Douleur et Souffrance ne sont pas synonymes

Lorsque vous êtes malade ou ressentez un malaise quelconque, il y a douleur. Dès ‘instant où vous commencez à résister à cette douleur, à refuser qu’elle soit, elle se transforme en souffrance. La douleur est partie intégrante de l’expérience humaine, elle constitue pour ainsi dire l’un des termes du marché conclu au moment de notre naissance.

Le fait même d’être né implique que nous fassions de temps à autre l’expérience de la douleur. « La souffrance, c’est autre chose. Elle n’est pas inévitable, elle est fonction de notre conditionnement. Car qu’est-ce que la souffrance sinon notre façon de réagir à la douleur ? Plus nous réagissons à la douleur, plus nous nous entons malades et surtout perdus, identifiés à la maladie.

Fuir la douleur, se rétracter à son approche engendre la souffrance ; l’accueillir et la regarder pour ce qu’elle est constitue le début de la vraie compassion et de la guérison, sinon corporelle – encore que cela y contribue grandement – en tout cas spirituelle.

C’est d’abord dans son cœur que l’on guérit. La guérison n’est peut-être qu’une volonté d’accueillir ce que nous n’avons jusque-là cessé de fuir. Allons-nous nous ferme, nous crisper comme on nous a conditionnés à le faire ? Ou au contraire nous ouvrir ? C’est là que tout se joue.

Pour beaucoup d’entre-nous, pour nous réveiller, il a fallu la maladie. Tout comme il a fallu la guerre pour les secouer de leur torpeur, alors que la guerre est une bonne chose, si horrible soit-elle par ailleurs. La guerre est déclarée, ils descendent dans la rue pour protester et dénoncer cet engrenage ; mais une fois la guerre finie, je crains que la guerre ne retombe et que l’individu de rendorme…

Bien souvent, le ferveur spirituelle est uniquement fonction des circonstances. La menace de mort disparue, les gens sont retombés dans  leurs vieux mécanismes.

Ce processus, nous pouvons le voir à l’oeuvre en nous tous. Quelque chose nous réveille, puis nous nous rendormons. Certaines maladies ont ceci de particulier que leur évolution suit un cours en dents de scie ; lorsque vous êtes plutôt malades, vous vous passionnez pour la métaphysique, la méditation et les moyens de faire face à la souffrance. Dès que vous allez mieux, la spiritualité devient simplement quelque chose d’intéressant, un « truc »  à approfondir ; et si vous retombez malade, vous ressortez vos bouquins sur le bouddhisme !

En vérité, tout le monde se trouve dans cette situation, c’est tout le pathétique de la condition humaine la plupart du temps, il nous faut subir des traumatismes pour seulement commencer à entrouvrir les yeux. Ne serait-ce pas merveilleux de chercher à s’éveiller sans avoir besoin d‘essuyer des secousses sismiques ?

Plus on résiste, plus on se ferme, plus la vie doit frapper fort dans l’espoir de nous ranimer. Mais il en va tout autrement si nous tirons les leçons de l’épreuve et à la convertir, tout change ! Prenez votre colère, votre douleur, votre irritation face à la stupidité ambiante, prenez tout et faites-en votre miel pour l’éveil. En définitive, que nous soyons malade ou bien portant ne change rien : de toute façon, il nous faut poursuivre le travail intérieur, car en vérité que faire d’autres ?

Extrait du livre de Gilles Farcet : L’HOMME SE LEVE A L’OUEST aux Editions Albin Michel p.156_159

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Conséquences énergétiques d’une cicatrice

Si la science nous a appris que le corps  humain est composé d’énergie, à différents niveaux vibratoires, nous savons également que cette énergie vitale (prâna pour certains), circule à l’intérieur du corps, dans les tissus et organes, par l’intermédiaire de nadis (sorte de « veines » ou « conduits » d’énergie).

Ce réseau de nadis https://devantsoi.forumgratuit.org/t1570-les-chakras-de-a-a-z#12430 des plus importants aux plus minuscules, est immense : évalué à environ 72 000 nadis…

L’énergie vitale est captée par des centres énergétiques appelés « chakras« , et distribuée dans le corps par l’intermédiaire des nadis, puis renvoyée vers l’extérieur du corps.

Lorsque l’on incise la peau (épiderme et derme), puis éventuellement les muscles, ou que ces tissus sont déchirés accidentellement suite à une fracture, un traumatisme, on sectionne énormément de nadis, quelquefois des milliers…

La bonne cicatrisation physique d’une plaie n’a aucune incidence sur les nadis sectionnés, car ceux-ci ne se situent pas sur le même plan vibratoire que le corps physique.  Au fur et à mesure de la cicatrisation, l’énergie vitale en se frayant un passage au travers des tissus, recréé de nouveau nadis. Par contre, pour diverses raisons, il est possible que la création de nouveau nadis ne se déroule pas correctement et que ceux ayant été sectionnés, ne soient pas colmatés.

De cette situation où les cicatrices subtiles ne se colmatent pas, au niveau subtil, il s’en suivra des fuites d’énergieCes fuites d’énergies vont dévitaliser l’ensemble de l’organisme ce qui occasionnera des troubles divers. La coupure énergétique qu’elles entraînent occasionne un affaiblissement de la partie concernée.

Les fuites d’énergie peuvent être à l’origine de fatigue chronique, de douleurs non définissables… Elles peuvent se développer et demeurer en place très longtemps, voire des dizaines d’années… Dans ce cas là, il convient de colmater les fuites énergétiques et de rétablir la bonne circulation de l’énergie vitale dans les nadis.

Cette opération peut être aisément réalisée par un énergéticien dûment formé à cet art qui consiste é faire circuler harmonieusement l’énergie vitale dans les différentes composantes de l’être. Il convient de noter là, que cette problématique de circulation d’énergie, dans le cas de fuites, s’applique autant aux humains qu’aux animaux. (A LIRE….. Les CHAKRAS de A à Z )

Pourquoi une cicatrice peut générer une fuite d’énergie

Nous venons de voir que l’énergie vitale, en quelque sorte le « carburant » de notre être, est véhiculé à travers ce dernier à l’aide de « conduits », sorte de « veines d’énergie », appelés nadis.


Ces nadis vont alimenter les différents corps subtils composant l’être multidimensionnel qu’est l’être humain. Chacun de ces corps subtils se situant sur un plan vibratoire différent et beaucoup plus élevé que le corps physique.

L’incision lors d’une opération, ou la déchirure accidentelle des tissus, ne va pas seulement ouvrir une brèche dans le corps physique, à commencer par la peau, puis les autres tissus, mais également dans les corps subtils.

Nous pouvons constater qu’une cicatrice physique peut être totalement fermée depuis longtemps, et pourtant laisser subsister une fuite d’énergie émanant d’un ou de plusieurs corps subtils. La raison de ce dysfonctionnement est propre à chacun et dépend de l’état émotionnel, psychique et physique de la personne concernée. De plus, la cicatrice peut être très ancienne et la fuite bien actuelle. Ce n’est qu’après avoir colmaté la fuite, sur un plan énergétique, que la cicatrice sera rendue totalement inopérante au niveau énergétique.

Qu’est-ce qu’une cicatrice ?

 

Une cicatrice est une lésion du derme plus ou moins profonde dont la taille, la couleur, l’épaisseur et la profondeur peuvent varier. Une cicatrice se forme lorsque non seulement la couche supérieure de la peau (épiderme), mais aussi les couches cutanées plus profondes sont lésées. Les cicatrices sont des traces visibles sur la peau.

Une cicatrice est la partie visible d’une lésion du derme après la réparation du tissu, à la suite d’une incision effectuée au cours d’une opération ou à la suite d’une blessure. La cicatrisation fait partie intégrante du processus de guérison.

Les cicatrices extérieures se forment normalement après une lésion des couches cutanées plus profondes. Une petite coupure ou une lacération superficielle ne lèsent souvent que la couche cutanée supérieure, l’épiderme. Dans un tel cas, une nouvelle couche cutanée intacte se forme à partir de la couche inférieure de l’épiderme, appelée couche basale ou tissus cicatriciel, et referme la plaie. La peau nouvellement formée remplit en général les mêmes fonctions que la peau environnante. Au bout de quelques semaines, elle a exactement le même aspect que cette dernière.

Une cicatrice peut résulter d’un accident, d’une brûlure, de la suppression de tatouages, de vergetures, d’un accident, d’un accouchement compliqué, de fractures, de césariennes, épisiotomies, commotions, réductions mammaires, implants mammaires, ablations mammaires (mastectomies) ou reconstructions mammaires, opérations diverses suite à des cancers, chirurgie esthétique, gastrectomies, rhinoplasties (nez), abdominoplasties (tablier abdominal), blépharoplastie (paupières), liftings, lipo aspirations,  etc… ou d’un quelconque autre traumatisme.

La cicatrice peut être externe (visible), interne ou les deux.

Original de l’article : ICI  _ Jean-Paul Thouny

Thérapeute énergéticien, formateur – Voiron (Isère) France

L’ivresse en vitesse

On dit du champagne que « ses bulles montent vite à la tête ». Ce que de nombreux consommateurs ont déjà constaté a été vérifié par une équipe de chercheurs britanniques qui ont comparé les effets d’un champagne pétillant avec ceux d’un même vin « plat ». Résultat : l’alcoolémie grimpe beaucoup plus vite et reste plus longtemps élevée dans le sang des buveurs de bulles. Ce qui signifie que le champagne grise rapidement et durablement, et qu’on peut donc atteindre le plaisir recherché à moindre coût pour la santé et le portefeuille. Par ailleurs, le « mal de crâne » est beaucoup moins imputable au vin lui-même qu’à la présence massive d’anhydride sulfureux. Pour faire la fête sainement, préférez donc les champagnes bio élaborés avec un minimum de soufre ajouté.

ATTENTION : comme toutes les boissons alcoolisées, la consommation excessive de vin de Champagne peut être nuisible à la santé. Sa consommation est spécialement déconseillée aux femmes enceintes, en raison des effets possibles de l’alcool sur le développement du fœtus. Cependant, le champagne est certainement le moins malsain des vins. Depuis son invention au XVIIème siècle, on lui prête même des vertus médicinales nombreuses et variées. Avant de devenir le vin de fête par excellence, le « nectar aux bulles d’or » était d’ailleurs considéré officiellement comme un médicament !

Pendant des siècles, le champagne a été recommandé comme auxiliaire de la digestion, mais aussi comme un reconstituant efficace et comme le remède idéal pour rendre roses les idées noires. Il était prescrit par les médecins au motif qu’il « dissipe les états nauséeux et soutient le moral ». Nos aïeux l’estimaient aussi pour sa puissance antiseptique et pour ses vertus diurétiques. Ils le disaient souverain contre les douleurs articulaires et le conseillaient aux femmes en périodes de couches, aux convalescents, aux anémiques et aux affaiblis. Jusqu’au milieu du XXème siècle, on lui a trouvé de la valeur dans le traitement d’affections cutanées telles que l’herpès ou l’eczéma. Comme souvent, les Anciens avaient découvert intuitivement ce que la science finirait par confirmer.

Anxiolytique naturel

En effet, les qualités thérapeutiques du champagne sont maintenant étayées par les découvertes scientifiques les plus récentes, notamment celles de la biologie moléculaire et de la biochimie. Favorable à une oxygénation réactionnelle de l’organisme, son gaz carbonique provient de la seconde fermentation et n’a donc rien d’artificiel, contrairement à d’autres vins mousseux et aux boissons gazéifiées. Ceci expliquant cela, le vin de champagne n’irrite pas l’estomac malgré un pH très faible. Il ne nuit pas à la digestion mais l’améliore, en dissolvant les graisses et en évitant les ballonnements.

Comme tous les vins blancs secs, il est fortement diurétique et aide par conséquent à évacuer les toxines. Il est riche en sels minéraux assimilables, en particulier en potassium, en calcium, en magnésium et en soufre, et possède donc des propriétés dépuratives, détoxicantes et anti-inflammatoires. Il agit ainsi sur les rhumatismes, les rhumes et les allergies. Il contient aussi des oligo-éléments, dont le zinc, utile à la régulation de l’influx nerveux. Avant l’arrivée des molécules de synthèse, le champagne était d’ailleurs reconnu comme antidépresseur et anxiolytique. Le divin breuvage contient également du phosphore et du lithium, importants pour l’équilibre psycho-émotionnel.

Ennemi de la cellulite

Autre effet remarquable mis en évidence par les chercheurs : le champagne attenue la cellulite, cette affection dermatologique qui donne à la peau un aspect de pelure d’orange. Une coupe de champagne quotidienne active la circulation lymphatique, le cerveau réagit par une sécrétion d’hormones antidiurétiques et cela fluidifie le sang. De plus, le cœur va secréter lui aussi des hormones, activant ainsi la circulation au niveau de chaque cellule et favorisant le drainage. Le champagne hâte la disparition de la cellulite tout simplement en accentuant les mécanismes ordinaires d’élimination de l’organisme.

Elixir de jouvence

Certes, ce vin blanc est moins riche en tannins et est privé des pigments antioxydants qui confèrent au vin rouge ses principaux atouts diététiques. Mais selon l’historien François Bonal, qui a consacré plusieurs travaux aux bienfaits du champagne, celui-ci compense par son effet à la fois euphorisant et apaisant. Dans les années soixante, une expérience a été faite dans les hôpitaux américains sur trois mille volontaires. Ceux à qui on faisait boire du champagne le soir dérangeaient trois fois moins les infirmières pendant la nuit !

 Sur le plan vasculaire, le champagne conviendrait particulièrement aux personnes atteintes d’artériosclérose et à celles menacées d’infarctus. Il s’oppose en outre à la formation du cholestérol et à son dépôt sur les parois artérielles. Est-ce ce qui lui vaut sa renommée d’ « élixir de longue vie » ? François Bonal cite le cas de nombreux négociants et vignerons champenois qui, après avoir bu le produit régional toute leur vie par nécessité professionnelle, se sont éteints à un âge avancé en gardant jusqu’au bout toutes leurs facultés.

Au début des années 1980, une centenaire autrichienne, encore merveilleusement alerte à 106 ans , fut priée par la presse de révéler son secret de longévité. Elle répondit : « la discipline, une bouteille de champagne quotidienne qui me conserve sereine ». En gériatrie, il se raconte que le vin effervescent redonne parfois vie aux mourants…

Une coupe le soir

Un médecin cambodgien , le Dr Tran Ky, a découvert le champagne en faisant ses études d’urologue à Paris. Il en est tombé amoureux, en a étudié en détail la composition, les bénéfices pour la santé, et a fini par publier un livre , « Les vertus thérapeutiques du champagne », paru en 1990 aux éditions Artulen. Ce qui lui a aussi valu un poste de chargé de cours à l’université de Reims. Selon lui, la consommation idéale se situe aux environs d’une coupe par jour, absorbée dans la soirée, lorsque l’activité des enzymes hépatiques est à son apogée. Idéalement toujours, le docteur ès-champagne suggère cependant de limiter l’ingestion d’alcool à ce seul rituel quotidien. Au-delà, les inconvénients
commencent…

Michel Manset

Extrait de l’article paru au magazine NEO SANTE – par Michel Manset – REVUE N°07 1 DÉCEMBRE 2011

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JE RESTE A L’ECOUTE des BESOINS DE MON CORPS

« Je suis un créateur. Je suis ici pour créer une vie abondante et sûre.

Par la vibration et la fréquence, je choisis d’être en santé, productif et sage. Je suis reconnaissant de savoir que mes pensées produisent des fréquences et je suis en mesure d’en créer une qui engendrera un univers probable sûr que j’habiterai en orientant mon énergie vers ce que je désire vivre. J’évolue dans la vie avec l’intention claire et consciente de tisser mon énergie, comme la trame d’une merveilleuse tapisserie, partout dans le monde qui m’entoure. Je conçois pleinement qu’une multitude de probabilités et de systèmes de valeurs existent parallèlement au mien. Au sein de mes croyances, je suis en sûreté, je suis guidé.

J’aime mon corps et je me fie à lui ; je sais que mes cellules sont télépathiques et que je suis co-créateur du monde. Je sais que je suis un être de valeur. Je sais que je capterai des pulsions, des présages, des signaux ainsi que l’orientation dont j’aurai besoin pour toujours être au bon endroit au bon moment, pour mon bien suprême et celui de tous ceux qui m’entourent. Tout cela, je le sais, et j’en suis sincèrement reconnaissant ». 

Accepter la responsabilité de votre destinée est le geste le plus essentiel lorsque vous retrouvez votre pouvoir. Il n’est pas possible de grandir en lucidité si vous posez des conditions et si vous calculez pourquoi vous ne pourrez pas obtenir ce que vous souhaitez.

Adopter une attitude responsabilité personnelle permettra de guérir les vieilles blessures et les énergies qui entravent les progrès de l’évolution humaine. Il existe plusieurs manières de percevoir la vie, et votre manière d’interpréter le monde dépend naturellement de ce que vous choisissez de croire.

A mesure que se dévoilent de nouvelles vérités, posez des questions. Votre tâcheconsiste à activer le mental supérieur, à vous affranchir de la tyrannie de la peur, à accorder une valeur à vos facultés humaines et à les comprendre. Si tout le monde regarde dans la même direction, retournez-vous pour voir ce qui se passe ailleurs.

Utiliser vos capacités pour créer unmonde probable, voilà l’essentiel….

Toutes les réalités ont cours. La destruction ou la régénération, voilà le choix. Vous pouvez obtenir tout ce que vous désirez. Vos pensées, vos rêves et vos intentions altèrent la structure de la réalité. Quel programme choisirez-vous de concevoir ?

Quoi qu’il en soi : Rêvez le plus haut et le plus pur qui soit !

Nous sommes venus ici-bas pour nous délecter de ce que la vie a à offrir, pour apporter au monde la contribution de nos idées uniques et pour exprimer l’excellence personnelle. La civilisation se fonde sur un consensus, et à l’époque actuelle où l’on franchit le pont d’un univers à l’autre, on nous demande d’offrir au monde notre vision d’harmonie et de coopération. Aspirer à des valeurs nobles et vivre animé d’intentions honorables. Le pouvoir trempe invariablement le caractère ; retrouver notre pouvoir en questionnant. Montrons-nous responsable et assumons la responsabilité de notre destinée car il s’agit là de la contribution la plus valable que nous puissions faire à notre civilisation.

Votre réaction à n’importe quelle situation ou événement en détermine l’issue ; Il faut nous accorder le luxe de nous aimer, en ouvrant notre cœur et en éprouvant une gratitude pour tout ce que nous avons créé. En un sens, nous devons apprécier nos dons et apercevoir les indices signalant la transformation de notre conscience.

Nous avons apprendre à vivre avec l’poque, à nous adapter et à ajuster notre attitude en déterminant résolument notre voie, puis e l’empruntant avec assurance et en toute confiance. Il faut identifier la pensée destructrice, puis la modifier. La peur anéantit l’imagination et paralyse le corps.

Vous sommes venus ici pour établir la paix et la dignité au sein de la race humaine, et il faut donc valoriser notre fougue en appréciant notre réalité extérieure et intérieure. Le véritable sentiment de sécurité découle de la confiance et de l’assurance, ainsi que d’une solide résolution intime basée sur la compréhension psychologique et spirituelle de la vie. Notre sûreté intérieure correspond à notre sûreté dans le monde extérieur.

Adopter une position calme, confiante et détendue permet de trouver des solutions ; Lorsque votre vibration électromagnétique est dépourvue d’angoisse et de tension, vous pouvez franchir aisément n’importe quelle crise. S’accrocher à la tension, c’est un peu comme d’ériger une forteresse autour de votre esprit, et lorsque vous provoquez des blocages, vous restreignez vos possibilités de mouvement sur plusieurs niveaux de réalité. Les énergies solaires vivifiantes et la force vitale des radiations cosmiques ne se relieront pas à vos centres de  communication intérieurs si vous  vous fermez ou si vous démolissez votre champ énergétique par la peur.

La beauté, le parfum des fleurs, le bourdonnement des abeilles et le gazouillis des oiseaux ajusteront les fréquences de vos ondes cérébrales et équilibreront les hémisphères droit et gauche pour qu’ainsi vous soyez synchronisé au mental cosmique. La nature ne sera pas rendue  désuète par un fanatisme scientifique visant à capturer l’âme et l’esprit des gens et à les transformer en automates électroniques. Une réalité qui repose sur l’usage mal avisé de l’énergie n’est pas viable. Les civilisations évoluent et se développent à partir des idées dont on les nourrit. Vous êtes des êtres hautement créatifs, libre d’échafauder à votre guise n’importe quelle version du monde.

La seule solution, c’est la paix, mais celles-ci commence en vous. Pour qu’elle règne dans le monde, les peuples doivent le souhaiter vraiment et être disposés à produire les vibrations qui l’engendreront. Une minorité domine peut-être le plus grand nombre ; néanmoins, il faudra plus qu’une minorité pour influencer les masses.

Vos pensées et vos intentions sont fortement amplifiées lorsqu’elles s’allient à celles des Autres. Pour avoir un impact sur votre pays et sur votre communauté, un impact qui apportera la paix dans le monde dès maintenant, joignez-vous, à chaque NOUVELLE LUNE, le moment traditionnel pour semer et ensemencer la réalité, à un groupe de personnes avec qui vous partager des affinités. Elaborez vos rituels  et concentrez votre énergie et vos intentions sur la paix dès maintenant. https://devantsoi.forumgratuit.org/search?search_keywords=rituel

Autrefois, les gens ressentaient une affinité avec la nature et se livraient à une magie naturelle de leur cru ; la télépathie et le rêve étaient leurs instruments principaux. Vous devez désormais respecter le pouvoir de vos intentions quand il s’agit de conditionner et de façonner en une réalité concrète l’espace qui vous entoure. Il faut nous éveiller à l’exquise valeur de la vie.

 Seul un petit nombre d’individus cherchent à tuer, obsédés par l’anéantissement des peuples de la Terre. Mais il y a beaucoup plus de gens qui souhaitent voir la Terre, ses populations et ses créatures vivre et s’épanouir. Un monde sans danger exige aussi un investissement d’énergie et d’intention.

Chaque personne fait son choix. Regarder les autres faire le leur, en sachant ce que vous savez, sera l’un des passages les plus difficiles de la transformation. Nous sommes ici pour participer et aussi pour constater et être témoin des événements. La manière dont nous traitons nos émotions ainsi que la qualité des symphonies que nous exécutons sur notre piano intérieur détermineront les codes que nous serons en mesure de dégager lorsque nous nous accorderons aux énergies entrantes.

On nous demande de reconnaître notre place au sein du grand schème de la création, en développant notre lucidité et en explorant les occasions insolites et sans fin qui marquent l’époque. Nos contributions s’avèrent indispensables.

Créateur ou victime ? A vous de choisir.

Un esprit intégré et bien équilibré vibre à une fréquence protégée des influences négatives. Les vecteurs de la tyrannie jouent un rôle notoire dans le scénario. Ils ébranlent profondément notre réalité et nous offrent un retentissant appel à l’éveil. En menaçant notre sécurité et notre survie, l’empire du jour sert de stimulus nous incitant à produire de nouvelles fréquences permettant l’acquisition de pouvoir personnel.

Vous pouvez reproduire librement cet article et le retransmettre, à condition que vous en respectiez l’intégralité et de citer l’Auteur-Source Francesca : http://devantsoi.forumgratuit.org/

Certaines paroles, en apparence anodines

Savez-vous par exemple que le simple fait de connaître les effets indésirables d’un médicament multiplie les chances qu’ils se manifestent ?

Une étude menée auprès de patients atteints de la maladie coronarienne, à qui ont été administré un traitement dont un des effets secondaires pouvait être une baisse de la libido, montre que seul 3% des patients qui n’en avaient pas été informés ont témoigné de difficultés dans ce domaine contre 31% de ceux qui avaient été informés au préalable de l’ensemble des effets secondaires possibles.

C’est ce que les médecins appellent « l’effet nocebo », ce qui signifie en latin « je vais nuire », soit l’exact contraire de l’effet placebo, qui lui signifie « je vais plaire ». Les informations communiquées par les professionnels de santé jouent ainsi un rôle important dans le processus de guérison, mais aussi dans le développement de certaines pathologies. Certaines paroles, en apparence anodines, telles que « peut-être que ce médicament pourrait vous aider » ou encore « vous êtes un patient à risques », peuvent ainsi induire un doute dans l’esprit du patient.

Une étude qui invite les professionnels de santé à manier certaines informations et propos avec prudence. En effet, « l’effet nocebo » comme « l’effet placebo » montrent qu’esprit et corps sont bien liés et interdépendants. Lire l’article sur Slate.fr

« Tout ce qui compte au moment ultime, c’est d’avoir aimé et reçu de l’amour. Je le vois chez des personnes très lucides lorsqu’elles vivent leurs derniers moments. Pour elles, la question de la foi religieuse ou de ce qu’il y a après la mort n’est pas la plus importante. J’ai eu de longues conversations avec une amie qui est en fin de vie.

Elle est si faible qu’elle ne peut plus se lever, et peut à peine taper sur les touches du téléphone. Ce matin elle m’a appelée pour me souhaiter mon anniversaire. Je vois que donner des signes d’amour à tous les gens autour d’elle est la seule chose qui lui importe. Je cite souvent cette phrase de Saint Paul : « Tandis que notre homme extérieur s’en va en ruine, notre homme intérieur se renouvelle de jour en jour. » Effectivement, quand on approche de la mort, l’homme extérieur va en ruine. Très tôt, les signes du vieillissement arrivent. Ils sont angoissants dans une société qui valorise uniquement le corps jeune, en pleine forme. Des personnes sont tellement obsédées par la ruine du corps que cette dernière entraîne celle de l’esprit et du coeur. Ils se replient sur eux-mêmes, se plaignent sans arrêt.

Mais vous en avez d’autres qui ont compris que quelque chose en eux ne se détériorerait pas. Le corps bénéficie de la mutation. C’est aussi ce que j’essaie de dire aux gens qui ont peur de vieillir. Il y aura l’usure de la vieillesse, mais leur esprit et leur coeur ne vieillira pas s’ils le nourrissent et donnent à la spiritualité et à l’affectivité toute leur place. Nous avons une responsabilité qui est d’entretenir ces émotions positives pour faire face au vieillissement du corps. Les gens de ma génération sont conscients que leurs enfants s’inquiètent beaucoup de la manière dont nous allons vieillir. Si nous pouvons leur faire passer ce message que nous pouvons bien vieillir parce que nous allons nous occuper de notre intériorité et développer ces émotions positives, nous leur faisons un vrai cadeau. »

Texte de L’écrivain et psychologue Marie de Hennezel, auteur de « La chaleur du coeur empêche nos corps de rouiller » et de « La mort intime », a maintes fois accompagné des personnes en fin de vie. Les leçons apprises à leur chevet ne se sont jamais démenties.

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Tout changer de l’INTERIEUR

Les scientifiques ont récemment démontré que les gens peuvent changer la température de l’eau et de l’air, ainsi que des structures de nuages, simplement à travers leurs pensées. Les chercheurs savent depuis des années que la prière affecte positivement les plantes et les animaux. 

Ces études révèlent quelque chose que beaucoup de travailleurs de la lumière ont déjà connu: nos prières collectives et nos pensées curatives peuvent éviter les prophéties du traumatisme mondial.

Il n’y a qu’un seul esprit et un esprit, et nous faisons tous partie de cette intelligence collective et de cet amour. Des résultats miraculeux dans les laboratoires scientifiques démontrent la base factuelle de l’unité de toute vie. Il n’y a pas longtemps, les scientifiques américains et japonais ont rattrapé les sujets de test à la pression sanguine et aux appareils de surveillance cardiaque. Simultanément, dans des chambres séparées et scellées, d’autres sujets de test ont été invités à penser des pensées aimantes ou fâchées à propos des gens branchés aux machines. À l’instant exact où un sujet tenait une pensée aimante, la pression sanguine et la fréquence cardiaque de la personne surveillée ont considérablement chuté. Et puis, au moment précis où une pensée colère a été projetée, les signes vitaux de la personne ont monté en flèche vers le haut.

Nous, qui sommes des travailleurs de la lumière, sommes déjà conscients du pouvoir de nos pensées.

Si votre intuition vous exhorte vers une fonction de guérison, vous pouvez être sûr que c’est une voix divine et pas seulement des vœux pieux. Ces dernières années, un appel spirituel a été diffusé, comme une demande psychique « d’aide recherchée », demandant aux travailleurs de la lumière de se réveiller à leurs rôles curatifs. Ceux qui ont entendu l’appel me contactent parfois, demandant de réconforter que cette voix intérieure ne les configure pas pour la déception ou l’échec possible.

Je peux certainement comprendre cette peur, puisque je l’ai expérimenté moi-même. Quand j’étais une jeune mère, j’ai commencé à avoir des visions spontanées dans lesquelles je me voyais comme guérisseur et auteur. Ces visions m’ont effrayée, parce que je ne pensais pas avoir eu le temps, l’argent ou l’intelligence pour réussir. J’ai donc commencé à trop manger pour faire taire la voix intérieure et les visions. Je ne me sentais pas prêt ni qualifié pour réveiller ma mission.

Ce que je faisais, c’était l’équivalent de pousser le « bouton Snooze » sur mon réveil spirituel. En excès, c’était ma façon de retarder le plan de Dieu pour moi, parce que la nourriture alimente temporairement le son et la vue de mon plan de vie Divin. Avant de me rendre au Créateur   j’ai demandé de l’aide pour faire de ma vision intérieure une réalité. 

J’ai découvert que dès que je me suis engagée à suivre mon but de vie, des portes m’ont été ouvertes pour la suite. De manière miraculeuse que je n’aurais jamais pu planifier, tout dans mes visions est devenu une réalité.

Nous ne pouvons pas échouer lorsque nous acceptons la mission que nous avons choisie avant notre incarnation.

Le pouvoir et l’intelligence de l’esprit unique ne font aucune erreur. Nous n’aurions pas été affectés à notre rôle de travailleur léger, si nous n’étions pas parfaitement qualifiés. Puisque nous sommes faits à l’image et à la ressemblance de Celui qui est omniscient, aimant et capable de guérir n’importe quoi, nous pouvons nous détendre dans la connaissance sûre que nous sommes nés pour guérir. 


 
Pour en savoir plus sur les travailleurs de la lumière, consultez Le livre : Le chemin du travail de la lumière Par  DOREEN VIRTUE

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Prendre le temps de s’arrêter pour mieux guérir

Se connecter avec soi-même, le moment présent ou un être supérieur… Les pratiques spirituelles semblent être aussi anciennes que l’être humain lui-même. Mais ce n’est que depuis les années septante qu’elles commencent à intéresser véritablement les neuroscientifiques. Il est désormais prouvé que des activités comme la méditation ou la prière ont des effets directs sur notre cerveau. Pratiquées à haute dose, elles sont même capables de transformer la structure cérébrale.

La plupart du temps, la prière se construit au travers d’un dialogue. Lorsqu’une personne prie, elle entre en relation avec Dieu et fait donc intervenir le langage. Cette particularité se reflète sur l’activité cérébrale.

Jacques Besson, professeur honoraire à l’Université de Lausanne, a beaucoup étudié ces mécanismes. Il est l’un des très rares spécialistes au monde en neurothéologie, une science émergente qui s’intéresse au fonctionnement du cerveau lié à des expériences qualifiées de «religieuses».  A l’aide de l’imagerie médicale, lui et ses confrères ont ainsi pu observer que «lorsqu’un sujet est en prière, les régions de son cerveau liées à l’orientation spatiale ont tendance à être inhibées. En revanche, grâce au langage, plusieurs autres régions cérébrales, en particulier celles liées au relationnel, sont fortement mobilisées».

Et ce n’est pas tout.

Des scientifiques de l’Université de l’Utah aux États-Unis ont montré dans une étude publiée dans la revue Social Neuroscience que les sentiments religieux activent le circuit cérébral de la récompense. Les chercheurs ont recruté treize membres de la communauté des Mormons. En observant leur cerveau par IRM, ils ont pu mettre en avant leur plaisir de croire. Les circuits cérébraux activés par la prière sont les mêmes que ceux stimulés par la musique, le sexe ou la nourriture.

«Lorsqu’une personne prie intensément, son cerveau peut sécréter des endorphines», confirme le Pr Besson. Des propriétés utilisables en médecine, notamment pour combattre une addiction. Les alcooliques anonymes, par exemple, ont recours à une prière de sérénité en fin de réunion. «Cela permet d’accepter ce qui ne peut pas être changé, se donner le courage de changer ce qui peut l’être et acquérir la sagesse de faire la différence entre les deux», détaille le spécialiste.

Les moines bouddhistes sous la loupe

Prière et méditation ne doivent pas être confondues. Si ces deux activités s’inscrivent dans un contexte spirituel, elles sont très différentes l’une de l’autre et mobilisent différentes régions cérébrales. La méditation est une activité unitive. En clair, le sujet qui la pratique se sent faire partie de l’univers, expérimente l’instant présent et un dépassement de soi. Nul besoin d’être religieux: elle peut être pratiquée de manière tout à fait laïque ou profane.

Le développement de l’imagerie médicale a permis aux scientifiques de s’intéresser en profondeur aux fonctionnements cérébraux des sujets en méditation. Des données ont été relevées grâce à des moines bouddhistes, particulièrement entraînés à l’exercice méditatif. En les soumettant à des IRM, des scientifiques ont découvert que certaines zones de leur cerveau s’activaient de manière plus intense que chez les personnes lambda.

Mais ce n’est pas tout. «Au cours de la vie, nous perdons tous un certain nombre de neurones, explique le Pr Guido Bondolfi, spécialiste en psychiatre et mindfulness à l’Université de Genève. Pourtant, dans certaines zones du cerveau des moines ayant participé à l’étude, la réduction du nombre de neurones était moindre que chez les individus « normaux »». Preuve que la méditation, pratiquée plusieurs heures par jour pendant de nombreuses années, peut même aboutir à une modification visible de la structure cérébrale.

Une capacité d’attention améliorée

Chez les méditants «naïfs», qui la pratiquent de manière moins intensive, ces changements structurels ne sont pas observables. Des spécificités sont toutefois rapidement notables en termes d’activation cérébrale. «Des études montrent qu’après huit semaines d’exercice méditatif, des changements sont déjà observables, indique le Pr Bondolfi. Certaines zones du cerveau comme celle de l’attention, de la régulation des émotions ou encore de la conscience corporelle sont plus activées que chez les personnes qui n’ont jamais médité.»

L’amélioration de la capacité d’attention est d’ailleurs le premier bénéfice de la méditation de pleine conscience. La bienveillance, l’acceptation, la confiance ou encore la patience sont autant de compétences qui peuvent être développées grâce aux pratiques méditatives.

Faire cohabiter science et spiritualité

Aujourd’hui, la médecine occidentale tire parti de ces bénéfices en utilisant la méditation comme outil d’accompagnement des patients. Des programmes proposés dans certains hôpitaux aident par exemple à lutter contre le stress engendré par une maladie chronique ou à prévenir les rechutes dépressives. Mais avant d’en arriver là, pratiques spirituelles et médecine traditionnelle ont eu de la peine à cohabiter.

«Le 20e siècle est caractérisé par un courant très réductionniste, souligne Jacques Besson. Pour de nombreux scientifiques de cette époque, la théologie ne serait qu’un simple besoin psychique.» Ce sont les progrès de l’imagerie médicale et la diversification des recherches en neurosciences qui ont permis de créer un véritable lien entre les deux disciplines.

Les premiers travaux concernant l’influence de la méditation sur le cerveau remontent aux années 1950. Les scientifiques se sont alors intéressés à des praticiens expérimentés du Yoga en Inde. Puis, dans le courant des années septante, la rencontre entre méditation et neurobiologie s’est intensifiée. Des scientifiques collaborent notamment avec le Dalaï Lama, et fondent en 1990 Mind & Life, une association qui explore la relation entre la science et le bouddhisme. Leurs études permettent de donner un éclairage scientifique aux expériences subjectives liées à la spiritualité.

Mais attention : comme bien souvent en médecine, ces pratiques n’ont rien d’une «pilule miracle». Dans la prière comme dans la méditation, une pratique régulière est indispensable pour engendrer des effets bénéfiques. La plasticité cérébrale est comme un muscle: pour créer de nouvelles connexions entre les neurones, il faut s’entraîner à la spiritualité.

SOURCE de cet article : https://www.planetesante.ch/Magazine/Psycho-et-cerveau

LA DOULEUR ET LA MALADIE : un monde intérieur

Travailler sur son monde intérieur est une démarche très personnelle, chacun trouvera son inspiration propre : dans la spiritualité, la philosophie, la science, la sociologie, les enseignements de l’histoire… Nous déroulons ici notre point de vue, quelques concepts qui nous paraissent essentiels, pour une lecture la plus juste possible de la société, de notre rapport à l’autre et à nous-mêmes. Ce déroulé n’est pas figé, nous sommes ouverts au débat en commentaires. Surtout, il nous semble que le plus important est d’observer et d’expérimenter soi-même. 

En effet, la science peut expliquer certaines intuitions ou observations, c’est le cas notamment des rapprochements récents entre physique quantique et spiritualités orientales. Si quelques amalgames peuvent paraître douteux (mysticisme quantique), de plus en plus de scientifiques renommés tentent de jeter des ponts (à l’instar de Christian Thomas Kohl ou de Trinh Xuan Thuan). Loin de constituer un mouvement scientifique reconnu, cette tendance permet néanmoins de porter un regard neuf sur ces croyances ancestrales.

Quelles leçons tirer de ce regard porté sur la maladie ?


À bien des égards, elle reste une expérience non partageable, vécue essentiellement seul. Aucun témoignage ne peut en restituer toute l’étendue. Mais la parole des malades livre la force d’une vérité : ils sont une figure de la fragilité humaine. À ce titre, ils nous apprennent quelque chose d’essentiel : leur parcours est une expérience humaine fondamentale ; leur fragilité porte une lumière symptomatique sur le comportement humain face à la vie menacée.


Toute maladie grave est une traversée des ténèbres ; elle interroge, de ce fait, la capacité humaine à vivre ce qui est invivable.

À présent, tu contrôles ta vie.

Tu comprends qu’il est impossible de contrôler l’égo. L’égo est contrôlé par le désir de confort, le bien-être du corps, les exigences de l’esprit et les explosions des passions. Je puis à présent dire à mon corps : Couche-toi ici, sur ce sol de ciment et endors-toi. Et il m’obéit. Je puis dire à mon esprit : Concentre-toi sur ce problème et débranche tout le reste. Et il obéit. Je puis dire à mes sentiments : Restez calmes, même si la situation est terrible. Et ils se calment. La vie change complètement. Un grand philosophe a dit : Celui qui semble avoir perdu le rythme, obéit peut-être à une autre cadence. Tu obéis à une autre cadence, à celle de ta nature supérieure, et non plus à celle de ta nature inférieure.

Ce n’est qu’à cette époque, en 1953, que je me suis sentie conduite, appelée ou poussée à entreprendre mon pélerinage pour la paix sur terre, un voyage au sens traditionnel. La tradition du pélerinage veut que l’on parte à pieds, avec confiance, dans la prière, pour rencontrer les gens. Je porte une tunique avec une inscription Pélerin pour la Paix sur le devant.

Je considère que c’est désormais mon nom. Il souligne ma mission plutôt que ma personne. Sur le dos, il est inscrit : 40 000 km à pieds pour la paix. Cette tunique interpelle les gens dans la rue. Losque je parcours les routes et que je traverse les villes, les gens m’abordent, et ceci me permet de parler de paix avec eux. J’ai parcouru 40 000 km à pieds, sans un centime en poche. Je ne possède que ce que je porte sur moi et dans mon petit sac.

Je ne suis membre d’aucune organisation. Je marche, jusqu’à ce que l’on m’offre un abri, et je jeûne jusqu’à ce que l’on m’offre à manger. Je poursuivrai mon pélerinage jusqu’à ce que l’humanité découvre le chemin qui conduit à la paix. Et je puis dire, en toute honnêteté, que j’ai reçu tout ce dont j’avais besoin pour mon voyage, sans avoir rien demandé. Ceci montre combien en réalité les êtres humains sont bons.

Je porte toujours avec moi mon message de paix : Voici le chemin qui conduit à la paix — surmonte le mal par le bien, le mensonge par la vérité, la haine par l’amour.

Ce message n’est pas nouveau. Ce qui est nouveau, c’est de le mettre en pratique. Sa mise en pratique n’est pas seulement valable sur le plan international, mais aussi sur le plan individuel. Je pense que la situation mondiale est un reflet de la situation qui existe dans le cœur des êtres humains, un reflet de notre propre immaturité. Si nous étions des êtres équilibrés, mûrs, la guerre ne poserait aucun problème — elle serait impossible.

Nous pouvons tous travailler pour la paix. Nous pouvons y travailler là où nous nous trouvons, à l’intérieur de nous-mêmes. Plus nous avons de paix en nous-mêmes, plus nous rayonnons cette paix autour de nous. Je crois que le désir de survie ne nous procure qu’une paix mondiale instable, qui pour durer, doit s’accompagner d’un grand réveil intérieur. Je crois que la découverte de l’énergie nucléaire nous a fait entre dans une ère nouvelle. Cette ère nouvelle nécessite une Renaissance nouvelle, qui nous amène à un niveau de conscience supérieur pour nous permettre de résoudre les problèmes de l’ère nouvelle. C’est pourquoi mon premier objectif est la paix intérieure, comme étape vers la paix dans le monde.

Quatre purifications :

  1. Purification du temple du corps

Es-tu libéré de toutes tes mauvaises habitudes ? Dans ton alimentation, donnes-tu la préférence aux aliments indispensables à la vie ? aux fruits, aux céréales complètes, aux légumes, aux noix ? Vas-tu tôt au lit et as-tu suffisamment de sommeil ? As-tu suffisamment d’air pur ? de soleil ? de contact avec la nature ? Si tu peux répondre oui à ces questions, tu es déjà très en avance dans la voie de la purification du temple du corps.

  • Purification des pensées

Il ne suffit pas de faire ce qui est juste. Il faut aussi penser ce qui est juste. Les pensées positives peuvent constituer une grande force pour le bien. Les pensées négatives peuvent te rendre physiquement malade. Il ne peut subsister aucun conflit entre toi et les autres. Tu ne pourras trouver l’harmonie intérieure que lorsque tu auras cessé d’avoir des pensées dysharmonieuses.

  • Purification des désirs

Comme tu es sur Terre pour vivre en accord avec les lois qui régissent le comportement humain et conformément à ton rôle dans l’ordre du monde, tes désirs devraient tendre vers cet idéal.

  • Purification des motifs

Il est évident que tes motifs ne doivent jamais être l’avidité, l’égoïsme ou l’exaltation du soi, ni même la recherche égoïste de ta propre paix intérieure. Ton objectif doit être le service de ton prochain, et alors seulement, ta vie deviendra harmonieuse.

Quelques extraits du livre :  Étapes vers la Paix Intérieure 1964 de Mildred Lisette Norman

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L’IMAGERIE GUIDEE pour atteindre sa propre Guérison

Selon le Dr. Martin Rossman, médecin pratiquant au nord de San Francisco : « L’esprit est probablement le moyen de guérir le moins utilisé que nous avons. »

Pourquoi ne pas utiliser cette fonction de l’esprit pour notre bénéfice ? On ne comprend pas encore bien comment le corps se guérit. Nous savons qu’il y a un système de guérison, comme il y a un système digestif, nerveux, sanguin, respiratoire, etc. Il semble que l’on puisse avoir accès au système de guérison par l’entremise de l’imagerie. Lorsque l’on dialogue avec des images, on trouve souvent des solutions à des problèmes frustrants qui semblent insolubles.

On peut penser à ses propres problèmes comme à des aventures à vivre, à des conquêtes de mondes nouveaux, à des occasions de devenir plus authentique. L’imagerie est un outil précieux et puissant, à la disposition de l’esprit, pour chevaucher les obstacles plus rapidement et de manière plus élégante.

Prenons quelques exemples, provenant du livre du Dr Rossman Healing Yourself (Guérissez-vous vous-même), que j’offre avec sa permission. Tout d’abord, un mot du Dr Rossman : « Bien que votre propre imagerie soit la plus importante, les exemples qui suivent vous permettront de réaliser la diversité provenant de l’imagination de différents individus. Commençons par les cas de trois personnes qui ont mal au dos.« 

VOICI 10 EXEMPLES …..

Exemple 1 : hernie discale

  • Un de mes amis, un chirurgien orthopédiste, avait une hernie discale très douloureuse dans la région lombaire. C’était un docteur très progressiste qui utilisait déjà l’hypnose pour venir en aide à ses patients et leur permettre de se remettre de leur opération chirurgicale plus rapidement. Il croyait en la puissance de l’esprit dans la guérison, bien qu’il doutât que l’imagerie puisse réparer un disque intervertébral rompu. Pourtant, il voulait tout faire pour éviter une opération.

En tant que chirurgien, il ne lui a pas été difficile de visualiser le disque. Il en avait vu tellement durant ses opérations. Il le décrit comme étant un sac fibreux, dont le contenu avait explosé et faisait pression sur un nerf dans le dos. Il ne pouvait imaginer aucun moyen pour réparer le désastre sans faire appel à une intervention chirurgicale. Son taux de frustration s’accrut.

Finalement, il décida de se relaxer très profondément pour voir si l’image pourrait changer d’elle-même. Soudainement, il vit une image très vive du centre du disque, qui aspirait les parties de ce disque qui avaient rompu. La déchirure se ferma, comme le diaphragme d’un appareil photographique. Cette image si vive le stupéfia. Il fut encore plus stupéfait de réaliser que la douleur avait bien diminué après cette session. Il fut capable de marcher sans mal pour la première fois depuis des semaines. Il récupéra, sans avoir à faire appel à une intervention chirurgicale, un fait qui lui fit grand plaisir et qui l’étonna grandement.

Exemple 2 et 3 : Des douleurs dans le dos

  • Un autre ami et patient avait des douleurs récurrentes dans le dos. Il imagina un nœud dans une grosse corde, qui représentait les spasmes musculaires qui le faisaient souffrir. Il se relaxa en imaginant le nœud se défaisant. Chaque fois qu’il avait des douleurs, il répétait la visualisation. Lorsque le nœud disparaissait, les douleurs s’envolaient avec lui.
  • Un autre patient avait des douleurs sévères et persistantes depuis une année. Il imagina qu’un couteau lui était planté dans le dos. Je lui demandai de regarder qui avait planté le couteau dans son dos. Il vit son ex-partenaire d’affaires, qui l’avait volé et qui avait détruit son commerce. Après quelques brèves sessions de conseils psychologiques, il résolut son problème et fut capable d’exprimer sa colère et sa perte, qui étaient restées plantées dans son corps. Les douleurs disparurent au fur et à mesure qu’il analysait et relâchait ses sentiments.

Ces trois exemples démontrent qu’une douleur dans le dos ne va pas nécessairement engendrer des images identiques, mais qu’elles sont quelquefois bien distinctes. L’imagerie sera différente selon les personnes et conduira dans des directions différentes. Parfois, l’imagerie active (celle produite par l’esprit conscient) suffira pour diminuer les douleurs et stimuler la guérison, alors que dans d’autres cas, l’imagerie réceptive (qui provient du subconscient) fournira des indications pour résoudre des problèmes physiques et émotionnels ou pour régler des situations qui ont besoin de changer avant qu’une guérison puisse s’effectuer.

Exemple 4 : un poignet enflammé

  • Un homme avait un poignet enflammé très douloureux. Il imagina que les os de son poignet avaient des arêtes tranchantes, qui frottaient l’une contre l’autre. L’image d’un poignet normal démontrait des os bien arrondis, avec des morceaux de caoutchouc et de ouate qui agissaient comme coussins entre les os, ce qui permettait à son poignet de fonctionner sans douleur. Dans son imagerie de guérison, il imagina placer des coussinets et des supports entre les os de son poignet douloureux. Il fut ainsi capable de fortement diminuer l’inconfort qu’il ressentait durant la guérison de son poignet. Bien que son imagerie ne soit pas exacte anatomiquement, elle fut très effective pour diminuer l’intensité de la douleur.

Exemple 5 : colite ulcéreuse

  • Un jeune homme souffrait de colite ulcéreuse et avait des crampes abdominales très douloureuses, qui le faisaient saigner du rectum, cela depuis deux mois. Les médicaments ne l’aidaient pas du tout et il ne voulait pas prendre de la cortisone s’il pouvait l’éviter. Il imagina son côlon de couleur rouge, à vif et irrité. Il dit qu’il semblait très tendu et hypersensible. Alors qu’il se relaxait avec les mains sur le ventre, il imagina que ses mains fondaient dans son corps et qu’il massait son côlon avec amour. Il imagina son côlon se relaxer entre ses mains. En même temps, il sentit une douce chaleur se propager dans son ventre et imagina du sang frais et sain qui circulait envers son côlon, le rafraîchissant, le nettoyant et le guérissant. Ses symptômes disparurent en l’espace de deux jours. Trois semaines plus tard, son gastro-entérologue lui dit que son côlon avait l’air complètement guéri.

Exemple 6 : hernie discale

  • Un opérateur de matériel lourd retraité, de soixante-cinq ans, avait une hernie discale qui le faisait beaucoup souffrir. Il imagina qu’une petite équipe d’ouvriers insérait des vérins de levage de maison entre ses vertèbres. Il imagina cette équipe nettoyant le vieux disque rompu et installant un nouveau disque, qu’il visualisa comme étant une petite balle en caoutchouc très robuste. Lorsque l’équipe de nettoyage enleva les vérins de levage, la balle s’aplatit en forme d’amortisseur cylindrique, qui maintenait l’espace entre ses vertèbres. Il imagina même qu’il amortissait les articulations alors qu’il marchait. Il trouva que cette image était une façon très effective de diminuer ses douleurs de dos et de sciatique.

Exemple 7 : endométriose

Une femme d’une trentaine d’années souffrait d’endométriose. Elle visualisa sa maladie comme étant du goudron qui collait à ses organes pelviens. Elle imagina qu’elle avait en main un produit de nettoyage très puissant, un grattoir et une serpillière. Dans son esprit, elle se vit soigneusement nettoyer le goudron. Elle fit cet exercice durant quinze minutes, deux ou trois fois par jour. Trois mois plus tard, alors que son gynécologue l’auscultait à l’aide d’un laparoscope, aucune trace d’endométriose ne fut trouvée.

Exemple 8 : ulcère gastro-duodénal

Un homme d’affaires de cinquante-deux ans avait un ulcère gastro-duodénal. Il imagina qu’il pulvérisait l’intérieur de son estomac et de ses intestins avec une mousse blanche rafraîchissante, trois fois par jour, entre les repas. Sa douleur diminua, puis disparu rapidement. Il put même arrêter de prendre ses médicaments. Il n’eut plus aucun ulcère, malgré plusieurs années très stressantes.

Exemple 9 : sinusite

Une mère de trois enfants souffrait de maux de tête et de sinusite depuis une semaine. Son imagerie prit la forme d’un œil énorme, avec des ailes de chaque côté. Alors qu’elle l’observait, il prit vol soudainement et une large goutte visqueuse tomba dans le fond de sa gorge. Cela la surprit et elle s’assit. Son mal de tête avait disparu. Ni elle, ni moi, n’avons jamais compris la signification de ce symbole. Il semble que l’imagerie avait d’elle-même résolu le problème.

Exemple 10 : crise de panique

Un jeune cadre de vingt-sept ans avait des crises de panique au bureau. Alors qu’il se relaxait, il demanda à une image de la panique d’apparaître. Une abeille fébrile apparut, volant ici et là, dans un état très agité. L’abeille semblait papillonner dans tous les sens, sans direction. L’image de guérison apparut comme une rose. Il visualisa tendre la rose devant l’abeille, qui vint se poser pour recueillir du pollen. L’abeille semblait plus paisible et satisfaite, de même que le jeune homme. Il trouva que cette simple visualisation le calmait et le centrait. Il utilisa cette imagerie d’abeille pendant quelques minutes lorsqu’il sentait la panique monter et lorsqu’il manquait de direction.

J’aimerais vous rappeler ici que les histoires ci-dessus proviennent de l’expérience d’un docteur en médecine, professeur dans une université médicale, où il apprend ses techniques d’imagerie aux étudiants. L’imagerie guidée interactive est reconnue comme étant la technique de médecine douce ou alternative apportant le plus de bénéfices.

Le dessin

Les dessins sont des portes ouvertes sur l’intérieur profond de l’être. C’est un acte créatif provenant de la partie droite du cerveau, la partie où réside en général l’imagination et l’intuition. Le dessin reflète nos pensées les plus profondes. Il permet une prise de conscience de nos pensées subconscientes, nous donnant l’occasion de les analyser avec la partie gauche du cerveau et de prendre des décisions.

Le Dr Bernie Siegel, un médecin oncologue, utilise le dessin. Il demande à ses patients de dessiner leur maladie. Un jour, une de ces jeunes patientes avait des ganglions lymphatiques très enflés dans le cou. Les parents craignaient le pire. Les lymphomes courraient dans la famille. Le docteur voulait préparer la jeune fille à la batterie de tests qu’ils allaient entreprendre. Il lui demanda de faire un dessin, pour déceler quelles frayeurs elle pourrait avoir. La fillette se dessina, avec son chat, qui avait des griffes ENORMES. Le médecin prit le dessin chez lui, pour méditer. Il se demanda pourquoi ce chat préoccupait sa patiente. Soudain, une idée lui vint. Pourrait-elle souffrir de la maladie des griffes de chat. Les examens le confirmèrent.

Avant d’entreprendre un traitement contre le cancer, le Dr Siegel demande à ses patients de dessiner leur cancer ET les soins thérapeutiques qu’ils allaient recevoir, que ce soit chirurgie, radiation ou chimiothérapie. Si le dessin montre que la maladie est énorme et le traitement minime, le docteur sait qu’il faut envisager de la psychothérapie avant de commencer les soins. Le patient n’a pas confiance ou ne pense pas que le traitement réussira. Si le dessin montre que le médecin est un diable qui est en train de l’empoisonner… ce n’est pas bon signe. Il faut peut-être éduquer le patient et diriger son esprit vers une solution un peu plus optimiste. Si le dessin est joyeux et montre un petit cancer et un traitement efficace, le patient est prêt au traitement.

LIRE l’article de Danielle J. Duperret  Docteur naturopathe et holistique, ND/PhD – Las Vegas (USA) – site web www.DanielleDuperret.com/fr

D’OU VIENT LA MALADIE

Son origine vient des actes que l’on a réalisés dans d’autres vies. Il s’agit d’épreuves pour éliminer des dettes accumulées, des actes contre la loi de l’amour, commis par égoïsme. Je n’arrive pas à comprendre.

Quel rapport peut avoir une maladie avec un acte du passé ?

Comment une maladie peut-elle se transmettre d’une vie à l’autre ?

Pourrais-tu t’expliquer un peu mieux ?

Quand quelqu’un commet un acte contre la loi de l’amour, par la loi d’action et réaction spirituelle, cet acte reste imprégné dans son esprit sous la forme d’un toxique psychique qui fait baisser son niveau vibratoire et altère sa configuration. Cette altération, par correspondance vibratoire, finit par altérer aussi les corps plus denses, le corps mental et le corps astral, qui est le patron du futur corps physique. Si le corps astral conserve encore cette altération au moment de l’incarnation, il peut provoquer une altération dans le code génétique du corps physique, et produire ainsi une maladie congénitale. Donc, la vraie cause de la maladie est toujours l’égoïsme, même s’il s’agit de l’égoïsme d’une vie antérieure. D’accord, mais l’on sait qu’il y a des altérations génétiques qui sont héritées, c’est-à-dire qui sont déjà dans le code génétique des parents, elles ne semblent donc pas venir du corps astral de l’incarnant.

Que peux-tu me dire à ce sujet ?

 Il est bien vrai que la prédisposition à certaines maladies est un héritage génétique des parents. Mais notez bien que l’esprit qui s’incarne connaît cette circonstance et l’accepte en sachant que le handicap physique ou psychique est une épreuve qu’il doit affronter comme conséquence de ses actes dans d’autres vies. C’est aussi une épreuve pour les parents, qui acceptèrent aussi de subir ce genre de circonstances.

Je pense que si l’on disait cela aux gens qui sont en train de vivre ces pénibles épreuves personnellement ou chez leurs êtres chers, ils ne le croiraient pas. Surement, ils se demanderaient : qu’avons-nous fait pour mériter ceci ?

C’est normal qu’ils pensent cela car pour pouvoir le comprendre entièrement il faudrait d’abord admettre qu’il existe la vie avant la naissance et que durant ce temps-là, les esprits ont créé les circonstances qu’ils vivront dans les vies suivantes. De toute façon, il s’agit d’une situation transitoire car la vie continue au-delà de cette incarnation, et de l’épreuve qu’ils sont en train de subir ils peuvent tirer une leçon d’amour, c’est justement l’objectif.

Il y a des esprits qui sont venus affronter certaines épreuves et ils utilisent la maladie pour ne pas se laisser emporter par le matérialisme et ne pas oublier le but de leur incarnation. C’est-à-dire que la maladie se déclenchera uniquement si l’esprit se détourne du chemin qu’il s’est tracé auparavant, tout comme les bandes sonores qu’il y a au bord des routes pour nous avertir que l’on risque de sortir de la voie. Tandis que d’autres personnes dans ces mêmes circonstances ne développeraient aucune maladie importante, ceux qui en sont susceptibles n’ont besoin que d’une stimulation émotionnelle beaucoup moins intense pour l’activer.

La chimiothérapie et la radiothérapie que l’on utilise actuellement essayent d’éliminer les symptômes, c’est-à-dire la prolifération cellulaire, mais elles ne servent pas à stopper la maladie car elles n’agissent pas sur son origine. Ces thérapies nuisent a l’ADN et génèrent des lésions cellulaires très profondes qui souvent sont permanentes et ne peuvent plus se régénérer. Il est difficile de comprendre qu’en sachant que le cancer se produit à cause des altérations génétiques vous utilisiez comme traitement des agents qui provoquent ces mêmes altérations.

S’ils guérissent c’est parce qu’ils ont résolu le problème émotionnel qui en était l’origine, ou bien parce qu’en réalité la maladie était bénigne, et non parce qu’on leur a supprimé les symptômes. Si le mal émotionnel ou spirituel persiste, le cancer réapparaitra, au même endroit ou dans une autre zone, si on a extirpé le premier tissu affecté.

Le Reiky est une méthode de guérison naturelle qui utilise l’énergie vitale universelle et qui aide à guérir des maladies physiques et mentales. Reiky est le nom que lui donna le prêtre japonais qui le redécouvrit, et cela signifie « énergie vitale universelle ». Bien qu’actuellement elle est connue sous ce nom, la transmission 194 d’énergie pour améliorer la santé a été utilisée depuis des milliers d’années sous d’autres noms ; c’est l’imposition des mains que faisait Jésus, la « guérison par la grâce ».

Ce que l’on reçoit gratuitement, c’est-à-dire l’énergie universelle, qui n’appartient pas à celui qui la transmet, doit être donné de la même façon. Ceux qui se font payer pour faire des séances de Reiky ne comptent que sur leur propre énergie, mais qu’ils n’attendent pas l’aide des entités spirituelles de hautes vibrations parce que pour les capter il faut la volonté désintéressée de soulager les maux d’autrui, et ceux qui touchent de l’argent pour pratiquer le Reiky n’ont pas de volonté désintéressée puisqu’ils espèrent en tirer un bénéfice économique.

La maladie n’est pas une fatalité du destin ni un châtiment divin, elle est un outil de croissance spirituelle.

Les maladies acquises dans cette vie, sont la conséquence de ne pas savoir ou de ne pas vouloir assumer les épreuves que l’on doit subir dans la présente incarnation, ou bien parce que l’on a réprimé l’intérieur spirituel en n’agissant pas en accord avec les sentiments. Dans ce cas, la maladie physique nous prévient sur la maladie intérieure, et nous incite à changer. Dans le cas de maladies congénitales, leur origine se trouve dans les actes réalisés dans d’autres vies. Elles sont des épreuves pour éliminer des dettes accumulées, dans un processus qui transfère au corps physique les toxiques psychiques qui nous empêchent de nous élever spirituellement.

SOURCE : Extraits du Livre de  LESLOISSPIRITUELLES. de Vincent Guillem p. 189 à 198

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