Les facteurs de maladies

Nous connaissons tous l’adage « un esprit sain dans un corps sain ». Une étude menée par Christian Cransac relative à la géobiologie – la science permettant de comprendre l’influence des ondes sur le vivant – mériterait-elle que l’on ajoute « une maison saine pour un corps sain » ? Construite en trois volets, cette étude a pour vocation de répondre aux questions suivantes : y a-t-il une corrélation entre le taux vibratoire d’une habitation et la présence de maladies chez ses habitants ? Quelle influence ont les ondes électromagnétiques dans cette équation ? Enfin, les perturbations cosmo-telluriques contribuent-elles à la récurrence d’accidents de la route dans certains lieux ?


Cette enquête a pour particularité d’avoir été conduite avec un très grand nombre de données : 62 géobiologues sélectionnés pour leurs qualifications ont été rassemblés et ont travaillé sur l’ensemble du territoire français. Par ailleurs, elle comporte un échantillon aléatoire de 1200 habitations dans lesquelles demeurent des personnes souffrant de maladies graves (c’est-à-dire les cinq maladies causant le plus de décès en France chaque année : cancer, maladies du cœur, addiction, obésité et diabète). Comment établir si une maison est « saine » pour ses occupants ?

Depuis le XIXe siècle, les géobiologues se fondent sur une unité de mesure appelée « unité Bovis ». Théorisée par le médecin et radiesthésiste français Alfred Bovis (1871-1947), elle permet d’évaluer le taux vibratoire d’une personne, d’un lieu, d’un autre organisme vivant…et de tout ce qui existe.

Échelle de mesure pour le taux vibratoire


Pour mesurer les unités Bovis, un cadran ou biomètre est utilisé. Il se présente aussi sous forme de règle. La fréquence vibratoire est déterminée par le radiesthésiste à l’aide d’un pendule. Pour arriver à cette unité, Alfred Bovis a répétitivement évalué toutes sortes d’organismes. Il a par exemple testé des fruits à diverses étapes de décomposition, de fraîchement cueillis à pourris. Les fruits décomposés obtenaient des valeurs proches de zéro, tandis que les fruits frais obtenaient des valeurs allant jusqu’à 9 000 unités Bovis. L’idée sous-jacente serait que l’aliment à peine cueilli est au maximum de son énergie vitale, puis que celle-ci diminue progressivement. Entre autres, ce système de mesure permet d’évaluer l’énergie d’une maison, ou la santé d’un individu.

Cette unité de mesure sur laquelle repose l’ensemble de l’étude est-elle fiable ? Raymond Montercy est un scientifique de renom, expert en radiesthésie. Il a travaillé en tant que technicien au CNRS de Toulouse et a été consulté pour l’étude. D’après lui, « Les travaux de Bovis sont très sérieux. Toutefois, la justesse des mesures dépend de l’opérateur. La radiesthésie est un système de perception relativement aléatoire, lié à la fiabilité de l’individu, à sa qualité intrinsèque : ce qu’il est, ce qu’il veut dire, est-il fiable ? C’est là que le bât blesse, et c’est pour cette raison que bon nombre de personnes ne font pas confiance à ce système. » Il précise que les intervenants sélectionnés pour l’étude étaient tous très compétents, et avec un solide bagage de connaissances.

 Le taux vibratoire moyen de la terre, mesuré à 100 KBovis (une sous-division des unités Bovis), a servi de base de comparaison pour les lieux étudiés. Les géobiologues consultés ont dû, pour chaque cas, établir la présence de nuisances naturelles (courant d’eau souterrain, cheminée cosmo-tellurique, faille tellurique, mémoire du sol) ou artificielles (ligne de Hartmann négative, courant tellurique, transformateur, ligne à haute tension, antennes relais, télévision, téléphone, ondes électromagnétiques).

Y a-t-il une corrélation entre l’état de santé des habitants et le taux vibratoire de leur habitat ? L’analyse est sans équivoque ! Dans 43 % des cas, on a relevé des perturbations liées aux ondes électromagnétiques.

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Les perturbations d’origines naturelles sont aussi l’une des principales causes établies : courants d’eau souterrains et cheminées cosmo-telluriques totalisent à eux seuls quasiment le tiers (33 %) des phénomènes identifiés. Vient ensuite une tranche rassemblant 25 % des perturbations de la maison, qui inclut les lignes de Hartmann négatives et les transformateurs électriques. Les présences telluriques, failles et courants sont quant à eux évalués à 21 % des éléments nocifs de cette étude.

Enfin, les mémoires du sol, et les dispositifs électriques présents dans l’environnement proche de ces lieux (lignes à haute tension, relais télévision/téléphonique) représentent chacun 10 % des perturbations. « Dans un habitat, la présence d’un courant d’eau va vous polluer, car l’eau est une onde électromagnétique qui monte dans le sol. Mais s’il y a en prime une faille ou un courant tellurique, les énergies sont d’autant plus phagocytées par ces éléments. Les effets additionnés amplifient les perturbations. »


Autre information surprenante : ces lieux de vie présentent un taux vibratoire global moyen de 22 KBovis, et on constate qu’il s’établit de façon assez précise une corrélation entre cette valeur et le taux vibratoire moyen des individus malades du panel, qui est de 21 KBovis. Un chiffre cinq fois plus faible comparé aux 100 KBovis de la terre ! Christian Cransac explique ce phénomène : « Si l’on prend l’image des écluses sur les canaux, quand l’une d’elles est fermée nous avons un niveau haut et un niveau bas. Le niveau haut représente la maison avec une énergie “normale”. Dans ce cas-ci, lorsqu’une personne rentre le soir et qu’elle n’a pas d’énergie, elle pourra bénéficier d’un sommeil réparateur, car nos corps subtils captent ces énergies vitales. Grâce à un effet de vases communicants, on a alors ouvert l’écluse et notre énergie peut remonter. À l’inverse, si une maison dispose de peu d’énergie, le corps va lutter, et petit à petit il va s’aligner au niveau vibratoire de la maison. C’est ce que démontre l’étude. »

D’après le géobiologue, un taux vibratoire anormalement bas est un très grand handicap pour les personnes concernées, car il affaiblit considérablement les défenses immunitaires indispensables pour lutter contre la maladie… « Quand une maison ne fournit pas suffisamment d’énergie à ses habitants, on commence par perdre le sommeil, puis la dépression peut suivre, ou la maladie. Par ailleurs, une personne atteinte d’un cancer n’a plus de défenses immunitaires. Si l’habitation ne permet pas d’alimenter ses défenses, elle aura d’autant plus de mal à se rétablir, et ne pourra pas se défendre naturellement. » Cela n’est pas irrémédiable, puisque le rôle de l’expert, une fois l’analyse faite, est de rétablir un taux vibratoire propice pour la santé.

SOURCE : Extrait du Magazine INEXPLORE de mai 2021

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