Tout changer de l’INTERIEUR

Les scientifiques ont récemment démontré que les gens peuvent changer la température de l’eau et de l’air, ainsi que des structures de nuages, simplement à travers leurs pensées. Les chercheurs savent depuis des années que la prière affecte positivement les plantes et les animaux. 

Ces études révèlent quelque chose que beaucoup de travailleurs de la lumière ont déjà connu: nos prières collectives et nos pensées curatives peuvent éviter les prophéties du traumatisme mondial.

Il n’y a qu’un seul esprit et un esprit, et nous faisons tous partie de cette intelligence collective et de cet amour. Des résultats miraculeux dans les laboratoires scientifiques démontrent la base factuelle de l’unité de toute vie. Il n’y a pas longtemps, les scientifiques américains et japonais ont rattrapé les sujets de test à la pression sanguine et aux appareils de surveillance cardiaque. Simultanément, dans des chambres séparées et scellées, d’autres sujets de test ont été invités à penser des pensées aimantes ou fâchées à propos des gens branchés aux machines. À l’instant exact où un sujet tenait une pensée aimante, la pression sanguine et la fréquence cardiaque de la personne surveillée ont considérablement chuté. Et puis, au moment précis où une pensée colère a été projetée, les signes vitaux de la personne ont monté en flèche vers le haut.

Nous, qui sommes des travailleurs de la lumière, sommes déjà conscients du pouvoir de nos pensées.

Si votre intuition vous exhorte vers une fonction de guérison, vous pouvez être sûr que c’est une voix divine et pas seulement des vœux pieux. Ces dernières années, un appel spirituel a été diffusé, comme une demande psychique « d’aide recherchée », demandant aux travailleurs de la lumière de se réveiller à leurs rôles curatifs. Ceux qui ont entendu l’appel me contactent parfois, demandant de réconforter que cette voix intérieure ne les configure pas pour la déception ou l’échec possible.

Je peux certainement comprendre cette peur, puisque je l’ai expérimenté moi-même. Quand j’étais une jeune mère, j’ai commencé à avoir des visions spontanées dans lesquelles je me voyais comme guérisseur et auteur. Ces visions m’ont effrayée, parce que je ne pensais pas avoir eu le temps, l’argent ou l’intelligence pour réussir. J’ai donc commencé à trop manger pour faire taire la voix intérieure et les visions. Je ne me sentais pas prêt ni qualifié pour réveiller ma mission.

Ce que je faisais, c’était l’équivalent de pousser le « bouton Snooze » sur mon réveil spirituel. En excès, c’était ma façon de retarder le plan de Dieu pour moi, parce que la nourriture alimente temporairement le son et la vue de mon plan de vie Divin. Avant de me rendre au Créateur   j’ai demandé de l’aide pour faire de ma vision intérieure une réalité. 

J’ai découvert que dès que je me suis engagée à suivre mon but de vie, des portes m’ont été ouvertes pour la suite. De manière miraculeuse que je n’aurais jamais pu planifier, tout dans mes visions est devenu une réalité.

Nous ne pouvons pas échouer lorsque nous acceptons la mission que nous avons choisie avant notre incarnation.

Le pouvoir et l’intelligence de l’esprit unique ne font aucune erreur. Nous n’aurions pas été affectés à notre rôle de travailleur léger, si nous n’étions pas parfaitement qualifiés. Puisque nous sommes faits à l’image et à la ressemblance de Celui qui est omniscient, aimant et capable de guérir n’importe quoi, nous pouvons nous détendre dans la connaissance sûre que nous sommes nés pour guérir. 


 
Pour en savoir plus sur les travailleurs de la lumière, consultez Le livre : Le chemin du travail de la lumière Par  DOREEN VIRTUE

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la Foi peut favoriser notre guérison intérieure

Notre vibration influe t-elle sur notre santé ? peut-on imaginer améliorer la guérison d’une maladie physique par notre vibration intérieure ?

aller au coeur de soi.
Des clés exceptionnelles et un vrai accompagnement pour grandir en discernement et en autonomie.

FRANÇOIS BRETON – Fondateur de l’Holosynergie,
Consultant, formateur et conférencier

 

Fruit d’un long parcours initiatique personnel et d’années de voyages, de rencontres d’initiés, de Maîtres spirituels, de la cordillère des Andes jusqu’aux richesses profondes de l’Inde ancienne, son expérience personnelle lui permet aujourd’hui de faire le lien entre de nombreuses traditions et de pouvoir partager l’essence de ces pratiques et de ces multiples enseignements spirituels.

Ses pratiques initiatiques et spirituelles depuis de nombreuses années, sa sensibilité et son métier de jardinier paysagiste lui ont permis d’approfondir ce contact avec les mondes subtils et de comprendre la richesse d’une collaboration consciente avec les esprits de la nature, les enseignants et guides de lumière par qui il est accompagné et enseigné depuis très longtemps.

C’est avec le cœur et évidence qu’aujourd’hui il accompagne les autres vers un retour profond et sincère vers son véritable Soi.

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Guérir des mauvaises pensées

Exercices proposés par Peter Deunov issu de ses livres….

Toutes choses dans la Nature sont le reflet de la vie Divine, qui vit en nous. Le reflet montre une image, qui vient de l’extérieur. Cette image n’est pas ta création, mais elle est étrangère. S’il vient en toi une joie, elle ne vient pas de toi, elle n’est pas ta création. La pensée en tant quelle, circule et s’arrête pour peu de temps en toi. Les bonnes idées sont en mouvement et s’arrêtent sur de différents lieux, la où il leur est déterminé. Chaque station porte son nom – la station c’est vous.

Tenez toujours votre cerveau dans un état normal. Vous allez me demander quel est l’état normal. L’état normal se trouve toujours entre deux extrémités, donc il est au milieu. Comment trouver le milieu ? Imaginez qu’on vous donné une sécante, a laquelle on vous demande de trouver le milieu. Vous allez trouver le milieu, lorsque vous mettez des arcs des deux cotés, avec l’aide d’un compas. Du point où se croisent les deux arcs, vous allez abaisser une perpendiculaire sur la sécante et ce point en question sera son milieu. Vous pouvez faire de même avec vos pensées. Les mauvaises idées existent dans le monde, pour endurcir votre volonté, ainsi donc nous pouvons les neutraliser à l’instant.

Je vais vous donner pour deux, trois mois, le travail et les essais suivants: 

Premièrement, inscrivez sur un cahier chaque bonne idée, qui soit importante ou celle qui est mauvaise. Vous allez suivre l’heure de l’arrivée de la bonne ou de la mauvaise idée, ou du désir et lorsqu’ ils disparaissent, vous allez inscrire l’heure de leur départ.

Deuxièmement, lorsqu’ ils vous surviennent de mauvaises pensées ou désirs, vous allez essayer de les transformer en bonnes idées et désirs. C’ est pourquoi vous allez retourner deux mille ans en arrière, pour imaginer le mariage que Jésus a vécu avec ses disciples. Vous allez imaginez la maison, dans laquelle il s’est passé, ainsi que les invités et les jeunes mariés. Tachez de définir ou était placé Christ, a quelle place étaient Ses disciples, mais tachez de ne pas vous faire des illusions, mais de tracer quelque chose a peu près vraisemblable dans votre imagination. Ainsi donc, vous allez photographier le mariage entier, en imaginant la place du marié, votre place, etc. Le Christ vous allez le mettre dans votre coeur, Ses disciples – dans votre esprit; le marié dans votre esprit, la mariée – dans votre cœur. La mariée et le marié doivent être séparés l’un de l’autre, car dans le monde Spirituel deux personnes dans une même chambre ne peuvent pas vivre.

Tandis qu’ici, plusieurs personnes habitent la même chambre, c’ est pourquoi ils se disputent. Voila pourquoi à l’autre monde, il n’ y a pas de conditions de péché. Tandis que dans ce monde quelqu’ un vient vous visiter et il reste, sans se rendre compte, qu’il vous dérange, a la suite de quoi vous êtes obliger de le mentir. Laissez ces méthodes anciennes, car tant que vous y tenez, vous ne pouvez pas devenir des élèves. Si vous pouvez imaginer une telle image, vous allez vous rafraîchir, vous allez être prêts à lutter avec les difficultés de ce monde, beaucoup de philosophies vont s’éclaircir et les vibrations de votre esprit vont s’élever. Cette imagination de l’image a aussi une influence sur la santé. Vous devez savoir, que le Bien s’apprend qu’au mariage et le mal – à la querelle.

Troisièmement, posez-vous la question pourquoi en vous existent de bonnes et de mauvaises idées et désirs, pourquoi vous appréciez certains plus, d’autres – moins, pourquoi vous aimez certains, d’ autres – pas, pourquoi certains vous sont sympathiques, d’ autres – non. Vous allez dire que c’est à cause du karma. Oui, mais le karma ne suffit pas d’expliquer tout, car il existe dans ce cas plusieurs raisons. Quand vous êtes mal disposés, vous réfléchissez sur la raison de cette situation. Rappelez-vous la maison, que vous avez visitée, combien de temps vous y avez passé et en sortant de quelle maison, vous vous êtes trouvés dans cet état. Expliquez-vous pourquoi en sortant de certaine maison, vous êtes mal disposés. Expliquez-vous pourquoi parfois, en rentrant chez vous ce sentiment revient et voyez de quel coté il vous arrive, du nord, du sud, de l’est ou de l’ouest. En trouvant la raison de ce disconfort, ne vous enragez pas contre l’homme qui l’a provoqué, mais changez plutôt sa direction. Un de vos amis, vous demande de lui prêter de l’argent en condition, qu’il vous le rendra dans dix jours, or il ne vient pas vous le rendre; ne lui en voulez pas.

Lorsque vous êtes en bonne humeur, vous devez savoir garder l’énergie en vous. C’est une science importante de contenir l’énergie des bonnes pensées et désirs.

Quatrièmement, chaque soir, quand vous vous mettez au lit, vous allez utiliser dix ou quinze minutes, pour réfléchir sur vos activités de la journée. Vous allez le faire objectivement. Vous allez en tirer le mal, pour pouvoir l’éviter une prochaine fois. Au jour suivant, vous allez prier : « Aide-moi, mon Dieu, de savoir éviter les mauvais actes et de faire les bons, que le jour passé j’ai manqué de faire ! » Vous allez observer votre Vie, comme le peintre regarde sa peinture, sans juger de vous-mêmes. Si on ne réussit pas dans la Vie, c’est parce qu’on se croit stupides, pécheurs, etc. Tu n’es ni bon, ni mauvais, mais tu dois allez au mariage et travailler. Si vos enfants font du bruit dans la maison, souvenez-vous qu’ils ont été aussi au mariage. De cette façon, vous allez pouvoir a un certain degrés – cinquante ou soixante-quinze pour cent – changer le disconfort de votre mari ou celui de vos enfants. Ces exercices pourront endurcir votre bonne volonté.

Moi Peter Deunov, je vais petit a petit vous expliquer toutes les formes, par lesquelles les pensées et les désirs fonctionnent, par lesquelles on forme les sociétés, les foyers, la culture et les raisons, pour lesquelles naissent de bons et de mauvais enfants. Quand vous allez vieillir, vos enfants vont réaliser tout ceci. Le mot jeunesse est formé de la racine mahatadi, ce qui signifie la transformation du principe Divin dans une forme humaine, c’est-à-dire le renouvellement de la vieille vie. Quand on devient vieux, nous n’écoutons pas Dieu, nous sommes mécontents, nous boudons et nous disons, qu’on ne trouve rien dans le monde. Moi, je sais, qu’il faut agir au moment – même, dans lequel Dieu s’exprime, quand Dieu réfléchit, et de sentir, quand Dieu ressent.

Uns des exercices que vous allez faire le matin, les autres – le soir, car le matin vous êtes positifs, et le soir vous êtes négatifs. C’ est pourquoi, quand le Soleil se couche, les gens sont tristes. Voila pourquoi, quand un homme veut devenir humble, il doit prier le soir; quand il veut devenir compatissant, il doit prier le matin.

L’énergie de la Terre, le matin est positive, et le soir, elle est négative.

La même chose se passe avec l’homme. C’ est pourquoi, le chanteur de psaumes dit, que la Joie arrive le matin. La joie est une énergie positive, et la peine – négative. Le bien est une énergie positive, le mal – négative. Si une élève soit faible, elle va prier ses camarades de l’aider. Lorsque vous dites que vous avez de mauvaises conditions, je comprends par là, que vous manquez de livre. Celui, qui veut apprendre, ne peut pas dire, qu’il manque de conditions, qu’il manque de temps – vous avez au moins cinq minutes a votre disposition. Quand vous commencez de faire les exercices, ne vous mettez pas à croire que vous ne pouvez pas y réussir. Moi, je n’attends pas de vous, de faire une belle peinture. Vous pouvez faire des taches, mais continuer de travailler. 

Les exercices d’exemple pour le mariage, vous allez les faire trois fois par semaine, et ce le matin – dimanche, mardi et vendredi. Les exercices du comptage que vous allez faire pour votre conduite de la journée, vous allez faire chaque soir avant de vous mettre au lit. Chez nous, en premier on met l’Esprit, puis le coeur, ensuite la volonté, mais au début c’était la volonté qui agissait, puis – le désir et à la fin – l’Esprit. Dieu par Sa volonté nous inspire, à la suite de quoi notre pensée commence à agir, ensuite agit notre cœur, et enfin – la volonté.

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Sinobiologiquement vôtre, de Jean PELISSIER

 DANGER, NOUS RISQUONS DE PERDRE LE RESTANT DE NOS DÉFENSES IMMUNITAIRES…

     La respiration consciente, vous le savez, doit être au centre de nos pratiques quotidiennes. J’avais développé cet aspect dans une vidéo que vous pouvez retrouver sur ma chaîne You Tube et dans le coffret Yang Sheng Fa, pour y trouver des exercices dirigés pour vous donner envie de pratiquer la respiration.

     Sauf qu’à ce jour, à la vitesse de l’éclair, se répand l’épidémie de la peur et bien respirer va devenir de plus en plus compliqué !

     Ne tournons pas autour du pot. C’est du masque dont je veux vous parler ! Certains l’on comprit depuis longtemps, le port du masque ne fait plus partie du domaine de la santé, mais devient dans le monde entier un problème purement politique.

     J’avais écrit un « mot d’humeur » à ce propos (histoire des quatre postières…) que vous pouvez retrouver sur ma page Facebook (ou me la redemander). Il a été repris par le journal FranceSoir dans son dossier sur les masques.

    Le port du masque est totalement contre-productif. Ce n’est pas moi qui le dis, mais les plus grands virologues sur cette planète. Aucun masque vendu dans le commerce ne vous protégera d’un virus. L’OMS est le premier à le dire ! Et de plus en plus de vendeurs de masques, pour se protéger de tous procès, marquent directement sur la boîte des masques bleus : « Ce produit ne protège pas des contaminations virales ou infectieuses » !

     Mais cette lettre fait partie de la rubrique « redevenir le capitaine de notre vie », donc ce n’est pas le lieu de polémiquer ici. On apprend en MTC à, dans un premier temps, « encaisser », « endurer », « supporter ». Ce n’est pas de la lâcheté, mais au contraire une force. Pour ensuite dans un deuxième temps avoir des réactions et des attitudes qui s’imposent.

    Je me mets ici à la place de tous ces vendeurs, vendeuses, restaurateurs, coiffeurs et des dizaines d’autres corps de métier qui doivent porter cette illusoire protection toute une journée, avec en cas de contravention, 135€, puis 700€ jusqu’à 3500€ d’amende  et six mois d’emprisonnement !!! Non, je n’ai jamais dit que nous étions entrés dans une dictature de la peur !

     Bref, de très nombreuses études l’ont prouvé : un masque diminue de 30% nos échanges respiratoires. On en a tous fait l’expérience : avec un masque, on finit même par ne plus avoir envie de respirer pour ne pas se réinjecter toutes les toxines qui sont collées contre le tissu ! 

     Mais ce n’est pas tout !

     Si la personne le porte par obligation, mais le fait à contrecœur, elle va générer une sorte de frustration, de colère intériorisée : cela va déclencher ce que nous appelons en MTC un « blocage de l’énergie du Foie ». Le Foie gouverne les tendons. Le diaphragme est une nappe tendino-musculaire : il se bloque. Très souvent une douleur se met en place entre les omoplates. La respiration est encore plus restreinte.

    Dans le cas opposé, la personne demande à porter le masque. Elle n’est pas encore « éveillée ». Les informations anxiogènes véhiculées par une majorité de medias ont faire leur œuvre de reprogrammation du subconscient le plus profond. C’est le virus de la peur qui est mis en avant, avec en plus la colère de voir que l’autre n’en porte pas. Cette peur vidange littéralement l’énergie des Reins (pour faire court nos capacités d’auto guérisons ! Un grand symptôme apparaît : ce sont des apnées respiratoires, souvent accompagnées de grandes fatigues, d’insomnies de plus en plus importantes.

     Dans tous ces cas de figure, je vais vous donner des conseils fondamentaux pour limiter la casse !

    *Le plus souvent possible (non ne soyez pas parano, il n’y a pas un policier qui se cache derrière-vous !), quand vous êtes seul, retournez-vous, descendez votre masque sous le menton et faites une série de dix respirations abdomino-diaphragmatiques (par le ventre), profondes, en inspirant par le nez et soufflant par la bouche.

     *Le matin avant de partir, faites des respirations profondes (sans masque évidemment) en hyperventilation (plutôt allongé pour éviter que la tête ne vous tourne).

     *Chaque fois que vous le pouvez, descendez le masque sous le nez et faites une série de dix respirations lentes, en pleine conscience, uniquement nasales. Répétez-le 5,10 fois dans la journée.

     Si vous appliquez tous ces exercices, si vous avez compris que la respiration est un élément essentiel de votre vitalité, vous verrez très rapidement que vos maux de tête du soir vont disparaître et vous boosterez votre batterie des Reins.

     Par contre, vous l’avez bien compris, pour tous ceux qui portent un masque seul dans leur voiture, ou pendant la pratique du jogging ou du vélo, ce type d’exercices ne sera d’aucune utilité ou tout à fait insuffisant. Il conviendra alors d’appliquer d’autres méthodes thérapeutiques relativement aux pathologies du mental et des émotions.

    En espérant que cesse au plus vite cette énergie anxiogène qui frise dans certains cas la paranoïa, je ne peux que vous inviter à respirer en pleine conscience, encore et encore… Toujours dans le partage. Jean PELISSIER

LES NOUVEAUX STAGES
  Si vous êtes intéressés par ces stages, en suivant ce lien, vous aurez toutes les indications nécessaires quant au contenu et à la manière de vous y inscrire.

Guérir, c’est retrouver la beauté dans sa relation au monde 

Plantes  & Santé Magazine Interview Frederika Van Ingen

 Quelle signification a le mot santé chez les peuples premiers ?

Frederika Van Ingen. Pour ces peuples, que l’on nomme peuples premiers ou peuples racines, la santé est un baromètre. C’est le synonyme de l’équilibre. Quand les personnes sont en bonne santé, c’est que globalement elles sont en équilibre dans les relations qu’elles nouent avec tout ce qui les entoure et dans leur relation avec elles-mêmes. C’est-à-dire que l’on est à peu près à sa place, que l’on contribue à une communauté de façon ­harmonieuse. Mais la santé, c’est aussi le baromètre du déséquilibre. à partir du moment où une maladie émerge, elle ne va pas être regardée comme le problème particulier d’une personne, mais comme le problème d’une communauté qui n’est plus en lien, soit dans son fonctionnement interne, soit dans les relations qu’elle entretient avec le monde.

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P & S Le monde est actuellement confronté au coronavirus. De quel déséquilibre est-il le reflet pour ces sociétés ?

F.V. I. Effectivement, pour ces sociétés, lorsque l’on introduit des déséquilibres, un jour ou l’autre un rééquilibrage doit se faire, et c’est probablement ce qui est en cours actuellement. La vision des peuples racines les amène à concevoir les choses au niveau de la prévention. Cette préservation des équilibres passe par beaucoup de choses. Par exemple, tout ce qui vient de la terre sera utilisé de façon à ­laisser à une ressource la possibilité de se ­renouveler. Pour l’alimentation, il s’agit de ­passer la saison ­hivernale, non pas de stocker en vue de s’enrichir, ou pour spéculer. Ils vont être dans l’observation de la nature pour pouvoir anticiper ce dont ils ont besoin, mais pas plus.

P & S Cette notion d’équilibre fait donc sans cesse référence à leur environnement naturel ?

F.V. I. Oui, car dans leur vision, ils font partie de ce que le philosophe David Abram appelle, un ­système « plus qu’humain », c’est-à-dire que l’homme évolue dans un système vivant, dont il n’est qu’une partie. Il n’est pas au-dessus de ce système vivant, et ce système vivant n’est pas qu’une ressource, c’est un système qui fonctionne en tant que tel, comme un corps. Et donc la nature qui nous entoure est faite d’équilibres visibles et ­invisibles, elle est ­l’expression d’une forme ­d’intelligence qui régit tout le vivant, qui a ses propres lois. D’où l’importance de l’observer et d’être toujours en relation harmonieuse avec elle, car dès que l’on commence à agir sur un milieu on ne capte plus très bien comment fonctionne le vivant.

D’ailleurs, j’ai parlé de prévention, car ces peuples travaillent aussi sur l’harmonisation ­intérieure des ­émotions. Parce que justement l’expression des émotions guide le lien que l’on va avoir avec le monde. C’est évident que, quand on a peur ou qu’on est en colère, on n’a pas la même relation au monde que lorsque l’on est apaisé, joyeux… C’est un travail qui est fait tout au long de leur vie, depuis l’enfance, à travers certains rituels visant à l’harmonie.

P & S : Ces visions symboliques sont éloignées de notre monde matérialiste. Pensez-vous ­toutefois que l’on puisse réintroduire, dans notre société, certaines de ces approches visant à l’équilibre ?

F.V. I. Bien sûr, dans ces cultures, le symbole est ­partout. Si on prend l’exemple des Kogi en ­Colombie, qui vivent encore complètement dans leur environnement naturel pour certains, le réel que nous considérons comme matériel, n’est fait que de signes porteurs de messages. Mais cette notion de symbole est profondément archaïque. Nous l’avons tous en nous, probablement traitée par une zone archaïque de notre cerveau. Nous aussi, quand nous retrouvons des espaces naturels, il y a quelque chose qui s’active, il y a un lien.

Les Lakota disent que le monde est déposé en nous. Bien sûr, le but n’est pas de devenir des Kogi ou des ­Lakota. Mais de façon plus basique, on constate qu’aller se promener dans la nature réveille notre présence, notre attention. cela apaise aussi. Nous avons l’esprit plus tranquille et nous pouvons mieux rentrer en relation avec ce qui nous entoure. D’ailleurs, il y a de plus en plus de pratiques qui permettent de se reconnecter à la nature.

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P & S  : De la même façon, est-ce que vous diriez qu’il serait bon de réenraciner notre médecine. Est-ce que les peuples racines ont aussi des choses à nous dire de ce point de vue là ?

F.V. I. : Avec l’épidémie du Covid-19 nous sommes dans une situation d’urgence, mais il est tout de même intéressant de noter que, même avec le niveau poussé de notre médecine, on peut se retrouver dans la situation d’une médecine de terrain qui fait avec ce qu’elle a à disposition.

Le débat sur la chloroquine reflète cela. Mais, après avoir exploré la position des peuples racines sur la santé, je me dis aussi que l’on pourrait réancrer notre médecine dans une vision plus globale. Certes, le regard de la médecine technique qui est la nôtre est tout à fait valide. D’ailleurs, les passeurs des ­différentes sociétés racines que j’ai ­rencontrées, disent que des maux tels le ­cancer, créés par nos modes de vie, ne peuvent être soignés que par notre médecine.

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Il n’empêche, les peuples ­premiers pointent d’autres ­déséquilibres à rétablir, notamment dans la dimension énergétique et ­spirituelle, afin de s’assurer que les traitements qui vont être mis en œuvre vont fonctionner et perdurer. Sans oublier d’autres réservoirs de savoirs comme la connaissance des plantes. C’est sans doute une des leçons qu’ils peuvent aussi nous apporter. Cessons d’opposer et essayons de conjuguer différentes approches.

P & S  : Sur quelles thématiques les peuples ­premiers ­pourraient-ils nous aussi nous inspirer, alors que cette crise sanitaire traduit les limites de notre ­système ?FV. I. : Ce qui est intéressant chez ces peuples, c’est la notion que chaque être est là pour contribuer au système du vivant. Que ce soit un humain, un oiseau, tout être naît avec quelque chose qui est de l’ordre du talent. Le trouver, le développer, c’est ­contribuer au monde dans lequel on est. C’est donc un ­mouvement qui vient de soi. Mais dans ces sociétés-là, cela part aussi de l’idée de créer des communautés qui soient suffisamment bienveillantes et accueillantes pour permettre aux personnes de trouver ce fameux talent. Cet aspect-là doit être réveillé chez nous. Les Yanomami du ­Brésil nous appellent le peuple de la marchandise.

Cela doit nous interroger. Si cette pandémie est quelque chose comme un rituel de passage collectif, il est destiné à nous faire voir l’intérêt de ­constituer des collectifs humains qui soient au service de l’équilibre, et non pas juste au profit de certains ou d’une économie qui ­s’approprient des ressources. Demandons-nous comment nos collectifs pourraient nous aider, non pas à devenir des consommateurs, mais à trouver l’espace dans lequel on va pouvoir ­contribuer à l’harmonie du système vivant, ne serait-ce que celle du groupe. Ce grand coup sur la tête peut nous amener à nous poser les bonnes questions.

C’est quoi le sens de la vie ?

Bien sûr, nous avons nos sagesses, mais contrairement aux peuples ­premiers, nous les avons oubliées. Et avec elles, le fait qu’elles étaient garantes de l’équilibre du vivant. Les ­Navajo disent que guérir consiste à retrouver la beauté dans la relation au monde. Et ça, c’est une autre vision du sens de la vie…

frédérika

Frederika Van Ingen – Lakota d’Amérique du Nord, Kogi de Colombie, Yanomami du Brésil… Journaliste et auteure, Frederika Van Ingen étudie depuis plusieurs années la conception qu’ont les peuples racines de la santé. Son dernier ouvrage explore les points communs de cette conscience élargie du soin. Alors que nous traversons une crise sanitaire sans précédent, ces approches, bien qu’éloignées de nos cultures pourraient nous inspirer pour définir de nouveaux leviers d’action. En 2020 elle Publie : Ce que les peuples racines ont à nous dire. aux éditions LLL.

REVER DE MEDECINE

 

Comme il n’y a pas de fumée sans feu, il n’y a pas de médecin sans malade. Et s’il y a maladie, il y a aussi guérison.

Le médecin représente une personne qui exerce une action bénéfique sur nous. Le rêve étant une fonction mentale, l’action positive s’exerce sur l’esprit plus que sur le corps. Ce peut être un ami, un proche ou un analyste avec qui nous travaillons. La façon dont nous le percevons en rêve est l’exact reflet de celle que nous avons de lui dans le réel. La blouse blanche souligne le détachement qui doit exister dans cette relation.

Parfois, le médecin symbolise un aspect de la personnalité qui apparaît quand nous sommes capables de nous prendre en main. La blouse blanche symbolise ce regard sans émotion nécessaire à un diagnostic objectif sur soi. Ce n’est pas toujours le chemin que nous souhaiterions, mais c’est le meilleur pour notre santé physique et psychique.

L’INFIRMIERE

guérir avec la foi

Cette figure féminine symbolise tous les aspects protecteurs, maternels, dévoués de la femme. L’infirmière est aussi une figure autoritaire et asexuée. Si elle fait fantasmer de nombreux hommes sous sa blouse blanche, la couleur de celle-ci montre qu’elle est pure et éloignée des plaisirs de la chair. Elle restera inaccessible. Le désir amoureux qu’elle suscite est le même que celui d’un garçon pour sa mère, informulable. En présence d’une infirmière, il n’est pas question de plaisir du corps, mais de santé du corps et de l’esprit.

Si une infirmière se présente à nous dans nos rêves, c’est que nous avons besoin d’une assistance médicale, d’une présence féminine secourable. Celle-ci est la seule qui puisse nous amener à un mieux être, à condition que nous acceptions d’écouter ses conseils.

Si vous êtes un homme, il faut donc refréner votre nature masculine autoritaire et accepter un savoir qui vous échappe pour le moment. C’est une position de faiblesse momentanée.

Si l’infirmière possède les traits d’un visage familier, il ne s’agit pas de développer un sentiment particulier pour cette personne mais de recevoir simplement son aide.

Altruisme, autorité féminine maternelle, besoin d’assistance.

ET REVER D’HOPITAL ( ?)

Si nous rêvons d’hôpital, c’est que nous ressentons le besoin de nous soigner. Mieux encore, l’hôpital est le lieu du soin psychique, là où se déroule notre guérison. Dans les boborêves, ce n’est donc pas le corps qui est malade, mais notre moi profond, le psychisme. Il ne faut donc pas avoir d’inquiétude quant à un éventuel accident. Un rêve d’hôpital n’est pas un signe prémonitoire d’un problème à venir.

L’hôpital symbolise une certaine autorité à laquelle nous devons nous en remettre. Nous devons donc faire confiance à un système ou à d’autres personnes, des figures maternelles ou paternelles comme l’infirmière ou le médecin pour nous guider vers un mieux-être.

L’angoisse que génère en nous l’hôpital – au moment du rêve – est le reflet de celle que nous ressentons au quotidien quand nous remettons à demain le soin psychique que nous savons nécessaire.

La perspective d’une remise en cause profonde peut amener un état de procrastination devant l’angoisse de ce changement d’état et du bouleversement transgressif qu’il engendrera.

Nous pouvons néanmoins rêver d’hôpital quand nous savons que nous devons y séjourner prochainement. Ce rêve confirme la nécessité d’une intervention.

Lieu du soin psychique, assistance psychologique.

Extrait du Dictionnaire des REVES de Tristan-Frédéric MOIR

 

 

 

 

 

 

A la recherche de plantes magiques

 

 « Je mets un marron dans ma poche pour les rhumatismes ».

Voici une remarque que chacun peut toujours entendre aujourd’hui au cours d’une conversation. Une femme avoue même qu’elle en dépose simplement dans la boîte à Médecin0gants de sa voiture pour cette même fonction. En référence aux données actuelles des scientifiques, il paraît bien difficile d’expliquer le lien entre cette utilisation du marron (fruit d’Aesculus hippocastanum L.) et la guérison ou la protection des rhumatismes. Le marron peut dans ce cas être défini comme une plante magique, même si un individu rationnel évoquera un effet placebo pouvant expliquer une diminution de la douleur ressentie par le souffrant. Le caractère magique se réfère donc à un phénomène inexplicable.

Même si ce seul critère ne suffit pas à classer une plante dans le domaine du magique. De même, dans beaucoup de régions, il est connu que frotter des verrues avec des haricots ou des petits pois et les jeter ensuite dans un puits peut permettre de les faire disparaître miraculeusement …

  1. Ce résultat paraît effectivement étonnant pour le scientifique qui, cependant, recherchera une explication soit dans l’étude d’une substance contenue dans ces graines, soit dans ce fameux effet placebo qui clôt souvent le débat sur l’utilisation des plantes magiques. Pourtant, la médecine populaire magique ne doit pas se résumer à cette voie d’approche, car elle possède des conceptions comparables dans de nombreux rituels qui modélisent sa propre cohérence. Dans ce rituel de guérison, il est admis que la verrue est transférée sur le haricot qui lui-même va pourrir dans l’eau du puits, ce qui permettra de faire disparaître définitivement la lésion. Il est donc important de bien connaître les principes et le langage du monde magique qui existent depuis longtemps et qui perdurent dans une époque où la science semble gérer nos vies.

Parmi ces 175 personnes dont la majorité concerne des anciens paysans, nous pouvons noter l’interrogation de 6 vétérinaires retraités, un technicien d’élevage, 2 forgerons, 3 prêtres, un moine et la rencontre de 20 personnes susceptibles de guérir magiquement. Parmi ces 20 personnes, nous pouvons dénombrer 13 guérisseurs (3 pour les vers, 1 pour les yeux, 1 pour la peur, 5 pour les brûlures, 3 pour la peau), 2 rebouteux, 4 magnétiseurs, une désenvoûteuse.

 Parmi ces 215 entretiens, une centaine de personnes a été interrogée en basse Bretagne dont 39 d’entre eux ont apporté des informations sur le thème de la sorcellerie et des guérisseurs et 7 personnes sont elles-mêmes guérisseuses. Les enquêtes dirigées par un questionnaire ont cessé lors de la soutenance de ma thèse d’université sur la météorologie populaire en 2008 (Auray). En parallèle, j’ai débuté l’exercice de mon métier de vétérinaire dans la campagne autour de Plumelec (Morbihan) qui m’a permis, pendant cette période, d’assister à 3 situations d’envoûtements dans la clientèle.

plantes et divinités

DES PLANTES, DES HOMMES ET DES DIVINITES

Le guérisseur est un individu ayant reçu un don particulier pour guérir une maladie précise. Ce don est acquis à la naissance (né à un jour particulier ou dans des conditions particulières), ou bien il est découvert au cours de l’existence : rencontre avec un autre guérisseur qui révèle ses capacités (« Tu as le sang plus fort que moi ! », entendons-nous souvent de nos jours) ou qui transmet un secret de guérison (geste à pratiquer, utilisation d’une plante, oraison à réciter). Ce dernier mode de transmission est souvent appliqué pour les plantes magiques utilisées par les guérisseurs. Ces derniers sont donc les gardiens d’une tradition dite ancestrale qui varie peu d’une génération à l’autre, mais rien n’empêche le guérisseur d’ajouter des données au rituel venant de sa propre expérience.

Les maladies soignées aujourd’hui par ces guérisseurs sont principalement les maladies de peau (dartres, verrues, brûlures, zona) et aussi le parasitisme (les vers tels qu’ils sont décrits par la tradition populaire). Les plantes sont bien loin d’être systématiquement présentes dans leur rituel. Lorsqu’elles sont employées, la guérison est souvent impossible si le rituel n’est pas exactement respecté. Contrairement à un simple remède populaire, la connaissance précise des plantes et du rituel à effectuer ne suffit pas à accéder à la guérison. Une guérisseuse de la peur6 dans le Morbihan nous le prouve en nous expliquant actuellement que son rituel comporte l’utilisation de 7 plantes, un don qu’elle a reçu de sa mère.

Nature maronnier

Sa sœur, qui connaissait les modalités du rituel, mais qui n’a pas été désignée dans la succession de ce don, a essayé pourtant de le pratiquer. Elle a très vite abandonné à cause de la déception des malades qui venaient la voir. D’autres thérapeutes gravitent autour de cette sphère de la médecine populaire comme les magnétiseurs ou encore les rebouteux. L’utilisation des plantes est souvent secondaire dans leur intervention et se rapproche plus du remède populaire que de l’utilisation magique d’une plante comme ce rebouteux qui conseille parfois d’appliquer la raclure de la racine de tamier (Tamus communis L.) sur le membre douloureux ou encore cet autre rebouteux exerçant de nos jours qui utilise souvent la feuille de chou (Brassica oleracea L) en application sur les tendinites.

EXTRAITS : Mr christophe Auray Docteur vétérinaire, Docteur en histoire des sciences et des techniques La Ville es Menais, 56200 Saint-Martin-sur-Oust christophe.auray@gmail.com

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La voix de la conscience

 

Quelle est cette voix intérieure qui nous parle, nous exhortant à faire le bien et à nous abstenir du mal? D’où vient-elle? Comment sait-elle si quelque chose est juste et bénéfique?

Une voix qui nous conseille

 Lorsque nous sommes en train de décider comment agir face à une situation difficile, nous entendons parfois en nous-mêmes une voix qui nous parle. Celle-ci se manifeste également lorsque la décision est déjà prise et que nous passons à l’acte. Tout le monde a certainement fait cette expérience de nombreuses fois, bien qu’elle se manifeste un peu différemment chez chacun. Certaines personnes entendent moins une voix qu’elles n’éprouvent un ressenti ou ont des pensées correspondant à ce que leur conscience leur transmet. Quelle que soit la manière dont cette transmission se passe, on parle quand même de voix de la conscience.

ECHELLE des niveaux de conscience

Cette voix est désignée comme étant notre voix intérieure, car nous l’entendons en notre for intérieur et non comme si elle provenait de l’extérieur, par nos oreilles. On l’appelle aussi la voix de la conscience, car elle nous conforte dans nos bonnes résolutions, mais nous avertit lorsque nous allons faire quelque chose de mal. La conscience de l’être humain est en effet la faculté spirituelle qui lui permet de porter des jugements de valeur morale sur ses actes. Autrement dit, de savoir si ce qu’il a décidé de faire est bien ou mal, juste ou injuste. La voix de la conscience vient donc de l’esprit, le moi réel de l’être humain (son âme), et non du cerveau. Ce dernier étant de matière, il est limité à la compréhension des choses matérielles comme lui. L’intellect est donc incapable de saisir les valeurs morales, puisque celles-ci sont supra-terrestres.

Les valeurs morales

 De nos jours, la morale est quelque chose de mal vu. Elle est rejetée par bien des gens comme étant un ensemble de règles et de conventions humaines qui, par leur caractère restrictif, empêchent le libre épanouissement des individus. La morale cependant n’est pas un code de conduite arbitraire que l’on pourrait accepter ou rejeter selon ses désirs personnels. Les valeurs morales n’ont pas été créées par les êtres humains. Elles viennent d’en haut et expriment ce qui est bon pour le développement de l’esprit humain, par conséquent ce qui le conduit vers le bonheur. Seul l’esprit qui vient d’en haut, du plan spirituel, peut les saisir.

L’honnêteté, par exemple, crée des situations claires et justes. Elle engendre la confiance entre les êtres humains. Elle leur donne une base solide pour un développement ultérieur harmonieux et bénéfique. À l’inverse, la tromperie et le mensonge amènent des situations conflictuelles, la méfiance, la haine, le désir de vengeance…, toutes choses qui empêchent la paix et le bonheur. Recommander à quelqu’un d’être honnête n’est donc pas le pousser à respecter des exigences abstraites, mais se conformer à une réalité concrète et bénéfique.

Généralement, lorsque nous sommes confrontés à une situation problématique, nous essayons de l’aborder d’une manière rationnelle. Nous réfléchissons par conséquent avec notre cerveau et en tirons certaines conclusions. Mais notre esprit a aussi son avis sur la question et il le fait savoir par la voix intérieure. Son point de vue sera moral, car les hautes valeurs spirituelles sont en lui.

La voix de la conscience nous met en garde, exhorte et avertit. Elle nous encourage à prendre des décisions bénéfiques et nous dissuade d’opter pour ce qui est malfaisant et destructif. C’est elle qui nous exhorte en disant : « Fais ceci, c’est bien ! » ou « Ne te tais pas ! », « Dis la vérité » ou encore « Ne fuis pas tes responsabilités, engage-toi et assume ! » C’est aussi elle qui nous dit : « Ne fais pas cela, ce n’est pas bien… » ou « Comment peux-tu être si brusque, irrespectueux, ingrat… ; ne traite pas cette personne comme cela ! » ou encore : « Ce que tu viens de dire est faux, tu te trompes, corrige-toi ! »

Notre bien-être intérieur dépend de notre bonne conscience

 Le fait de se sentir bien ou mal au cours de la vie dépend en grande partie de la manière dont nous avons réagi à ce que nous disait la voix de notre conscience.

Quelqu’un qui suit la voix de sa conscience est calme intérieurement. On dit qu’il a la conscience tranquille ou en paix. Ce ressenti est légitime, il est en harmonie avec lui-même et avec les hautes valeurs. De plus, ayant semé quelque chose de bénéfique, il récoltera en conséquence. Il peut donc envisager l’avenir avec confiance, en tout cas en ce qui concerne cet acte.

Comme le disent différents proverbes, quelqu’un qui a bonne conscience dort bien : « Une bonne conscience est un bon oreiller. » On dit d’ailleurs d’une personne qui dort bien qu’elle a une bonne conscience, qu’elle dort du sommeil du juste.

Lorsque quelqu’un, malgré les avertissements de sa voix intérieure, est quand même passé aux actes, la situation est différente. Il n’est pas calme et en paix. L’esprit ne cesse pas de considérer comme faux ce qu’a décidé le cerveau. Il n’accepte pas les justifications que l’intellect cherche à mettre en avant, telles que « Ce n’est pas si grave. », « D’ailleurs, tout le monde le fait. » ou « Ce qui est fait, est fait. », etc. Le bien-fondé des valeurs spirituelles est quelque chose de constant. L’esprit continue donc à désapprouver l’acte malfaisant qui a été commis et continue aussi à le faire savoir. La voix de la conscience n’intervient ainsi pas seulement lors de l’acte, mais également après celui-ci.

Avoir mauvaise conscience

 Harcelée par la voix intérieure, la personne qui a fauté est intérieurement troublée et contrariée. Elle ne peut être en paix avec elle-même. On dit qu’elle n’a pas la conscience tranquille, que sa conscience la travaille. Cet état fait souffrir la personne concernée. Pour se débarrasser de cette oppression, certaines personnes tentent d’étouffer la voix de leur conscience. Elles remplissent leur vie de toutes sortes d’activités et de distractions, afin de ne plus laisser de place aux reproches de leur voix intérieure.

petite voix (o)

Cependant, le seul moyen de calmer sa conscience passe par l’acceptation de son erreur et la réparation des dommages causés. La personne soulage ainsi sa conscience et se libère d’un poids qui l’oppressait.

La voix de la conscience est une intuition qui vient de l’esprit et en possède les caractéristiques. Elle n’est pas l’aboutissement de réflexions menées par le cerveau. L’intuition se fait entendre d’un coup, spontanément. Ce qu’elle transmet se différencie et, le plus souvent, s’oppose aux conclusions de la pensée rationnelle. La voix de la conscience frappe aussi par l’évidence de son contenu. Celui qui l’entend sait que ce qu’elle dit est juste. S’il le rejette et n’agit pas en conséquence, ce n’est pas qu’il le considère comme faux, mais parce que ce qui lui est dit ne lui plaît pas. Il fait passer ses désirs personnels avant ce qu’il sait être juste. La mauvaise conscience qu’il ressent après coup témoigne de ce conflit entre ce qu’il sait qu’il aurait dû faire, car juste et bon, et ce qu’il a effectivement fait.

Témoignages

 À toutes les époques, des grands hommes ont témoigné de l’existence de la voix intérieure et de l’aide qu’elle leur a apportée.

Le philosophe grec Socrate (5e siècle av. J.-C.) dit, en personnalisant la voix intérieure : « Par la grâce de Dieu, je suis habité depuis mon enfance par un être à demi-divin dont la voix me dissuade parfois d’entreprendre certaines démarches. »

Mahatma Gandhi (1869-1948), en parle en ces termes : « Ce que j’ai entendu était comme une voix lointaine et pourtant assez proche. Elle était aussi nette qu’une voix humaine qui me parlait, et irrésistible […] Pour moi, la voix était plus réelle que ma propre existence. Elle ne m’a jamais trompé, ni d’ailleurs personne d’autre. Et chacun qui le veut peut entendre cette voix. »  Le compositeur Johannes Brahms (1833-1897) en parle comme d’un chuchotement : « Dans les profondeurs du cœur humain, de manière un peu inconsciente peut-être, quelque chose chuchote souvent. »

Pour Alfred de Musset (1810-1857), le poète français, cette voix qui chuchote est « la voix du cœur qui seule au cœur arrive », et pour Rainer Maria Rilke (1875-1926), le poète autrichien, « quelque chose au fond de notre être qui veut atteindre l’homme en moi ».

Carl Gustav Jung (1875-1961), le psychologue suisse, reconnaît l’existence de la voix intérieure, mais aussi la difficulté qu’il y a à l’entendre lorsque la pensée rationnelle occupe trop de place : « Quelque part, tout au fond de notre propre être, on sait généralement où on doit aller et ce que l’on doit faire. Mais il y a des moments où le clown que nous appelons « je » se comporte d’une manière si gênante que la voix intérieure ne peut faire sentir sa présence. »

La nécessité de suivre sa voix intérieure est soulignée par l’écrivain Hermann Hesse
(1877-1962) : « Aussitôt que les voix intérieures commencent à parler […] livre-toi à elles. Ne demande pas d’abord si c’est permis, ou ferait plaisir à tes professeurs, ton père ou à quelque dieu. Tu te perdrais si tu faisais cela. »

On n’écoute pas toujours la voix de sa conscience. Dans son autobiographie, le compositeur Richard Wagner (1813-1883) raconte comment, pour son plus grand malheur, il n’a pas écouté son intuition qui l’exhortait à renoncer au mariage qu’il envisageait :

« À cette époque, je n’avais qu’un faible pressentiment du pas fatal que je faisais en l’épousant. Ses qualités agréables et apaisantes avaient encore un effet bénéfique sur moi, si bien qu’avec la frivolité qui m’était propre, ainsi que l’obstination avec laquelle je faisais face à toute opposition, je fis taire ma voix intérieure qui, menaçante, annonçait le désastre. »

Le non-respect de la voix de la conscience conduit à des tourments et des conflits intérieurs dont de nombreux auteurs se sont fait l’écho dans leurs écrits.

ecriture inspirée

Un exemple célèbre de conflit avec sa conscience est celui que relate Jean-Jacques Rousseau (1712-1778) dans ses Confessions. Trouvé en possession d’un ruban qu’il avait volé à la femme de chambre de la maison dans laquelle il travaillait, J.-J. Rousseau accuse faussement l’une des servantes. Le maître de la maison met à la porte la servante en question, mais n’étant pas sûr que ce soit véritablement elle la coupable, il rajoute que de toute façon, « la conscience du coupable vengerait assez l’innocent ».

Et J.-J. Rousseau d’écrire dans ses Confessions : « Sa prédiction n’a pas été vaine ; elle ne cesse pas un seul jour de s’accomplir […] Ce souvenir cruel me trouble chaque fois et me bouleverse au point de voir dans mes insomnies cette pauvre fille venir me reprocher mon crime, comme s’il n’était commis qu’hier. […] Cependant, je n’ai jamais pu prendre sur moi de décharger mon cœur de cet aveu dans le sein d’un ami […] Ce poids est donc resté jusqu’à ce jour sans allégement sur ma conscience, et je puis dire que le désir de m’en délivrer en quelque sorte a beaucoup contribué à la résolution que j’ai prise d’écrire mes confessions. » (Les confessions, livre II)

Richard Wagner raconte dans sa biographie que la voix de sa conscience ne le laissa plus tranquille depuis qu’au cours d’une soirée d’étudiants qui finit en bagarre, il s’était lâchement joint à un groupe de camarades pour frapper une victime solitaire et sans défense : « Je raconte cet incident pour expier un péché qui depuis ce moment a toujours pesé très lourdement sur ma conscience. »

L’américain Mark Twain (1835-1910), dans une lettre à sa famille, raconte comment il cherche à étouffer la mauvaise conscience qu’il avait pour avoir mal traité son frère Orion et sa famille : « Mon esprit est rempli de ma conduite indigne envers Orion et envers vous tous, et une conscience accusatrice ne me laisse de paix que dans l’agitation et les déplacements constants. »

Dans un passage de son roman Tom Sawyer, Mark Twain raconte comment son jeune héros et ses amis ne trouvent pas le sommeil à cause de leur mauvaise conscience et comment, grâce aux bonnes résolutions qu’ils prennent, ils réussissent à la calmer : « Ils auraient bien voulu s’assoupir, mais leur conscience était là pour les tenir éveillés malgré eux. Petit à petit, ils en arrivent à penser qu’ils avaient eu tort de s’enfuir. Et puis, ils n’avaient pas que cela à se reprocher. Ils s’étaient bel et bien rendus coupables en emportant qui un jambon, qui un quartier de lard […] Afin d’apaiser leurs remords, ils décidèrent en eux-mêmes de ne jamais souiller leurs exploits de pirates par des vols de ce genre. Leur conscience leur accorda une trêve, et plus tranquilles, ils finirent par s’endormir. »

*  *   *

La voix de la conscience ne nous dit pas ce que les êtres humains considèrent comme bien ou mal et qui varie d’une culture à une autre, mais ce qui est bien spirituellement, c’est-à-dire dans l’absolu. Cette faculté intuitive vient de l’esprit. Elle se développe et s’affermit grâce aux expériences vécues. Nous la percevons d’autant mieux que nous aspirons intérieurement à l’entendre afin de nous diriger d’après elle.

Christopher Vasey

Article basé sur les connaissances du Message du Graal
http://messagedugraal.org 

 

 

Rituel médical d’autrefois

 

L’homme préhistorique savait soigner ses blessures et expérimentait certaines pratiques dont on ignore la signification. Il utilisait probablement des plantes médicinales pour se soigner.

hOMMEL’homme préhistorique n’a pas pu échapper aux maladies et aux blessures. Mais savait-il les soigner ? On retrouve en tout cas des signes de modifications osseuses sur certains fossiles retrouvés ; nous dis Patrice Josset… au Musée national d’Histoire Naturelle de l’homme comme : des mâchoires soignées chez des ancêtres de Néandertal, des fractures osseuses réduites… Des traumatismes souvent d’origine accidentelle et non guerrière. Mais il est difficile de comprendre leur intérêt médical.

Les pathologies et les moyens utilisés par les hommes préhistoriques pour les soulager devaient dépendre des groupes de population et des milieux et style de vie ; température, faune et flore présentes… Il est difficile de dater l’utilisation de remèdes, comme les plantes médicinales, pour la guérison des maladies. Exemple de Baptisé Otzi, on retrouve dans son fourreau en tissu d’ortie, des champignons qui lui servaient très probablement pour se soigner.

« Le passage des connaissances est primordial et la question des transmissions est prépondérante pour les sciences médicales, précise P.Josset. L’apparition de l’écriture qui marque la fin de la préhistoire a sûrement joué un rôle essentiel dans l’essor des pratiques médicales….

Selon Jacques CAYOTTE …. A la vérité, rien ne semble prouver qu’à ces âges lointains les sujets blessés aient été soumis à quelque manœuvre de réduction de leurs foyers de fracture. En effet, les squelettes porteurs de cassures cicatrisées se présentent en général avec des cals hypertrophiques et irréguliers ; on peut donc en déduire qu’aucune tentative de replacement des fragments osseux n’était pratiquée et que, même en supposant qu’une contention et une immobilisation ait été mise en œuvre (ce qui est très vraisemblable), celle-ci était effectuée sans le moindre souci de rétablissement des axes osseux.

guérir santé

Mais lorsque les anthropologistes et les médecins ont repris cette étude à leur compte, une autre réalité s’est dégagée : le plus souvent, ces prétendues blessures guerrières relèvent de causes très différentes, d’accidents de la vie courante, au même titre que nombre de ceux qu’on rencontre de nos jours. A l’appui de cette interprétation, on doit noter qu’à l’époque néolithique, les fractures de l’avant-bras étaient particulièrement fréquentes chez les femmes.

Certes, on peut penser que, dans une tribu, tous ses membres, homme s et femmes, participaient aux travaux journaliers, préparation de la nourriture ou fabrication d’outils par exemple, mais que seuls les hommes se livraient à la chasse ou à la guerre, d’où une fréquence plus grande des «accidents de travail» que des blessures véritables. Donc les diagnostics anciennement portés nous ont certainement donné une image fausse de la vie des peuplades disparues, alors que les notions modernes de paléo-pathologie peuvent nous renseigner sur le mode de vie de nos ancêtres au travers de leurs maladies, elles nous font entrevoir, en tous cas, que ces « primitifs » ne l’étaient peut-être pas autant qu’on se l’imagine.

L’ART DE SOIGNER ET DE GUÉRIR

Si l’on possède de nombreux témoignages sur les maladies ayant sévi à l’époque préhistorique, il est plus difficile d’entrevoir les traces d’une quelconque activité médicale, car le fait qu’il existait des maladies et des malades n’implique nullement qu’il y ait eu des « médecins ». Il est cependant quelques arguments qui nous donnent à penser qu’il y avait des hommes, médecins ou plutôt sorciers, qui soignaient leurs semblables : les crânes trépanés qu’on a trouvés un peu partout, en France et en Europe, sont là pour nous le prouver, de même que certaines amputations de doigts. Dans la grotte des « Trois Frères », dans la vallée de l’Ariège, existe la représentation d’un homme qu’on doit tenir pour l’ancêtre d’une longue lignée de médecins : il trépanait les crânes pour en faire sortir la maladie. Il est incontestable que bon nombre de fractures observées sur des squelettes néolithiques portent des signes évidents de guérison : 43 % environ de consolidations, ce n’est pas un si mauvais pourcentage !… Mais ces guérisons étaient-elles spontanées, ou bien dues à l’intervention d’un thérapeute ? On se perd là en conjectures, car nous n’avons évidemment pas de documents.

Guérisseur 3

Pourtant certains archéologues affirment qu’ils ont découvert un squelette dont un humérus fracturé portait des traces de fibres de lin et de farine de froment ayant probablement servi à constituer une sorte d’emplâtre, précurseur des futurs moyens de contention. Cette interprétation demanderait, naturellement, à être vérifiée et discutée, car elle nécessiterait tout un faisceau d’autres témoignages avant qu’on puisse admettre qu’il s’agit bien de l’indice d’un traitement, ou même d’une tentative de traitement. Si cependant nous considérons comme un fait acquis l’existence de sorciers chargés de soigner leurs congénères, il nous faut essayer de dégager les grandes lignes de leurs réalisations sur le plan pratique. Nous devons à la vérité de constater que, dans ce domaine, les documents sont abondants. En premier lieu, ce sont les nombreux cas de trépanation du crâne, qu’on a trouvés un peu partout.

Lorsqu’on se penche sur le problème de l’évolution de l’Homme, on ne peut que se réjouir ou s’enthousiasmer quand on découvre des témoignages indiscutables de la conservation de l’intelligence humaine, même lors des périodes les plus cruelles de misère matérielle ou physiologique. La Préhistoire est incontestablement une de ces périodes, mais il semble légitime d’imaginer, à la lumière des faits relatés, que, « les conditions économiques étant devenues meilleures, les descendants de ces pauvres peuplades mésolithiques aient pu très rapidement réaliser l’épanouissement de cette civilisation nouvelle à laquelle on a souvent donné, et à juste titre, le nom de révolution néolithique » (Dastugue).

EXTRAITS D’AUTEURS (cités dans le texte) ….

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Rituels de femme pour créer sa vie en 12 lunes

 

 La roue du zodiaque est une roue d’expériences se répétant et s’enrichissant à l’infini. C’est une roue de croissance, une roue de l’âme qui nous relie à notre nature céleste. Elle est un outil privilégié pour se découvrir, se comprendre, s’éveiller, se révéler et tendre vers plus d’unité. Au cœur de cette roue sacrée, les signes du zodiaque sont des états d’âme saisonniers, des archétypes qui vibrent en nous et qui représentent nos besoins profonds. Voici un extrait du programme pour créer sa vie en 12 Lunes, 12 étapes, qui nous invite lors de chacune des 12 phases du zodiaque à explorer les différents visages de notre essence féminine.

Il s’agit d’un voyage astral où chaque femme pourra danser une merveilleuse ronde étoilée à la rencontre de ses 12 talents innés de femme.

Cette méthode est un outil de transformation, un programme unique qui propose une connexion aux mystères du féminin à travers des pratiques et des rituels qui suivent la roue du calendrier zodiacal.

Lune 2

Chacune des 12 phases astrales est une occasion privilégiée de vous synchroniser avec les talents et qualités des signes de la roue sacrée. Dès que le Soleil entre dans un signe (soit la date du début de la phase), reliez-vous à son énergie par la lecture de ses symboles, de ses archétypes, imprégnez-vous de ses mots-clés, couleurs, parfums et cristaux pour vous mettre en phase avec la saison zodiacale.

La phase BÉLIER – la femme audacieuse :  21 mars – 20 avril

« Je suis l’initiatrice du zodiaque, une femme qui émerge des flots et s’élance avec ardeur vers sa réalisation pleine et complète. J’impulse, je suis une femme active. »

C’est l’équinoxe du printemps. Le Soleil entame son voyage qui le mènera vers son apogée, lors du solstice d’été. Le jour et la nuit sont égaux. On célèbre Ostara qui symbolise le retour de la Déesse sous son visage de jeune fille rayonnante et belle. À son image, nous sommes habitées d’élans, nous captons l’air du printemps et les forces vives de la nature en éveil. C’est le début du cycle, une graine est ensemencée, un nouveau projet de vie va germer, nous portons en nous l’impulsion de la créativité.

L’année zodiacale commence toujours par une graine, condensé de vie, réservoir d’énergie vitale qui symbolise un fort désir de vivre et d’éclore. Notre créativité, nourrie pendant la saison d’hiver, demande à s’exprimer. Nous sommes porteuses de l’énergie printanière des nouveaux départs, nous sommes prêtes à entreprendre. Il est temps de nous élancer !

Zodiaque

Quand la lumière du printemps rayonne sur notre Terre-Mère, nous sommes invitées à revenir à la surface après l’hibernation hivernale.

Notre énergie est dynamisée par la planète Mars qui dirige le signe du Bélier. Dans la tradition ésotérique, Mars est la flamme du dépassement de soi, la poussée physique de l’émergence de Dieu dans la matière, le germe de l’idée-forme qui naît et amène à la matérialisation des enjeux spirituels. L’archère en nous se met en mouvement et s’engage dans le monde, se dirige vers son accomplissement.

C’est donc le moment d’oser. La phase Bélier nous demande de jouer à 100 % le jeu et le « Je » de la vie. Ce « Je », c’est le « Je suis » du Bélier qui dit « je m’affirme » et qui dit « J’existe ». Écoutons notre intuition, suivons la petite voix de l’élan déraisonnable. Après la phase Poissons qui nous a plongées dans un bain d’amour inconditionnel, nous voici au début d’une nouvelle expérience. Nous allons vivre un moment d’initiation et de régénération spirituelle.

Par Sandrine Verrycken

En pratique : La suite dans le n°45, en vente ici en version ebook

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