Manipulation machiavélique


 Une histoire de graphène volatile On peut dès lors comprendre pourquoi la population infantile n’a nullement été impactée par le covid et pourquoi  les sportifs professionnels échappent totalement à ses formes sévères. 

Malgré le port de la muselière et la multiplication des test PCR qui les auraient « graphénisés » via les muqueuses du nez, ces deux catégories ont été protégées par leur taux élevé de glutathion.  Indice supplémentaire que cette thèse est crédible, l’antioxydant et son acide aminé précurseur, la N-acétylcystéine, font figure d’alliés performants dans la prévention et le traitement du covid, comme l’indique  cette étude scientifique.  M’est avis que Dame Vérité est en train de sortir du puits et qu’il sera compliqué pour la propagande covidiste de l’y faire retourner.

Si elle se vérifie, cette histoire de graphène volatile  permettrait de surcroît d’éclairer un autre mystère qui me turlupine, à savoir l’absence de covidés symptomatiques parmi les résistants radicaux que je fréquente.

Depuis le début de la mascarade,  mes amis « complotistes » et moi refusons  résolument de  porter le masque, de nous faire tester par  ces longs coton-tiges enfoncés dans les narines et bien sûr de nous faire vacciner. En revanche, nous participons allègrement à des rassemblements extérieurs ou intérieurs qui devraient théoriquement nous exposer à des « clusters ».  Pourtant,  depuis plus d’un an, je n’entends jamais dire que l’un d’entre nous a déclaré autre chose qu’un rhume ou une petite grippe classiques.

Serions-nous protégés de la grippe covid  par notre triple réticence à nous plier aux règles ?

Et ce refus nous aurait-il mis à l’abri  d’une odieuse machination consistant à contrôler le cerveau des gens exposés aux nanoparticules graphitiques ?  Selon Delgado et Sevillano,  l’oxyde de graphène  possède également des propriétés d’ « absorption électronique », ce qui signifie que ce matériau  révolutionnaire peut être « excité » par certains rayonnements électromagnétiques. Et d’après le duo espagnol, la bande de fréquences à laquelle réagirait le graphène est précisément celle de la technologie 5G, celle que les gouvernements veulent nous vendre à tout prix  et dont ils ont d’ailleurs accéléré le déploiement grâce à la crise et la  mise entre parenthèses de la démocratie.  

Les individus « graphénisés» seraient donc intoxiqués  et manipulés à distance ? Ils ne seraient plus maîtres de leurs neurones  et soumis à un programme d’asservissement  mental machiavélique ?  Et ceci expliquerait  au passage  que les vaccinés soient  puissamment magnétisés au point d’injection   ? 

Ce scénario d’un obscur et immonde complot, je ne l’ai jamais trop pris au sérieux.  J’ai toujours privilégié celui d’une  pseudo-pandémie auto-réalisée par l’affolement virophobique et la dissimulation de sa vraie causalité toxicologique.  À cet égard,  les révélations sur le graphène comme adjuvant vaccinal me semblent relever du pot aux roses enfin dévoilé. Si elles sont avérées, l’omniprésence  et la magnétisation des nanoparticules sont cependant de nature à ébranler ma réserve envers les théories franchement conspirationnistes.

Quand il y a trop de hasards, la pléthore de hasards finit par tuer le hasard.

ECRIT PAR Yves Rasir du magasine NEOSANTE

(*)  Pour les Belges, je recommande la lecture du « Rapport Alpha », un autre document de très bonne facture rédigé par un collectif de citoyens éveillés.  Intitulée « Le Covid revisité » et adressée fin avril à tous  les ministres et parlementaires que compte la Belgique, cette analyse accablante n’a toujours bénéficié d’aucun écho médiatique, ce qui en dit long sur la censure et la pensée unique qui règnent au sein des rédactions.

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Le lâcher-prise comme moyen de guérison

Le lâcher-prise favorise un élargissement de la conscience. Lâcher prise signifie laisser aller, s’en remettre à une force supérieure, à la puissance divine. C’est avoir la foi et faire confiance à la vie. Lâcher prise n’est pas synonyme de se laisser aller. Se laisser aller, ce serait abdiquer, ne plus croire et ne plus vouloir vivre.


Nous devons apprendre à abandonner et à nous abandonner. Lâcher prise, c’est laisser aller les événements sans intervenir, sans chercher à garder toujours le contrôle.


Notre attitude et nos ressources intérieures influencent grandement notre pouvoir de guérison et notre qualité de vie à court, à moyen et à long terme. Dans ce contexte, j’avais un choix à faire : accepter de n’avoir pas nécessairement le dernier mot ! J’ai alors eu besoin d’une très grande force intérieure pour calmer mon mental qui était tout ébouriffé, ma raison tellement inquiète de ne plus rien contrôler. C’est à ce moment précis que j’ai dû lâcher prise et m’en remettre très humblement aux autorités médicales compétentes et à la Puissance divine.


En tant que créatures divines, nous sommes reliées à la puissance universelle. Cette force qui régit l’univers nous régit aussi. La nature n’a pas besoin de nous pour s’épanouir. Toute forme de vie végétale, animale et humaine prend sa source dans l’Univers. La graine germe en terre, croît et meurt selon son cycle sans que l’humain ait à intervenir dans ce processus sacré. Une force supérieure est à l’origine de toute vie, et c’est à cette source que nous devons activer nos énergies de guérison. Nous faisons agir le Divin en nous, ce potentiel énergétique qui réside en chacun de nous, et nous puisons à cette source intarissable. Notre véritable pouvoir de guérison est à l’intérieur de nous.


La perte de contrôle occasionnée par ma maladie m’a amenée à lâcher prise face à mes anciens comportements, à mes anciennes structures et perceptions. Cela m’a fait un bien énorme et m’a permis d’apprendre à vivre autrement. Je ne suis plus figée dans le passé. Je m’efforce de vivre le moment présent et d’être totalement disponible quoi que je fasse ou quoi que je ressente. Cela exige néanmoins beaucoup d’attention.

Plus l’emprise de notre attachement au passé se resserre, plus notre douleur et notre confusion deviennent stressantes et limitatives. Notre esprit devient de plus en plus étroit et focalise sur les mêmes éléments, les mêmes pensées, les mêmes dialogues intérieurs. C’est à ce moment-là que la maladie s’installe parce que nous sommes en état de faiblesse, de la même manière qu’une plante sera envahie par les pucerons si son équilibre est perturbé.


Dans le but de retrouver notre force et notre vigueur, l’attachement au Moi, l’attachement aux autres et l’attachement au passé doivent être relâchés et dépassés. Plus l’emprise de l’attachement se relâche, plus nous nous sentons libres, guéris et à l’aise. La paix de l’esprit s’installe alors à nouveau. Comme le dit encore si bien Tulku Thondup dans Une source inépuisable de paix et de guérison : « Être en paix, ce n’est pas seulement être dans un état neutre de repos, où pensées, actions et émotions sont absentes. C’est être conscient des expériences et des manifestations paisibles de notre esprit. La paix de l’esprit génère la joie, cette joie née de la conscience de l’absence de conflit, une joie ouverte et sans limites. Grâce à la force qui émane de cette prise de conscience de notre paix intérieure, rien ne peut nous déranger. »

Notre âme s’incarne dans un but précis, celui d’expérimenter diverses situations riches en contenu et significatives pour elle. C’est grâce à cette expérimentation que se poursuit notre évolution spirituelle. Me choisir veut donc dire permettre à l’être que je suis de réaliser pleinement son plan de vie. Pour me choisir, il est essentiel que j’apprenne à me connaître, à me faire confiance et à aller au bout de mes rêves.

Si nous nous contentons d’éliminer les cellules malades par un traitement de médecine traditionnelle sans régler notre problématique sur le plan psychique, nous pouvons penser que le cancer reviendra ou qu’il poursuivra sa course dans notre organisme puisque le problème de base n’est pas résolu. Il devient donc récurrent. Je pense que la solution pour guérir est de traiter à la fois le corps, l’âme et l’esprit. Nous entrons ainsi dans une nouvelle phase de notre vie et nous guérissons.


(1) Extrait du livre « Activer son pouvoir de guérison, découvrir le message du cancer et des autres maladies » , par Johanne Robitaille Manouvrier (Editions Publistar).

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POUR GUERIR, nous devons nous changer nous-mêmes

Pour guérir en profondeur, il faut apporter une solution au conflit psycho-émotionnel qui est la cause de la maladie ou du mal-être. Et pour ça, il est bien souvent indispensable de se bouger et de changer quelque chose à sa vie. Mais si on pense immédiatement à la vie matérielle et concrète, on oublie trop souvent que le changement peut-être purement intérieur, psychique et/ou spirituel. Il ne s’agit plus de changer quelque chose à l’extérieur de soi, mais d’entamer un processus de mutation interne. Claude Degryse nous en donne le mode d’emploi à la lumière de la tradition chamanique.

Si l’on a des problèmes dans la vie, il est toujours possible, en effet , d’en pressentir les causes dans notre environnement, familial, professionnel ou plus largement social, voire accuser l’époque le lieu ou le climat. On peut alors chercher à les résoudre en changeant d’entreprise, de patron, de femme , de mari, de voisinage, de style vestimentaire , de région, de voiture , de télé, etc.. la liste serait trop longue pour citer tous les changements-alibis qui sont à notre disposition pour éviter de se confronter au plus redouté de tous !

C’est une pratique très courante mais, honnêtement, dans combien de cas de figures qui pourraient illustrer ces exemples de changements « extérieurs » le mieux-être est-il vraiment et durablement revenu ?Certes, le changement extérieur peut parfois améliorer une situation mais le plus souvent ce n’est, comme en médecine allopathique, qu’ une panacée sur un mal dont la vraie cause se trouve, non dans d’hypothétiques attaques d’origine extérieure, mais dans une certaine disposition à les susciter !

Une philosophie ancienne

 

A l’opposé de cette attitude, il existe une certaine philosophie de la vie très ancienne qui resurgit en ce moment avec l’émergence des médecines douces et du développement personnel et qui nous chuchote à l’oreille : « et si les choses n’étaient pas exactement comme tu les vois et comme tu les ressens ? Et si le monde n’était pas tel que tu le vois mais tel que tu as besoin de le regarder pour continuer à te plaindre et lui en vouloir ? Si tu pouvais changer tes opinions et tes croyances sur tout ce qui t’entoure…. et sur toi-même, que se passerait-il par rapport à ce qui ta manque pour être heureux ou par rapport à ta souffrance ? Cela pourrait-il participer à ta guérison, à ton mieux-être ? »


La graine du changement intérieur vient d’être semée dans une conscience ! Va-t-elle germer ?C’est qu’ils sont encore si peu nombreux nos frères les humains, à laisser leur jardinier intérieur planter sa petite graine dans leurs esprits déroutés par ce monde implacable et ils sont surtout formatés depuis des millénaires pour croire au grand dogme de l’objectivisme qui, des hauteurs philosophiques et scientifiques où il est né, est redescendu s’implanter dans leurs esprits dociles pour leur occulter le plus précieux secret de leur conscience: celui d’être les créateurs de leur propre réalité ! Un avatar très positif du subjectivisme !Mais si la graine a germé, il reste encore cependant deux grands pas à franchir pour que la dynamique du changement intérieur se mette en marche. Le premier pas est l’acceptation de ce chuchotement. C’est en effet une responsabilité écrasante qui s’abat tout à coup sur l’homme à la petite graine car le monstre de la culpabilité vient de pointer son nez et de murmurer lui aussi à son oreille :


« Alors, qu’est-ce que j’ai fait pendant tout ce temps ? Je me serais donc trompé toute ma vie en pensant que le problème venait des autres ? Que la société allait mal ? Que mon patron ne peut pas me sentir ? Que ma femme est de mauvaisefoi ? Que mes enfants sont ingrats ? Ce serait donc moi l’auteur de tout ça ? »C’est là que l’homme à la petite graine risque de faire demi-tour et de revenir à ses causes extérieures et pendant qu’il pense , soulagé, que le monde est bien tordu, comme il l’avait vu, que finalement c’est lui qui avait raison, il rentre chez lui et s’affale devant sa télé en étouffant définitivement la petite graine sous ses pantoufles. Et la vie continue comme avant…

Un cruel paradoxe

 

Le changement intérieur est un paradoxe cruel : c’est la plus redoutable des perspectives pour la majorité des hommes et simultanément c’est non seulement le seul chemin assuré d’un véritable bonheur durable mais, bien au-delà, c’est la voie de tous les pouvoirs dont l’homme puisse rêver…


Mais qu’est-ce qui rend donc le changement intérieur si redoutable ? Deux mots sont au cœur de la réponse : l’égo et l’inconnu.


L’ homme n’est jamais tout seul dans sa tête , il est très tôt dans sa vie accompagné de son double mental, son ego, une représentation complète de lui-même qui se nourrit en permanence de tous ses ressentis, convictions et succès mais aussi de tous ses doutes et peurs , c’est l’image qu’il se fait de lui-même (ego- miroir) et en même temps l’image de lui-même qu’il veut donner aux autres (ego- façade) , la seconde cachant souvent soigneusement la première.Cet ego génère une attitude perpétuellement défensive face aux influences extérieures : car, confondant son ego et lui-même, l’homme fonde sa confiance en lui-même sur l’opinion favorable qu’il doit avoir de son ego-miroir et la considération qu’il veut recevoir et obtient de la part de ses semblables par son ego-façade.


Face à lui-même et aux autres, il se doit d’être fort, de ne jamais être pris en faute, d’être savant, d’avoir toujours raison . L’homme s’identifiant donc totalement à son ego, constitué de ses idées, valeurs et modèles de comportement, on comprend maintenant que tout changement fondé logiquement sur une remise en question de ceux-ci, ne peut être que redouté et douloureux. Voyons maintenant ce que représente l’inconnu et en quoi il est un gros obstacle au changement intérieur.


Le Tonal et le Nagual

La psychologie chamanique est un système binaire .Tout ce que l’homme connaît, tout ce qui lui est familier, qu’il peut identifier, nommer, expliquer est son connu, appelé en chamanisme toltèque, le Tonal.

L’inconnu représente à l’opposé l’immense réservoir sans limites d’informations et d’énergies contenu dans un champ de conscience qui, bien qu’appartenant également à la conscience totale de l’être humain, lui reste le plus souvent étranger , toute l’attention de celui-ci étant dévorée par la gestion de son quotidien . Ce territoire s’appelle le Nagual.Le connu, ou tonal, est conservé à la surface de la conscience par l’une des deux plus grandes forces abstraites de l’univers, la mémoire. Le rôle de celle-ci est de conserver le tonal le plus possible semblable à lui-même – elle s’oppose donc à tout changement , à toute introduction de connaissances ou d’énergies inconnues dans le tonal


Heureusement une seconde force gouverne tout l’univers, en tant qu’énergie abstraite opposée et complémentaire à la force de permanence : C’ est la force de changement ( ou force de créativité cosmique) dont le rôle est d’apporter une rupture, une transformation des choses, une évolution, du nouveau . Ensemble, les deux forces gèrent l’univers dans une alternative permanente de conservation et d’évolution.

Extrait de l’article SOURCE : Article 76 Par Claude Degryse du Magazine NEO SANTE REVUE N°43 5 FÉVRIER 2018

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Utilisation de béquilles chimiques

Ce ne sont pas les traitements médicaux, quels qu’ils soient, qui guérissent les maladies, c’est le corps qui se guérit lui-même, pour autant que nous ne l’empêchions pas de faire son travail. Cette vérité est essentielle pour sortir du drame de maladies qui poussent les gens à consommer des traitements médicaux dont la conséquence est d’empoisonner à petit feu l’organisme en paralysant ses fonctions d’auto-réparation. Un traitement chimique en situation d’urgence peut sauver des vies, mais donner des médicaments à vie à des gens ne peut que les priver de tout espoir de guérison naturelle. Car les « béquilles chimiques » rendent le corps de plus en plus impuissant à rétablir l’harmonie de la santé.

Virus et bactéries ne sont pas des ennemis à abattre mais des partenaires, des alliés, qui agissent pour notre bien, dans la mesure bien sûr où un système immunitaire en bon état peut gérer leur travail de fabrication de vitamines et de dépollution du corps. L’abus d’antibiotiques, pour détruire les bactéries considérées comme des agresseurs ainsi que la pasteurisation des aliments sont devenus des fléaux dramatiques car chaque prise d’antibiotiques détruit notre flore intestinale, qui est l’un des agents les plus importants du système immunitaire et les aliments stérilisés par la chaleur ont perdu toute valeur nutritive. Sans parler des fours à micro-ondes qui sont d’une effarante toxicité. Les additifs alimentaires, les adjuvants vaccinaux, les milliers de produits de consommation bourrés de molécules chimiques, les ondes électromagnétiques des téléphones portables et des ordinateurs, la radioactivité et toutes les autres formes de pollutions nous font vivre dans un environnement de plus en plus toxique. Nous ne pouvons pas continuer à faire les autruches en nous persuadant que « tout va bien », continuons comme d’habitude… faisons comme si nous ne sommes responsables de rien et que nos gouvernants, autorités médicales ou religieuses, institutions de toutes sortes et multinationales de toutes tailles sont dignes de confiance !

Dans « Confessions d’un médecin révolté », le Professeur Peter YODA écrit : « Les médecins sont soumis à une sorte de lavage de cerveau durant leurs études et ils croient presque tous ces mensonges enseignés volontairement.  Ils prétendent donc qu’il existe des cellules humaines malignes, dégénérées, appelées cellules cancéreuses.

D’après les « experts du cancer », ces cellules malignes doivent impérativement être tuées au moyen de thérapies destructrices. Qu’elles fassent partie d’un ensemble plus grand de cellules, nommé être humain, n’entre évidemment pas en ligne de compte. De même il n’est discuté dans aucune faculté occidentale si les cellules cancéreuses sont réversibles et si elles peuvent de nouveau se différencier en cellules tout-à-fait normales.

Un cancérologue connaît l’anatomie et pourra vous dire pourquoi vous avez tel ou tel organe. Mais que sait-il au fond du cancer ? Dans les facultés et les cliniques, il apprend seulement qu’il faut procéder à l’ablation de la tumeur ou la détruire par chimiothérapie ou rayonnement. Et si la théorie de la destruction indispensable de la tumeur était FONDAMENTALEMENT fausse ? Ne vous êtes-vous jamais demandé pourquoi 230.000 personnes environ meurent chaque année du cancer en Allemagne MALGRé, dans la plupart des cas, une destruction préalable de leur tumeur ? Avez-vous seulement osé vous demander si tant de personnes ne seraient pas mortes PARCE QUE leur tumeur a été tuée ? Je dis bien tuée !

Les médecins holistiques répètent que nous devons mobiliser nos forces d’auto-guérison. Qu’est-ce que cela signifie concrètement ? Ces forces ont-elles été perdues, se sont-elles épuisées ? Bien sûr que non.

Elles sont toujours présentes. Mais nous avons perdu foi en elles parce que nous avons échangé, il y a des décennies, la connaissance des forces d’auto-guérison contre celle de la « médecine moderne ». Nous disons aujourd’hui que si nous prenons les médicaments et recouvrons la santé, ce sont les médicaments qui nous ont aidés. SI nous demeurons malades, « malgré » les médicaments, ou si nous devenons encore plus malades, c’est que la maladie est plus forte. Percevez-vous que, dans ce système, la médecine moderne ne peut jamais perdre la face ? Que vous guérissiez ou que vous restiez malade, la faute est toujours à VOUS et pas à la médecine.

En moins de deux siècles, une poignée de médecins a réussi à tromper le monde entier et en même temps à édifier un système tel que ceux qui y collaborent sont toujours les gagnants. Les thérapies qu’ils ont créées ne servent en réalité qu’à satisfaire la pulsion de conservation du système et non les patients !

Peut-être comprenez-vous à présent pourquoi les gens « du dehors », c’est-à-dire hors du système, sont constamment combattus et pourchassés. Plus ils sont bons, plus ils sont attaqués et, même si vous ne me croyez pas, ils sont parfois assassinés.

Les hommes de main des firmes pharmaceutiques nous ont raconté que la qualité des médicaments se mesure à leurs effets secondaires. Plus un médicament a d’effets secondaires, plus il est actif. Comment pouvons-nous être assez aveugles pour croire à de telles inepties ? Les effets secondaires ne sont pas un mal nécessaire dans un traitement mais ils expriment en fait ses principaux effets. Accessoirement ils servent aussi à ce que vous ayez besoin de davantage de médicaments ou à ce que vous ne guérissiez pas si vite : un mouvement perpétuel parfait avec lequel on peut gagner beaucoup d’argent, surtout auprès des personnes âgées. Combien de fois ai-je moi-même vu des patients prendre plus de dix médicaments différents. Bien sûr, tout cela pour le bien du patient et pas pour l’enrichissement d’un petit nombre. Quelle cécité que la mienne pendant toutes ces années où j’ai exercé la médecine ! »

N’est-ce pas un témoignage bouleversant ?

Sagesse du corps

La sagesse du corps est des millions de fois plus grande que celle de tous les scientifiques de la planète ! Comme le dit C.G. Jung : « Nous ne sommes pas là pour guérir de nos maladies, mais nos maladies sont là pour nous guérir ! » Toute maladie est une occasion d’apprendre à comprendre notre corps et les lois universelles de la vie. Toute maladie est une chance à saisir, une occasion de ne plus être une victime qui subit, un patient qui obéit, un consommateur qui consomme mais d’oser nous redresser, sortir de l’hypnose collective de la peur, prendre notre vie en mains pour devenir l’artisan de notre santé et de notre bonheur !

Extrait de l’article SOURCE : Article n°101 Par Jean-Pierre Joseph du Magazine NEO SANTE REVUE N°60 26 JUILLET 2020

Le corps, gardien des mémoires cellulaires

Notre corps serait le fidèle gardien des souvenirs enfouis qui ont balisé notre existence, notre naissance, voire des expériences de nos parents et de nos ancêtres. « À notre insu, le corps porte dans nos cellules notre mémoire, qui va résonner avec régularité au fil du temps », a pu observer la psychothérapeute Myriam Brousse, pétillante octogénaire soutenant l’existence d’une mémoire corporelle inconsciente, dite « cellulaire ». Sous l’influence de stimuli subtils (des stress ou des événements en lien avec le choc initial), ces mémoires « réactivées » entraînent des comportements inadaptés et parfois des pathologies, comme des maux de dos, des migraines épouvantables, ou de profondes dépressions.


Cette découverte a pour origine la déclaration d’un cancer des ovaires, à l’aube de ses quarante ans, qui va bouleverser sa vie. C’est à l’issue d’un voyage au bout de son corps jusqu’aux confins de la souffrance et de plusieurs rencontres qu’une nouvelle compréhension émerge, éclairée par les travaux de Mère et de Sri Aurobindo. Il y a tout d’abord celle d’un maître tibétain, puis d’une mathématicienne, artiste peintre, pianiste et pionnière des réflexions sur la mémoire cellulaire, et enfin d’un maître indien, philosophe et adepte du yoga intégral. Selon eux, pour se libérer, il faut descendre dans le corps, lui redonner la parole, l’écouter, même si c’est souvent éprouvant…

Il s’agit de recontacter la blessure originelle pour l’accepter et la transformer, dans un choix conscient, grâce à des outils spécifiques de la méthode, comme la grille de vie et la biorésonance cellulaire. Ainsi, nous pouvons nous libérer des répétitions et tracer en conscience notre chemin de vie. Avec bienveillance, assurance et une profonde douceur, Myriam Brousse nous convie à un long voyage intérieur qui va nous demander courage et détermination, pour accéder enfin à notre projet-sens, celui de notre âme.

Votre approche est fondée sur l’existence des mémoires du corps. Et si nous retournions au point de départ : quelle a été l’origine de vos recherches ?


C’est à l’issue d’une très grave maladie, vers 39-40 ans, que j’ai pu entamer un chemin de guérison par un travail précisément dans le corps. J’ai été guidée par mon maître tibétain, pionnier à l’époque des travaux sur la mémoire cellulaire, pour aller plus loin dans le corps, là où était la partie souffrante, la programmation du cancer. Il tirait son enseignement des travaux de Sri Aurobindo et de Mère. Bien avant les découvertes sur l’ADN, Mère, Mirra Alfassa de son vrai nom (Paris 1878 – Inde 1973) s’interrogeait déjà sur cette mémoire cellulaire vibratoire qui garde l’empreinte de toutes nos expériences passées. L’une de ses phrases a toujours guidé mes propres recherches : « Le passage est dans le corps ! »

Comment définiriez-vous cette notion de mémoire cellulaire ?


La mémoire cellulaire contient les informations qui sont inscrites dans la cellule du corps, à l’insu du mental, qui lui n’y a pas accès. Notre corps engramme tout ; en lui sont contenues toutes nos pensées, nos empreintes de l’âme. Il nous livre avec exactitude notre histoire biologique et terrestre. C’est notre bibliothèque, comme l’affirmait Mère. C’est-à-dire qu’il garde en mémoire également les histoires de nos parents, et celles de nos ancêtres. Du point de vue cellulaire, le corps est cet incroyable réceptacle.

Ainsi, vous remontez même aux mémoires intra-utérines. Qu’est-ce que le corps mémorise ?


Pour commencer, la mémoire du corps contient ce que j’appelle « la descente en incarnation », qui tient compte du père et de la mère. Le ventre de la mère, qui accueille l’enfant, contient la mémoire de l’acte sexuel des parents lors de la conception. Comment cet acte sexuel a-t-il été produit ? Est-ce qu’il a été plein d’amour, subi, dans le plaisir, ou violent ? Et l’enfant, l’être est marqué par cette empreinte. Elle est précisément ce qu’il est venu travailler…


C’est la fameuse empreinte fœtale ?


Tout à fait ! À laquelle vont s’ajouter les différents événements qui auront lieu pendant les neuf mois de la gestation. Toute notre vie fœtale est inscrite dans nos cellules. Et puis après, il y a la naissance, ce passage. Là aussi, son déroulement laisse une empreinte. Une naissance longue, les forceps, le cordon autour du cou, une césarienne, ou une naissance naturelle et facile. Tout s’imprime dans le corps, dans la matière du corps.

Extrait du Magazine INEXPLORE 2021

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Les facteurs de maladies

Nous connaissons tous l’adage « un esprit sain dans un corps sain ». Une étude menée par Christian Cransac relative à la géobiologie – la science permettant de comprendre l’influence des ondes sur le vivant – mériterait-elle que l’on ajoute « une maison saine pour un corps sain » ? Construite en trois volets, cette étude a pour vocation de répondre aux questions suivantes : y a-t-il une corrélation entre le taux vibratoire d’une habitation et la présence de maladies chez ses habitants ? Quelle influence ont les ondes électromagnétiques dans cette équation ? Enfin, les perturbations cosmo-telluriques contribuent-elles à la récurrence d’accidents de la route dans certains lieux ?


Cette enquête a pour particularité d’avoir été conduite avec un très grand nombre de données : 62 géobiologues sélectionnés pour leurs qualifications ont été rassemblés et ont travaillé sur l’ensemble du territoire français. Par ailleurs, elle comporte un échantillon aléatoire de 1200 habitations dans lesquelles demeurent des personnes souffrant de maladies graves (c’est-à-dire les cinq maladies causant le plus de décès en France chaque année : cancer, maladies du cœur, addiction, obésité et diabète). Comment établir si une maison est « saine » pour ses occupants ?

Depuis le XIXe siècle, les géobiologues se fondent sur une unité de mesure appelée « unité Bovis ». Théorisée par le médecin et radiesthésiste français Alfred Bovis (1871-1947), elle permet d’évaluer le taux vibratoire d’une personne, d’un lieu, d’un autre organisme vivant…et de tout ce qui existe.

Échelle de mesure pour le taux vibratoire


Pour mesurer les unités Bovis, un cadran ou biomètre est utilisé. Il se présente aussi sous forme de règle. La fréquence vibratoire est déterminée par le radiesthésiste à l’aide d’un pendule. Pour arriver à cette unité, Alfred Bovis a répétitivement évalué toutes sortes d’organismes. Il a par exemple testé des fruits à diverses étapes de décomposition, de fraîchement cueillis à pourris. Les fruits décomposés obtenaient des valeurs proches de zéro, tandis que les fruits frais obtenaient des valeurs allant jusqu’à 9 000 unités Bovis. L’idée sous-jacente serait que l’aliment à peine cueilli est au maximum de son énergie vitale, puis que celle-ci diminue progressivement. Entre autres, ce système de mesure permet d’évaluer l’énergie d’une maison, ou la santé d’un individu.

Cette unité de mesure sur laquelle repose l’ensemble de l’étude est-elle fiable ? Raymond Montercy est un scientifique de renom, expert en radiesthésie. Il a travaillé en tant que technicien au CNRS de Toulouse et a été consulté pour l’étude. D’après lui, « Les travaux de Bovis sont très sérieux. Toutefois, la justesse des mesures dépend de l’opérateur. La radiesthésie est un système de perception relativement aléatoire, lié à la fiabilité de l’individu, à sa qualité intrinsèque : ce qu’il est, ce qu’il veut dire, est-il fiable ? C’est là que le bât blesse, et c’est pour cette raison que bon nombre de personnes ne font pas confiance à ce système. » Il précise que les intervenants sélectionnés pour l’étude étaient tous très compétents, et avec un solide bagage de connaissances.

 Le taux vibratoire moyen de la terre, mesuré à 100 KBovis (une sous-division des unités Bovis), a servi de base de comparaison pour les lieux étudiés. Les géobiologues consultés ont dû, pour chaque cas, établir la présence de nuisances naturelles (courant d’eau souterrain, cheminée cosmo-tellurique, faille tellurique, mémoire du sol) ou artificielles (ligne de Hartmann négative, courant tellurique, transformateur, ligne à haute tension, antennes relais, télévision, téléphone, ondes électromagnétiques).

Y a-t-il une corrélation entre l’état de santé des habitants et le taux vibratoire de leur habitat ? L’analyse est sans équivoque ! Dans 43 % des cas, on a relevé des perturbations liées aux ondes électromagnétiques.

Consultez plusieurs articles sur le FORUM LA VIE DEVANT SOI : https://devantsoi.forumgratuit.org/search?search_keywords=TAUX

Les perturbations d’origines naturelles sont aussi l’une des principales causes établies : courants d’eau souterrains et cheminées cosmo-telluriques totalisent à eux seuls quasiment le tiers (33 %) des phénomènes identifiés. Vient ensuite une tranche rassemblant 25 % des perturbations de la maison, qui inclut les lignes de Hartmann négatives et les transformateurs électriques. Les présences telluriques, failles et courants sont quant à eux évalués à 21 % des éléments nocifs de cette étude.

Enfin, les mémoires du sol, et les dispositifs électriques présents dans l’environnement proche de ces lieux (lignes à haute tension, relais télévision/téléphonique) représentent chacun 10 % des perturbations. « Dans un habitat, la présence d’un courant d’eau va vous polluer, car l’eau est une onde électromagnétique qui monte dans le sol. Mais s’il y a en prime une faille ou un courant tellurique, les énergies sont d’autant plus phagocytées par ces éléments. Les effets additionnés amplifient les perturbations. »


Autre information surprenante : ces lieux de vie présentent un taux vibratoire global moyen de 22 KBovis, et on constate qu’il s’établit de façon assez précise une corrélation entre cette valeur et le taux vibratoire moyen des individus malades du panel, qui est de 21 KBovis. Un chiffre cinq fois plus faible comparé aux 100 KBovis de la terre ! Christian Cransac explique ce phénomène : « Si l’on prend l’image des écluses sur les canaux, quand l’une d’elles est fermée nous avons un niveau haut et un niveau bas. Le niveau haut représente la maison avec une énergie “normale”. Dans ce cas-ci, lorsqu’une personne rentre le soir et qu’elle n’a pas d’énergie, elle pourra bénéficier d’un sommeil réparateur, car nos corps subtils captent ces énergies vitales. Grâce à un effet de vases communicants, on a alors ouvert l’écluse et notre énergie peut remonter. À l’inverse, si une maison dispose de peu d’énergie, le corps va lutter, et petit à petit il va s’aligner au niveau vibratoire de la maison. C’est ce que démontre l’étude. »

D’après le géobiologue, un taux vibratoire anormalement bas est un très grand handicap pour les personnes concernées, car il affaiblit considérablement les défenses immunitaires indispensables pour lutter contre la maladie… « Quand une maison ne fournit pas suffisamment d’énergie à ses habitants, on commence par perdre le sommeil, puis la dépression peut suivre, ou la maladie. Par ailleurs, une personne atteinte d’un cancer n’a plus de défenses immunitaires. Si l’habitation ne permet pas d’alimenter ses défenses, elle aura d’autant plus de mal à se rétablir, et ne pourra pas se défendre naturellement. » Cela n’est pas irrémédiable, puisque le rôle de l’expert, une fois l’analyse faite, est de rétablir un taux vibratoire propice pour la santé.

SOURCE : Extrait du Magazine INEXPLORE de mai 2021

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RAS LE BOL DES SOINS CHIMIQUES

Que l’on rejette le matraquage publicitaire est une chose. Mais que reproche-t-on aux soins chimiques ?

Tout d abord la violence d’un processus qui peut devenir irréversible en détériorant notre corps et en nous entraînant dans un cycle de dépendance.

A titre d’exemple : le blanchiment chimique des dents qui attaque un peu plus l’émail chaque fois et la rend plus poreuse, nécessitant des traitements de plus en plus rapprochés, puis la pose de facettes… ou bien la pose d’ongles, qui après 1 mois de « belles mains », laisse des moignons d’ongles avec une matrice endommagée, d’où forte probabilité d’une prochaine pose avec les mêmes solvants toxiques… ou encore le botox dont l’innocuité est pour le moins controversée et dont l’effet liftant dure au plus 6 mois…est ce que l’obtention d’une lèvre « boudeuse » ou de cet aspect « sans ride » figé justifie vraiment l’utilisation de la toxine botulique ?

Le deuxième point est de donner un espoir souvent déçu, comme l’utilisation de patchs anti-cernes vendu avec la promesse que notre fatigue de quelques années disparaisse en une semaine, ou encore des produits hydratants qui avec les facilitateurs de pénétration chimiques donnent rapidement une peau éclatante…qui s’affaisse dès qu’on arrête l’utilisation du produit.

Autre paramètre de taille : en plus de la pression ressentie quand on ne répond pas aux standards de beauté que la publicité, elle nous présente la vieillesse, l’évolution de notre vie, comme une menace d’une dégradation inéluctable.

Enfin, un dernier point qui n’est pas négligeable : le sentiment plus ou moins diffus mais quotidien et persistant d’une certaine toxicité des soins chimiques. Il y a certes des désagréments et parfois des malaises sérieux, liés à l’utilisation de certains de ces produits. En effet, pour leur longévité, pour leur apparence, couleur-odeur-goût-consistance, pour un impact immédiat, pour augmenter leur poids ou réduire la quantité de principes actifs, savons, shampoings, adoucissants, pâtes à dents, déodorants et cosmétiques, de la crème hydratante au rouge à lèvres en passant par la teinture de cheveux et le fond de teint sont additionnés de produits chimiques dont l’innocuité n’est pas toujours démontrée.

Il s’agit de conservateurs, solvants émulsifiants, édulcorants synthétiques, colorants chimiques, certaines saveurs et fragrances, excipients qui peuvent s’avérer allergènes, irritants pour la peau et les muqueuses internes et peuvent même interagir sur le métabolisme, les systèmes immunitaires, nerveux, endocrinien, reproducteur…

Pour ne citer que les plus toxiques : mercure, acétate de plomb (dans le rouge à lèvres par exemple) formaldéhyde, toluène, diméthylamine… Beaucoup de ces produits à haut risque sont interdits dans l’Union Européenne (phthalates dans vernis à ongles et fragrances, goudron de houille dans les teintures…).

L’engouement pour les soins naturels

Généralement déçus des soins chimiques et de leurs effets secondaires, beaucoup se sont tournés vers des produits naturels, plus doux, respectueux de l’être humain et de l’environnement.

Cet engouement résulte, comme on l’a vu, principalement des problèmes générés par les soins chimiques industriels, du rejet du matraquage médiatique mais aussi du malaise éthique ressenti et exprimé par une minorité préoccupée de la santé et de l’environnement. Cette minorité a opté pour une vision à long terme. Elle a su l’exprimer et faire usage de son pouvoir d’achat pour imposer une qualité de produits.

Une nouvelle conception du soin et de la beauté a pris place petit à petit, qui associe beauté à santé et plaisir, dans le respect de l’être humain et de la planète.

Autant que la qualité du produit lui-même, la philosophie qui va avec le produit et l’éthique de la compagnie comptent. Ingrédients sans additifs chimiques décrits avec transparence, partage de connaissances traditionnelles, commerce équitable avec retour aux producteurs de matières premières (généralement du tiers-monde), pas d’expérimentation animale, emballages recyclés… chacun de ces éléments a son poids pour ces consommateurs.

La relation même au produit va changer. Il s’établit une interaction avec le produit choisi. Il prend vie entre nos mains et ce n’est plus seulement un outil d’hygiène. On l’expérimente comme un vecteur de tendresse pour soi-même. On choisit de faire de sa toilette quotidienne un moment privilégié, où on prend consciemment soin de soi. La salle de bains devient un lieu de volupté.

Opter pour les soins naturels relève donc, initialement, d’un choix délibéré. Il ne va pas sans certains changements dans notre hygiène.

Caractéristiques d’un soin naturel

Ce choix nous oriente vers des soins quotidiens doux, qui ne génèrent théoriquement aucune dépendance, qui sont censés apporter un bien être immédiat et durable, sans effets secondaires signalés. Les ingrédients utilisés en général ont des bienfaits connus depuis la nuit des temps et sont utilisés pour leurs propriétés anti-microbiennes (antiseptique du corps et conservateur du produit), anti-oxydantes (jeunesse des cellules, antirides et conservation du produit), hémostatiques, cicatrisantes (blessures, acné), émollientes (assouplissent la peau), astringentes (resserrent les pores de la peau), anti-inflammatoires, hydratantes, nourrissantes et tonifiantes (vitamines B, C, E, F, K…), activation de la circulation sanguine…

Il s’agit principalement d’argiles, d’huiles végétales de 1ère pression à froid, d’huiles essentielles de qualité, de plantes (certifiées bio et non OGM), des produits de la mer (sel, algues, boues), des produits de l’abeille (cire, gelée royale, propolis, miel). A signaler à ce sujet que les artisans des pays sous développés n’ont pas les moyens de se payer des certifications et qu’une certification bio pour des plantes sauvages poussant dans des zones désertiques ou semi-désertiques n’est pas toujours pertinente au nord comme au sud.

Si les soins chimiques posent certains problèmes, les soins naturels n’ont pas réponse à tous nos maux et l’utilisation incorrecte de certaines plantes, huiles essentielles, argiles présentent aussi des risques. (brûlures, allergies, etc.)

Les argiles : effet absorbant, adsorbant, antiseptique, cicatrisant, antiacnéique, anti-inflammatoire, bactériostatique, fongistatique, hémostatique, excellent reminéralisant pour les dents et les os. calme et cicatrise  les ulcères.


Argiles les plus courantes : vertes, blanches, rouges, roses, jaunes, grises, ghassoul saponaire

Les huiles végétales 1ère pression à froid :effet émollient, hydratant, restructurant, régénérant cellulaire, antirides, protège contre les agressions extérieures, antioxydant
Huiles les plus efficaces (non exhaustif) : huile d’olive, huile d’argan, huile de pépins de raisins, huile d’avocat, huile de rose musquée, huile de germe de blé, beurre de Karité…

Les plantes : effets variables. Liste non exhaustive des plantes les plus utilisées

Aloès – gel : anti-inflammatoire, anti-bactérien, astringent, émollient, cicatrisant, régénérateur cellulaire, exceptionnelle capacité de rétention d’eau.

Bleuets – fleurs : anti-inflammatoire des yeux, astringent, antipelliculaire

Henné : antipelliculaire et cicatrisant, utilisé pour colorer les cheveux, comme autobronzant et pour les tatouages.

Matricaire : cicatrisante, antirides

Noyer (écorce) : antiseptique puissant, blanchissant naturel des dents, anti-hémorragique, astringent utilisé traditionnellement contre les ulcères de la bouche et la mauvaise haleine.

Origan et thym : antiseptique, active la circulation, anti-inflammatoire

Pamplemousse extrait de pépin (Citrus paradisii) : conservateur et antibiotique 100% naturel, bactéricide, fongicide, antiviral naturel.

Rose : émolliente, hydratante, tonifiante, antiallergique, astringente, contracte les pores et stimule les tissus, anti-inflammatoire, antiseptique, anti-rougeurs, aphrodisiaque, idéale pour toutes les peaux, c’est la Reine des fleurs.

Thé vert de Chine (feuilles) : tonique, excellent draineur général, antioxydant, anti-inflammatoire et astringent, antirides.

Les huiles essentielles et teintures mère (liste non exhaustive)

HE Anis : stimulant général, antispasmodique, stomachique (améliore fonction gastrique), calmant, antiseptique.

HE Arbre à thé – melaluca : antiseptique puissant (anti-bactérien et antifongique),

HE Bergamote : antiacnéique, antiseptique, antispasmodique, antidépresseur, cicatrisant, antifongique, désodorisant.

HE Cannelle : (écorce Ceylan) tonique, hémostatique, antispasmodique, puissant antiseptique, antalgique, aphrodisiaque.

HE Citron : astringent, tonique, antiseptique, nettoyant, antiallergique, anti-inflammatoire, anti-rhumatismal, atténue les taches de rousseurs ou de vieillesse, aide peaux grasses, ongles cassants, mains gercées.

HE Clou de Girofle : anesthésiant, antiseptique.

HE Coriandre : anti-inflammatoire, tonique, antiseptique, antispasmodique.

HE Eucalyptus globuleux : tonique, astringent, balsamique (vertus d’un baume), relaxant, antifongique, anti-inflammatoire.

HE Géranium : assouplit la peau, équilibre sécrétion de sébum, active la circulation sanguine et l’élimination de toxines, antiseptique propriétés apaisantes et astringentes cutanées.

HE Lavande : anti-inflammatoire, antiseptique, analgésique, fébrifuge, active la régénérescence cellulaire.

HE Petit grain : tonique, apaisant, désincrustant (taches et points noirs sur la peau), régénérant cellulaire.

HE Romarin : revitalisant, tonique de la peau et des yeux, réchauffe la peau, astringent, détergent du système pileux anti-bactérien, antioxydant.

HE Sauge : astringent, calmant, œstrogène-like puissant (ménopause et accouchement).

HE Ylang-Ylang : régulateur de la production de sébum, anti-infectieux.

TM Calendula : régénérant, tonifiant, cicatrisant puissant, hypotenseur superficiel, léger effet tenseur, améliore le teint.

TM Camomille romaine : anti-inflammatoire (chamazulène), tonique, antalgique.

TM Propolis  : puissant antiseptique (flavonoïdes), vitamines, minéraux, oligo-éléments.

Les produits de l’abeille (4 principaux)
Cire d’abeille : émulsifiant naturel, émolliente, hydratant, apaise la peau

Gelée royale : revitalisant, rééquilibrante, antibiotique, anti-inflammatoire, anti-sénescence, antifatigue. Riche en acides gras insaturés et en substances hormonales.

Miel : antiseptique puissant, calmant, anti-inflammatoire

TM Propolis : puissant antiseptique (flavonoïdes), vitamines, minéraux, oligo-éléments

Les produits de la mer
Algues marines : reminéralisant, stimulant, raffermissant et amincissant, anti-infectieux

Boues marines : effet astringent, stimulant, raffermissant et apaisant.

Sel de mer :Qu’il provienne de la Mer Morte ou d’ailleurs, l’effet antiseptique, astringent, reminéralisant est très important. 

On pourrait s’attendre à ce qu’elle soit permissive compte tenu de la nouveauté de ce type de produits sur le marché. Or, dans un temps relativement court, l’Europe d’abord et l’Amérique du nord ensuite ont mis en place une nomenclature scientifique homogène et des pratiques de fabrication normalisées.

En parallèle, les associations de défense de consommateurs veillent au grain pour que le label « soin naturel » ne soit pas frelaté et qu’il rende réellement compte de la qualité du produit. Certains considèrent, à juste titre, comme une victoire le fait d’avoir obligé, via les associations de défense de consommateurs, des grandes marques et des multinationales à exclure certains produits chimiques toxiques de leurs soins corporels**.

**Associations de défense du consommateur en Amérique du nord

Toutefois, le risque de récupération par les « grandes surfaces » est très présent et, s’il a certains aspects positifs, puisqu’elles rendent accessibles ces soins à un plus grand nombre, il requiert une vigilance active pour que l’appât du gain n’empêche la majorité de disposer de produits de qualité. Bien que basé sur des valeurs saines, le marché en essor des soins naturels (produits d’hygiène et cosmétiques) est devenu en quelques années une véritable jungle où, une fois de plus, la force du marketing va parfois primer sur la qualité.

RETROUVEZ L’ARTICLE EN SON ENTIER ICI : https://energie-sante.net/les-soins-naturels-mode-ou-choix-delibere/

Des moments de pleine vie


La lucidité terminale, dernière fenêtre sur la vie, offre des moments extrêmement forts et signifiants. « Le message à faire passer est qu’il s’agit de vivre pleinement cet épisode ; de profiter des uns et des autres uniquement sur cet instant-là. Être ouvert à ce phénomène permet de ne pas le confondre avec une rémission, une guérison, et de pouvoir “dialoguer” le deuil, la mort, afin de mieux les vivre », conseille Maryne Mutis.

Au regard des témoignages recueillis, la balance penche vers l’aide au processus de deuil plutôt que vers la complication traumatique. « Le pivot entre ces deux perceptions de la lucidité terminale est la communication. D’où la nécessité de parler de ce phénomène. »

Ce qui est vrai pour l’entourage l’est aussi pour les équipes soignantes. Encore peu documentée scientifiquement, la lucidité terminale engendre souvent malaise et tabou. Une étude menée dans les hôpitaux argentins démontre ainsi que les soignants ayant à faire face à des expériences qui ne s’expliquent pas présentent en moyenne un niveau de stress plus élevé(2). « Il est essentiel de développer des formations autour de ces phénomènes qui jalonnent la fin de vie », souligne Maryne Mutis, contactée dans ce sens suite à sa thèse (toujours en cours).

Cas de conscience


Au-delà d’être un repère informel d’une fin de vie imminente, la lucidité terminale soulève des questionnements fondamentaux, en suggérant que « derrière la maladie et les dysfonctionnements, la personne et sa conscience seraient toujours présentes et intactes, mais seulement dissimulées et inaccessibles », comme le souligne Michael Nahm. Ce qui vient remettre en cause les représentations des soignants et des proches quant aux personnes lourdement atteintes dans leurs capacités motrices et/ou cognitives, au risque d’un désinvestissement dans le soin, cantonné aux besoins fondamentaux… Ce sursaut de conscience vient par ailleurs questionner la survie de l’âme. « Les recherches menées sur la lucidité terminale n’apportent pas de réponse à ce stade mais alimentent ce questionnement. Car si l’âme, l’esprit, se cantonne au cerveau, comment expliquer ce phénomène de lucidité terminale ? », interpelle Maryne Mutis. D’autant que les témoignages attestant de ce phénomène proviennent de personnes croyantes, agnostiques, athées, voire sceptiques.

Tandis qu’elle déserte le corps, la vie bouillonne sur d’autres plans.

Entre faux espoir et deuil créateur


Les travaux menés par Maryne Mutis, en collaboration avec d’autres chercheurs, pointent le paradoxe de la lucidité terminale. Cette expérience peut en effet aider au processus du deuil, tout comme elle peut le compliquer. Versant positif, elle permet de retrouver le malade dans un meilleur état de santé, rendant un échange possible. « Cette occasion d’engager une dernière fois des interactions positives favoriserait la reconnaissance et l’acceptation de la mort, et ainsi le travail du deuil pour les familles », relève Maryne Mutis.

Une recherche effectuée auprès de veufs togolais montre que les adieux contribuent au « deuil créateur », conférant un sens existentiel à la mort. Cependant, il existe également un risque de complication du deuil, marqué par le coup de tonnerre d’une bouffée d’espoir qui vient rompre ce continuum de la fin de vie, alors que l’entourage s’était préparé à la disparition. Maryne Mutis évoque cette différence possible de vécu au travers d’un cas emblématique. Atteinte d’un cancer du foie, cette patiente d’une soixantaine d’années était dans le coma, après une encéphalopathie toxique. Ses proches se préparaient à sa mort, quand elle est soudainement sortie de cet état d’inconscience. Sa belle-fille, Anouck, proche d’elle, a eu la surprise de la retrouver en pleine forme, assise dans le lit, en train de discuter avec son fils, Cédric (compagnon d’Anouck).

Après une phase d’étonnement et d’espoir, Anouck a vite compris qu’il ne s’agissait pas d’une guérison miracle. Elle a alors pu profiter de ces derniers instants pour échanger sereinement avec sa belle-mère sur leur relation, sur la mort, sur la vie, sur les petits-enfants. Tandis que cela a été un choc pour Cédric, convaincu de la guérison de sa mère. Cette dernière sentait qu’elle allait mourir, mais n’osait pas le dire à son fils émotionnellement fragile. Malgré les mises en garde d’Anouck, il a cru au miracle. Quand sa mère est morte, cela a été l’effondrement, avec l’impression d’avoir vécu deux décès. D’où un deuil difficile.

Le corps décline, la conscience croît. Brusque regain d’énergie au seuil de la mort, la lucidité terminale demeure une énigme médicale. Accueillir ce rebondissement inattendu permet de mieux l’accompagner et de vivre pleinement ce passage. À la vie, à la mort.

 « Tâchons d’entrer dans la mort les yeux ouverts », conseillait Marguerite Yourcenar. Et si, au crépuscule de la vie, existait un possible éveil, éclairé par la lucidité terminale ?

« David ne répondait plus à aucune sollicitation. Pour moi, c’est comme s’il n’était déjà plus là. Ce vendredi, je me sentais mal à l’aise lors de ma visite, dans cette chambre aux côtés de sa famille en larmes… Le lendemain, le lit était vide. Dans le couloir, je fus interpellé par une infirmière.

Elle me confia que David s’était réveillé après mon départ, comme s’il n’était plus malade. Un miracle. Pendant près de cinq minutes, il avait fait ses adieux à sa famille, souriant, et les avait serrés contre lui, avant de plonger de nouveau dans un état comateux et de décéder dans l’heure », confiait le Dr Scott Haig au Time Magazine, témoignant de cette lumineuse percée au cœur des derniers instants de ce patient atteint d’un cancer en phase terminale. Ces fulgurances, marquées par une soudaine diminution des symptômes ou un regain d’énergie, sont relatées depuis l’Antiquité.

SOURCE : NEW LETTER –  Cet article vous intéresse ?  Retrouvez-le en intégralité dans Inexploré n°50 

Article repris par Francesca sur et le site :  https://medecinehistorique.wordpress.com/

Cessons de lutter contre les maladies

Lorsque nous observons les visages autour de nous dans la rue, voyons comme ils sont pour la plupart, tristes, rongés par les soucis et plutôt mal en point, repliés sur eux-mêmes, distants et parfois névrosés, sans un sourire. Vous êtes-vous demandé pourquoi ?

Je pense que ce qui nous détruit, ce sont ces efforts, ces luttes qui occupent quasiment chaque instant de notre vie. Si vous observez autour de vous, vous verrez que pour la plupart, l’existence est une succession de batailles contre eux-mêmes, contre leur mari ou leur femme, contre leurs voisins, contre la société ; et ils dissipent leur énergie dans ces affrontements perpétuels. Un Homme qui est joyeux, vraiment heureux, n’est pas esclave de l’effort ; et l’absence d’efforts n’est pas synonyme de stagnation, de bêtise, de stupidité. Au contraire, seuls les sages, ceux qui sont doués d’une intelligence exceptionnelle, sont réellement libres de tout effort, de toute lutte.

Souvent, lorsque nous entendons parler d’absence d’effort, nous envions cette situation, nous voulons parvenir à un état sans conflit ni lutte, nous en faisons donc un but, un idéal, que nous nous efforçons d’atteindre – et ce faisant, nous perdons notre joie de vivre nous aussi. Nous sommes pris de nouveau dans l’étau de l’effort, de la lutte.

L’objet de cette lutte varie, mais toutes les luttes se ressemblent. On peut lutter pour mettre en place des réformes sociales, pour trouver Dieu, pour instaurer de meilleurs relations entre soi-même et son conjoint ou son voisin ; on peut s’asseoir au bord du Gange, faire ses dévotions aux pieds d’un gourou, et j’en passe… Tout cela n’est que lutte et effort. Ce qui compte, ce n’est donc pas  l’objet de la lutte, c’est de comprendre la lutte elle-même.

Notre problème, c’est que l’esprit se sent inférieur, c’est pourquoi il lutte pour être ou devenir quelque chose, ou pour surmonter les contradictions opposant ses divers désirs. Mais ne donnons pas d’explications quant aux raisons pour lesquelles l’esprit est en proie à ces luttes. Tout Homme capable de réflexion connaît la raison de ces luttes intérieures et extérieures ; notre envie, notre avidité, notre ambition, notre soif de compétition conduisant à une efficacité sans merci – tels sont les facteurs qui nous poussent à la lutte, que ce soit dans le monde ici ou dans le monde à venir. Nous n’avons donc pas besoin d’étudier les ouvrages de psychologie pour savoir pourquoi nous nous battons ; l’important, c’est bien sûr de découvrir si l’esprit peut être totalement libéré de toute forme de lutte.

En définitive, quand nous luttons, le conflit se situe entre ce que nous sommes et ce que nous devrions ou voudrions être. Sans avancer d’explications, demandons-nous s’il est possible de comprendre l’ensemble de ce processus de lutte, de sorte qu’il prenne fin. L’esprit peut-il s’abstenir de lutter, comme ce bateau qui se laissait porter sans effort par le vent ? La question, c’est celle-ci, bien sûr, ce n’est pas de savoir comment atteindre un état exempt de toute lutte ; l’effort même pour parvenir à un tel état est en soi un processus de lutte, cet état n’est par conséquent jamais atteint.

Mais si vous observez d’instant en instant comment l’esprit se laisse piéger dans les luttes sans fin, si vous vous contentez d’observer le fait sans vouloir le modifier – sans imposer à l’esprit un certain état que vous appelez la paix – vous constaterez alors que l’esprit cesse spontanément de lutter ; et dans cet état c’est là qu’il peut apprendre énormément.

Apprendre ne se limite plus alors à une collecte d’informations ; c’est la découverte de l’extraordinaire gisement de richesses qui s’étend au-delà du champ de vision de l’esprit ; et pour l’esprit qui fait cette découverte, la joie est là.

Cessons de lutter du matin au soir car notre énergie se perd dans les luttes. Soyons vigilent et dans cet état de vigilance, toute notion de supérieur et d’inférieur s’effacera, il n’y plus de grand homme ni de petit d’homme, il n’y plus de gourou.

Toutes ces absurdités cessent parce que l’esprit est pleinement éveillé ; et un esprit pleinement éveillé est inconditionnellement joyeux.

Pourquoi les gens, à mesure qu’ils vieillissent semblent-ils perdre toute joie de vivre ?

Pourquoi sommes-nous si nombreux, une fois entrés dans la soi-disant maturité, à devenir ternes, insensibles à la joie, à la beauté, à l’immensité des cieux et aux merveilles de la terre ?

Lorsqu’on se pose ces questions, de nombreuses explications viennent à l’esprit. Nous sommes tellement préoccupés à nous-mêmes – c‘est une explication. Nous luttons pour devenir quelqu’un, pour réussir et pour maintenir une certaine situation ; nous avons des enfants ainsi que d’autres responsabilités, et nous devons gagner de l’argent. Tous ces paramètres extérieurs deviennent très vite pesants, ce qui nous amène à perdre notre joie de vivre.

Francesca – Conclusion, suite à ma lecture du Sens du Bonheur de Krishnamurti

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Certaines paroles, en apparence anodines

Savez-vous par exemple que le simple fait de connaître les effets indésirables d’un médicament multiplie les chances qu’ils se manifestent ?

Une étude menée auprès de patients atteints de la maladie coronarienne, à qui ont été administré un traitement dont un des effets secondaires pouvait être une baisse de la libido, montre que seul 3% des patients qui n’en avaient pas été informés ont témoigné de difficultés dans ce domaine contre 31% de ceux qui avaient été informés au préalable de l’ensemble des effets secondaires possibles.

C’est ce que les médecins appellent « l’effet nocebo », ce qui signifie en latin « je vais nuire », soit l’exact contraire de l’effet placebo, qui lui signifie « je vais plaire ». Les informations communiquées par les professionnels de santé jouent ainsi un rôle important dans le processus de guérison, mais aussi dans le développement de certaines pathologies. Certaines paroles, en apparence anodines, telles que « peut-être que ce médicament pourrait vous aider » ou encore « vous êtes un patient à risques », peuvent ainsi induire un doute dans l’esprit du patient.

Une étude qui invite les professionnels de santé à manier certaines informations et propos avec prudence. En effet, « l’effet nocebo » comme « l’effet placebo » montrent qu’esprit et corps sont bien liés et interdépendants. Lire l’article sur Slate.fr

« Tout ce qui compte au moment ultime, c’est d’avoir aimé et reçu de l’amour. Je le vois chez des personnes très lucides lorsqu’elles vivent leurs derniers moments. Pour elles, la question de la foi religieuse ou de ce qu’il y a après la mort n’est pas la plus importante. J’ai eu de longues conversations avec une amie qui est en fin de vie.

Elle est si faible qu’elle ne peut plus se lever, et peut à peine taper sur les touches du téléphone. Ce matin elle m’a appelée pour me souhaiter mon anniversaire. Je vois que donner des signes d’amour à tous les gens autour d’elle est la seule chose qui lui importe. Je cite souvent cette phrase de Saint Paul : « Tandis que notre homme extérieur s’en va en ruine, notre homme intérieur se renouvelle de jour en jour. » Effectivement, quand on approche de la mort, l’homme extérieur va en ruine. Très tôt, les signes du vieillissement arrivent. Ils sont angoissants dans une société qui valorise uniquement le corps jeune, en pleine forme. Des personnes sont tellement obsédées par la ruine du corps que cette dernière entraîne celle de l’esprit et du coeur. Ils se replient sur eux-mêmes, se plaignent sans arrêt.

Mais vous en avez d’autres qui ont compris que quelque chose en eux ne se détériorerait pas. Le corps bénéficie de la mutation. C’est aussi ce que j’essaie de dire aux gens qui ont peur de vieillir. Il y aura l’usure de la vieillesse, mais leur esprit et leur coeur ne vieillira pas s’ils le nourrissent et donnent à la spiritualité et à l’affectivité toute leur place. Nous avons une responsabilité qui est d’entretenir ces émotions positives pour faire face au vieillissement du corps. Les gens de ma génération sont conscients que leurs enfants s’inquiètent beaucoup de la manière dont nous allons vieillir. Si nous pouvons leur faire passer ce message que nous pouvons bien vieillir parce que nous allons nous occuper de notre intériorité et développer ces émotions positives, nous leur faisons un vrai cadeau. »

Texte de L’écrivain et psychologue Marie de Hennezel, auteur de « La chaleur du coeur empêche nos corps de rouiller » et de « La mort intime », a maintes fois accompagné des personnes en fin de vie. Les leçons apprises à leur chevet ne se sont jamais démenties.

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