ANIMAUX ET VIBRATION, SOURCE D’EXEMPLE POUR L’HOMME

Nous émettons tous une vibration, une fréquence vibratoire, un taux vibratoire (humains, animaux, plantes et mêmes objets). Tout ce qui existe a une vibration et peut être mesuré (en ce que l’on appelle « unités de Bovis »). Plus notre vibration est élevée, plus nous sommes dans les émotions dites « positives » (joie, gratitude, enthousiasme, amour…). Plus notre vibration est basse, plus nous sommes dans les émotions dites « négatives » (tristesse, impuissance, colère, frustration…). Nous comprenons donc bien que la chose la plus importante est d’avoir une vibration élevée, et cela doit être une volonté consciente et quotidienne que de travailler sur sa vibration en faisant les choix de vie et de pensée qui nous « élèvent » le plus.

L’Animal, lui, est très souvent dans une vibration élevée par nature (sauf dans le cas où encore une fois il a trop fréquenté l’Homme à vibration négative, cela peut l’atteindre car il absorbe les émotions). Il y a également des variations de taux vibratoire selon les espèces car eux aussi sont à des stades d’évolution qui leur sont propres. Mais les chiens et les chats ont une vibration très élevée. Avoir un animal de compagnie c’est donc véritablement détenir une énorme boule d’énergie positive chez soi qui nous déverse ses ondes positives en permanence. Bon nombre d’humains considèrent leurs animaux de compagnie comme quelque chose certes d’agréable, mais n’ont pas conscience de l’effet que ces boules d’énergie ont sur eux, sur leur corps, leur santé, et donc sur toute leur vie entière. Puisque nous créons notre réalité extérieure en fonction de notre réalité intérieure et plus précisément de notre vibration intérieure, alors un animal de compagnie peut véritablement impacter la vie entière d’un humain. Un animal peut véritablement transformer un humain. Et cela se produit des millions de fois chaque année. Ils sont là pour ça. Ils entrent dans nos vies, et notre vie n’est plus jamais la même, sans qu’ils n’aient jamais eu besoin de prononcer un seul mot.

La plupart des « alliances » entre animaux et humains ont été prévues d’avance, avant l’incarnation. Parfois certaines rencontres sont tellement bouleversantes que l’on sent bien que « cela devait se faire ». Le lien est tellement fort. Est-ce un hasard que vous ayez tel ou tel chat, ou tel ou tel chien ? Bien sûr que non. Nous avons l’animal qui nous correspond et l’animal qu’il nous fallait pour apprendre les leçons que nous devions apprendre et expérimenter les sentiments que nous devions expérimenter.

Chiens versus Chats

Souvent, nous constatons des ressemblances entre certains animaux et leurs maîtres. Que ce soit physique ou au niveau de la personnalité. C’est tout simplement parce que l’animal absorbe les émotions et la personnalité de l’Homme. Du fait de leur vibration extrêmement élevée, ils sont capables souvent d’absorber une grande quantité d’émotions négatives de leur maître pour les soulager (ils peuvent ainsi même les sauver de maladies). Quand le maître est triste, le chien le sent, et vient immédiatement se mettre contre son maître pour absorber sa tristesse et lui donner son énergie positive. L’humain se met soudainement à sourire, à se sentir mieux, par la vibration de l’amour qui le transperce encore une fois même sans un mot.

Le chat, lui, n’agit pas de la même manière, mais émet une vibration extrêmement forte également (au même titre que les dauphins, baleines, éléphants…). Le chat est un animal tellement en alignement avec lui-même (beaucoup plus que le chien qui est tout de même très dépendant de son maître), qu’il émane une vibration très puissante, vibration qui soit est un véritable bonheur divin pour ceux qui ressentent justement cette vibration extrêmement haute (en particulier quand le chat ronronne), soit rebute.

Celui qui aime les chats a compris l’enseignement du chat : s’aimer (personnellement j’aime regarder cet acte d’amour pour soi que de prendre le temps de se laver tout le corps chaque jour avec sa petite langue), dormir quand il en a envie, aller chercher des câlins quand lui en a envie. C’est une véritable leçon que de comprendre ce que c’est que de s’aimer suffisamment au point de n’attendre après personne pour satisfaire nos propres besoins et de prendre l’entière responsabilité de notre vie. Le chat ne compte sur personne. Par contre si on lui offre de l’amour il sait le rendre et le montrer aussi. Mais il n’est pas dépendant de nous et c’est ça le véritable enseignement que nous devrions en retirer (ne pas être dépendant des autres dans nos propres relations, pour déterminer notre bonheur).

L’humain qui n’aime pas les chats est un humain qui a du mal avec les personnes s’autorisant à être en alignement avec elles-mêmes avant toute chose. C’est souvent une personne qui ne s’autorise pas par exemple de s’écouter et qui fait sa vie en fonction des autres (le chat lui, faisant tout l’inverse, est un puissant miroir qu’il va donc rejeter), ou qui pense que les gens sont trop égoïstes en général et donc le chat est la représentation de tout ce qu’il déteste (et il adore en général les chiens à l’inverse car il peut s’y reconnaître ou retrouver les qualités qu’il souhaiterait plus trouver chez les humains). Cela peut être aussi le reflet de son propre égoïsme qu’il ne supporte pas chez les autres… 

Mais celui qui n’aime pas les chats devrait plutôt se demander : qu’y a-t-il chez le chat qui reflète en moi quelque chose sur quoi je dois travailler ?

Le chien, lui, nous enseigne le don de soi, à l’inverse pour les personnes qui sont trop dans la restriction et l’amour conditionnel, ils sont de profonds enseignants sur ce que c’est que de donner sans rien n’attendre en retour, et sans conditions, et d’aimer tout le monde, ainsi que d’être dans l’enthousiasme, la joie, et le bonheur de toutes petites choses (une baballe envoyée, une sortie avec son maître, une friandise…).

Bien sûr, il y a tellement d’autres espèces extraordinaires d’enseignement pour l’Homme, mais je ne peux pas toutes les citer, l’article serait trop long, j’ai donc évoqué les deux principaux animaux de compagnie de l’Homme à l’heure actuelle. Chaque animal a sa particularité et chaque animal est une profonde source d’enseignements pour l’Homme. Certains hommes l’ont compris mais encore beaucoup ne considèrent l’animal que comme un objet sans conscience, et incapable de ressentir, mais le jour où l’Homme réalisera ces joyaux que sont les animaux, pour la Terre (ils envoient en permanence leurs hautes vibrations sur la Terre pour contrebalancer l’énergie négative envoyée par les Humains), et pour eux-mêmes, la leçon sera très dure… Nous réaliserons tout ce que nous leur avons fait subir et cela sera très dur pour la conscience. En attendant, si vous lisez cet article, il y a de fortes chances pour que justement vous ayez conscience de ces merveilles que sont les animaux, et à quel point nous devons les honorer, les respecter et les chérir, nous qui avons justement la capacité de développer des outils, des refuges, des moyens de soigner, ce n’est pas pour détruire mais pour protéger.

Comme le disait Gandhi « Toute âme qui s’élève, élève le Monde »… et c’est véritablement à cela que l’animal contribue chaque jour, en côtoyant l’Humain. Il l’aide à élever sa vibration, pour qu’à son tour l’Humain soit une force positive pour le reste de la planète…

SOURCE Laura Marie Site web : www.lauramarietv.com

LA TERRE EST UNE PLANÈTE «ÉCOLE» DE GUÉRISON

Ce qu’il faut comprendre, c’est que la Terre est une planète « école », et qu’au même titre que les humains sont ici pour apprendre, évoluer et expérimenter, il en est de même également pour toutes les autres espèces (animales et végétales), qui elles aussi sont ici pour vivre et expérimenter. Certaines espèces animales sont plus proches de l’Homme et ont un rôle précis envers l’Homme, alors que d’autres vivent plus éloignées de l’Homme, ce qui ne veut pas dire qu’elles n’ont pas non plus un impact énergétique sur lui ni sur le reste de la planète.

Nous provenons tous (Humains, Animaux, Végétaux, Minéraux) du même souffle de vie, de la même conscience universelle créatrice, raison pour laquelle nous ne pouvons véritablement nous considérer comme séparés les uns des autres. Ceux qui ressentent ce lien, ressentent qu’ils ne font qu’un avec les animaux et avec la Terre, et que chaque arbre coupé les coupe aussi, et que chaque animal maltraité est une partie d’eux-mêmes que l’on arrache et que l’on fait souffrir aussi. Pour les personnes empathiques, il y a de quoi devenir fou, dans un monde qui bafoue et massacre autant l’Animal. L’Homme tue près de 470 milliards d’Animaux par an, c’est plus qu’un génocide, c’est un massacre à la chaîne qui se produit chaque jour sous nos yeux et que la plupart des humains laissent faire, soit ne se sentant pas concernés, soit se sentant impuissants, ignorant leur propre pouvoir de dire NON.

L’article d’aujourd’hui est plus particulièrement sur nos animaux de compagnie, qui eux ont la chance, en général, d’être mieux traités que le reste des animaux peuplant notre planète (en comparaison par exemple avec ceux que l’Homme a décidé de manger ou d’utiliser pour les tests sur animaux, ou leur fourrure). Pourtant, un cochon par exemple est encore plus « intelligent » qu’un chien, y compris au niveau de ses émotions.

Le rôle spirituel de nos animaux de compagnie

Si chaque espèce s’incarne dans le but d’expérimenter une certaine perspective sur la vie, les animaux de « compagnie » tels que le chien et le chat par exemple, s’incarnent, eux, dans le but de partager une expérience avec l’Homme. Ils sont là pour apporter quelque chose à l’Humain et pour vivre cette expérience du lien avec l’Humain (cela sert les deux perspectives).

La raison pour laquelle il est si facile d’aimer les animaux, c’est qu’ils sont naturellement en alignement avec eux-mêmes (sauf dans le cas d’animaux qui ont trop été influencés et contrôlés par l’Homme, par exemple un chien maltraité qui vivra dans la peur d’être lui-même et s’alignera sur la volonté de son maître en s’oubliant lui-même).

Ce que nous appelons vulgairement « l’instinct », est un en fait un haut état d’alignement avec soi-même. Que veut dire être aligné avec soi-même ? Cela veut dire être aligné avec qui nous sommes réellement et ce que nous désirons et ne désirons pas à chaque instant. Cela veut dire être parfaitement aligné à nos émotions. Cela veut dire avoir suffisamment d’amour pour soi pour ne pas avoir besoin d’être sans cesse à la recherche de reconnaissance et d’amour de la part des autres, comme c’est le cas pour l’Humain.

L’humain, incapable d’écouter ses émotions, d’être lui-même, de s’aimer (car la société lui a fait croire que c’était « égocentrique » et « égoïste » de s’aimer), aura donc toute sa vie des difficultés à aimer les autres, en rejetant toujours la faute sur les autres au lieu de se demander si son incapacité à aimer ne vient pas de lui-même.

Pourquoi les animaux sont-ils capables d’aimer « inconditionnellement » ?

L’amour inconditionnel c’est l’amour qui s’exerce sans conditions. L’amour inconditionnel c’est l’amour qui se donne sans rien n’attendre en retour si sans exiger que la personne fasse, dise ou soit quelque chose de différent de ce qu’elle est sur le moment présent. Jamais un animal ne se dit « J’aimerai que mon maître soit plus jeune / plus riche / moins ci ou ça… qu’on habite dans une maison plus grande / qu’on habite dans un autre pays… » ou alors faire la tête car il a trop donné d’amour comparé à ce qu’il a reçu… se vexer car il n’aura pas reçu en retour la caresse qu’il aura donné… L’Animal est toujours en parfait accord avec « ce qui est ». Il ne cherche jamais à changer les choses, comme le fait l’humain, ou à toujours vouloir que les choses soient différentes et se plaindre.

Certains diront que c’est justement la preuve qu’ils ne sont pas intelligents. Mais de l’autre côté les plus grands enseignements spirituels prônent la même chose : le plus haut état d’avancement spirituel est la capacité de vivre dans le moment présent et d’accepter tout ce qui est. Alors, qui fait preuve du plus haut état d’alignement et d’avancement spirituel ? L’animal qui lorsqu’il n’est pas avec l’Homme ne se développe pas de maladies, qui est en parfait alignement avec lui-même et qui vit dans le moment présent sans jamais se soucier du futur, en étant dans le lâcher prise et dans la confiance en ses propres capacités (même malgré des conditions de vie souvent bien pires que celles de l’Homme) ?

Ou alors, l’humain (supposé « plus intelligent »), qui ne vit jamais dans le moment présent, qui vit dans un état de manque, de stress, d’inquiétude, de colère, de frustration, d’attente, d’autodestruction, et souvent de désir également de nuire aux autres ? Lequel des deux est le plus « avancé » et a à apprendre de l’autre ?

Les animaux sont un reflet très puissant de ce que l’Homme est loin d’arriver à faire et à être. Pourtant, c’est véritablement ce qui sauverait l’humanité et nous permettrait de nous reconnecter à notre vraie nature : consciente, connectée à nous-mêmes, à nos émotions, à nos désirs, à nos besoins, et capables de nous aimer, afin de pouvoir être capable de donner sans rien n’attendre en retour (étant « pleins » d’amour pour nous-mêmes, le reste étant du « surplus » que nous pourrions donner sans mesurer).

Un animal ne se regardera jamais dans la glace en se disant : « Mais qu’est ce que tu es moche, regardes tes cuisses, regardes ton gros nez, regardes tes poils, regardes la couleur que tu as ».
Encore une fois, est-ce un signe de bêtise ou au contraire de profonde intelligence ?
Est-ce une preuve d’intelligence de la part de l’être humain que de se détester à ce point ? Combien d’êtres humains sur Terre s’aiment tels qu’ils sont ?

Un animal se compare-t-il aux autres de son espèce ? Se compare-t-il aux autres espèces ? Un singe se demande-t-il pourquoi lui, il n’a pas une trompe comme l’éléphant ? Le chat se demande-t-il pourquoi lui, il doit se laver alors que les chiens non, passant ses journées à ruminer sur le fait que la vie n’est pas juste ? Se demande-t-il pourquoi le chat du voisin a plus de nourriture, ou plus de câlins, ou un panier plus douillet ?

Pourtant l’humain, lui, passe sa vie à se comparer aux autres, à son voisin, aux autres races, aux autres pays, se détruisant intérieurement en pensant à ce qu’il estime « juste » ou « pas juste » (selon ses propres critères bien souvent en plus erronés car incapable de voir « le plus grand plan » des choses, et ne jugeant bien souvent que par rapport à sa propre petite personne), au lieu de tout simplement vivre sa vie avec les moyens qu’il a et ce qu’il est et en devenir la meilleure version.

C’est donc cela que les animaux de compagnie, qui ont décidé de venir s’incarner pour aider les humains, viennent nous apporter et nous enseigner : l’Amour de soi et des autres, l’amour inconditionnel, le lâcher prise, la confiance en la vie et en ses propres capacités.

Le chat ou le chien ne se demandent pas, quand vous leur servez à manger, s’ils auront à manger demain. Ils mangent leur repas, et vont jouer ou dormir. Ils ne passent pas la nuit à se dire « Mais imagines si demain en partant au bureau mon maître a un accident ? et qu’il ne peut pas rentrer me donner à manger ? Qu’est ce que je vais devenir ? Je vais mourir de faim ! Oh non… vite, des antidépresseurs, un verre d’alcool, ou une cigarette pour me calmer ». L’animal a une parfaite confiance en la vie, et en ses aptitudes à faire face aux circonstances extérieures si jamais il en avait besoin, autrement dit en ses propres capacités.

L’animal ne va pas s’inquiéter en avance du fait de manquer de nourriture ou de quoi que ce soit dans le futur, il vit au jour le jour. Par contre, si jamais un jour il manque de nourriture, il aura encore une fois parfaitement confiance en ses propres aptitudes à trouver de la nourriture, et à se sortir de ce pétrin, jusqu’à la prochaine étape de sa vie. Et bien sûr, tout cela, sans ne jamais avoir à blâmer qui que ce soit, ni la vie, ni les humains, ni les autres chiens, ni les autres espèces, ni le gouvernement ! Il sera toujours en alignement avec lui-même et continuera simplement sa vie chaque jour, dans la joie de découvrir ce que chaque journée va lui apporter et lui faire vivre. Également, l’animal, recevant une caresse de son maître, ne va jamais se demander « Et si un jour il ne m’aime plus ? et si un jour il aime un autre animal ? » Il profite simplement du moment présent et du bonheur de recevoir de l’amour à ce moment-là, sans exiger que cela dure toute la vie, ou que cela soit fait de telle manière ou telle manière plutôt qu’une autre.

Autrement dit, l’Animal, au contraire de l’Homme, ne se place JAMAIS en tant que victime. Il est le créateur de sa réalité et ne blâmera jamais les autres de ce qu’il a ou n’a pas, il prend l’entière responsabilité de sa vie, et ça, n’est-ce pas le plus haut degré d’avancement spirituel ? N’est ce pas tout ce que tous les livres d’enseignants de développement personnel ou spirituel tentent de transmettre ?

SOURCE Laura Marie Site web : www.lauramarietv.com

Anti moustique pour l’été

Durant l’été, les moustiques peuvent gâcher les douces soirées dans le jardin, une barbecue partie, une randonnée dans la nature ou le sommeil. A cet effet, se munir de protection antimoustiques est essentiel, pouvant être appliquée sur la peau ou diffusée dans l’air. Comment faire pour se protéger efficacement des moustiques durant la saison chaude ?

La nécessité d’une protection antimoustique durant l’été

Les moustiques font partie des insectes diptères. Il existe, à travers le monde, plus de 3 000 variétés de moustiques pouvant piquer l’homme. Selon le magazine Essentiel Santé, une soixantaine d’espèces seraient présentes en France métropolitaine. 

Ce sont uniquement les femelles de moustiques qui piquent. La femme choisit sa proie en fonction des odeurs, des mouvements, des couleurs… Le sang prélevé sera utilisé pour garantir la pondaison et amener les œufs à maturation. Leurs piqûres peuvent laisser d’importantes taches rougeâtres et causer des allergies. D’où la nécessité de se doter de protection antimoustiques lors d’un voyage dans un pays étranger, pour les vacances de Pâques par exemple. Il faut particulièrement faire attention au virus Zika, se transmettant directement par piqures de moustiques. Découvrez notamment le produit Insect Ecran Zones Infestées, sur Illicopharma, un répulsif s’appliquant directement sur la peau. 

Grâce à son principe actif, le DEET, il est particulièrement efficace contre le moustique Tigre, à l’origine du virus Zika, de la Dengue, du Chikungunya. Il est également possible d’utiliser le spray Insect Ecran Vetement Spray, un produit insecticide de la marque Insect Ecran qui vous protège efficacement des piqures à travers les vêtements. Cette protection antimoustiques, disponible en spray, est utilisable chez la femme enceinte. Le produit est préconisé contre les anophèles, le moustique responsable du paludisme.

Quelques protections efficaces contre les moustiques sur Illicopharma

Le principal geste pour se protéger des moustiques consiste à imbiber les vêtements avec un produit insecticide spécial moustiques ou appliquer des répulsifs sur la peau, renfermant un agent actif chargé de les éloigner. En effet, beaucoup de piqures passent à travers les vêtements.

Vous pouvez ainsi appliquer Insect Ecran solution trempage vêtement, un produit insecticide performant grâce à l’efficacité de son principe actif. Il vous suffit d’imbiber les habits, les tentes en tissus, les rideaux ou les moustiquaires avec cette solution de trempage pour vêtement. Sa durée d’action est de 2 mois, même après avoir été nettoyé dans une eau chaude à 40°C et repassé. Vous pouvez aussi porter des bracelets anti-moustiques, comme le bracelet 5/5 Bracelet anti-moustiques. De la marque Cinq sur Cinq. 

A base d’huile essentielle, il offre une protection optimale pendant un mois. Il s’agit d’un bracelet souple, en forme de ruban, conçu à partir d’un dispositif de diffusion breveté, appelé BornWith technology. Celui-ci est chargé de libérer progressivement des substances répulsives antimoustiques. Et lors de vos vacances en bivouac, utilisez la moustiquaire imprégnée biplace Cabin. Imbibée de permethrine, cet insecticide offre une protection optimale contre le moustique à l’origine du paludisme.

Retrouvez également tous nos conseils pour tout savoir sur Zika.

Source : futura-sciences.com

S’AIMER ET SE GUERIR DE L’INTERIEUR

La guérison n’est pas une technique, c’est un état d’être.

La guérison c’est être le plus simple, le plus naturel possible. Apprendre à être guérisseur, c’est aussi expérimenter, comprendre et sonder les profondeurs de son être intérieur pour ensuite mieux accompagner et aider l’autre à se guérir.

Par la découverte, l’expression et l’acceptation de nos émotions, la prise de conscience de nos fonctionnements, la méditation et l’observation, nous nous rapprochons alors de notre centre, de notre cœur conscient et innocent. En permettant à toutes les couleurs de la vie de pénétrer en nous, nous devenons intégrés. Dans une telle attitude d’ouverture et d’acceptation, nous pouvons alors être guéris et aussi amener les autres dans leur chemin spirituel.

La guérison est la transformation de la maladie et de la souffrance, mais c’est surtout la prise de conscience de sa propre vérité et de son authenticité. Pour cela nous devons recevoir, reconnaître et accepter nos blessures, nos souffrances et nos conditionnements, c’est-à-dire tout ce qui nous a rendu malade, tout ce qui nous a éloigné de notre propre être intérieur.

La guérison ne vient que de l’intérieur. Elle peut provenir d’une cellule de l’organisme qui se propage à toutes les autres cellules. Lorsque l’être humain devient conscient de son intérieur profond, il libère chaque cellule qui le rendait malade. Se guérir, c’est simplement éliminer tout ce qui ne nous appartient pas et qui nous empêche d’exprimer notre essence propre. Il est inutile d’accuser l’extérieur, les autres et les parents… tout est caché en nous, nous pouvons le regarder et l’exprimer, car maintenant tout nous appartient. Même si le responsable est l’extérieur.

Chaque guérison individuelle apporte la guérison, la transformation à son entourage. La guérison crée l’amour et la paix. La guérison et l’authenticité sont inséparables. La guérison est la prise de conscience de notre propre être et de son individualité. Elle est un état spirituel.

La guérison est un art naturel et spirituel que l’on s’offre à soi-même. Chaque être humain a une mission avec son Créateur et avec l’existence et doit se guérir pour vivre dignement. C’est une responsabilité et un respect individuels que de se guérir. Se guérir soi-même ne veut pas dire qu’il faille ignorer et rejeter l’aide des autres, mais sans sa propre dimension, sa propre volonté de guérir, l’autre n’a pas beaucoup de pouvoir.

La guérison s’obtient grâce à la relation entre l’existence et nous-mêmes.

Le succès de la guérison se réalise par la conscience, séparée du mental et de l’égo.

La guérison, c’ est s’abandonner totalement à l’existence, c’est dire OUI inconditionnellement aux situations qui perturbent notre vie.

Si un malade dit oui totalement à sa maladie c’est déjà une guérison. La voie du cœur est un chemin de guérison pour arriver à la transformation. La guérison est un acte spirituel envers soi. La guérison, c’est simplement être spirituel.

citations :

« Lorsque vous essayez de faire quelque chose seuls, séparés du Tout, c’est un échec. Le succès est en Dieu et avec Dieu. » (Osho)

« L’échec est égal à toi moins Dieu.» (Kabir)

« La non-guérison est égale à toi moins Dieu. » (Manish)

La prise de conscience est la compréhension d’une expérience vécue dans le quotidien, ou dans une thérapie spirituelle, pour l’inscrire dans la conscience intérieure. Recréer les situations passées pour les revivre et exprimer les émotions réprimées pendant les évènements permet de prendre conscience de sa propre nature et redevenir soi-même.

Lorsque nous prenons conscience de nos attitudes et de nos comportements émotionnels, nous pouvons les recevoir et les accepter.

L’acceptation permet la prise de conscience de la réalité, positive ou négative, c’est un facteur important et nécessaire à l’état de guérison.

Beaucoup de personnes ne connaissent pas leur propre potentiel et vont chercher à l’extérieur, chez les autres, des solutions, des réponses, des conseils, alors qu’ils ont peut-être en eux, toutes les solutions et les réponses qu’ils ont besoin.

Ce potentiel est souvent plus important que l’on pourrait l’imaginer, mais l’être humain a tellement été conditionné dans son enfance pour être dépendant des parents et des autres qu’il oublie sa propre valeur. En résumé, le potentiel c’est notre propre valeur.

Vous pouvez partager ce texte à condition d’en respecter l’intégralité et de citer les sources et le site :  https://medecinehistorique.wordpress.com/

Comment les animaux se soignent-ils

Hôpitaux, médecins, médicaments, toute une infrastructure médicale est en place pour soigner l’être humain lorsqu’il tombe malade. Les animaux dans la nature en sont dépourvus. Cela signifie-t-il qu’ils ne peuvent rien faire pour se soigner et sont, en quelque sorte, condamnés sitôt que la maladie les atteint ? Non, les animaux ne sont pas abandonnés sans défense, ils utilisent les nombreux remèdes que leur offre la nature.

Les plantes médicinales

La nature regorge de plantes médicinales. Si les êtres humains en utilisent, beaucoup d’animaux font de même. Les cas les plus connus d’animaux faisant usage de plantes ont trait aux chats et aux chiens. Ceux-ci mangent du grammont ou chiendent pour se soulager de leurs maux. Selon le dosage, l’ingestion de la plante déclenchera une légère expectoration qui nettoiera les bronches, un sérieux vomissement qui videra l’estomac, ou encore un effet laxatif qui dégagera les intestins. Le fait est si connu que des barquettes «d’herbe à chat» sont proposées dans les magasins spécialisés pour que les chats d’appartement puissent eux aussi se soigner.



Mais les chats et les chiens ne sont pas les seuls animaux à se soigner avec des plantes. Les chimpanzés de Tanzanie font de même. Ils consomment une plante nommée Aspilia pour calmer leurs maux d’estomac. Lorsqu’ils souffrent de problèmes intestinaux, ils mâchent, puis sucent le jus des rameaux de vernonia amydalina, une plante qu’ils évitent d’habitude à cause de son goût amer. Des belettes ont aussi été observées en train de consommer des fleurs de rue pour se soigner.



La morsure de serpents venimeux est un autre problème médical auquel doivent faire face les animaux. Les chamois mordus vont brouter de l’euphorbe, une plante que d’ordinaire ils ne mangent pas. Celle-ci agit comme une purge violente et grâce aux fortes éliminations qu’elle provoque les débarrasse du poison. Les loups, eux, creusent le sol pour déterrer et manger la racine de la renouée bistorte (appelée aussi herbe aux serpents) qui les purge violemment. Dans la même situation, les tortues mangent de la marjolaine.

Et en cas de blessure, que font les animaux ? Les chamois blessés soignent leurs plaies en se roulant dans le plantain des Alpes. Cette plante a en effet une action cicatrisante très nette. Un rat musqué qui s’était blessé en passant à travers un grillage a été observé en train de s’enduire de résine de pin. Il mit ensuite sa patte alternativement au soleil et à l’ombre pour activer la guérison.

Autre usage inattendu des plantes médicinales : les hirondelles appliquent du suc de chélidoine sur les yeux voilés de leurs petits. Cette plante a des vertus désagrégeantes sur les tissus. Elle est utilisée par l’homme pour dissoudre les verrues.

L’argile

L’argile, la simple terre du potier, est un remède couramment utilisé par les êtres humains en médecine naturelle. Elle a la faculté de fixer des substances toxiques et ainsi de les neutraliser. Elle attire ou absorbe les toxines et poisons des tissus, ce qui détoxique l’organisme. Elle a aussi des vertus cicatrisantes et éliminatrices. Or, des chimpanzés et des singes de régions aussi diverses et éloignées que le Gabon, le Zanzibar ou le Sri Lanka consomment tous de l’argile pour soigner leurs problèmes digestifs. Les éléphants recourent d’ailleurs aussi à l’argile lorsqu’ils veulent se purger.

Les vertus de l’argile peuvent également être mises à profit en usage externe sous forme de cataplasme. En Sibérie, une région riche en argile a été découverte parce que les animaux blessés de la région : sangliers, chevreuils, cerfs… venaient se plonger dans ses boues bienfaisantes. Le cataplasme d’argile qui se formait ainsi nettoyait et protégeait les plaies, et ses vertus cicatrisantes hâtaient la guérison.

Dans nos campagnes, les chevaux malades de la corne trempent leurs sabots dans les boues argileuses.

VOIR EGALEMENT : L’ACUPUNCTURE SUR ANIMAL https://devantsoi.forumgratuit.org/t456-acupuncture-sur-animaux-domestiques#3215

Autres remèdes

Les capucins rouges, une autre espèce de singe, mangent du charbon de bois pour se débarrasser des vers intestinaux.

Les animaux recourent aussi au jeûne et au repos lorsqu’ils sont malades. Ils se retirent dans un endroit écarté et protégé et laissent ainsi les forces de défense du corps agir librement. Les principes de l’hydrothérapie sont également employés par certains animaux. L’application successive de froid, qui contracte les tissus, et de chaud qui les dilate, active la circulation du sang et les échanges cellulaires, et par là la guérison. Le chien qui lèche régulièrement sa patte blessée puis la laisse sécher au soleil, ou qui se couche alternativement au soleil puis à l’ombre lors d’une fièvre, agit dans ce sens. Le rat musqué cité plus haut en est un autre exemple.

Auto-médication ?

Certains zoologistes contestent qu’il s’agisse véritablement d’automédication, car, disent-ils, les notions de maladie et de médicament sont le propre de l’homme et échappent à l’intelligence des animaux. D’autres, au contraire, parlent sans détours d’automédication, ce qui semble tout à fait correspondre à la réalité. En effet, comme nous l’avons vu, les remèdes auxquels recourent les animaux ne font pas partie de leur régime alimentaire habituel. Ils ont même souvent mauvais goût et, pour certains, sont compliqués à trouver. Pensons au loup qui doit creuser le sol pour trouver les racines qui contiennent les substances actives susceptibles de le guérir. De plus, ces remèdes sont consommés uniquement lorsqu’il y a maladie.



Plutôt que d’entrer dans le débat sur l’automédication, il semble plus intéressant de se demander comment les animaux font pour savoir à quelle plante ou quel remède recourir pour se soigner. N’ayant pas les facultés réflexives et déductives de l’homme, ils ne peuvent pas expérimenter ou faire des recherches sur les éventuelles propriétés médicinales des substances qui les entourent. Et pourtant, ils se soignent.

Une explication possible est celle de l’instinct. Celui-ci dirigerait l’animal vers la plante, la terre argileuse ou tout autre remède dont il a besoin. À l’aide de son odorat et de son sens du goût, il repérerait ce qui lui fait du bien. Des expériences en laboratoire ont effectivement montré que des rats carencés en vitamines bien précises savaient trouver d’instinct les aliments qui contenaient les substances manquantes. Cela expliquerait, par exemple, que les cerfs, bien qu’ils soient herbivores, comblent leurs carences en calcium en mangeant les cadavres d’oiseaux qu’ils trouvent. Le squelette de ces volatiles est en effet à même de leur fournir le calcium manquant.

Une autre façon d’expliquer «la capacité des animaux à se soigner dans leur environnement naturel» fait appel à l’existence des êtres essentiels, aussi appelés êtres élémentaux, autrement dit aux forces personnifiées de la nature que sont les gnomes, les elfes ou les ondines. Ces êtres ont non seulement pour rôle d’animer et de gérer la nature, mais aussi d’aider les créatures qui y vivent.

S’il existe de nombreux témoignages qui relatent l’aide apportée à l’homme par les êtres essentiels pour façonner des poteries, travailler les métaux, extraire les fibres des végétaux pour tisser… il en existe aussi sur l’art de soigner. Bien des plantes médicinales qui font partie de la pharmacopée ont été indiquées aux humains par les êtres essentiels. Or, des indications similaires sont aussi données aux animaux.

Les êtres essentiels montrent aux animaux quelle plante consommer ou quelle terre argileuse avaler pour se soigner. Ils sont d’ailleurs les plus à même de le faire puisque ce sont eux qui sont responsables de ces éléments naturels et de leurs vertus. Les animaux n’ont bien sûr pas de concepts de maladie et de remède avec lesquels ils raisonnent, mais ils acquièrent un savoir en mettant en pratique ce que les êtres essentiels leur indiquent. Ce savoir leur reste et entre dans leurs habitudes non parce qu’il serait transmis d’une génération à l’autre, mais grâce à l’existence de ce que l’on appelle l’âme-groupe animale.

L’âme-groupe des animaux

Contrairement à l’être humain qui est un esprit indépendant de tous les autres esprits humains, les animaux d’une même espèce ont une âme-groupe en commun. Cette différence a des conséquences très grandes sur les possibilités d’apprentissage.

Une âme-groupe est comme un énorme réservoir qui contient toutes les âmes d’une espèce animale, celles des éléphants, par exemple. Pour s’incarner, une âme d’éléphant quitte l’âme-groupe et revêt un corps physique d’éléphant comme outil pour séjourner sur Terre. Au cours de ce séjour, cette âme est confrontée à de nombreuses situations. Obligée de réagir pour survivre, elle intériorise un certain savoir-faire. À la fin de sa vie, lorsque cette âme d’éléphant se détache du corps, elle emporte ce savoir avec elle. Quand elle réintègre l’âme-groupe dont elle est issue, cette âme se retrouve dans le «réservoir» de son espèce. Le savoir qu’elle porte en elle ne sera pas conservé pour elle seule, mais mis à disposition de toutes les âmes dans l’âme-groupe.

Cela signifie que même les âmes qui n’ont pas été confrontées aux situations qui leur auraient permis d’acquérir ce savoir-faire, vont le posséder. Elles l’intègrent et pourront l’utiliser lorsqu’elles descendent sur Terre pour s’y incarner. Ce mode de transmission explique des faits qui, sans cela, demeureraient mystérieux.

Les corbeaux, par exemple, crient pour donner l’alarme à leurs congénères quand un homme s’approche trop près d’eux. Or, peu de temps après l’introduction des fusils dans les campagnes, fusils utilisés entre autres pour tuer les corbeaux qui dévastaient les cultures, il fut constaté que les corbeaux s’enfuyaient sitôt qu’un être humain apparaissait avec un fusil, alors qu’ils se contentaient de donner l’alarme lorsqu’il n’en avait pas.



Étant donné que les expériences d’une vie ne se transmettent pas aux descendants par l’intermédiaire des gènes, et que seule l’existence de l’âme-groupe est à même de le faire, l’expérience acquise par les corbeaux blessés et tués est portée par leur âme à l’âme-groupe dans laquelle ils retournent après leur mort. Les corbeaux qui s’incarnent sur Terre après ce retour emportent cette connaissance avec eux.

Dans le même ordre d’idées, le berger allemand qui de manière générale est amical avec l’homme est devenu agressif avec lui après la seconde guerre mondiale. Lors de ce conflit, ces chiens avaient été incorporés dans l’armée et dressés pour attaquer l’homme. L’existence de l’âme-groupe explique également pourquoi certaines races de chiens peuvent être dressées pour devenir des chiens de garde, de chasse ou de berger… et pourquoi elles deviennent de plus en plus performantes dans leur activité. Les caractères acquis au cours d’une vie ne se transmettant pas par les gènes, ils sont transmis aux autres et renforcés par le canal de l’âme-groupe.

Il en va de même lorsqu’un être essentiel montre à un chimpanzé comment utiliser de l’argile pour soigner ses problèmes digestifs. En suivant les indications données et en ressentant un soulagement, le chimpanzé acquiert par expérience vécue un savoir qui s’inscrit en lui. Lorsqu’il souffrira à nouveau de tels maux, il recourra encore une fois à l’argile et ce savoir s’inscrira d’autant plus fortement en lui. Certains de ses pairs l’imiteront peut-être aussi. En remontant dans l’âme-groupe, l’âme de ces chimpanzés emporte avec elle ce savoir qui sera alors à la disposition de toutes les âmes de l’âme-groupe. De cette manière, le savoir sur l’emploi de l’argile s’inscrira peu à peu dans toute l’espèce.

Article basé sur les connaissances du Message du Graal www.messagedugraal.org 

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La vie divine derrière la maladie

Quel que soit le chemin suivi, la Connaissance tend vers l’unité, non seulement dans son unique et ultime conception, mais aussi dans les grandes lignes de ses résultats généraux.

Rien n’est plus remarquable et plus suggestif que de constater à quel point la science moderne confirme, dans le domaine de la Matière, les conceptions, et même les formules auxquelles, par une méthode très différente, aboutit le Védânta – le Védânta originel, qui n’est pas celui des écoles de philosophie métaphysique, mais celui des Upanishad.

Conceptions et formules qui, à leur tour, ne révèlent bien souvent leur pleine signification, la richesse de leur contenu que lorsqu’elles sont vues à la lumière des découvertes de la science moderne. Ainsi en est-il de l’expression védântique qui décrit les choses du cosmos comme un germe unique que l’Énergie universelle a ordonné en une multitude de formes(1). Il est particulièrement significatif que la science tende vers un monisme qui n’exclut pas la multiplicité, vers l’idée védique d’une essence unique et de ses nombreux devenirs. Même l’accent mis sur la dualité apparente de la Matière et de la Force ne contredit pas vraiment ce monisme. Il devient évident, en effet, que la Matière dans son essence est non existante pour les sens, et, comme le Pradhâna des Sânkhya, seulement une forme conceptuelle de la substance. En fait, l’on en arrive au point où seule une distinction arbitraire de la pensée permet encore de séparer la forme de la substance, de la forme de l’énergie.

La Matière s’exprime, en définitive, comme une formulation de quelque Force inconnue. La Vie aussi, ce mystère encore impénétrable, commence à se révéler comme une obscure énergie de sensibilité, emprisonnée dans sa formule matérielle ; et quand est guérie l’ignorance séparatrice qui nous donne le sentiment d’un abîme entre la Vie et la Matière, il est difficile de supposer que le Mental, la Vie et la Matière soient autre chose qu’une Énergie unique sous sa triple formulation, le triple monde des voyants védiques. Alors la conception d’une Force matérielle brute donnant naissance au Mental ne pourra plus subsister. L’Énergie qui crée le monde ne peut rien être d’autre qu’une Volonté, et la Volonté n’est que la conscience s’appliquant à une œuvre en vue d’un résultat.



Quelle est cette œuvre et quel est ce résultat, sinon une involution de la Conscience dans la forme, et son évolution à partir de la forme, afin d’actualiser une sublime possibilité dans l’univers qu’elle a créé ?

Et quelle est sa volonté en l’Homme, si ce n’est la volonté d’une Vie sans fin, d’une Connaissance sans bornes, d’un Pouvoir sans entraves ? La science elle-même commence à rêver d’une victoire physique sur la mort, à exprimer une soif insatiable de connaissance et à réaliser pour l’humanité quelque chose qui ressemble à une omnipotence terrestre.

En ses travaux, l’Espace et le Temps se contractent au point de presque disparaître ; de mille façons, elle s’efforce de rendre l’homme maître des circonstances et d’alléger ainsi les chaînes de la causalité. La notion de limite, d’impossibilité commence à s’estomper, et il apparaît au contraire que tout ce que l’homme veut avec constance, il doit être finalement capable de l’accomplir, car la conscience de l’espèce finit toujours par en découvrir le moyen. Ce n’est pas dans l’individu que cette omnipotence s’exprime ; c’est la Volonté collective de l’humanité qui la réalise au moyen des individus.

Et un regard plus profond nous révèle que ce n’est même pas la Volonté consciente de la collectivité, mais une Puissance supraconsciente qui utilise l’individu comme centre et comme moyen, et la collectivité comme condition et champ d’action.

Or, qu’est cette puissance sinon le Dieu en l’homme, l’Identité infinie, l’Unité multiforme, l’Omniscient, l’Omnipotent, qui, ayant fait l’homme à Son image, avec l’ego pour centre d’action, et la race, le Nârâyana collectif(2), le vishvamânava(3), pour forme et délimitation, cherche à exprimer en eux quelque image de l’unité, de l’omniscience, de l’omnipotence qui sont la propre conception du Divin ? « Ce qui est immortel dans les mortels est un Dieu établi au-dedans, comme une énergie que nos pouvoirs divins manifestent(4). » C’est ce vaste élan cosmique que le monde moderne, sans vraiment connaître son propre but, sert pourtant dans toutes ses activités et s’efforce subconsciemment de réaliser.

Cependant il y a toujours une limite et un obstacle – pour la connaissance, c’est la limite du champ matériel, et pour le Pouvoir, l’obstacle du mécanisme matériel. Mais là aussi, la tendance la plus récente est le signe puissant d’un avenir plus libre. De même que nous voyons les avant-postes de la Connaissance scientifique se fixer de plus en plus sur les frontières séparant la matière de l’immatériel, de même les plus hautes réalisations des sciences appliquées sont celles qui tendent à simplifier, à réduire au minimum les mécanismes produisant ses effets les plus puissants. La télégraphie sans fil est le signe et le prétexte extérieur qu’a trouvés la Nature pour prendre une nouvelle orientation. Le moyen physique sensible de transmission intermédiaire de la force physique est supprimé ; il n’existe plus qu’aux points d’émission et de réception. Eux-mêmes finiront par disparaître, car lorsqu’on partira d’une base juste pour étudier les lois et les forces supraphysiques, on trouvera infailliblement le moyen pour que le Mental se saisisse directement de l’énergie physique et la dirige avec précision vers son but. Là sont les portes – il nous faudra bien un jour le reconnaître – qui s’ouvrent sur les horizons immenses de l’avenir.


Et pourtant, même si nous avions la connaissance et la maîtrise complètes des mondes situés juste au-dessus de la Matière, il y aurait encore une limitation, et encore un au-delà. Le dernier nœud de notre servitude se trouve au point où l’extérieur devient un avec l’intérieur, où le mécanisme de l’ego lui-même s’affine jusqu’à se dissoudre, et où la loi de notre action est enfin l’unité embrassant et possédant la multiplicité et non plus, comme elle l’est à présent, la multiplicité s’efforçant de reproduire une image de l’unité. Là se dresse le trône central de la Connaissance cosmique dominant son plus vaste empire ; là est le royaume du moi et celui de son monde(5) ; là est la vie dans l’Être éternellement accompli(6), et la réalisation de Sa nature divine dans notre existence humaine(7).


(1) Shvetâshvatara Upanishad. VI. 12.
(2) Un nom de Vishnu qui, en tant que Dieu en l’homme, vit constamment associé en une unité duelle à Nara, l’être humain.
(3) L’homme universel.
(4) Rig-Véda. IV. 2. 1.
(5) Svârâjya et Sâmrâjya, le double but que se propose le Yoga positif des Anciens.
(6) Sâlokya-mukti, la libération en vivant consciemment avec le Divin en un seul monde d’être.
(7) Sâdharmya-mukti, la libération en assumant la Nature divine.

Sri Aurobindo, La vie divine, éditions J’ai Lu, collection Aventure Secrète, 2021.

Extrait du livre visionnaire de l’un des plus grands penseurs indiens du XXᵉ siècle. Par sa connaissance de la pensée occidentale, par son sens de l’universalité de la quête mystique, Sri Aurobindo est parvenu à rendre accessibles à l’esprit moderne les textes fondateurs de la spiritualité indienne. 

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Utilisation de béquilles chimiques

Ce ne sont pas les traitements médicaux, quels qu’ils soient, qui guérissent les maladies, c’est le corps qui se guérit lui-même, pour autant que nous ne l’empêchions pas de faire son travail. Cette vérité est essentielle pour sortir du drame de maladies qui poussent les gens à consommer des traitements médicaux dont la conséquence est d’empoisonner à petit feu l’organisme en paralysant ses fonctions d’auto-réparation. Un traitement chimique en situation d’urgence peut sauver des vies, mais donner des médicaments à vie à des gens ne peut que les priver de tout espoir de guérison naturelle. Car les « béquilles chimiques » rendent le corps de plus en plus impuissant à rétablir l’harmonie de la santé.

Virus et bactéries ne sont pas des ennemis à abattre mais des partenaires, des alliés, qui agissent pour notre bien, dans la mesure bien sûr où un système immunitaire en bon état peut gérer leur travail de fabrication de vitamines et de dépollution du corps. L’abus d’antibiotiques, pour détruire les bactéries considérées comme des agresseurs ainsi que la pasteurisation des aliments sont devenus des fléaux dramatiques car chaque prise d’antibiotiques détruit notre flore intestinale, qui est l’un des agents les plus importants du système immunitaire et les aliments stérilisés par la chaleur ont perdu toute valeur nutritive. Sans parler des fours à micro-ondes qui sont d’une effarante toxicité. Les additifs alimentaires, les adjuvants vaccinaux, les milliers de produits de consommation bourrés de molécules chimiques, les ondes électromagnétiques des téléphones portables et des ordinateurs, la radioactivité et toutes les autres formes de pollutions nous font vivre dans un environnement de plus en plus toxique. Nous ne pouvons pas continuer à faire les autruches en nous persuadant que « tout va bien », continuons comme d’habitude… faisons comme si nous ne sommes responsables de rien et que nos gouvernants, autorités médicales ou religieuses, institutions de toutes sortes et multinationales de toutes tailles sont dignes de confiance !

Dans « Confessions d’un médecin révolté », le Professeur Peter YODA écrit : « Les médecins sont soumis à une sorte de lavage de cerveau durant leurs études et ils croient presque tous ces mensonges enseignés volontairement.  Ils prétendent donc qu’il existe des cellules humaines malignes, dégénérées, appelées cellules cancéreuses.

D’après les « experts du cancer », ces cellules malignes doivent impérativement être tuées au moyen de thérapies destructrices. Qu’elles fassent partie d’un ensemble plus grand de cellules, nommé être humain, n’entre évidemment pas en ligne de compte. De même il n’est discuté dans aucune faculté occidentale si les cellules cancéreuses sont réversibles et si elles peuvent de nouveau se différencier en cellules tout-à-fait normales.

Un cancérologue connaît l’anatomie et pourra vous dire pourquoi vous avez tel ou tel organe. Mais que sait-il au fond du cancer ? Dans les facultés et les cliniques, il apprend seulement qu’il faut procéder à l’ablation de la tumeur ou la détruire par chimiothérapie ou rayonnement. Et si la théorie de la destruction indispensable de la tumeur était FONDAMENTALEMENT fausse ? Ne vous êtes-vous jamais demandé pourquoi 230.000 personnes environ meurent chaque année du cancer en Allemagne MALGRé, dans la plupart des cas, une destruction préalable de leur tumeur ? Avez-vous seulement osé vous demander si tant de personnes ne seraient pas mortes PARCE QUE leur tumeur a été tuée ? Je dis bien tuée !

Les médecins holistiques répètent que nous devons mobiliser nos forces d’auto-guérison. Qu’est-ce que cela signifie concrètement ? Ces forces ont-elles été perdues, se sont-elles épuisées ? Bien sûr que non.

Elles sont toujours présentes. Mais nous avons perdu foi en elles parce que nous avons échangé, il y a des décennies, la connaissance des forces d’auto-guérison contre celle de la « médecine moderne ». Nous disons aujourd’hui que si nous prenons les médicaments et recouvrons la santé, ce sont les médicaments qui nous ont aidés. SI nous demeurons malades, « malgré » les médicaments, ou si nous devenons encore plus malades, c’est que la maladie est plus forte. Percevez-vous que, dans ce système, la médecine moderne ne peut jamais perdre la face ? Que vous guérissiez ou que vous restiez malade, la faute est toujours à VOUS et pas à la médecine.

En moins de deux siècles, une poignée de médecins a réussi à tromper le monde entier et en même temps à édifier un système tel que ceux qui y collaborent sont toujours les gagnants. Les thérapies qu’ils ont créées ne servent en réalité qu’à satisfaire la pulsion de conservation du système et non les patients !

Peut-être comprenez-vous à présent pourquoi les gens « du dehors », c’est-à-dire hors du système, sont constamment combattus et pourchassés. Plus ils sont bons, plus ils sont attaqués et, même si vous ne me croyez pas, ils sont parfois assassinés.

Les hommes de main des firmes pharmaceutiques nous ont raconté que la qualité des médicaments se mesure à leurs effets secondaires. Plus un médicament a d’effets secondaires, plus il est actif. Comment pouvons-nous être assez aveugles pour croire à de telles inepties ? Les effets secondaires ne sont pas un mal nécessaire dans un traitement mais ils expriment en fait ses principaux effets. Accessoirement ils servent aussi à ce que vous ayez besoin de davantage de médicaments ou à ce que vous ne guérissiez pas si vite : un mouvement perpétuel parfait avec lequel on peut gagner beaucoup d’argent, surtout auprès des personnes âgées. Combien de fois ai-je moi-même vu des patients prendre plus de dix médicaments différents. Bien sûr, tout cela pour le bien du patient et pas pour l’enrichissement d’un petit nombre. Quelle cécité que la mienne pendant toutes ces années où j’ai exercé la médecine ! »

N’est-ce pas un témoignage bouleversant ?

Sagesse du corps

La sagesse du corps est des millions de fois plus grande que celle de tous les scientifiques de la planète ! Comme le dit C.G. Jung : « Nous ne sommes pas là pour guérir de nos maladies, mais nos maladies sont là pour nous guérir ! » Toute maladie est une occasion d’apprendre à comprendre notre corps et les lois universelles de la vie. Toute maladie est une chance à saisir, une occasion de ne plus être une victime qui subit, un patient qui obéit, un consommateur qui consomme mais d’oser nous redresser, sortir de l’hypnose collective de la peur, prendre notre vie en mains pour devenir l’artisan de notre santé et de notre bonheur !

Extrait de l’article SOURCE : Article n°101 Par Jean-Pierre Joseph du Magazine NEO SANTE REVUE N°60 26 JUILLET 2020

SURPRENANTS ACCIDENTS DE LA ROUTE


Des éléments de l’environnement qui émettent des ondes électromagnétiques (antennes relais, lignes à haute tension, transformateurs, etc.). L’idée est d’établir des mesures et comparatifs selon la nature et la puissance de chacun, puis d’évaluer la distance à laquelle ils peuvent impacter les échanges d’énergies entre les lieux et les êtres vivants. Systématiquement, le taux vibratoire mesuré était dramatiquement bas : par exemple, pour une ligne à haute tension d’une puissance de 400 KV, le taux vibratoire est de – 36 KBovis ! Les appareils électromagnétiques rendent beaucoup de services mais génèrent beaucoup de pollution… « Le constat final montre que la technologie est un outil fabuleux, mais en contrepartie dangereux si elle est mal utilisée », analyse Raymond Montercy.


Accidents de la route, et plus particulièrement lieux accidentogènes nommés « points noirs » : propices aux accidents. Christian Cransac explique : « Pour cela, nous avons travaillé avec la délégation de la sécurité routière. Il y a aujourd’hui environ 200 points noirs en France. Nous avons étudié 68 de ces lieux accidentogènes, et cherché à savoir ce qui causait ces problèmes. »

Le taux vibratoire moyen d’un lieu propice aux accidents est de 22 KBovis. Sur les 68 lieux analysés, on a relevé en moyenne 2,8 cheminées cosmo-telluriques par espace, ce qui en fait une influence principale, puis les lignes à haute tension, transformateurs, courants d’eau et failles telluriques arrivent en seconde place avec en moyenne 1,2 par lieu.

Enfin, on a relevé une valeur d’environ 1 par site pour les relais téléphoniques, vortex et courants telluriques. Nous retrouvons toujours en quantité importante l’effet des ondes électromagnétiques, à hauteur de 47 % d’influence dans 92,6 % des lieux impactés. « Évidemment, les 68 points que nous avons analysés ont été traités, corrigés, et tous seront suivis pour établir l’évolution du nombre d’accidents », précise l’expert. Enfin, les géobiologues ont aussi considéré l’influence subtile des « âmes bloquées » près des lieux de l’événement, et ont relevé en moyenne 3,6 âmes par sites. « Ceci est normal, car chaque fois qu’il y a un accident mortel, si aucune aide n’est apportée à l’âme, elle reste sur le lieu du décès de son corps. »

Comment expliquer que nos organismes réagissent à toutes ces influences au point de nous faire perdre le contrôle de notre véhicule ? Si le phénomène reste encore à mettre en lumière, Christian Cransac évoque la théorie du scientifique allemand Robert Endrös (auteur de Le rayonnement de la terre et son influence sur la vie, Ambre éditions), qui a relevé une modification des processus hormonaux lors d’un passage sur une zone perturbée.

L’organisme réagirait au stress de ces perturbations par une stimulation des glandes surrénales pouvant causer des pertes de connaissance, notamment lors d’un état préalable de fatigue. Cette enquête inédite confirme l’importance de se prémunir au maximum des ondes électromagnétiques liées à l’activité humaine, et la place centrale du géobiologue dans le rétablissement des équilibres cosmo-telluriques.

Considérer notre habitat comme un espace énergétique à part entière peut aussi nous permettre d’adopter de nouvelles habitudes ; des gestes simples comme le fait d’aérer régulièrement notre maison pour renouveler les énergies, et faire preuve d’écologie de nos pensées et émotions participent aussi à créer un environnement favorable à notre épanouissement « Pour ne pas être malades, notre taux vibratoire doit atteindre 17 à 18 Hertz (relatif aux fréquences Schumann). Une étude a démontré que la peur abaisse le taux vibratoire à 2 Hertz. Tandis que les mots amours et compassion amènent à 250-300 Hertz. », conclut Christian Cransac.


Pour aller plus loin, découvrez Puissance V3, le site officiel de l’enquête

Les symptômes de l’insuffisance hépatique

Pour déterminer si une paresse hépatique est une des causes de votre constipation, il est nécessaire de connaître les signes qui montrent que le foie ne travaille pas bien. Ceux-ci sont faciles à observer. Il faut noter qu’une personne souffrant d’une faiblesse hépatique présentera un, mais le plus souvent plusieurs des symptômes suivants :

  • Difficulté à digérer les graisses : fritures, œufs, crème, …
  • Troubles digestifs en général
  • Nausées
  • Gonflement et pesanteur au niveau du ventre
  • Gaz, ballonnements
  • Bouche pâteuse, langue chargée
  • Mauvaise haleine
  • Perte d’appétit
  • Fatigue, manque d’élan
  • Selles en « crottes de chèvre »
  • Selles trop claires, par manque de bilirubine
  • Selles qui flottent dans l’eau du WC, à cause d’une digestion insuffisante des graisses

La stimulation du foie

Lorsque la constipation est due à une insuffisance hépatique, le traitement à instaurer ne doit pas viser à agir sur les intestins, siège de la constipation, mais sur le foie, responsable du ralentissement du transit par sa faible production de bile.

Les moyens les plus efficaces pour stimuler le foie dans son travail sont l’emploi de plantes médicinales et de la bouillotte chaude.

Les plantes médicinales

Les plantes médicinales pour le foie sont dites « hépatiques » ou « draineuses du foie et de la vésicule biliaire ». Elles agissent en stimulant le foie à filtrer d’avantage de déchets hors du sang, ce qui augmente la quantité de bile produite. Dans le meilleure des cas, la production peut doubler. Cela signifie que les intestins recevront beaucoup de bile pour lubrifier leurs parois et pour stimuler le péristaltisme intestinale. De plus, les plantes hépatiques accroissent la capacité de la vésicule biliaire à se contracter pour éjecter la bile qu’elle a momentanément stockée. Il en résulte une augmentation de la bile disponible dans les intestins.

La congestion du foie par les déchets et les poisons qui a conduit à l’insuffisance hépatique, est un processus qui s’est étendu dans le temps. Des années d’intoxication progressive ne peuvent évidemment pas être compensées en quelques jours de cure. La pratique montre qu’il faut prendre des plantes hépatiques pendant 1 à 3 mois à raison de trois prises quotidiennes, avant les repas. Avec ces prises régulières et répétées dans le temps, le foie se décongestionne peu à peu des déchets qui l’encombrent. Il se fortifie et retrouve son fonctionnement normal.



Voici trois plantes spécialement efficaces pour stimuler le foie dans son travail:

Le dosage indiqué doit être adapté à vos besoins personnels. Commencez avec de petites doses et augmentez-les progressivement. Lorsque le transit intestinal est rétablit, maintenir ce dosage sur 1 à 3 mois.

L’artichaut (Cynara scolymus)
La partie utilisée en thérapie n’est pas le bouton de la fleur que l’on mange, mais les feuilles.
Infusion : 10 g de feuilles par litre d’eau, infuser 10 minutes, boisson très amère, 3 tasses par jour
Gélules : 1 – 2 gélules, 3 fois par jour
Teinture-mère : 30 à 50 gouttes, 3 fois par jour

Radis Noir (Raphanus sativus)
Ce radis, à chair blanche mais recouverte d’une enveloppe noire, est un excellent stimulant du foie et de la vésicule. Son usage en cuisine est fortement recommandé.
Ampoule de jus de radis noir : 1 à 2 ampoules par jour
Gélules : 1 – 2 gélules, 3 fois par jour
Teinture-mère : 30 à 40 gouttes, 3 fois par jour

Romarin (Rosmarinus officinalis)
Arbrisseau des régions méditerranéennes, le romarin est recouvert de petites feuilles qui stimulent fortement le foie : elles peuvent doubler la production de bile. Son usage en cuisine est fortement recommandé.
Infusion : 1 cuillerée à café de feuilles par tasse, infuser 15 minutes, 2 à 3 tasses par jour
Gélules : 1 – 2 gélules, 3 fois par jour
Teinture-mère : 20 à 40 gouttes, 3 fois par jour



La bouillotte chaude

Le foie est l’organe le plus chaud du corps. Sa température se situe entre 39°C et 41°C. C’est non seulement la température qui résulte de son activité, mais aussi celle dont il a besoin pour fonctionner correctement.

Une perte de chaleur au niveau de la glande hépatique, par fatigue et affaiblissement diminue sa capacité à travailler. Or, le froid a une action vasoconstrictrice sur les capillaires sanguins. Ils diminuent de diamètre, ce qui ralentit la circulation sanguine dans le foie. La production de bile est entravée.

Pour lutter contre l’insuffisance hépatique rien ne vaut l’application d’une bouillotte bien chaude sur le foie. Ce dernier reçoit ainsi la chaleur dont il a besoin pour travailler activement. La bouillotte est un coussin de caoutchouc muni d’une ouverture que l’on peut fermer hermétiquement avec un bouchon. Remplie avec l’eau chaude du robinet et posée sur la région du foie, elle va transmettre sa chaleur à cet organe. La température de celui-ci s’élève et son fonctionnement, jusque là ralenti, retrouve son rythme normal, et même s’intensifie.

Marche à suivre

  • Poser la bouillotte remplie d’eau chaude à la hauteur du foie
  • Maintenir pendant 15 à 30 minutes
  • 1 à 3 fois par jour, de préférence après les repas
  • Cure sur 1 mois au minimum

Article SOURCE de Christopher Vasey

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L’AUTO-GUÉRISON POUR UNE MAITRISE ESSENTIELLE DE NOTRE SANTÉ

Plonger dans le subconscient… dans l’inconscient… en sonder ses profondeurs… l’explorer pour en ramener des trésors de sagesse… voilà en quelques mots, comment on utilise l’imagerie guidée pour l’autoguérison.

Cet article s’adresse plus particulièrement aux professionnels de la santé, qu’ils soient médecins, infirmiers/ères, psychologues, psychothérapeutes, pasteurs, conseillers de vie, matrimoniaux ou familiaux ; il peut aussi intéresser toute personne désireux d’apprendre à se guérir en utilisant la puissance de l’esprit.

Esprit conscient et inconscient

Personne ne comprend vraiment ce qu’est la conscience ; nous savons qu’elle est liée au processus d’attention, car ce qui fait l’objet de notre attention, c’est l’expérience que nous vivons, au moment présent. Vous avez peut-être entendu l’expression : « Ce sur quoi nous portons notre attention grandit », que ce soit notre jardin potager, nos enfants, nos soucis ou nos angoisses.

Au cours des années, la plupart d’entre nous avons appris à porter la plus grande partie de notre attention à l’esprit conscient et au papotage de cette petite voix qui chuchote, explique et nous décrit, de façon linéaire, logique et rationnelle, sa perspective sur le monde. Avec son monologue analytique, elle nous influence à une réflexion programmée. Nous nous perdons souvent dans nos pensées, oubliant que d’autres parties de notre tout ont une existence aussi.

Nous sommes bien plus qu’un esprit conscient avec sa réflexion. Nous avons un subconscient et un inconscient très riche, avec ses intuitions, ses émotions, ses sentiments, ses souvenirs, ses passions, ses motifs, ses objectifs, ses appétits, ses aspirations, ses ambitions, ses valeurs, ses croyances, ses attitudes et ses perceptions. Toutes ces qualités proviennent d’expériences visuelles, auditives et kinesthésiques, plutôt que de notre conscience verbale. Malheureusement, dans notre culture occidentale, nous ne portons guère attention à ces images et à ces sentiments, étant plus habitués à écouter la petite voix de notre esprit conscient.

Bénéfices de l’imagerie guidée

L’imagerie guidée thérapeutique permet aux clients d’entrer dans un état d’esprit relaxé, puis de concentrer leur attention sur des images associées aux problèmes qui les confrontent. Par exemple, on peut inviter une image à se former qui représente un symptôme médical déplaisant, image avec laquelle on peut commencer à dialoguer. On lui demande pourquoi elle est là, ce qu’elle veut, ce dont elle a besoin, où elle se dirige et ce qu’elle a à offrir. Les 2 informations que l’on obtient durant un tel dialogue peuvent souvent être plus utiles que les tests médicaux les plus sophistiqués.

Les patients qui font face à des douleurs chroniques sont invités à visiter et à faire l’expérience d’un sanctuaire intérieur, une place où ils n’éprouvent aucune douleur ; ceux qui sont confrontés à une décision médicale difficile peuvent rencontrer, dans leur imagination, un conseiller intérieur plein de sagesse et de compassion, qui peut les soutenir et les aider à explorer leurs sentiments face aux différentes options qu’ils doivent considérer.

En utilisant un style de guidance interactif, sans jugement ni contenu, un praticien expérimenté d’Imagerie Guidée Interactive peut encourager ses clients à puiser dans leurs ressources intérieures latentes, leur permettant de découvrir des solutions créatives et nouvelles pour les difficultés qu’ils doivent affronter. L’accent est constamment porté sur les ressources et les solutions propres au client, évitant ainsi des problèmes possibles de transfert. Cette modalité offre aux clients l’opportunité de se prendre en charge de manière efficace, de se sentir compétents et de devenir très rapidement autonomes.

Pourquoi l’imagerie est-elle importante ?

L’imagerie est le langage principal de l’inconscient humain. Elle joue un rôle important dans presque toutes les interventions thérapeutiques. L’imagerie guidée est une approche thérapeutique de grande valeur ; elle permet aux praticiens d’enseigner l’utilisation astucieuse de l’imagination à leurs patients/clients pour provoquer la relaxation plutôt que l’angoisse, pour résoudre des problèmes plutôt que de se sentir à leur merci, pour devenir confiants au lieu de s’auto-dénigrer. Le processus ouvre la porte à un monde extraordinaire, presque magique, de perceptions, de signification, de perspicacité, d’aperçu affectif et de développement personnel, qui encouragent les professionnels et leurs patients/clients à s’entre-aider pour découvrir et suivre le chemin de la guérison.

L’IGI utilise les facultés de l’imagination personnelle du patient pour explorer un problème particulier, une maladie ou un intérêt. Le processus invite une ou des images à se former, qui contiennent des informations importantes et qui ont des connaissances particulières ou un avis sage sur le sujet. En dialoguant avec ces images, le guide et le client sont connectés avec une source intérieure très puissante, qui amène à de nouvelles révélations facilitant le processus de guérison.

Parce que les images proviennent directement de l’imagination du client plutôt que d’un scénario tout préparé et lu par le guide, elles sont profondément personnelles et significatives. C’est grâce à ce processus d’interaction en douceur, avec ces images personnelles, que le patient ou client est amené à comprendre la raison cachée derrière sa situation. Cette compréhension plus profonde va lui permettre de passer de l’imagerie à l’action et de participer à son propre processus de guérison.

Quelles sont les différences entre la visualisation, l’imagerie guidée, l’hypnose, la Programmation Neurolinguistique et l’Imagerie Guidée Interactive ?

Ces modalités se chevauchent, bien qu’il y ait des différences importantes entre elles.
La visualisation est une forme d’imagerie qui stimule l’imagination en utilisant des scénarios guidés. Le guide lit un script préparé pour aider le patient/client à imaginer un objectif désiré, comme le soulagement des douleurs.

Ce genre de visualisation est également courant dans la Programmation Neurolinguistique, comme moyen de reprogrammer ou de réinterpréter une situation. Avec la PNL, un individu essaie de former de nouvelles connexions entre ses cellules nerveuses, dans l’espoir de changer un certain comportement ou une habitude. L’accent se porte sur le praticien, son analyse et sa compréhension du comportement du client, et à son habilité à trouver une nouvelle stratégie.

L’hypnose exige souvent que le client soit dans un état hypnotique, où l’attention est concentrée, pour permettre à des suggestions de pénétrer l’esprit subconscient ou inconscient. C’est à travers ces interactions suggestives que les changements dans l’individu peuvent se produire. L’espoir, de la part du client et du praticien, est que l’hypnotisme puisse offrir la solution au problème.

L’imagerie guidée est une façon d’accéder aux images de la partie subconsciente ou inconsciente de l’esprit, pour aider à résoudre des problèmes et pour obtenir des révélations et une compréhension plus profonde concernant une maladie, un problème ou une situation. L’imagerie peut être interactive ou non, et des images sont généralement suggérées ou suscitées. À nouveau, l’espoir est que le guide trouve les meilleures images pour le client.

L’Imagerie Guidée Interactive est un processus innovant, dans lequel sont incluses toutes les caractéristiques de l’imagerie guidée, en y ajoutant un élément interactif. L’IGI travaille directement avec les images qui proviennent de l’imagination et de la sagesse intérieure profonde du client lui-même. Cela ouvre une fenêtre à l’exploration personnelle du processus de guérison particulier à cet individu. Avec l’IGI, le guide d’imagerie interactive assiste le client à accéder et à utiliser ses propres ressources, ainsi qu’à trouver des solutions provenant de son inconscient, ce qui est considérablement plus personnel, plus spécifique et plus valorisant pour le patient/client. L’imagerie est utilisée avec un format très interactif pour puiser dans les ressources et la sagesse intérieure du client, suscitant une plus grande autonomie.

Le terme « imagerie guidée » est utilisé pour décrire un groupe de techniques allant de la simple visualisation avec ses suggestions directes, aux métaphores et à la narration d’histoires. L’Imagerie Guidée Interactive (Interactive Guided Imagerysm) est une approche spécifique développée et enseignée par l’Académie d’Imagerie Guidée (Academy for Guided Imagery), co-créée par les Drs Martin Rossman, Dr méd. et David Bresler, psychologue. C’est avec cette Académie que j’ai reçu une formation de deux ans, suivie d’une certification en 1998. Je suis devenue membre de la faculté de l’Académie et j’ai utilisé cette technique avec un grand nombre de mes clients, que ce soit pour de la dépression ou des douleurs, des crises d’angoisse ou des « crises de vie », pour découvrir le « pourquoi » d’une maladie ou d’une résistance ou pour trouver une solution à des problèmes d’affaires.

Les témoignages de milliers de professionnels de la santé qui ont pris les cours de l’Académie indiquent que l’IGI est une voie rapide pour la découverte d’idées et de créativité, pour la résolution de conflits, ainsi que la transformation et le développement personnels. L’Académie participe à des études et à de la recherche qui explorent le rôle de l’imagerie dans le contrôle de la douleur, la préparation à la chirurgie et la récupération après celle-ci, la chimiothérapie et les addictions.

L’Imagerie Guidée Interactive convient particulièrement bien aux temps dans lesquels nous vivons, où le rapport coût/efficacité des méthodes dites alternatives ou complémentaires est en jeu, où la santé personnelle devient un choix important et où des approches plus puissantes prennent de la valeur aux yeux des clients, des médecins et des assurances.

L’Imagerie Guidée Interactive est généralement pratiquée par des professionnels de la santé, diplômés et/ou sous licence, dans des spécialités variées, par des éducateurs de la santé, des dirigeants religieux, des conseillers familiaux ou matrimoniaux et par des personnes non-professionnelles ayant reçu une formation spécialisée.

L’Imagerie Guidée Interactive peut également être utilisée pour l’autoguérison, en faisant partie d’un groupe ou par cours à domicile. Bien des personnes ont pu s’aider en lisant des livres ou en suivant une formation.

Un des bénéfices de l’enseignement de l’imagerie guidée est qu’elle améliore notre capacité à écouter et à entendre, à communiquer et à guider, qualités fort importantes dans la vie, spécialement pour les praticiens et professionnels de la santé, médecins et infirmiers/ères, psychologues, psychothérapeutes, etc.

Les humains ont toujours utilisé leur imagination pour résoudre les nombreux problèmes qui menaçaient leur existence. De nos jours, il est impératif d’apprendre à utiliser efficacement ce processus d’information pour la résolution de conflits et pour l’autoguérison, pour nous-mêmes, nos familles, nos communautés et notre planète. Faire face à un avenir durable demande que nous utilisions notre imagination, de manière personnelle et globale. Cette ressource importante – l’imagination humaine – a malheureusement été fortement sous-utilisée.

Le mécanisme biologique de l’action

L’imagerie a des conséquences physiologiques profondes ; le corps a tendance à réagir à l’imagerie de la même façon que s’il vivait vraiment l’expérience. Par exemple, si vous imaginez, d’une façon très nette, être en train de sucer une tranche de citron bien juteuse, aigre et acide, vous allez rapidement commencer à saliver. Il en est de même pour des fantaisies sexuelles, avec leurs réactions physiologiques. Quelles sont les réactions de votre corps lorsque vous pensez à quelque chose qui vous mette en colère ?

Il a été démontré que l’imagerie affecte presque tous les systèmes physiologiques du corps, comme la respiration, le rythme cardiaque, la pression sanguine, le métabolisme des cellules, la motilité gastro-intestinale, les fonctions sexuelles, le niveau de cortisol et de lipides du sang, et même les réactions du système immunitaire.

En ce qui concerne la production de changements physiologiques spécifiques qui promeuvent la guérison, l’imagerie guidée représente une possibilité alternative ou complémentaire à la pharmacothérapie, offrant plus de sécurité et moins de complications et contre-indications.

Que peut-on traiter avec l’Imagerie Guidée Interactive ?

L’IGI est un processus qui peut être utilisé pour pratiquement tous les soucis concernant la santé, du stress au cancer, des maladies cardiaques aux addictions. C’est un outil fort efficace pour engager le patient/client dans son propre processus de guérison, et pour engendrer la valorisation de soi. L’IGI est une approche qui habilite non seulement le patient/client, mais aussi le praticien, alors qu’elle améliore la puissance de guérison de l’approche thérapeutique.

Il est plus exact de dire que l’IGI traite les gens, non les problèmes, et qu’en habilitant les gens, elle les aide à faire face à leurs problèmes d’une manière plus efficace.

Les gens ayant des problèmes de santé allant de douleurs musculaires ou squelettiques, aux maladies catastrophiques, en passant par les addictions majeures, peuvent utiliser l’IGI pour alléger leurs symptômes, trouver la raison se cachant derrière le problème, stimuler la guérison et effectuer des changements de vie critiques qui soutiennent et encouragent la guérison.

Comment se passe une première séance d’Imagerie Interactive Guidée avec un guide certifié ?

En prévoyance de la première séance, le patient ou client et le guide vont discuter des objectifs qu’ils aimeraient atteindre avec l’IGI : relaxation, allégement d’un symptôme, nouvelles idées, résolution d’un problème ou d’un conflit, etc. De sa « boîte à outils » d’imagerie, le guide évaluera la technique la plus judicieuse à utiliser, qui permettra de passer à la résolution et/ou à l’action le plus rapidement possible.

La séance commencera en général avec un exercice de relaxation de base, qui permettra au patient/client de concentrer son attention à l’intérieur ; il va ensuite imaginer qu’il se trouve dans un endroit magnifique, serein, sûr, un lieu de guérison où il pourra travailler. On demandera ensuite au patient/client de permettre à une image du problème, de la maladie ou d’un intérêt de se former dans son esprit. Alors que l’image apparaît, le guide facilitera la communication interactive entre le patient/client et l’image, permettant de clarifier les découvertes et d’amener de nouvelles révélations concernant la situation. On pourra aussi inviter une image d’un Conseiller Intérieur à apparaître, pour faciliter le processus.

Après avoir discuté avec l’image pendant un certain temps, le guide assistera le patient/client à revenir graduellement à la place et au temps présents, pour passer à une récapitulation de l’imagerie et planifier les actions à suivre. La séance dure en général entre 50 et 90 minutes. Le patient/client pourra également faire du debriefing avec le guide.

Ce qu’en pensent les professionnels

« L’imagerie guidée et la visualisation améliorent l’efficacité des autres traitements, y compris des médicaments et de la chirurgie. Utilisez-les pour toutes maladies et pour des troubles du système auto-immune ». Dr Weil, Dr méd. « Mes clients quittent mon cabinet plus relaxé, centré et dynamisé ». Ron Rehrer, Conseiller familial et matrimonial, pasteur

« … une expérience inestimable qui ouvrit les portes m’apportant une compréhension plus approfondie des pouvoirs innés de guérison que nous avons. Je crois sincèrement que tout médecin qui pratique la médecine intégrante devrait recevoir une bonne formation dans l’application de l’imagerie guidée interactive. Je l’utilise pour aider mes patients à contrôler leurs douleurs et différents symptômes, de même que pour acquérir de nouvelles idées et cultiver d’autres ressources. L’imagerie illumine le chemin de la guérison… et c’est une joie ». Dr Carl Hendel, Dr méd.

« Ce qui a été le plus important pour moi dans la formation pour devenir guide d’imagerie guidée interactive, c’est que j’ai développé une oreille attentive. Je suis à l’écoute et j’entends ce que me disent mes patients. J’ai appris à moins juger et à ne pas interpréter ce qu’on me dit, que ce soit lors qu’une séance d’imagerie ou simplement lors de communications avec mes patients. Mon travail avec l’imagerie m’a redonné la joie d’être médecin, car elle m’amène, avec mes patients, à plonger dans l’inconnu, dans des places magiques de guérison et de prise de conscience ». Dr Mathew Zwerling, chirurgien orthopédiste

« J’utilise l’Imagerie Guidée Interactive comme la méthode de choix pour traiter le stress, la dépression, le symptôme de stress post-traumatique, les problèmes familiaux et conjugaux. » Dr Richarg Berrett, psychologue

« J’utilise l’Imagerie Guidée Interactive tout le temps. C’est un outil merveilleux qui se prête fort bien à la thérapie de courte durée ; les compagnies d’assurances en sont très contentes. Mes patients ont tendance à résoudre leurs problèmes très rapidement. Je l’utilise pour des patients souffrant de cancer, d’addictions, pour les hommes agressifs ou pour des comportements violents, et pour les gens qui ne savent pas quelle décision prendre ». 

Jann Fredrickson, travailleur social

« J’utilise l’IGI de façon variée : avec des personnes qui ont subi des agressions sexuelles, pour les aider à se mettre en contact avec leur bonté et leurs talents. Je l’utilise avec des mourants, les aidant à imaginer leur mort et la « vie après la vie ». Je l’utilise avec des cancéreux, pour les aider à imaginer qu’ils répondent favorablement à la chimiothérapie. J’ai surtout pu les assister à communiquer avec leurs cellules cancéreuses, leur demandant leur nom, leur raison d’être et ce qu’elles désirent. J’ai employé l’IGI dans des consultations familiales et matrimoniales, non seulement pour imaginer quel genre de personne chaque conjoint est, mais pour imaginer ce que serait un bon mariage ou un bon divorce. Les possibilités d’utilisation d’IGI sont innombrables ». Dr Henry Milan, théologien

Citation sur l’imagination

« L’imagination est plus importante que la connaissance ». Albert Einstein

« L’imagination est l’oeil de l’âme ». Joseph Joubers

« L’esprit est le maître, l’imagination est l’outil, et le corps est la matière plastique… La puissance de l’imagination est un facteur important en médecine. Elle peut produire des maladies chez l’homme comme chez l’animal, et elle peut les guérir… Les problèmes du corps peuvent être guéris par des remèdes physiques ou par le pouvoir de l’esprit agissant à travers l’âme ». Paracelce, père de la médecine moderne

« Un amoncellement de cailloux cesse d’être un amoncellement de cailloux dès qu’un seul homme le contemple comme étant l’image d’une cathédrale ». Antoine de Saint-Exupery

SOURCE ARTICLE : Danielle J. Duperret

Docteur naturopathe et holistique, ND/PhD – Las Vegas (USA)

Site web : www.DanielleDuperret.com/fr

ISSU DE LA NEWLETTRE DE https://energie-sante.net/  de mai 2021

SE SOIGNER PAR LES PLANTES

Depuis des siècles, les plantes sont utilisées pour soigner les petits désagréments du quotidien et pour garder la santé. Certains spécimens sont en effet reconnus pour leurs nombreuses vertus et sont considérés comme une alternative efficace aux traitements médicamenteux. D’autres espèces sont conseillées en combinaison avec les soins préconisés par le médecin. Cependant, certaines précautions doivent être prises pour se soigner par les plantes sans risque sur la santé et sur le bien-être.

Phytothérapie : de quoi s’agit-il ? 

La phytothérapie est une médecine naturelle qui repose principalement sur l’utilisation des plantes de manière curative ou préventive. Pratiquée depuis des millénaires, cette forme de médecine connaît aujourd’hui un grand succès dans de nombreux pays. La phytothérapie intervient notamment pour estomper les petits maux et affections du quotidien. En effet, les principes actifs contenus dans les plantes seraient scientifiquement approuvés pour leur efficacité sur la santé et le bien-être de l’organisme, permettant d’estomper divers symptômes. Dans certains cas, le traitement par les plantes peut être utilisé en complément d’une autre forme de médecine.

Dans la phytothérapie, les principes actifs sont souvent extraits de différentes parties de la plante, dont la racine, la fleur ou la feuille. Sous forme d’infusion, de baume ou de gélules, les plantes peuvent généralement être utilisées seules ou en synergie pour potentialiser leurs effets thérapeutiques. Toutefois, il convient de consulter l’avis d’un médecin ou d’un pharmacien avant d’entamer un traitement par les plantes pour éviter tout risque.

Les différentes plantes médicinales et leurs bienfaits

L’utilisation des plantes dans le traitement de certaines pathologies représente de nombreux atouts, dont la diminution des effets secondaires indésirables. Au-delà de leurs vertus curatives, les plantes peuvent aussi être utilisées en prévention de certains symptômes. Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), il existe plus de 22000 plantes médicinales ayant des vertus sur la santé, comprenant les arbres et les champignons. Néanmoins, il faudra choisir la plante en fonction du problème à traiter.

La passiflore est par exemple particulièrement recommandée pour traiter les troubles du sommeil. Cette plante agit entre autres sur l’anxiété et la nervosité pour permettre de mieux dormir. Le complément alimentaire Arkofluides Détente et Sommeil Bio des laboratoires Arkopharma associe les vertus de la passiflore à celles de l’aubépine, de l’oranger et de la lavande qui favorisent la relaxation et permettent de se détendre. Retrouvez ainsi un sommeil réparateur et luttez efficacement contre la fatigue.

Pour traiter les jambes lourdes par ailleurs, optez pour l’hamamélis. Cette plante apporte une action vasotonique qui booste la circulation veineuse et apaise les sensations de fatigue et de lourdeur. Dans le Gel tonique au cuivre de Weleda, l’hamamélis agit en synergie avec les propriétés décontractantes du cuivre pour apporter une sensation de légèreté et de confort aux jambes, notamment après un l’effort physique ou en période de grossesse.

Généralement utilisé comme épice, le curcuma intervient également fréquemment dans la phytothérapie pour ses nombreux bienfaits. Cette plante est riche en antioxydants qui agissent sur les radicaux libres à l’origine du stress oxydatif. Arkogélules Curcuma Piperine des laboratoires Arkopharma est formulé à base d’extraits de curcuma et de poivre noir et contient de la pipérine, un principe actif qui stimule l’absorption des actifs du curcuma. L’association de ces deux plantes permet de réduire l’inconfort articulaire, et donc de préserver la souplesse des articulations.

Le sirop adulte Grintuss des laboratoires Aboca est quant à lui composé d’un complexe moléculaire de Grindelia, de Plantain, et d’Hélichryse, un mélange efficace contre les toux sèches et grasses. Associé au miel, ce soin préserve l’hydratation de la muqueuse et stimule l’élimination du mucus gras grâce à son action mucco-régulatrice. Ce sirop protège également les voies aériennes supérieures des agents irritants en formant un film sur la muqueuse, réduisant ainsi les irritations.

Les précautions à prendre pour se soigner par les plantes

La phytothérapie est solution naturelle pour soigner les petits maux du quotidien comme la fatigue, les douleurs articulaires, les migraines, les troubles digestifs et les rhumes. Cependant, il convient d’être prudent dans l’utilisation des plantes afin d’éviter tout impact nocif sur la santé. En effet, les principes actifs des plantes s’avèrent parfois toxiques lorsque les doses préconisées ne sont pas respectées.

Il peut également être dangereux d’utiliser certaines plantes en interaction avec d’autres, avec un médicament ou avec un complément alimentaire. C’est pourquoi il est vivement recommandé de demander conseil auprès du médecin avant l’utilisation des plantes dans un but curatif ou préventif. Renseignez-vous si le traitement par telle ou telle plante est contre-indiqué pour les femmes enceintes ou pour les enfants. Vous devez également vous fier aux précautions d’emploi du fabricant et respecter la posologie sur l’étiquette. Assurez-vous également de la traçabilité des produits utilisés pour garantir votre sécurité lors de l’utilisation. Il vous faudra également vous renseigner sur les possibles effets indésirables en cas d’interaction avec un autre traitement.

Source : sante.journaldesfemmes.fr ; www.passeportsante.net