Le lâcher-prise comme moyen de guérison

Le lâcher-prise favorise un élargissement de la conscience. Lâcher prise signifie laisser aller, s’en remettre à une force supérieure, à la puissance divine. C’est avoir la foi et faire confiance à la vie. Lâcher prise n’est pas synonyme de se laisser aller. Se laisser aller, ce serait abdiquer, ne plus croire et ne plus vouloir vivre.


Nous devons apprendre à abandonner et à nous abandonner. Lâcher prise, c’est laisser aller les événements sans intervenir, sans chercher à garder toujours le contrôle.


Notre attitude et nos ressources intérieures influencent grandement notre pouvoir de guérison et notre qualité de vie à court, à moyen et à long terme. Dans ce contexte, j’avais un choix à faire : accepter de n’avoir pas nécessairement le dernier mot ! J’ai alors eu besoin d’une très grande force intérieure pour calmer mon mental qui était tout ébouriffé, ma raison tellement inquiète de ne plus rien contrôler. C’est à ce moment précis que j’ai dû lâcher prise et m’en remettre très humblement aux autorités médicales compétentes et à la Puissance divine.


En tant que créatures divines, nous sommes reliées à la puissance universelle. Cette force qui régit l’univers nous régit aussi. La nature n’a pas besoin de nous pour s’épanouir. Toute forme de vie végétale, animale et humaine prend sa source dans l’Univers. La graine germe en terre, croît et meurt selon son cycle sans que l’humain ait à intervenir dans ce processus sacré. Une force supérieure est à l’origine de toute vie, et c’est à cette source que nous devons activer nos énergies de guérison. Nous faisons agir le Divin en nous, ce potentiel énergétique qui réside en chacun de nous, et nous puisons à cette source intarissable. Notre véritable pouvoir de guérison est à l’intérieur de nous.


La perte de contrôle occasionnée par ma maladie m’a amenée à lâcher prise face à mes anciens comportements, à mes anciennes structures et perceptions. Cela m’a fait un bien énorme et m’a permis d’apprendre à vivre autrement. Je ne suis plus figée dans le passé. Je m’efforce de vivre le moment présent et d’être totalement disponible quoi que je fasse ou quoi que je ressente. Cela exige néanmoins beaucoup d’attention.

Plus l’emprise de notre attachement au passé se resserre, plus notre douleur et notre confusion deviennent stressantes et limitatives. Notre esprit devient de plus en plus étroit et focalise sur les mêmes éléments, les mêmes pensées, les mêmes dialogues intérieurs. C’est à ce moment-là que la maladie s’installe parce que nous sommes en état de faiblesse, de la même manière qu’une plante sera envahie par les pucerons si son équilibre est perturbé.


Dans le but de retrouver notre force et notre vigueur, l’attachement au Moi, l’attachement aux autres et l’attachement au passé doivent être relâchés et dépassés. Plus l’emprise de l’attachement se relâche, plus nous nous sentons libres, guéris et à l’aise. La paix de l’esprit s’installe alors à nouveau. Comme le dit encore si bien Tulku Thondup dans Une source inépuisable de paix et de guérison : « Être en paix, ce n’est pas seulement être dans un état neutre de repos, où pensées, actions et émotions sont absentes. C’est être conscient des expériences et des manifestations paisibles de notre esprit. La paix de l’esprit génère la joie, cette joie née de la conscience de l’absence de conflit, une joie ouverte et sans limites. Grâce à la force qui émane de cette prise de conscience de notre paix intérieure, rien ne peut nous déranger. »

Notre âme s’incarne dans un but précis, celui d’expérimenter diverses situations riches en contenu et significatives pour elle. C’est grâce à cette expérimentation que se poursuit notre évolution spirituelle. Me choisir veut donc dire permettre à l’être que je suis de réaliser pleinement son plan de vie. Pour me choisir, il est essentiel que j’apprenne à me connaître, à me faire confiance et à aller au bout de mes rêves.

Si nous nous contentons d’éliminer les cellules malades par un traitement de médecine traditionnelle sans régler notre problématique sur le plan psychique, nous pouvons penser que le cancer reviendra ou qu’il poursuivra sa course dans notre organisme puisque le problème de base n’est pas résolu. Il devient donc récurrent. Je pense que la solution pour guérir est de traiter à la fois le corps, l’âme et l’esprit. Nous entrons ainsi dans une nouvelle phase de notre vie et nous guérissons.


(1) Extrait du livre « Activer son pouvoir de guérison, découvrir le message du cancer et des autres maladies » , par Johanne Robitaille Manouvrier (Editions Publistar).

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Comment les animaux se soignent-ils

Hôpitaux, médecins, médicaments, toute une infrastructure médicale est en place pour soigner l’être humain lorsqu’il tombe malade. Les animaux dans la nature en sont dépourvus. Cela signifie-t-il qu’ils ne peuvent rien faire pour se soigner et sont, en quelque sorte, condamnés sitôt que la maladie les atteint ? Non, les animaux ne sont pas abandonnés sans défense, ils utilisent les nombreux remèdes que leur offre la nature.

Les plantes médicinales

La nature regorge de plantes médicinales. Si les êtres humains en utilisent, beaucoup d’animaux font de même. Les cas les plus connus d’animaux faisant usage de plantes ont trait aux chats et aux chiens. Ceux-ci mangent du grammont ou chiendent pour se soulager de leurs maux. Selon le dosage, l’ingestion de la plante déclenchera une légère expectoration qui nettoiera les bronches, un sérieux vomissement qui videra l’estomac, ou encore un effet laxatif qui dégagera les intestins. Le fait est si connu que des barquettes «d’herbe à chat» sont proposées dans les magasins spécialisés pour que les chats d’appartement puissent eux aussi se soigner.



Mais les chats et les chiens ne sont pas les seuls animaux à se soigner avec des plantes. Les chimpanzés de Tanzanie font de même. Ils consomment une plante nommée Aspilia pour calmer leurs maux d’estomac. Lorsqu’ils souffrent de problèmes intestinaux, ils mâchent, puis sucent le jus des rameaux de vernonia amydalina, une plante qu’ils évitent d’habitude à cause de son goût amer. Des belettes ont aussi été observées en train de consommer des fleurs de rue pour se soigner.



La morsure de serpents venimeux est un autre problème médical auquel doivent faire face les animaux. Les chamois mordus vont brouter de l’euphorbe, une plante que d’ordinaire ils ne mangent pas. Celle-ci agit comme une purge violente et grâce aux fortes éliminations qu’elle provoque les débarrasse du poison. Les loups, eux, creusent le sol pour déterrer et manger la racine de la renouée bistorte (appelée aussi herbe aux serpents) qui les purge violemment. Dans la même situation, les tortues mangent de la marjolaine.

Et en cas de blessure, que font les animaux ? Les chamois blessés soignent leurs plaies en se roulant dans le plantain des Alpes. Cette plante a en effet une action cicatrisante très nette. Un rat musqué qui s’était blessé en passant à travers un grillage a été observé en train de s’enduire de résine de pin. Il mit ensuite sa patte alternativement au soleil et à l’ombre pour activer la guérison.

Autre usage inattendu des plantes médicinales : les hirondelles appliquent du suc de chélidoine sur les yeux voilés de leurs petits. Cette plante a des vertus désagrégeantes sur les tissus. Elle est utilisée par l’homme pour dissoudre les verrues.

L’argile

L’argile, la simple terre du potier, est un remède couramment utilisé par les êtres humains en médecine naturelle. Elle a la faculté de fixer des substances toxiques et ainsi de les neutraliser. Elle attire ou absorbe les toxines et poisons des tissus, ce qui détoxique l’organisme. Elle a aussi des vertus cicatrisantes et éliminatrices. Or, des chimpanzés et des singes de régions aussi diverses et éloignées que le Gabon, le Zanzibar ou le Sri Lanka consomment tous de l’argile pour soigner leurs problèmes digestifs. Les éléphants recourent d’ailleurs aussi à l’argile lorsqu’ils veulent se purger.

Les vertus de l’argile peuvent également être mises à profit en usage externe sous forme de cataplasme. En Sibérie, une région riche en argile a été découverte parce que les animaux blessés de la région : sangliers, chevreuils, cerfs… venaient se plonger dans ses boues bienfaisantes. Le cataplasme d’argile qui se formait ainsi nettoyait et protégeait les plaies, et ses vertus cicatrisantes hâtaient la guérison.

Dans nos campagnes, les chevaux malades de la corne trempent leurs sabots dans les boues argileuses.

VOIR EGALEMENT : L’ACUPUNCTURE SUR ANIMAL https://devantsoi.forumgratuit.org/t456-acupuncture-sur-animaux-domestiques#3215

Autres remèdes

Les capucins rouges, une autre espèce de singe, mangent du charbon de bois pour se débarrasser des vers intestinaux.

Les animaux recourent aussi au jeûne et au repos lorsqu’ils sont malades. Ils se retirent dans un endroit écarté et protégé et laissent ainsi les forces de défense du corps agir librement. Les principes de l’hydrothérapie sont également employés par certains animaux. L’application successive de froid, qui contracte les tissus, et de chaud qui les dilate, active la circulation du sang et les échanges cellulaires, et par là la guérison. Le chien qui lèche régulièrement sa patte blessée puis la laisse sécher au soleil, ou qui se couche alternativement au soleil puis à l’ombre lors d’une fièvre, agit dans ce sens. Le rat musqué cité plus haut en est un autre exemple.

Auto-médication ?

Certains zoologistes contestent qu’il s’agisse véritablement d’automédication, car, disent-ils, les notions de maladie et de médicament sont le propre de l’homme et échappent à l’intelligence des animaux. D’autres, au contraire, parlent sans détours d’automédication, ce qui semble tout à fait correspondre à la réalité. En effet, comme nous l’avons vu, les remèdes auxquels recourent les animaux ne font pas partie de leur régime alimentaire habituel. Ils ont même souvent mauvais goût et, pour certains, sont compliqués à trouver. Pensons au loup qui doit creuser le sol pour trouver les racines qui contiennent les substances actives susceptibles de le guérir. De plus, ces remèdes sont consommés uniquement lorsqu’il y a maladie.



Plutôt que d’entrer dans le débat sur l’automédication, il semble plus intéressant de se demander comment les animaux font pour savoir à quelle plante ou quel remède recourir pour se soigner. N’ayant pas les facultés réflexives et déductives de l’homme, ils ne peuvent pas expérimenter ou faire des recherches sur les éventuelles propriétés médicinales des substances qui les entourent. Et pourtant, ils se soignent.

Une explication possible est celle de l’instinct. Celui-ci dirigerait l’animal vers la plante, la terre argileuse ou tout autre remède dont il a besoin. À l’aide de son odorat et de son sens du goût, il repérerait ce qui lui fait du bien. Des expériences en laboratoire ont effectivement montré que des rats carencés en vitamines bien précises savaient trouver d’instinct les aliments qui contenaient les substances manquantes. Cela expliquerait, par exemple, que les cerfs, bien qu’ils soient herbivores, comblent leurs carences en calcium en mangeant les cadavres d’oiseaux qu’ils trouvent. Le squelette de ces volatiles est en effet à même de leur fournir le calcium manquant.

Une autre façon d’expliquer «la capacité des animaux à se soigner dans leur environnement naturel» fait appel à l’existence des êtres essentiels, aussi appelés êtres élémentaux, autrement dit aux forces personnifiées de la nature que sont les gnomes, les elfes ou les ondines. Ces êtres ont non seulement pour rôle d’animer et de gérer la nature, mais aussi d’aider les créatures qui y vivent.

S’il existe de nombreux témoignages qui relatent l’aide apportée à l’homme par les êtres essentiels pour façonner des poteries, travailler les métaux, extraire les fibres des végétaux pour tisser… il en existe aussi sur l’art de soigner. Bien des plantes médicinales qui font partie de la pharmacopée ont été indiquées aux humains par les êtres essentiels. Or, des indications similaires sont aussi données aux animaux.

Les êtres essentiels montrent aux animaux quelle plante consommer ou quelle terre argileuse avaler pour se soigner. Ils sont d’ailleurs les plus à même de le faire puisque ce sont eux qui sont responsables de ces éléments naturels et de leurs vertus. Les animaux n’ont bien sûr pas de concepts de maladie et de remède avec lesquels ils raisonnent, mais ils acquièrent un savoir en mettant en pratique ce que les êtres essentiels leur indiquent. Ce savoir leur reste et entre dans leurs habitudes non parce qu’il serait transmis d’une génération à l’autre, mais grâce à l’existence de ce que l’on appelle l’âme-groupe animale.

L’âme-groupe des animaux

Contrairement à l’être humain qui est un esprit indépendant de tous les autres esprits humains, les animaux d’une même espèce ont une âme-groupe en commun. Cette différence a des conséquences très grandes sur les possibilités d’apprentissage.

Une âme-groupe est comme un énorme réservoir qui contient toutes les âmes d’une espèce animale, celles des éléphants, par exemple. Pour s’incarner, une âme d’éléphant quitte l’âme-groupe et revêt un corps physique d’éléphant comme outil pour séjourner sur Terre. Au cours de ce séjour, cette âme est confrontée à de nombreuses situations. Obligée de réagir pour survivre, elle intériorise un certain savoir-faire. À la fin de sa vie, lorsque cette âme d’éléphant se détache du corps, elle emporte ce savoir avec elle. Quand elle réintègre l’âme-groupe dont elle est issue, cette âme se retrouve dans le «réservoir» de son espèce. Le savoir qu’elle porte en elle ne sera pas conservé pour elle seule, mais mis à disposition de toutes les âmes dans l’âme-groupe.

Cela signifie que même les âmes qui n’ont pas été confrontées aux situations qui leur auraient permis d’acquérir ce savoir-faire, vont le posséder. Elles l’intègrent et pourront l’utiliser lorsqu’elles descendent sur Terre pour s’y incarner. Ce mode de transmission explique des faits qui, sans cela, demeureraient mystérieux.

Les corbeaux, par exemple, crient pour donner l’alarme à leurs congénères quand un homme s’approche trop près d’eux. Or, peu de temps après l’introduction des fusils dans les campagnes, fusils utilisés entre autres pour tuer les corbeaux qui dévastaient les cultures, il fut constaté que les corbeaux s’enfuyaient sitôt qu’un être humain apparaissait avec un fusil, alors qu’ils se contentaient de donner l’alarme lorsqu’il n’en avait pas.



Étant donné que les expériences d’une vie ne se transmettent pas aux descendants par l’intermédiaire des gènes, et que seule l’existence de l’âme-groupe est à même de le faire, l’expérience acquise par les corbeaux blessés et tués est portée par leur âme à l’âme-groupe dans laquelle ils retournent après leur mort. Les corbeaux qui s’incarnent sur Terre après ce retour emportent cette connaissance avec eux.

Dans le même ordre d’idées, le berger allemand qui de manière générale est amical avec l’homme est devenu agressif avec lui après la seconde guerre mondiale. Lors de ce conflit, ces chiens avaient été incorporés dans l’armée et dressés pour attaquer l’homme. L’existence de l’âme-groupe explique également pourquoi certaines races de chiens peuvent être dressées pour devenir des chiens de garde, de chasse ou de berger… et pourquoi elles deviennent de plus en plus performantes dans leur activité. Les caractères acquis au cours d’une vie ne se transmettant pas par les gènes, ils sont transmis aux autres et renforcés par le canal de l’âme-groupe.

Il en va de même lorsqu’un être essentiel montre à un chimpanzé comment utiliser de l’argile pour soigner ses problèmes digestifs. En suivant les indications données et en ressentant un soulagement, le chimpanzé acquiert par expérience vécue un savoir qui s’inscrit en lui. Lorsqu’il souffrira à nouveau de tels maux, il recourra encore une fois à l’argile et ce savoir s’inscrira d’autant plus fortement en lui. Certains de ses pairs l’imiteront peut-être aussi. En remontant dans l’âme-groupe, l’âme de ces chimpanzés emporte avec elle ce savoir qui sera alors à la disposition de toutes les âmes de l’âme-groupe. De cette manière, le savoir sur l’emploi de l’argile s’inscrira peu à peu dans toute l’espèce.

Article basé sur les connaissances du Message du Graal www.messagedugraal.org 

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L’ivresse en vitesse

On dit du champagne que « ses bulles montent vite à la tête ». Ce que de nombreux consommateurs ont déjà constaté a été vérifié par une équipe de chercheurs britanniques qui ont comparé les effets d’un champagne pétillant avec ceux d’un même vin « plat ». Résultat : l’alcoolémie grimpe beaucoup plus vite et reste plus longtemps élevée dans le sang des buveurs de bulles. Ce qui signifie que le champagne grise rapidement et durablement, et qu’on peut donc atteindre le plaisir recherché à moindre coût pour la santé et le portefeuille. Par ailleurs, le « mal de crâne » est beaucoup moins imputable au vin lui-même qu’à la présence massive d’anhydride sulfureux. Pour faire la fête sainement, préférez donc les champagnes bio élaborés avec un minimum de soufre ajouté.

ATTENTION : comme toutes les boissons alcoolisées, la consommation excessive de vin de Champagne peut être nuisible à la santé. Sa consommation est spécialement déconseillée aux femmes enceintes, en raison des effets possibles de l’alcool sur le développement du fœtus. Cependant, le champagne est certainement le moins malsain des vins. Depuis son invention au XVIIème siècle, on lui prête même des vertus médicinales nombreuses et variées. Avant de devenir le vin de fête par excellence, le « nectar aux bulles d’or » était d’ailleurs considéré officiellement comme un médicament !

Pendant des siècles, le champagne a été recommandé comme auxiliaire de la digestion, mais aussi comme un reconstituant efficace et comme le remède idéal pour rendre roses les idées noires. Il était prescrit par les médecins au motif qu’il « dissipe les états nauséeux et soutient le moral ». Nos aïeux l’estimaient aussi pour sa puissance antiseptique et pour ses vertus diurétiques. Ils le disaient souverain contre les douleurs articulaires et le conseillaient aux femmes en périodes de couches, aux convalescents, aux anémiques et aux affaiblis. Jusqu’au milieu du XXème siècle, on lui a trouvé de la valeur dans le traitement d’affections cutanées telles que l’herpès ou l’eczéma. Comme souvent, les Anciens avaient découvert intuitivement ce que la science finirait par confirmer.

Anxiolytique naturel

En effet, les qualités thérapeutiques du champagne sont maintenant étayées par les découvertes scientifiques les plus récentes, notamment celles de la biologie moléculaire et de la biochimie. Favorable à une oxygénation réactionnelle de l’organisme, son gaz carbonique provient de la seconde fermentation et n’a donc rien d’artificiel, contrairement à d’autres vins mousseux et aux boissons gazéifiées. Ceci expliquant cela, le vin de champagne n’irrite pas l’estomac malgré un pH très faible. Il ne nuit pas à la digestion mais l’améliore, en dissolvant les graisses et en évitant les ballonnements.

Comme tous les vins blancs secs, il est fortement diurétique et aide par conséquent à évacuer les toxines. Il est riche en sels minéraux assimilables, en particulier en potassium, en calcium, en magnésium et en soufre, et possède donc des propriétés dépuratives, détoxicantes et anti-inflammatoires. Il agit ainsi sur les rhumatismes, les rhumes et les allergies. Il contient aussi des oligo-éléments, dont le zinc, utile à la régulation de l’influx nerveux. Avant l’arrivée des molécules de synthèse, le champagne était d’ailleurs reconnu comme antidépresseur et anxiolytique. Le divin breuvage contient également du phosphore et du lithium, importants pour l’équilibre psycho-émotionnel.

Ennemi de la cellulite

Autre effet remarquable mis en évidence par les chercheurs : le champagne attenue la cellulite, cette affection dermatologique qui donne à la peau un aspect de pelure d’orange. Une coupe de champagne quotidienne active la circulation lymphatique, le cerveau réagit par une sécrétion d’hormones antidiurétiques et cela fluidifie le sang. De plus, le cœur va secréter lui aussi des hormones, activant ainsi la circulation au niveau de chaque cellule et favorisant le drainage. Le champagne hâte la disparition de la cellulite tout simplement en accentuant les mécanismes ordinaires d’élimination de l’organisme.

Elixir de jouvence

Certes, ce vin blanc est moins riche en tannins et est privé des pigments antioxydants qui confèrent au vin rouge ses principaux atouts diététiques. Mais selon l’historien François Bonal, qui a consacré plusieurs travaux aux bienfaits du champagne, celui-ci compense par son effet à la fois euphorisant et apaisant. Dans les années soixante, une expérience a été faite dans les hôpitaux américains sur trois mille volontaires. Ceux à qui on faisait boire du champagne le soir dérangeaient trois fois moins les infirmières pendant la nuit !

 Sur le plan vasculaire, le champagne conviendrait particulièrement aux personnes atteintes d’artériosclérose et à celles menacées d’infarctus. Il s’oppose en outre à la formation du cholestérol et à son dépôt sur les parois artérielles. Est-ce ce qui lui vaut sa renommée d’ « élixir de longue vie » ? François Bonal cite le cas de nombreux négociants et vignerons champenois qui, après avoir bu le produit régional toute leur vie par nécessité professionnelle, se sont éteints à un âge avancé en gardant jusqu’au bout toutes leurs facultés.

Au début des années 1980, une centenaire autrichienne, encore merveilleusement alerte à 106 ans , fut priée par la presse de révéler son secret de longévité. Elle répondit : « la discipline, une bouteille de champagne quotidienne qui me conserve sereine ». En gériatrie, il se raconte que le vin effervescent redonne parfois vie aux mourants…

Une coupe le soir

Un médecin cambodgien , le Dr Tran Ky, a découvert le champagne en faisant ses études d’urologue à Paris. Il en est tombé amoureux, en a étudié en détail la composition, les bénéfices pour la santé, et a fini par publier un livre , « Les vertus thérapeutiques du champagne », paru en 1990 aux éditions Artulen. Ce qui lui a aussi valu un poste de chargé de cours à l’université de Reims. Selon lui, la consommation idéale se situe aux environs d’une coupe par jour, absorbée dans la soirée, lorsque l’activité des enzymes hépatiques est à son apogée. Idéalement toujours, le docteur ès-champagne suggère cependant de limiter l’ingestion d’alcool à ce seul rituel quotidien. Au-delà, les inconvénients
commencent…

Michel Manset

Extrait de l’article paru au magazine NEO SANTE – par Michel Manset – REVUE N°07 1 DÉCEMBRE 2011

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Plantes aromatiques qui ne vous veulent que du bien

Aneth, basilic, ciboulette, menthe poivrée, origan, persil, romarin, thym : 8 plantes aromatiques qui, au-delà de donner du goût à vos petits plats, se révèleront être vos partenaires « santé » de ce printemps. Encore faut-il connaître leurs bienfaits et savoir correctement les utiliser. Conseils à suivre !

L’ANETH

Conseils de plantation et entretien 

Que ce soit dans une jardinière ou en pleine terre, l’aneth demande à être plantée dans un sol bien drainé, au soleil, et à l’abri du vent. Espacez les semis de 20 cm environ. Récoltez les feuilles avant la floraison, les graines quand elles commencent à brunir. 

Ses bienfaits 

On dit de l’aneth qu’elle chasse les vents. Elle stimule la digestion, évite les ballonnements, lutte contre le hoquet et les vomissements. Elle se révèle être également un puissant diurétique et un excellent calmant.

Comment l’utiliser

Mâchées, les feuilles soulagent les rages de dents. Une tige infusée dans une tasse d’eau bouillante facilite la digestion, prévient l’insomnie et l’anxiété ; les graines infusées, quant à elles, arrêtent le hoquet. Et pour garder une bonne haleine, il suffit de les croquer.  
 

LE BASILIC

Conseils de plantation et entretien 

Que ce soit en pot ou dans un potager, le basilic aime la terre bien drainée riche en matières organiques et éléments minéraux. Choisissez un endroit très ensoleillé, à l’abri du vent. Taillez-le régulièrement pour éviter la floraison. Sur votre balcon, il s’épanouira dans un pot de deux litres. 

Ses bienfaits 

Les agents antispasmodiques qu’il contient permettent de lutter contre les faiblesses musculaires et l’indigestion. Il peut également soulager les douleurs (maux de tête, dentaires, douleurs menstruelles). Sans oublier qu’il redonne un regain d’énergie et prévient le rhume et la grippe. 

Comment l’utiliser

Ses feuilles ne servent pas uniquement dans la préparation de l’incontournable sauce au pistou. Infusées, elles aident à la digestion et soulagent les maux de gorge. Pour cela, faites bouillir de l’eau avec des feuilles pendant 20 minutes. Filtrez ensuite en pressant le basilic pour récupérer les principes actifs. Attendez que cela refroidisse et gargarisez-vous avec cette décoction. En lotion — 150 gr de feuilles infusées vingt minutes dans un litre d’eau bouillante —, il prévient les chutes de cheveux. 

LA CIBOULETTE

Conseils de plantation et entretien 

La ciboulette s’épanouit aussi bien sur nos balcons que dans les jardins. Choisissez un endroit mi — ombragé. Plantez des semis dans une terre légère — préférablement du terreau. Pour une plantation en pot, il faudra au préalable disposer une couche de 1 ou 2 cm de billes d’argile. Tassez bien le sol. Arrosez peu et désherbez souvent. Le secret ? Taillez-la régulièrement pour favoriser une repousse vigoureuse.

Ses bienfaits 

Elle peut agir sur les taux de glycémie et de cholestérol. C’est un bon aliment antibactérien, un bon cicatrisant, et, en infusion, un excellent laxatif. Elle repousse les scarabées japonais, les mouches de carottes et les pucerons. 

Comment l’utiliser

En lotion, elle purifie les peaux grasses. Portez à ébullition des tiges coupées, puis laissez refroidir. Filtrez. Votre préparation est prête à être utilisée dans les deux semaines. C’est également un bon insecticide naturel.

LA MENTHE POIVREE

Conseils de plantation et entretien 

Choisissez plutôt des plants que des semis, que vous disposerez dans un sol frais et riche, chacun espacé de 50 cm. Attention, elle a tendance à se propager rapidement. Ainsi que ce soit dans une jardinière ou dans un jardin, optez donc pour un grand contenant et taillez-la. N’oubliez pas de l’arroser.

Ses bienfaits 

Elle soulage les spasmes gastro-intestinaux, les symptômes de l’intestin irritable et ceux du rhume. Elle calme les nausées. Dans un jardin, elle repousse les pucerons et les tiques.

Comment l’utiliser

Pour soulager les douleurs, fabriquez un cataplasme en écrasant des feuilles. Ramollissez-les dans un peu d’eau tiède pendant deux minutes puis appliquez cette préparation sur la zone à traiter. La menthe poivrée est souvent utilisée sous forme d’huile essentielle pour le traitement des troubles digestifs ou des maux de tête. Pour la fabriquer, lavez et séchez des feuilles, écrasez-les pour libérer les huiles naturelles. Placez-les dans un récipient hermétique, versez l’huile végétale de votre choix puis refermez. Attendez 24 h. Filtrez l’huile puis ajoutez des feuilles et de l’huile végétale. Répétez cela pendant cinq jours. Filtrez toutes les feuilles et versez l’huile finale obtenue dans des petits flacons hermétiques. Stockez dans un réfrigérateur.

L’origan

Conseils de plantation et entretien 

En godet, privilégiez un mélange terreau/sable. Recouvrez très peu les graines, et maintenez bien au frais jusqu’à la levée. En pleine terre, espacez de 25 cm. Sachez qu’il s’épanouit au soleil, dans un sol léger, sec et calcaire. Il ne demande pas beaucoup d’eau. Binez et sarclez régulièrement.

Ses bienfaits 

Il est reconnu pour ses vertus antalgiques, anti-infectieuses, antiseptiques et antibactériennes. C’est l’ennemi des inflammations des bronches et des problèmes de transits intestinaux. Il se trouve être un stimulant efficace. C’est un véritable répulsif pour les moustiques, les papillons du chou et les chrysomèles du concombre.

Comment l’utiliser

En cataplasme, il soulage les douleurs (rhumatismes, torticolis, courbatures). Pour se faire, disposez 100 grammes de sommités fleuries d’origan dans un linge propre. Placez-le sur le couvercle d’une casserole d’eau bouillante. Une fois que le cataplasme est chaud, appliquez-le sur la zone douloureuse. En inhalation, il calme la toux et favorise l’expectoration. Plongez 25 grammes de feuilles dans 50 cl d’eau très chaude durant dix minutes puis respirez au-dessus de l’infusion durant au moins cinq minutes et ce, plusieurs fois par jour. Boire une infusion, deux à trois fois par jour permet également d’atténuer les coliques, les spasmes œsophagiens et les douleurs menstruelles. 

LE PERSIL

Conseils de plantation et entretien 

Il prospère dans tous les sols. Dans un pot, disposé à l’ombre légère, il s’épanouira d’autant mieux dans un mélange composé de ¾ terreau et ¼ de terre franche (sable, argile, humus, calcaire, limon). Recouvrez les graines d’un ou deux centimètres de terreau. Quand quatre ou cinq feuilles apparaissent, éclaircissez-les à 7-10 cm. Maintenez le sol humide. Astuce : pour améliorer le pouvoir germinatif, laissez-les tremper 24 h dans de l’eau avant de les semer.

Ses bienfaits 

Non seulement il a un pouvoir diurétique et facilite la digestion, mais il redonne de l’énergie. 

Comment l’utiliser

En lotion, il éclaircit le teint et atténue les taches brunes. Mettez deux cuillères à café de feuilles hachées dans de deux litres d’eau bouillante. Baissez à feux doux pendant quinze minutes. Après avoir laissé refroidir, versez une cuillère à café de jus de citron. Votre mélange se conserve au frigidaire. Les feuilles écrasées et frottées apaisent les piqures de moustiques. En infusion, il atténue les troubles digestifs.

LE ROMARIN

Comment l’utiliser

Contre les ballonnements et les troubles du foie, buvez trois tasses de décoction de romarin, si possible avant les repas. Il suffit de faire infuser 2 cuillères à café de feuilles avec 500 ml d’eau. Contre le torticolis, les douleurs de l’arthrite et de l’arthrose, concoctez un cataplasme. Cuisez des feuilles de romarin avec du vin une dizaine de minutes. Disposez les feuilles encore chaudes dans une compresse, puis appliquez-la sur la zone à traiter. Sachez également que les branches de romarin infusées préviennent la chute des cheveux et aident au démêlage.

LE THYM

Conseils de plantation et entretien 

Sur un balcon, placez votre thym dans un endroit très ensoleillé. Vous l’aurez préalablement planté dans un terreau. Au jardin, il apprécie les terres bien drainées, et les sols un peu lourds. N’hésitez donc pas à ajouter du sable ou des graviers. Il ne demande pas beaucoup d’arrosage. 

Ses bienfaits 

Il soulage bon nombre de pathologies respiratoires (toux, bronchite, pleurésie, asthme…) Il s’avère être un bon antiseptique et antifongique (inflammations de la bouche) et il soulage les dérèglements intestinaux, et les affections ostéo-articulaires (rhumatismes, l’arthrose). Il améliore la santé de la peau. Il calme l’herpès, les mycoses, les zonas ou les plaies.

Comment l’utiliser

Pour fortifier les cheveux, réalisez la décoction suivante : 100 grammes de thym dans un litre d’eau froide. Portez-là à ébullition. Laissez mijoter 10 à 20 min. Lorsque le mélange est réduit de moitié, laissez refroidir, filtrez. Pour avoir une chevelure brillante, ajoutez-y deux cuillères à soupe de vinaigre de cidre. En cas de problèmes digestifs, buvez une tisane — 1 cuillère à café de thym pour 150 ml d’eau — après les repas.

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JE DÉCOUVRE LEURS BIENFAITS

Le corps, gardien des mémoires cellulaires

Notre corps serait le fidèle gardien des souvenirs enfouis qui ont balisé notre existence, notre naissance, voire des expériences de nos parents et de nos ancêtres. « À notre insu, le corps porte dans nos cellules notre mémoire, qui va résonner avec régularité au fil du temps », a pu observer la psychothérapeute Myriam Brousse, pétillante octogénaire soutenant l’existence d’une mémoire corporelle inconsciente, dite « cellulaire ». Sous l’influence de stimuli subtils (des stress ou des événements en lien avec le choc initial), ces mémoires « réactivées » entraînent des comportements inadaptés et parfois des pathologies, comme des maux de dos, des migraines épouvantables, ou de profondes dépressions.


Cette découverte a pour origine la déclaration d’un cancer des ovaires, à l’aube de ses quarante ans, qui va bouleverser sa vie. C’est à l’issue d’un voyage au bout de son corps jusqu’aux confins de la souffrance et de plusieurs rencontres qu’une nouvelle compréhension émerge, éclairée par les travaux de Mère et de Sri Aurobindo. Il y a tout d’abord celle d’un maître tibétain, puis d’une mathématicienne, artiste peintre, pianiste et pionnière des réflexions sur la mémoire cellulaire, et enfin d’un maître indien, philosophe et adepte du yoga intégral. Selon eux, pour se libérer, il faut descendre dans le corps, lui redonner la parole, l’écouter, même si c’est souvent éprouvant…

Il s’agit de recontacter la blessure originelle pour l’accepter et la transformer, dans un choix conscient, grâce à des outils spécifiques de la méthode, comme la grille de vie et la biorésonance cellulaire. Ainsi, nous pouvons nous libérer des répétitions et tracer en conscience notre chemin de vie. Avec bienveillance, assurance et une profonde douceur, Myriam Brousse nous convie à un long voyage intérieur qui va nous demander courage et détermination, pour accéder enfin à notre projet-sens, celui de notre âme.

Votre approche est fondée sur l’existence des mémoires du corps. Et si nous retournions au point de départ : quelle a été l’origine de vos recherches ?


C’est à l’issue d’une très grave maladie, vers 39-40 ans, que j’ai pu entamer un chemin de guérison par un travail précisément dans le corps. J’ai été guidée par mon maître tibétain, pionnier à l’époque des travaux sur la mémoire cellulaire, pour aller plus loin dans le corps, là où était la partie souffrante, la programmation du cancer. Il tirait son enseignement des travaux de Sri Aurobindo et de Mère. Bien avant les découvertes sur l’ADN, Mère, Mirra Alfassa de son vrai nom (Paris 1878 – Inde 1973) s’interrogeait déjà sur cette mémoire cellulaire vibratoire qui garde l’empreinte de toutes nos expériences passées. L’une de ses phrases a toujours guidé mes propres recherches : « Le passage est dans le corps ! »

Comment définiriez-vous cette notion de mémoire cellulaire ?


La mémoire cellulaire contient les informations qui sont inscrites dans la cellule du corps, à l’insu du mental, qui lui n’y a pas accès. Notre corps engramme tout ; en lui sont contenues toutes nos pensées, nos empreintes de l’âme. Il nous livre avec exactitude notre histoire biologique et terrestre. C’est notre bibliothèque, comme l’affirmait Mère. C’est-à-dire qu’il garde en mémoire également les histoires de nos parents, et celles de nos ancêtres. Du point de vue cellulaire, le corps est cet incroyable réceptacle.

Ainsi, vous remontez même aux mémoires intra-utérines. Qu’est-ce que le corps mémorise ?


Pour commencer, la mémoire du corps contient ce que j’appelle « la descente en incarnation », qui tient compte du père et de la mère. Le ventre de la mère, qui accueille l’enfant, contient la mémoire de l’acte sexuel des parents lors de la conception. Comment cet acte sexuel a-t-il été produit ? Est-ce qu’il a été plein d’amour, subi, dans le plaisir, ou violent ? Et l’enfant, l’être est marqué par cette empreinte. Elle est précisément ce qu’il est venu travailler…


C’est la fameuse empreinte fœtale ?


Tout à fait ! À laquelle vont s’ajouter les différents événements qui auront lieu pendant les neuf mois de la gestation. Toute notre vie fœtale est inscrite dans nos cellules. Et puis après, il y a la naissance, ce passage. Là aussi, son déroulement laisse une empreinte. Une naissance longue, les forceps, le cordon autour du cou, une césarienne, ou une naissance naturelle et facile. Tout s’imprime dans le corps, dans la matière du corps.

Extrait du Magazine INEXPLORE 2021

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SURPRENANTS ACCIDENTS DE LA ROUTE


Des éléments de l’environnement qui émettent des ondes électromagnétiques (antennes relais, lignes à haute tension, transformateurs, etc.). L’idée est d’établir des mesures et comparatifs selon la nature et la puissance de chacun, puis d’évaluer la distance à laquelle ils peuvent impacter les échanges d’énergies entre les lieux et les êtres vivants. Systématiquement, le taux vibratoire mesuré était dramatiquement bas : par exemple, pour une ligne à haute tension d’une puissance de 400 KV, le taux vibratoire est de – 36 KBovis ! Les appareils électromagnétiques rendent beaucoup de services mais génèrent beaucoup de pollution… « Le constat final montre que la technologie est un outil fabuleux, mais en contrepartie dangereux si elle est mal utilisée », analyse Raymond Montercy.


Accidents de la route, et plus particulièrement lieux accidentogènes nommés « points noirs » : propices aux accidents. Christian Cransac explique : « Pour cela, nous avons travaillé avec la délégation de la sécurité routière. Il y a aujourd’hui environ 200 points noirs en France. Nous avons étudié 68 de ces lieux accidentogènes, et cherché à savoir ce qui causait ces problèmes. »

Le taux vibratoire moyen d’un lieu propice aux accidents est de 22 KBovis. Sur les 68 lieux analysés, on a relevé en moyenne 2,8 cheminées cosmo-telluriques par espace, ce qui en fait une influence principale, puis les lignes à haute tension, transformateurs, courants d’eau et failles telluriques arrivent en seconde place avec en moyenne 1,2 par lieu.

Enfin, on a relevé une valeur d’environ 1 par site pour les relais téléphoniques, vortex et courants telluriques. Nous retrouvons toujours en quantité importante l’effet des ondes électromagnétiques, à hauteur de 47 % d’influence dans 92,6 % des lieux impactés. « Évidemment, les 68 points que nous avons analysés ont été traités, corrigés, et tous seront suivis pour établir l’évolution du nombre d’accidents », précise l’expert. Enfin, les géobiologues ont aussi considéré l’influence subtile des « âmes bloquées » près des lieux de l’événement, et ont relevé en moyenne 3,6 âmes par sites. « Ceci est normal, car chaque fois qu’il y a un accident mortel, si aucune aide n’est apportée à l’âme, elle reste sur le lieu du décès de son corps. »

Comment expliquer que nos organismes réagissent à toutes ces influences au point de nous faire perdre le contrôle de notre véhicule ? Si le phénomène reste encore à mettre en lumière, Christian Cransac évoque la théorie du scientifique allemand Robert Endrös (auteur de Le rayonnement de la terre et son influence sur la vie, Ambre éditions), qui a relevé une modification des processus hormonaux lors d’un passage sur une zone perturbée.

L’organisme réagirait au stress de ces perturbations par une stimulation des glandes surrénales pouvant causer des pertes de connaissance, notamment lors d’un état préalable de fatigue. Cette enquête inédite confirme l’importance de se prémunir au maximum des ondes électromagnétiques liées à l’activité humaine, et la place centrale du géobiologue dans le rétablissement des équilibres cosmo-telluriques.

Considérer notre habitat comme un espace énergétique à part entière peut aussi nous permettre d’adopter de nouvelles habitudes ; des gestes simples comme le fait d’aérer régulièrement notre maison pour renouveler les énergies, et faire preuve d’écologie de nos pensées et émotions participent aussi à créer un environnement favorable à notre épanouissement « Pour ne pas être malades, notre taux vibratoire doit atteindre 17 à 18 Hertz (relatif aux fréquences Schumann). Une étude a démontré que la peur abaisse le taux vibratoire à 2 Hertz. Tandis que les mots amours et compassion amènent à 250-300 Hertz. », conclut Christian Cransac.


Pour aller plus loin, découvrez Puissance V3, le site officiel de l’enquête

Les symptômes de l’insuffisance hépatique

Pour déterminer si une paresse hépatique est une des causes de votre constipation, il est nécessaire de connaître les signes qui montrent que le foie ne travaille pas bien. Ceux-ci sont faciles à observer. Il faut noter qu’une personne souffrant d’une faiblesse hépatique présentera un, mais le plus souvent plusieurs des symptômes suivants :

  • Difficulté à digérer les graisses : fritures, œufs, crème, …
  • Troubles digestifs en général
  • Nausées
  • Gonflement et pesanteur au niveau du ventre
  • Gaz, ballonnements
  • Bouche pâteuse, langue chargée
  • Mauvaise haleine
  • Perte d’appétit
  • Fatigue, manque d’élan
  • Selles en « crottes de chèvre »
  • Selles trop claires, par manque de bilirubine
  • Selles qui flottent dans l’eau du WC, à cause d’une digestion insuffisante des graisses

La stimulation du foie

Lorsque la constipation est due à une insuffisance hépatique, le traitement à instaurer ne doit pas viser à agir sur les intestins, siège de la constipation, mais sur le foie, responsable du ralentissement du transit par sa faible production de bile.

Les moyens les plus efficaces pour stimuler le foie dans son travail sont l’emploi de plantes médicinales et de la bouillotte chaude.

Les plantes médicinales

Les plantes médicinales pour le foie sont dites « hépatiques » ou « draineuses du foie et de la vésicule biliaire ». Elles agissent en stimulant le foie à filtrer d’avantage de déchets hors du sang, ce qui augmente la quantité de bile produite. Dans le meilleure des cas, la production peut doubler. Cela signifie que les intestins recevront beaucoup de bile pour lubrifier leurs parois et pour stimuler le péristaltisme intestinale. De plus, les plantes hépatiques accroissent la capacité de la vésicule biliaire à se contracter pour éjecter la bile qu’elle a momentanément stockée. Il en résulte une augmentation de la bile disponible dans les intestins.

La congestion du foie par les déchets et les poisons qui a conduit à l’insuffisance hépatique, est un processus qui s’est étendu dans le temps. Des années d’intoxication progressive ne peuvent évidemment pas être compensées en quelques jours de cure. La pratique montre qu’il faut prendre des plantes hépatiques pendant 1 à 3 mois à raison de trois prises quotidiennes, avant les repas. Avec ces prises régulières et répétées dans le temps, le foie se décongestionne peu à peu des déchets qui l’encombrent. Il se fortifie et retrouve son fonctionnement normal.



Voici trois plantes spécialement efficaces pour stimuler le foie dans son travail:

Le dosage indiqué doit être adapté à vos besoins personnels. Commencez avec de petites doses et augmentez-les progressivement. Lorsque le transit intestinal est rétablit, maintenir ce dosage sur 1 à 3 mois.

L’artichaut (Cynara scolymus)
La partie utilisée en thérapie n’est pas le bouton de la fleur que l’on mange, mais les feuilles.
Infusion : 10 g de feuilles par litre d’eau, infuser 10 minutes, boisson très amère, 3 tasses par jour
Gélules : 1 – 2 gélules, 3 fois par jour
Teinture-mère : 30 à 50 gouttes, 3 fois par jour

Radis Noir (Raphanus sativus)
Ce radis, à chair blanche mais recouverte d’une enveloppe noire, est un excellent stimulant du foie et de la vésicule. Son usage en cuisine est fortement recommandé.
Ampoule de jus de radis noir : 1 à 2 ampoules par jour
Gélules : 1 – 2 gélules, 3 fois par jour
Teinture-mère : 30 à 40 gouttes, 3 fois par jour

Romarin (Rosmarinus officinalis)
Arbrisseau des régions méditerranéennes, le romarin est recouvert de petites feuilles qui stimulent fortement le foie : elles peuvent doubler la production de bile. Son usage en cuisine est fortement recommandé.
Infusion : 1 cuillerée à café de feuilles par tasse, infuser 15 minutes, 2 à 3 tasses par jour
Gélules : 1 – 2 gélules, 3 fois par jour
Teinture-mère : 20 à 40 gouttes, 3 fois par jour



La bouillotte chaude

Le foie est l’organe le plus chaud du corps. Sa température se situe entre 39°C et 41°C. C’est non seulement la température qui résulte de son activité, mais aussi celle dont il a besoin pour fonctionner correctement.

Une perte de chaleur au niveau de la glande hépatique, par fatigue et affaiblissement diminue sa capacité à travailler. Or, le froid a une action vasoconstrictrice sur les capillaires sanguins. Ils diminuent de diamètre, ce qui ralentit la circulation sanguine dans le foie. La production de bile est entravée.

Pour lutter contre l’insuffisance hépatique rien ne vaut l’application d’une bouillotte bien chaude sur le foie. Ce dernier reçoit ainsi la chaleur dont il a besoin pour travailler activement. La bouillotte est un coussin de caoutchouc muni d’une ouverture que l’on peut fermer hermétiquement avec un bouchon. Remplie avec l’eau chaude du robinet et posée sur la région du foie, elle va transmettre sa chaleur à cet organe. La température de celui-ci s’élève et son fonctionnement, jusque là ralenti, retrouve son rythme normal, et même s’intensifie.

Marche à suivre

  • Poser la bouillotte remplie d’eau chaude à la hauteur du foie
  • Maintenir pendant 15 à 30 minutes
  • 1 à 3 fois par jour, de préférence après les repas
  • Cure sur 1 mois au minimum

Article SOURCE de Christopher Vasey

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L’AUTO-GUÉRISON POUR UNE MAITRISE ESSENTIELLE DE NOTRE SANTÉ

Plonger dans le subconscient… dans l’inconscient… en sonder ses profondeurs… l’explorer pour en ramener des trésors de sagesse… voilà en quelques mots, comment on utilise l’imagerie guidée pour l’autoguérison.

Cet article s’adresse plus particulièrement aux professionnels de la santé, qu’ils soient médecins, infirmiers/ères, psychologues, psychothérapeutes, pasteurs, conseillers de vie, matrimoniaux ou familiaux ; il peut aussi intéresser toute personne désireux d’apprendre à se guérir en utilisant la puissance de l’esprit.

Esprit conscient et inconscient

Personne ne comprend vraiment ce qu’est la conscience ; nous savons qu’elle est liée au processus d’attention, car ce qui fait l’objet de notre attention, c’est l’expérience que nous vivons, au moment présent. Vous avez peut-être entendu l’expression : « Ce sur quoi nous portons notre attention grandit », que ce soit notre jardin potager, nos enfants, nos soucis ou nos angoisses.

Au cours des années, la plupart d’entre nous avons appris à porter la plus grande partie de notre attention à l’esprit conscient et au papotage de cette petite voix qui chuchote, explique et nous décrit, de façon linéaire, logique et rationnelle, sa perspective sur le monde. Avec son monologue analytique, elle nous influence à une réflexion programmée. Nous nous perdons souvent dans nos pensées, oubliant que d’autres parties de notre tout ont une existence aussi.

Nous sommes bien plus qu’un esprit conscient avec sa réflexion. Nous avons un subconscient et un inconscient très riche, avec ses intuitions, ses émotions, ses sentiments, ses souvenirs, ses passions, ses motifs, ses objectifs, ses appétits, ses aspirations, ses ambitions, ses valeurs, ses croyances, ses attitudes et ses perceptions. Toutes ces qualités proviennent d’expériences visuelles, auditives et kinesthésiques, plutôt que de notre conscience verbale. Malheureusement, dans notre culture occidentale, nous ne portons guère attention à ces images et à ces sentiments, étant plus habitués à écouter la petite voix de notre esprit conscient.

Bénéfices de l’imagerie guidée

L’imagerie guidée thérapeutique permet aux clients d’entrer dans un état d’esprit relaxé, puis de concentrer leur attention sur des images associées aux problèmes qui les confrontent. Par exemple, on peut inviter une image à se former qui représente un symptôme médical déplaisant, image avec laquelle on peut commencer à dialoguer. On lui demande pourquoi elle est là, ce qu’elle veut, ce dont elle a besoin, où elle se dirige et ce qu’elle a à offrir. Les 2 informations que l’on obtient durant un tel dialogue peuvent souvent être plus utiles que les tests médicaux les plus sophistiqués.

Les patients qui font face à des douleurs chroniques sont invités à visiter et à faire l’expérience d’un sanctuaire intérieur, une place où ils n’éprouvent aucune douleur ; ceux qui sont confrontés à une décision médicale difficile peuvent rencontrer, dans leur imagination, un conseiller intérieur plein de sagesse et de compassion, qui peut les soutenir et les aider à explorer leurs sentiments face aux différentes options qu’ils doivent considérer.

En utilisant un style de guidance interactif, sans jugement ni contenu, un praticien expérimenté d’Imagerie Guidée Interactive peut encourager ses clients à puiser dans leurs ressources intérieures latentes, leur permettant de découvrir des solutions créatives et nouvelles pour les difficultés qu’ils doivent affronter. L’accent est constamment porté sur les ressources et les solutions propres au client, évitant ainsi des problèmes possibles de transfert. Cette modalité offre aux clients l’opportunité de se prendre en charge de manière efficace, de se sentir compétents et de devenir très rapidement autonomes.

Pourquoi l’imagerie est-elle importante ?

L’imagerie est le langage principal de l’inconscient humain. Elle joue un rôle important dans presque toutes les interventions thérapeutiques. L’imagerie guidée est une approche thérapeutique de grande valeur ; elle permet aux praticiens d’enseigner l’utilisation astucieuse de l’imagination à leurs patients/clients pour provoquer la relaxation plutôt que l’angoisse, pour résoudre des problèmes plutôt que de se sentir à leur merci, pour devenir confiants au lieu de s’auto-dénigrer. Le processus ouvre la porte à un monde extraordinaire, presque magique, de perceptions, de signification, de perspicacité, d’aperçu affectif et de développement personnel, qui encouragent les professionnels et leurs patients/clients à s’entre-aider pour découvrir et suivre le chemin de la guérison.

L’IGI utilise les facultés de l’imagination personnelle du patient pour explorer un problème particulier, une maladie ou un intérêt. Le processus invite une ou des images à se former, qui contiennent des informations importantes et qui ont des connaissances particulières ou un avis sage sur le sujet. En dialoguant avec ces images, le guide et le client sont connectés avec une source intérieure très puissante, qui amène à de nouvelles révélations facilitant le processus de guérison.

Parce que les images proviennent directement de l’imagination du client plutôt que d’un scénario tout préparé et lu par le guide, elles sont profondément personnelles et significatives. C’est grâce à ce processus d’interaction en douceur, avec ces images personnelles, que le patient ou client est amené à comprendre la raison cachée derrière sa situation. Cette compréhension plus profonde va lui permettre de passer de l’imagerie à l’action et de participer à son propre processus de guérison.

Quelles sont les différences entre la visualisation, l’imagerie guidée, l’hypnose, la Programmation Neurolinguistique et l’Imagerie Guidée Interactive ?

Ces modalités se chevauchent, bien qu’il y ait des différences importantes entre elles.
La visualisation est une forme d’imagerie qui stimule l’imagination en utilisant des scénarios guidés. Le guide lit un script préparé pour aider le patient/client à imaginer un objectif désiré, comme le soulagement des douleurs.

Ce genre de visualisation est également courant dans la Programmation Neurolinguistique, comme moyen de reprogrammer ou de réinterpréter une situation. Avec la PNL, un individu essaie de former de nouvelles connexions entre ses cellules nerveuses, dans l’espoir de changer un certain comportement ou une habitude. L’accent se porte sur le praticien, son analyse et sa compréhension du comportement du client, et à son habilité à trouver une nouvelle stratégie.

L’hypnose exige souvent que le client soit dans un état hypnotique, où l’attention est concentrée, pour permettre à des suggestions de pénétrer l’esprit subconscient ou inconscient. C’est à travers ces interactions suggestives que les changements dans l’individu peuvent se produire. L’espoir, de la part du client et du praticien, est que l’hypnotisme puisse offrir la solution au problème.

L’imagerie guidée est une façon d’accéder aux images de la partie subconsciente ou inconsciente de l’esprit, pour aider à résoudre des problèmes et pour obtenir des révélations et une compréhension plus profonde concernant une maladie, un problème ou une situation. L’imagerie peut être interactive ou non, et des images sont généralement suggérées ou suscitées. À nouveau, l’espoir est que le guide trouve les meilleures images pour le client.

L’Imagerie Guidée Interactive est un processus innovant, dans lequel sont incluses toutes les caractéristiques de l’imagerie guidée, en y ajoutant un élément interactif. L’IGI travaille directement avec les images qui proviennent de l’imagination et de la sagesse intérieure profonde du client lui-même. Cela ouvre une fenêtre à l’exploration personnelle du processus de guérison particulier à cet individu. Avec l’IGI, le guide d’imagerie interactive assiste le client à accéder et à utiliser ses propres ressources, ainsi qu’à trouver des solutions provenant de son inconscient, ce qui est considérablement plus personnel, plus spécifique et plus valorisant pour le patient/client. L’imagerie est utilisée avec un format très interactif pour puiser dans les ressources et la sagesse intérieure du client, suscitant une plus grande autonomie.

Le terme « imagerie guidée » est utilisé pour décrire un groupe de techniques allant de la simple visualisation avec ses suggestions directes, aux métaphores et à la narration d’histoires. L’Imagerie Guidée Interactive (Interactive Guided Imagerysm) est une approche spécifique développée et enseignée par l’Académie d’Imagerie Guidée (Academy for Guided Imagery), co-créée par les Drs Martin Rossman, Dr méd. et David Bresler, psychologue. C’est avec cette Académie que j’ai reçu une formation de deux ans, suivie d’une certification en 1998. Je suis devenue membre de la faculté de l’Académie et j’ai utilisé cette technique avec un grand nombre de mes clients, que ce soit pour de la dépression ou des douleurs, des crises d’angoisse ou des « crises de vie », pour découvrir le « pourquoi » d’une maladie ou d’une résistance ou pour trouver une solution à des problèmes d’affaires.

Les témoignages de milliers de professionnels de la santé qui ont pris les cours de l’Académie indiquent que l’IGI est une voie rapide pour la découverte d’idées et de créativité, pour la résolution de conflits, ainsi que la transformation et le développement personnels. L’Académie participe à des études et à de la recherche qui explorent le rôle de l’imagerie dans le contrôle de la douleur, la préparation à la chirurgie et la récupération après celle-ci, la chimiothérapie et les addictions.

L’Imagerie Guidée Interactive convient particulièrement bien aux temps dans lesquels nous vivons, où le rapport coût/efficacité des méthodes dites alternatives ou complémentaires est en jeu, où la santé personnelle devient un choix important et où des approches plus puissantes prennent de la valeur aux yeux des clients, des médecins et des assurances.

L’Imagerie Guidée Interactive est généralement pratiquée par des professionnels de la santé, diplômés et/ou sous licence, dans des spécialités variées, par des éducateurs de la santé, des dirigeants religieux, des conseillers familiaux ou matrimoniaux et par des personnes non-professionnelles ayant reçu une formation spécialisée.

L’Imagerie Guidée Interactive peut également être utilisée pour l’autoguérison, en faisant partie d’un groupe ou par cours à domicile. Bien des personnes ont pu s’aider en lisant des livres ou en suivant une formation.

Un des bénéfices de l’enseignement de l’imagerie guidée est qu’elle améliore notre capacité à écouter et à entendre, à communiquer et à guider, qualités fort importantes dans la vie, spécialement pour les praticiens et professionnels de la santé, médecins et infirmiers/ères, psychologues, psychothérapeutes, etc.

Les humains ont toujours utilisé leur imagination pour résoudre les nombreux problèmes qui menaçaient leur existence. De nos jours, il est impératif d’apprendre à utiliser efficacement ce processus d’information pour la résolution de conflits et pour l’autoguérison, pour nous-mêmes, nos familles, nos communautés et notre planète. Faire face à un avenir durable demande que nous utilisions notre imagination, de manière personnelle et globale. Cette ressource importante – l’imagination humaine – a malheureusement été fortement sous-utilisée.

Le mécanisme biologique de l’action

L’imagerie a des conséquences physiologiques profondes ; le corps a tendance à réagir à l’imagerie de la même façon que s’il vivait vraiment l’expérience. Par exemple, si vous imaginez, d’une façon très nette, être en train de sucer une tranche de citron bien juteuse, aigre et acide, vous allez rapidement commencer à saliver. Il en est de même pour des fantaisies sexuelles, avec leurs réactions physiologiques. Quelles sont les réactions de votre corps lorsque vous pensez à quelque chose qui vous mette en colère ?

Il a été démontré que l’imagerie affecte presque tous les systèmes physiologiques du corps, comme la respiration, le rythme cardiaque, la pression sanguine, le métabolisme des cellules, la motilité gastro-intestinale, les fonctions sexuelles, le niveau de cortisol et de lipides du sang, et même les réactions du système immunitaire.

En ce qui concerne la production de changements physiologiques spécifiques qui promeuvent la guérison, l’imagerie guidée représente une possibilité alternative ou complémentaire à la pharmacothérapie, offrant plus de sécurité et moins de complications et contre-indications.

Que peut-on traiter avec l’Imagerie Guidée Interactive ?

L’IGI est un processus qui peut être utilisé pour pratiquement tous les soucis concernant la santé, du stress au cancer, des maladies cardiaques aux addictions. C’est un outil fort efficace pour engager le patient/client dans son propre processus de guérison, et pour engendrer la valorisation de soi. L’IGI est une approche qui habilite non seulement le patient/client, mais aussi le praticien, alors qu’elle améliore la puissance de guérison de l’approche thérapeutique.

Il est plus exact de dire que l’IGI traite les gens, non les problèmes, et qu’en habilitant les gens, elle les aide à faire face à leurs problèmes d’une manière plus efficace.

Les gens ayant des problèmes de santé allant de douleurs musculaires ou squelettiques, aux maladies catastrophiques, en passant par les addictions majeures, peuvent utiliser l’IGI pour alléger leurs symptômes, trouver la raison se cachant derrière le problème, stimuler la guérison et effectuer des changements de vie critiques qui soutiennent et encouragent la guérison.

Comment se passe une première séance d’Imagerie Interactive Guidée avec un guide certifié ?

En prévoyance de la première séance, le patient ou client et le guide vont discuter des objectifs qu’ils aimeraient atteindre avec l’IGI : relaxation, allégement d’un symptôme, nouvelles idées, résolution d’un problème ou d’un conflit, etc. De sa « boîte à outils » d’imagerie, le guide évaluera la technique la plus judicieuse à utiliser, qui permettra de passer à la résolution et/ou à l’action le plus rapidement possible.

La séance commencera en général avec un exercice de relaxation de base, qui permettra au patient/client de concentrer son attention à l’intérieur ; il va ensuite imaginer qu’il se trouve dans un endroit magnifique, serein, sûr, un lieu de guérison où il pourra travailler. On demandera ensuite au patient/client de permettre à une image du problème, de la maladie ou d’un intérêt de se former dans son esprit. Alors que l’image apparaît, le guide facilitera la communication interactive entre le patient/client et l’image, permettant de clarifier les découvertes et d’amener de nouvelles révélations concernant la situation. On pourra aussi inviter une image d’un Conseiller Intérieur à apparaître, pour faciliter le processus.

Après avoir discuté avec l’image pendant un certain temps, le guide assistera le patient/client à revenir graduellement à la place et au temps présents, pour passer à une récapitulation de l’imagerie et planifier les actions à suivre. La séance dure en général entre 50 et 90 minutes. Le patient/client pourra également faire du debriefing avec le guide.

Ce qu’en pensent les professionnels

« L’imagerie guidée et la visualisation améliorent l’efficacité des autres traitements, y compris des médicaments et de la chirurgie. Utilisez-les pour toutes maladies et pour des troubles du système auto-immune ». Dr Weil, Dr méd. « Mes clients quittent mon cabinet plus relaxé, centré et dynamisé ». Ron Rehrer, Conseiller familial et matrimonial, pasteur

« … une expérience inestimable qui ouvrit les portes m’apportant une compréhension plus approfondie des pouvoirs innés de guérison que nous avons. Je crois sincèrement que tout médecin qui pratique la médecine intégrante devrait recevoir une bonne formation dans l’application de l’imagerie guidée interactive. Je l’utilise pour aider mes patients à contrôler leurs douleurs et différents symptômes, de même que pour acquérir de nouvelles idées et cultiver d’autres ressources. L’imagerie illumine le chemin de la guérison… et c’est une joie ». Dr Carl Hendel, Dr méd.

« Ce qui a été le plus important pour moi dans la formation pour devenir guide d’imagerie guidée interactive, c’est que j’ai développé une oreille attentive. Je suis à l’écoute et j’entends ce que me disent mes patients. J’ai appris à moins juger et à ne pas interpréter ce qu’on me dit, que ce soit lors qu’une séance d’imagerie ou simplement lors de communications avec mes patients. Mon travail avec l’imagerie m’a redonné la joie d’être médecin, car elle m’amène, avec mes patients, à plonger dans l’inconnu, dans des places magiques de guérison et de prise de conscience ». Dr Mathew Zwerling, chirurgien orthopédiste

« J’utilise l’Imagerie Guidée Interactive comme la méthode de choix pour traiter le stress, la dépression, le symptôme de stress post-traumatique, les problèmes familiaux et conjugaux. » Dr Richarg Berrett, psychologue

« J’utilise l’Imagerie Guidée Interactive tout le temps. C’est un outil merveilleux qui se prête fort bien à la thérapie de courte durée ; les compagnies d’assurances en sont très contentes. Mes patients ont tendance à résoudre leurs problèmes très rapidement. Je l’utilise pour des patients souffrant de cancer, d’addictions, pour les hommes agressifs ou pour des comportements violents, et pour les gens qui ne savent pas quelle décision prendre ». 

Jann Fredrickson, travailleur social

« J’utilise l’IGI de façon variée : avec des personnes qui ont subi des agressions sexuelles, pour les aider à se mettre en contact avec leur bonté et leurs talents. Je l’utilise avec des mourants, les aidant à imaginer leur mort et la « vie après la vie ». Je l’utilise avec des cancéreux, pour les aider à imaginer qu’ils répondent favorablement à la chimiothérapie. J’ai surtout pu les assister à communiquer avec leurs cellules cancéreuses, leur demandant leur nom, leur raison d’être et ce qu’elles désirent. J’ai employé l’IGI dans des consultations familiales et matrimoniales, non seulement pour imaginer quel genre de personne chaque conjoint est, mais pour imaginer ce que serait un bon mariage ou un bon divorce. Les possibilités d’utilisation d’IGI sont innombrables ». Dr Henry Milan, théologien

Citation sur l’imagination

« L’imagination est plus importante que la connaissance ». Albert Einstein

« L’imagination est l’oeil de l’âme ». Joseph Joubers

« L’esprit est le maître, l’imagination est l’outil, et le corps est la matière plastique… La puissance de l’imagination est un facteur important en médecine. Elle peut produire des maladies chez l’homme comme chez l’animal, et elle peut les guérir… Les problèmes du corps peuvent être guéris par des remèdes physiques ou par le pouvoir de l’esprit agissant à travers l’âme ». Paracelce, père de la médecine moderne

« Un amoncellement de cailloux cesse d’être un amoncellement de cailloux dès qu’un seul homme le contemple comme étant l’image d’une cathédrale ». Antoine de Saint-Exupery

SOURCE ARTICLE : Danielle J. Duperret

Docteur naturopathe et holistique, ND/PhD – Las Vegas (USA)

Site web : www.DanielleDuperret.com/fr

ISSU DE LA NEWLETTRE DE https://energie-sante.net/  de mai 2021

RAS LE BOL DES SOINS CHIMIQUES

Que l’on rejette le matraquage publicitaire est une chose. Mais que reproche-t-on aux soins chimiques ?

Tout d abord la violence d’un processus qui peut devenir irréversible en détériorant notre corps et en nous entraînant dans un cycle de dépendance.

A titre d’exemple : le blanchiment chimique des dents qui attaque un peu plus l’émail chaque fois et la rend plus poreuse, nécessitant des traitements de plus en plus rapprochés, puis la pose de facettes… ou bien la pose d’ongles, qui après 1 mois de « belles mains », laisse des moignons d’ongles avec une matrice endommagée, d’où forte probabilité d’une prochaine pose avec les mêmes solvants toxiques… ou encore le botox dont l’innocuité est pour le moins controversée et dont l’effet liftant dure au plus 6 mois…est ce que l’obtention d’une lèvre « boudeuse » ou de cet aspect « sans ride » figé justifie vraiment l’utilisation de la toxine botulique ?

Le deuxième point est de donner un espoir souvent déçu, comme l’utilisation de patchs anti-cernes vendu avec la promesse que notre fatigue de quelques années disparaisse en une semaine, ou encore des produits hydratants qui avec les facilitateurs de pénétration chimiques donnent rapidement une peau éclatante…qui s’affaisse dès qu’on arrête l’utilisation du produit.

Autre paramètre de taille : en plus de la pression ressentie quand on ne répond pas aux standards de beauté que la publicité, elle nous présente la vieillesse, l’évolution de notre vie, comme une menace d’une dégradation inéluctable.

Enfin, un dernier point qui n’est pas négligeable : le sentiment plus ou moins diffus mais quotidien et persistant d’une certaine toxicité des soins chimiques. Il y a certes des désagréments et parfois des malaises sérieux, liés à l’utilisation de certains de ces produits. En effet, pour leur longévité, pour leur apparence, couleur-odeur-goût-consistance, pour un impact immédiat, pour augmenter leur poids ou réduire la quantité de principes actifs, savons, shampoings, adoucissants, pâtes à dents, déodorants et cosmétiques, de la crème hydratante au rouge à lèvres en passant par la teinture de cheveux et le fond de teint sont additionnés de produits chimiques dont l’innocuité n’est pas toujours démontrée.

Il s’agit de conservateurs, solvants émulsifiants, édulcorants synthétiques, colorants chimiques, certaines saveurs et fragrances, excipients qui peuvent s’avérer allergènes, irritants pour la peau et les muqueuses internes et peuvent même interagir sur le métabolisme, les systèmes immunitaires, nerveux, endocrinien, reproducteur…

Pour ne citer que les plus toxiques : mercure, acétate de plomb (dans le rouge à lèvres par exemple) formaldéhyde, toluène, diméthylamine… Beaucoup de ces produits à haut risque sont interdits dans l’Union Européenne (phthalates dans vernis à ongles et fragrances, goudron de houille dans les teintures…).

L’engouement pour les soins naturels

Généralement déçus des soins chimiques et de leurs effets secondaires, beaucoup se sont tournés vers des produits naturels, plus doux, respectueux de l’être humain et de l’environnement.

Cet engouement résulte, comme on l’a vu, principalement des problèmes générés par les soins chimiques industriels, du rejet du matraquage médiatique mais aussi du malaise éthique ressenti et exprimé par une minorité préoccupée de la santé et de l’environnement. Cette minorité a opté pour une vision à long terme. Elle a su l’exprimer et faire usage de son pouvoir d’achat pour imposer une qualité de produits.

Une nouvelle conception du soin et de la beauté a pris place petit à petit, qui associe beauté à santé et plaisir, dans le respect de l’être humain et de la planète.

Autant que la qualité du produit lui-même, la philosophie qui va avec le produit et l’éthique de la compagnie comptent. Ingrédients sans additifs chimiques décrits avec transparence, partage de connaissances traditionnelles, commerce équitable avec retour aux producteurs de matières premières (généralement du tiers-monde), pas d’expérimentation animale, emballages recyclés… chacun de ces éléments a son poids pour ces consommateurs.

La relation même au produit va changer. Il s’établit une interaction avec le produit choisi. Il prend vie entre nos mains et ce n’est plus seulement un outil d’hygiène. On l’expérimente comme un vecteur de tendresse pour soi-même. On choisit de faire de sa toilette quotidienne un moment privilégié, où on prend consciemment soin de soi. La salle de bains devient un lieu de volupté.

Opter pour les soins naturels relève donc, initialement, d’un choix délibéré. Il ne va pas sans certains changements dans notre hygiène.

Caractéristiques d’un soin naturel

Ce choix nous oriente vers des soins quotidiens doux, qui ne génèrent théoriquement aucune dépendance, qui sont censés apporter un bien être immédiat et durable, sans effets secondaires signalés. Les ingrédients utilisés en général ont des bienfaits connus depuis la nuit des temps et sont utilisés pour leurs propriétés anti-microbiennes (antiseptique du corps et conservateur du produit), anti-oxydantes (jeunesse des cellules, antirides et conservation du produit), hémostatiques, cicatrisantes (blessures, acné), émollientes (assouplissent la peau), astringentes (resserrent les pores de la peau), anti-inflammatoires, hydratantes, nourrissantes et tonifiantes (vitamines B, C, E, F, K…), activation de la circulation sanguine…

Il s’agit principalement d’argiles, d’huiles végétales de 1ère pression à froid, d’huiles essentielles de qualité, de plantes (certifiées bio et non OGM), des produits de la mer (sel, algues, boues), des produits de l’abeille (cire, gelée royale, propolis, miel). A signaler à ce sujet que les artisans des pays sous développés n’ont pas les moyens de se payer des certifications et qu’une certification bio pour des plantes sauvages poussant dans des zones désertiques ou semi-désertiques n’est pas toujours pertinente au nord comme au sud.

Si les soins chimiques posent certains problèmes, les soins naturels n’ont pas réponse à tous nos maux et l’utilisation incorrecte de certaines plantes, huiles essentielles, argiles présentent aussi des risques. (brûlures, allergies, etc.)

Les argiles : effet absorbant, adsorbant, antiseptique, cicatrisant, antiacnéique, anti-inflammatoire, bactériostatique, fongistatique, hémostatique, excellent reminéralisant pour les dents et les os. calme et cicatrise  les ulcères.


Argiles les plus courantes : vertes, blanches, rouges, roses, jaunes, grises, ghassoul saponaire

Les huiles végétales 1ère pression à froid :effet émollient, hydratant, restructurant, régénérant cellulaire, antirides, protège contre les agressions extérieures, antioxydant
Huiles les plus efficaces (non exhaustif) : huile d’olive, huile d’argan, huile de pépins de raisins, huile d’avocat, huile de rose musquée, huile de germe de blé, beurre de Karité…

Les plantes : effets variables. Liste non exhaustive des plantes les plus utilisées

Aloès – gel : anti-inflammatoire, anti-bactérien, astringent, émollient, cicatrisant, régénérateur cellulaire, exceptionnelle capacité de rétention d’eau.

Bleuets – fleurs : anti-inflammatoire des yeux, astringent, antipelliculaire

Henné : antipelliculaire et cicatrisant, utilisé pour colorer les cheveux, comme autobronzant et pour les tatouages.

Matricaire : cicatrisante, antirides

Noyer (écorce) : antiseptique puissant, blanchissant naturel des dents, anti-hémorragique, astringent utilisé traditionnellement contre les ulcères de la bouche et la mauvaise haleine.

Origan et thym : antiseptique, active la circulation, anti-inflammatoire

Pamplemousse extrait de pépin (Citrus paradisii) : conservateur et antibiotique 100% naturel, bactéricide, fongicide, antiviral naturel.

Rose : émolliente, hydratante, tonifiante, antiallergique, astringente, contracte les pores et stimule les tissus, anti-inflammatoire, antiseptique, anti-rougeurs, aphrodisiaque, idéale pour toutes les peaux, c’est la Reine des fleurs.

Thé vert de Chine (feuilles) : tonique, excellent draineur général, antioxydant, anti-inflammatoire et astringent, antirides.

Les huiles essentielles et teintures mère (liste non exhaustive)

HE Anis : stimulant général, antispasmodique, stomachique (améliore fonction gastrique), calmant, antiseptique.

HE Arbre à thé – melaluca : antiseptique puissant (anti-bactérien et antifongique),

HE Bergamote : antiacnéique, antiseptique, antispasmodique, antidépresseur, cicatrisant, antifongique, désodorisant.

HE Cannelle : (écorce Ceylan) tonique, hémostatique, antispasmodique, puissant antiseptique, antalgique, aphrodisiaque.

HE Citron : astringent, tonique, antiseptique, nettoyant, antiallergique, anti-inflammatoire, anti-rhumatismal, atténue les taches de rousseurs ou de vieillesse, aide peaux grasses, ongles cassants, mains gercées.

HE Clou de Girofle : anesthésiant, antiseptique.

HE Coriandre : anti-inflammatoire, tonique, antiseptique, antispasmodique.

HE Eucalyptus globuleux : tonique, astringent, balsamique (vertus d’un baume), relaxant, antifongique, anti-inflammatoire.

HE Géranium : assouplit la peau, équilibre sécrétion de sébum, active la circulation sanguine et l’élimination de toxines, antiseptique propriétés apaisantes et astringentes cutanées.

HE Lavande : anti-inflammatoire, antiseptique, analgésique, fébrifuge, active la régénérescence cellulaire.

HE Petit grain : tonique, apaisant, désincrustant (taches et points noirs sur la peau), régénérant cellulaire.

HE Romarin : revitalisant, tonique de la peau et des yeux, réchauffe la peau, astringent, détergent du système pileux anti-bactérien, antioxydant.

HE Sauge : astringent, calmant, œstrogène-like puissant (ménopause et accouchement).

HE Ylang-Ylang : régulateur de la production de sébum, anti-infectieux.

TM Calendula : régénérant, tonifiant, cicatrisant puissant, hypotenseur superficiel, léger effet tenseur, améliore le teint.

TM Camomille romaine : anti-inflammatoire (chamazulène), tonique, antalgique.

TM Propolis  : puissant antiseptique (flavonoïdes), vitamines, minéraux, oligo-éléments.

Les produits de l’abeille (4 principaux)
Cire d’abeille : émulsifiant naturel, émolliente, hydratant, apaise la peau

Gelée royale : revitalisant, rééquilibrante, antibiotique, anti-inflammatoire, anti-sénescence, antifatigue. Riche en acides gras insaturés et en substances hormonales.

Miel : antiseptique puissant, calmant, anti-inflammatoire

TM Propolis : puissant antiseptique (flavonoïdes), vitamines, minéraux, oligo-éléments

Les produits de la mer
Algues marines : reminéralisant, stimulant, raffermissant et amincissant, anti-infectieux

Boues marines : effet astringent, stimulant, raffermissant et apaisant.

Sel de mer :Qu’il provienne de la Mer Morte ou d’ailleurs, l’effet antiseptique, astringent, reminéralisant est très important. 

On pourrait s’attendre à ce qu’elle soit permissive compte tenu de la nouveauté de ce type de produits sur le marché. Or, dans un temps relativement court, l’Europe d’abord et l’Amérique du nord ensuite ont mis en place une nomenclature scientifique homogène et des pratiques de fabrication normalisées.

En parallèle, les associations de défense de consommateurs veillent au grain pour que le label « soin naturel » ne soit pas frelaté et qu’il rende réellement compte de la qualité du produit. Certains considèrent, à juste titre, comme une victoire le fait d’avoir obligé, via les associations de défense de consommateurs, des grandes marques et des multinationales à exclure certains produits chimiques toxiques de leurs soins corporels**.

**Associations de défense du consommateur en Amérique du nord

Toutefois, le risque de récupération par les « grandes surfaces » est très présent et, s’il a certains aspects positifs, puisqu’elles rendent accessibles ces soins à un plus grand nombre, il requiert une vigilance active pour que l’appât du gain n’empêche la majorité de disposer de produits de qualité. Bien que basé sur des valeurs saines, le marché en essor des soins naturels (produits d’hygiène et cosmétiques) est devenu en quelques années une véritable jungle où, une fois de plus, la force du marketing va parfois primer sur la qualité.

RETROUVEZ L’ARTICLE EN SON ENTIER ICI : https://energie-sante.net/les-soins-naturels-mode-ou-choix-delibere/

SE SOIGNER PAR LES PLANTES

Depuis des siècles, les plantes sont utilisées pour soigner les petits désagréments du quotidien et pour garder la santé. Certains spécimens sont en effet reconnus pour leurs nombreuses vertus et sont considérés comme une alternative efficace aux traitements médicamenteux. D’autres espèces sont conseillées en combinaison avec les soins préconisés par le médecin. Cependant, certaines précautions doivent être prises pour se soigner par les plantes sans risque sur la santé et sur le bien-être.

Phytothérapie : de quoi s’agit-il ? 

La phytothérapie est une médecine naturelle qui repose principalement sur l’utilisation des plantes de manière curative ou préventive. Pratiquée depuis des millénaires, cette forme de médecine connaît aujourd’hui un grand succès dans de nombreux pays. La phytothérapie intervient notamment pour estomper les petits maux et affections du quotidien. En effet, les principes actifs contenus dans les plantes seraient scientifiquement approuvés pour leur efficacité sur la santé et le bien-être de l’organisme, permettant d’estomper divers symptômes. Dans certains cas, le traitement par les plantes peut être utilisé en complément d’une autre forme de médecine.

Dans la phytothérapie, les principes actifs sont souvent extraits de différentes parties de la plante, dont la racine, la fleur ou la feuille. Sous forme d’infusion, de baume ou de gélules, les plantes peuvent généralement être utilisées seules ou en synergie pour potentialiser leurs effets thérapeutiques. Toutefois, il convient de consulter l’avis d’un médecin ou d’un pharmacien avant d’entamer un traitement par les plantes pour éviter tout risque.

Les différentes plantes médicinales et leurs bienfaits

L’utilisation des plantes dans le traitement de certaines pathologies représente de nombreux atouts, dont la diminution des effets secondaires indésirables. Au-delà de leurs vertus curatives, les plantes peuvent aussi être utilisées en prévention de certains symptômes. Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), il existe plus de 22000 plantes médicinales ayant des vertus sur la santé, comprenant les arbres et les champignons. Néanmoins, il faudra choisir la plante en fonction du problème à traiter.

La passiflore est par exemple particulièrement recommandée pour traiter les troubles du sommeil. Cette plante agit entre autres sur l’anxiété et la nervosité pour permettre de mieux dormir. Le complément alimentaire Arkofluides Détente et Sommeil Bio des laboratoires Arkopharma associe les vertus de la passiflore à celles de l’aubépine, de l’oranger et de la lavande qui favorisent la relaxation et permettent de se détendre. Retrouvez ainsi un sommeil réparateur et luttez efficacement contre la fatigue.

Pour traiter les jambes lourdes par ailleurs, optez pour l’hamamélis. Cette plante apporte une action vasotonique qui booste la circulation veineuse et apaise les sensations de fatigue et de lourdeur. Dans le Gel tonique au cuivre de Weleda, l’hamamélis agit en synergie avec les propriétés décontractantes du cuivre pour apporter une sensation de légèreté et de confort aux jambes, notamment après un l’effort physique ou en période de grossesse.

Généralement utilisé comme épice, le curcuma intervient également fréquemment dans la phytothérapie pour ses nombreux bienfaits. Cette plante est riche en antioxydants qui agissent sur les radicaux libres à l’origine du stress oxydatif. Arkogélules Curcuma Piperine des laboratoires Arkopharma est formulé à base d’extraits de curcuma et de poivre noir et contient de la pipérine, un principe actif qui stimule l’absorption des actifs du curcuma. L’association de ces deux plantes permet de réduire l’inconfort articulaire, et donc de préserver la souplesse des articulations.

Le sirop adulte Grintuss des laboratoires Aboca est quant à lui composé d’un complexe moléculaire de Grindelia, de Plantain, et d’Hélichryse, un mélange efficace contre les toux sèches et grasses. Associé au miel, ce soin préserve l’hydratation de la muqueuse et stimule l’élimination du mucus gras grâce à son action mucco-régulatrice. Ce sirop protège également les voies aériennes supérieures des agents irritants en formant un film sur la muqueuse, réduisant ainsi les irritations.

Les précautions à prendre pour se soigner par les plantes

La phytothérapie est solution naturelle pour soigner les petits maux du quotidien comme la fatigue, les douleurs articulaires, les migraines, les troubles digestifs et les rhumes. Cependant, il convient d’être prudent dans l’utilisation des plantes afin d’éviter tout impact nocif sur la santé. En effet, les principes actifs des plantes s’avèrent parfois toxiques lorsque les doses préconisées ne sont pas respectées.

Il peut également être dangereux d’utiliser certaines plantes en interaction avec d’autres, avec un médicament ou avec un complément alimentaire. C’est pourquoi il est vivement recommandé de demander conseil auprès du médecin avant l’utilisation des plantes dans un but curatif ou préventif. Renseignez-vous si le traitement par telle ou telle plante est contre-indiqué pour les femmes enceintes ou pour les enfants. Vous devez également vous fier aux précautions d’emploi du fabricant et respecter la posologie sur l’étiquette. Assurez-vous également de la traçabilité des produits utilisés pour garantir votre sécurité lors de l’utilisation. Il vous faudra également vous renseigner sur les possibles effets indésirables en cas d’interaction avec un autre traitement.

Source : sante.journaldesfemmes.fr ; www.passeportsante.net

 

JE RESTE A L’ECOUTE des BESOINS DE MON CORPS

« Je suis un créateur. Je suis ici pour créer une vie abondante et sûre.

Par la vibration et la fréquence, je choisis d’être en santé, productif et sage. Je suis reconnaissant de savoir que mes pensées produisent des fréquences et je suis en mesure d’en créer une qui engendrera un univers probable sûr que j’habiterai en orientant mon énergie vers ce que je désire vivre. J’évolue dans la vie avec l’intention claire et consciente de tisser mon énergie, comme la trame d’une merveilleuse tapisserie, partout dans le monde qui m’entoure. Je conçois pleinement qu’une multitude de probabilités et de systèmes de valeurs existent parallèlement au mien. Au sein de mes croyances, je suis en sûreté, je suis guidé.

J’aime mon corps et je me fie à lui ; je sais que mes cellules sont télépathiques et que je suis co-créateur du monde. Je sais que je suis un être de valeur. Je sais que je capterai des pulsions, des présages, des signaux ainsi que l’orientation dont j’aurai besoin pour toujours être au bon endroit au bon moment, pour mon bien suprême et celui de tous ceux qui m’entourent. Tout cela, je le sais, et j’en suis sincèrement reconnaissant ». 

Accepter la responsabilité de votre destinée est le geste le plus essentiel lorsque vous retrouvez votre pouvoir. Il n’est pas possible de grandir en lucidité si vous posez des conditions et si vous calculez pourquoi vous ne pourrez pas obtenir ce que vous souhaitez.

Adopter une attitude responsabilité personnelle permettra de guérir les vieilles blessures et les énergies qui entravent les progrès de l’évolution humaine. Il existe plusieurs manières de percevoir la vie, et votre manière d’interpréter le monde dépend naturellement de ce que vous choisissez de croire.

A mesure que se dévoilent de nouvelles vérités, posez des questions. Votre tâcheconsiste à activer le mental supérieur, à vous affranchir de la tyrannie de la peur, à accorder une valeur à vos facultés humaines et à les comprendre. Si tout le monde regarde dans la même direction, retournez-vous pour voir ce qui se passe ailleurs.

Utiliser vos capacités pour créer unmonde probable, voilà l’essentiel….

Toutes les réalités ont cours. La destruction ou la régénération, voilà le choix. Vous pouvez obtenir tout ce que vous désirez. Vos pensées, vos rêves et vos intentions altèrent la structure de la réalité. Quel programme choisirez-vous de concevoir ?

Quoi qu’il en soi : Rêvez le plus haut et le plus pur qui soit !

Nous sommes venus ici-bas pour nous délecter de ce que la vie a à offrir, pour apporter au monde la contribution de nos idées uniques et pour exprimer l’excellence personnelle. La civilisation se fonde sur un consensus, et à l’époque actuelle où l’on franchit le pont d’un univers à l’autre, on nous demande d’offrir au monde notre vision d’harmonie et de coopération. Aspirer à des valeurs nobles et vivre animé d’intentions honorables. Le pouvoir trempe invariablement le caractère ; retrouver notre pouvoir en questionnant. Montrons-nous responsable et assumons la responsabilité de notre destinée car il s’agit là de la contribution la plus valable que nous puissions faire à notre civilisation.

Votre réaction à n’importe quelle situation ou événement en détermine l’issue ; Il faut nous accorder le luxe de nous aimer, en ouvrant notre cœur et en éprouvant une gratitude pour tout ce que nous avons créé. En un sens, nous devons apprécier nos dons et apercevoir les indices signalant la transformation de notre conscience.

Nous avons apprendre à vivre avec l’poque, à nous adapter et à ajuster notre attitude en déterminant résolument notre voie, puis e l’empruntant avec assurance et en toute confiance. Il faut identifier la pensée destructrice, puis la modifier. La peur anéantit l’imagination et paralyse le corps.

Vous sommes venus ici pour établir la paix et la dignité au sein de la race humaine, et il faut donc valoriser notre fougue en appréciant notre réalité extérieure et intérieure. Le véritable sentiment de sécurité découle de la confiance et de l’assurance, ainsi que d’une solide résolution intime basée sur la compréhension psychologique et spirituelle de la vie. Notre sûreté intérieure correspond à notre sûreté dans le monde extérieur.

Adopter une position calme, confiante et détendue permet de trouver des solutions ; Lorsque votre vibration électromagnétique est dépourvue d’angoisse et de tension, vous pouvez franchir aisément n’importe quelle crise. S’accrocher à la tension, c’est un peu comme d’ériger une forteresse autour de votre esprit, et lorsque vous provoquez des blocages, vous restreignez vos possibilités de mouvement sur plusieurs niveaux de réalité. Les énergies solaires vivifiantes et la force vitale des radiations cosmiques ne se relieront pas à vos centres de  communication intérieurs si vous  vous fermez ou si vous démolissez votre champ énergétique par la peur.

La beauté, le parfum des fleurs, le bourdonnement des abeilles et le gazouillis des oiseaux ajusteront les fréquences de vos ondes cérébrales et équilibreront les hémisphères droit et gauche pour qu’ainsi vous soyez synchronisé au mental cosmique. La nature ne sera pas rendue  désuète par un fanatisme scientifique visant à capturer l’âme et l’esprit des gens et à les transformer en automates électroniques. Une réalité qui repose sur l’usage mal avisé de l’énergie n’est pas viable. Les civilisations évoluent et se développent à partir des idées dont on les nourrit. Vous êtes des êtres hautement créatifs, libre d’échafauder à votre guise n’importe quelle version du monde.

La seule solution, c’est la paix, mais celles-ci commence en vous. Pour qu’elle règne dans le monde, les peuples doivent le souhaiter vraiment et être disposés à produire les vibrations qui l’engendreront. Une minorité domine peut-être le plus grand nombre ; néanmoins, il faudra plus qu’une minorité pour influencer les masses.

Vos pensées et vos intentions sont fortement amplifiées lorsqu’elles s’allient à celles des Autres. Pour avoir un impact sur votre pays et sur votre communauté, un impact qui apportera la paix dans le monde dès maintenant, joignez-vous, à chaque NOUVELLE LUNE, le moment traditionnel pour semer et ensemencer la réalité, à un groupe de personnes avec qui vous partager des affinités. Elaborez vos rituels  et concentrez votre énergie et vos intentions sur la paix dès maintenant. https://devantsoi.forumgratuit.org/search?search_keywords=rituel

Autrefois, les gens ressentaient une affinité avec la nature et se livraient à une magie naturelle de leur cru ; la télépathie et le rêve étaient leurs instruments principaux. Vous devez désormais respecter le pouvoir de vos intentions quand il s’agit de conditionner et de façonner en une réalité concrète l’espace qui vous entoure. Il faut nous éveiller à l’exquise valeur de la vie.

 Seul un petit nombre d’individus cherchent à tuer, obsédés par l’anéantissement des peuples de la Terre. Mais il y a beaucoup plus de gens qui souhaitent voir la Terre, ses populations et ses créatures vivre et s’épanouir. Un monde sans danger exige aussi un investissement d’énergie et d’intention.

Chaque personne fait son choix. Regarder les autres faire le leur, en sachant ce que vous savez, sera l’un des passages les plus difficiles de la transformation. Nous sommes ici pour participer et aussi pour constater et être témoin des événements. La manière dont nous traitons nos émotions ainsi que la qualité des symphonies que nous exécutons sur notre piano intérieur détermineront les codes que nous serons en mesure de dégager lorsque nous nous accorderons aux énergies entrantes.

On nous demande de reconnaître notre place au sein du grand schème de la création, en développant notre lucidité et en explorant les occasions insolites et sans fin qui marquent l’époque. Nos contributions s’avèrent indispensables.

Créateur ou victime ? A vous de choisir.

Un esprit intégré et bien équilibré vibre à une fréquence protégée des influences négatives. Les vecteurs de la tyrannie jouent un rôle notoire dans le scénario. Ils ébranlent profondément notre réalité et nous offrent un retentissant appel à l’éveil. En menaçant notre sécurité et notre survie, l’empire du jour sert de stimulus nous incitant à produire de nouvelles fréquences permettant l’acquisition de pouvoir personnel.

Vous pouvez reproduire librement cet article et le retransmettre, à condition que vous en respectiez l’intégralité et de citer l’Auteur-Source Francesca : http://devantsoi.forumgratuit.org/