie. Par ailleurs, une personne atteinte d’un cancer n’a plus de défenses immunitaires. Si l’habitation ne permet pas d’alimenter ses défenses, elle aura d’autant plus de mal à se rétablir, et ne pourra pas se défendre naturellement. » Cela n’est pas irrémédiable, puisque le rôle de l’expert, une fois l’analyse faite, est de rétablir un taux vibratoire propice pour la santé.

SOURCE : Extrait du Magazine INEXPLORE de mai 2021

Vous pouvez partager ce texte à condition d’en respecter l’intégralité et de citer les sources et le site :  https://medecinehistorique.wordpress.com/