CES PEURS QUI VOUS RENDENT MALADE


19 juin 2021 4  Par SYLVAINDIDELOT
Canalisation publique du 15 juin 2021 par Sylvain Didelot, retranscrite par Marie-Claire.

ARCHANGE RAPHAËL – Je vous invite à ne pas avoir peur, pour être en bonne santé.

Âmes de Lumière et d’Amour, consciences infinies que vous êtes, bonsoir. Bonsoir et bonjour à chacun d’entre vous.

Je suis celui que vous avez appelé l’archange Raphaël. Ne vous posez pas tant de questions sur qui je suis, sur celui que je représente qui est la divinité, qui est votre état d’être parfait, qui est ce que vous êtes en quelque sorte. Je vous invite, dès à présent, à ouvrir votre cœur et votre conscience au message que nous allons diffuser ce soir, en ce jour, pour chacun d’entre vous.

J’aimerais vous parler de la santé. J’aimerais vous parler d’état d’être – pendant que j’essaie de réparer celui de Sylvain.  Comprenez ceci, la vérité de votre corps est complexe, très complexe. Vous êtes des êtres qui êtes faits d’énergies, d’informations, de consciences qui se croisent et s’entrecroisent. Vous avez beaucoup, beaucoup d’aspects en vous. Si je ne devais parler de santé que par le corps, je ferais une erreur. Si je ne devais parler de santé que par l’esprit, je ferais encore une erreur. Si je devais parler de santé par l’énergie, je ferais encore une erreur, car chacune de ces facettes, consciences, informations, énergies, corporalité, manifestations dans la matière, tout cela est important, tout cela fait partie de ce que vous appelez la santé.

Alors j’ai souvent, personnellement, cette même question : comment font-ils pour être malades ? Comment font-ils pour croire qu’ils peuvent l’être ?

En vérité, tout est une expression d’informations. Tout est une expression de conscience, encore une fois.

Alors écoutez-moi, profondément et sincèrement s’il vous plaît. Votre état naturel est la santé. Cela peut paraître évident de vous dire cela ainsi mais ça ne l’est pas, car ce que je veux vous dire, c’est que votre état dans la matière, dans la conscience, dans l’esprit, a déjà un niveau de perfection.

La maladie, en vérité, qu’elle soit mentale, physique, émotionnelle, spirituelle, est un écart par rapport à cet état d’être d’origine, cette matrice originelle qui vous compose, cet éclat divin d’informations divines que vous êtes et que vous manifestez dans la matière, à travers un corps d’énergies, d’énergies densifiées.

Il existe deux grandes énergies dans votre univers. Une énergie qui vous relie à l’Unité, qui vous relie à votre Conscience supérieure, qui vous relie à vos frères et sœurs, qui vous relie à la matrice. Cette énergie est évidemment celle de l’Amour et le fait de « se sentir bien avec », avec une information, avec un moment, avec ce qui est, quel que soit ce qui est. Et il existe une autre énergie qui vous sépare, c’est celle de la Peur. Et la peur a de multiples facettes : l’angoisse, la colère, le stress négatif, la dépression, qui est en fait la validation d’une peur.

C’est tellement important de choisir mes amis. Quand je viens de dire « validation d’une peur », vous aurez compris que malgré les apparences, la peur est quelque chose qui se choisit. Je choisis d’avoir peur.

Même si vous tombiez d’un avion sans parachute, et que vous sachiez profondément, que pour votre corps physique il y a quand même de fortes chances que le voyage se termine là, aussi, vous pouvez choisir de vivre cela comme une expérience d’amour ou passer votre temps de chute à regretter, à crier, à hurler, à refuser, à ne pas accepter, ou vous pouvez observer cela et vous poser dans la main de Dieu, dans cet amour qui vous dit « je serai pris en charge ; quoiqu’il arrive je ne suis pas ce corps, je ne suis pas que ce corps ».

Même dans ces circonstances extrêmes, vous pourrez toujours choisir. Il y en aura parmi vous qui pourraient vivre cela de manière, je dirai calme, posée et une grande majorité, par apprentissage, qui paniquerait, qui refuserait.

Mais voyez, j’ai pris l’exemple de cet homme ou de cette femme qui saute d’un avion pour vous dire que vous n’avez pas le choix, dans ce saut, trop tard vous êtes dans l’air, parce que cela aussi est quelque chose qui vous rend malade : le fait de refuser d’avoir pris une décision, de ne pas assumer une décision.

Un comportement à l’intérieur de vous peut vous rendre malade. Vous pouvez passer le temps pendant votre saut dans le vide à dire : « je n’aurais pas dû sauter de l’avion », mais vous êtes déjà dans l’air. Il y a encore d’autres manières de choisir, même dans une expérience de peur, il y a encore des façons de choisir les conséquences de celle-ci à moyen et à long terme, et à court terme parfois, en vous disant : « OK j’ai eu peur, je l’accepte ».

[Toux de Sylvain] Voyez ce corps se défend contre des agresseurs qui n’existent pas, comme des pollens, mais ils peuvent être acceptés. Osez, vous avez toujours une possibilité de choisir.

Une des lois primordiales de l’univers est bien entendu celle du libre arbitre. C’est cette loi qui fait que vous pouvez provoquer des actes, les accélérer, les ralentir. On vous donne beaucoup plus de possibilités. C’est votre volant dans votre action dans l’univers. Un volant individuel et aussi un volant collectif que ce libre arbitre, ce choix, ce choix. Alors je vous invite à ne pas avoir peur, pour être en bonne santé.

Continuons, poursuivons ce chemin de compréhension en vous. Imaginez, chers amis, que pour traverser une rue, je pose sur le sol une planche qui fasse, je ne sais pas, dix centimètres, dix de vos centimètres. Je vous demande de marcher sur cette planche que j’ai posée au sol sur la rue, pour traverser la rue. La planche est solide, la planche est forte, elle est épaisse. Vous marchez dessus en riant.

J’ai déjà donné cet exemple mais je poursuis. Je pose cette même planche au premier étage d’une maison, entre deux maisons qui sont chacune de chaque côté de la rue, et je vous redemande de faire le même exercice. La planche est toujours aussi solide mais vous commencez déjà à avoir peur de tomber, à réfléchir aux conséquences de ce qui n’est pas arrivé encore, qui n’arrivera pas. Si je pose cette même planche au dixième étage, entre deux dixièmes étages à la même hauteur, la plupart d’entre vous n’oseraient même pas poser le pied sur la planche. Qu’est-ce qui vous sépare de l’expérience ? Qu’est-ce qui fait que vous l’avez bien pris ou mal pris ? Votre peur, votre appréhension de ce qui n’est pas, de ce qui n’arrivera pas, une sorte de manque de confiance dans vos pas et cela aussi provoque la maladie : le manque de confiance dans les pas que vous faites. Ayez confiance dans le fait que quels que soient vos pas, ils sont associés à votre divinité, à votre chemin parfait, qu’ils vous mènent à un endroit ou à un autre importe peu, ce sont vos pas.

Vos pas ne vous tueront pas, vos choix ne vous tueront pas. Mais si vous faites des choix qui sont les choix d’autres personnes, si vous faites des choix par obligation totale, ces choix-là doivent être alignés en vous avant de les effectuer. Soit vous êtes dans l’acceptation qu’on vous impose un choix, mais vous l’acceptez, mais si vous le faites à contrecœur – c’est le mot que vous utilisez – là aussi, vous allez enregistrer dans votre corps une information qui va exprimer la peur d’avoir mal agi, la peur d’avoir mal fait.

Et donc, un des moyens de ne pas être malade, c’est de marcher dans ses pas et de ne pas, ou le moins souvent possible, faire de choses à contrecœur, peut-être en association en vous disant : « je le fais pour le moment, ce n’est pas mon envie principale mais j’y vais ». Ce sera moins difficile qu’à contrecœur « pur », c’est-à-dire dans cette sensation forte que tout est faux ici.

Vous êtes invités donc à agir par le cœur, à agir par la conscience.

Voyez comme ici la peur est destructrice. La peur de tomber provoquera des problèmes dans les points d’équilibre. La peur de mourir attaquera votre cœur ou vos poumons parce que vous ne saurez plus comment respirer, vous aurez l’impression de ne pas être libre. Vos yeux seront attaqués symboliquement, quand vous voudriez voir autre chose que ce qui est. Ne faites pas de généralités avec ces définitions, ces décodages que j’évoque. Il s’agit de vous dire qu’il y a une peur derrière ceci. De quoi ai-je peur ?

Je vous invite à remarquer à quel point autour de vous, ceux qui n’ont plus peur de la mort, ceux qui n’ont plus peur de ce passage, en fait, sont souvent moins malades, moins malheureux que les autres, parce qu’ils vivent leur expérience dans un corps connu pour être temporaire, connu pour être une énergie, une densification de l’Unité divine.

Dans votre corps physique, il y a une somme d’informations qui sont en harmonie, et ce que vous mangez, est aussi de l’information. La plupart des molécules non chimiques ne provoquent pas de dégradation de l’information dans votre corps. La plupart des molécules fabriquées, non naturelles, peuvent provoquer dans votre corps une disharmonie de l’information, une nécessité de s’autoréguler. Cela va donner des conséquences plus ou moins graves sur l’énergie du corps, sur son potentiel en santé. Je vous invite donc à laisser entrer dans votre corps les éléments les plus naturels qui soient. Tout ce qui provient de la nature, globalement, sera accepté par votre corps à part, bien sûr, certains poisons naturels. Ce que font les molécules chimiques en vous, c’est qu’elles contournent le fonctionnement conventionnel de votre corps, elles contournent les habitudes de fonctionnement de l’énergie en vous.

C’est comme mettre un caillou dans une rivière. La rivière s’adapte, l’eau continue à contourner le caillou, cela ne pose pas de difficulté. Mais si vous ajoutez des centaines de cailloux, vous pourriez relativement rapidement faire monter le niveau de l’eau en créant une sorte de barrage, et finalement, une énergie qui serait trop forte ou une fluctuation de cette eau qui serait différente, et vous provoqueriez des changements de courants, des changements d’énergie. C’est ce qu’il se passe avec la majorité des molécules chimiques, des changements de courants, des changements d’énergies.

Alors, encore une fois, c’est une question de dose : très peu et vous aurez très peu de fluctuation, très peu de changements dans votre corps, et si vous mettez beaucoup de molécules chimiques dans votre corps, à ce moment-là vous allez provoquer des arrêts de l’énergie dans certains centres vitaux, qui vont en cascade, provoquer les arrêts d’énergie dans d’autres centres vitaux vraiment comme un fluide. Imaginez vraiment ceci comme une rivière qui coule. Les molécules conventionnelles vont se dissoudre dans cette eau et les molécules chimiques vont se transformer en cailloux, en pierres. C’est une image bien sûr.

Bien sûr que c’est une représentation, mais vous pouvez enlever ces cailloux. Plus vous laissez votre fluidité intérieure, plus vous laissez la Paix – pour utiliser un autre mot – vous envahir, et plus cette Paix provoquera et génèrera des systèmes d’auto régularisation de votre expérience et de votre corps aussi.

C’est pourquoi le calme, la paix, vous amèneront toujours à la guérison. J’insiste sur le mot « toujours » parce que, pour ceux qui ont l’impression d’être en paix et qui semblent encore malades, c’est souvent cette paix qui est une fausse paix, quelque chose qui est plutôt mis de côté, renié, que quelque chose qui est intégré, naturel et vrai.

A l’origine de la fabrication de vos corps par des êtres galactiques, mais ce n’est pas l’histoire que je vais vous raconter ce soir, mais à l’origine de votre corps, ceux-ci ont un potentiel d’une durée de vie d’environ deux cents ans. Aujourd’hui, vous arrivez à les mener à un peu moins de la moitié de ces deux cents ans, parce que vous commencez à travailler de plus en plus les aspects naturels. Bien sûr, vous avez appris des modes de vie différents, vous avez appris à ne pas user trop votre corps. Votre monde moderne vous a permis cela, mais vous apprenez aussi à ne pas trop épuiser votre esprit, à rester en paix, à ne pas vivre dans une inquiétude permanente et délétère.

Je ne demanderai pas, pour ma part, un lâcher prise total sur ce qu’il se passe mais peut-être une certaine confiance dans la vie, une confiance dans le fait que tout va arriver de manière fluide et constante, et – j’utiliserai souvent ce terme de fluidité, parce que c’est celui qui correspond le mieux à l’énergie vitale qui vous traverse – une nécessité de fluidité, une nécessité de laisser circuler l’énergie en chacun d’entre vous.

Lorsque vous utilisez des thérapeutes énergétiques, ceux-ci rajoutent de la fluidité là où il n’y en avait pas, permettent aux fluides de votre corps de circuler un peu plus rapidement, créant une certaine pression qui peut dissoudre certains de ces points énergétiques engrammés, compactés dans votre corps. Mais même eux, même ces guérisseurs, quelle que soit la thérapie qu’ils utilisent, ne pourront rien faire contre quelqu’un qui conserve ses habitudes de vie et qui garde ses peurs, qui garde ses angoisses, qui garde sa colère parfois, ses rancœurs, ses contrecœurs, ses rejets, ses trahisons sans pardon, recréant ainsi le processus qui a amené la maladie.

Alors mon invitation à la bonne santé, c’est tout simplement de rester fluide, de rester ces êtres qui peuvent être, un minimum, confiants en la vie, un minimum, confiants dans le fait qu’ils ont toujours été portés, toujours été guidés, au bon moment, au bon endroit. Ne vous inquiétez pas des circonstances, elles vous auront appris, ou vous auront permis de faire apprendre à vos frères et sœurs ce qui était nécessaire.

L’expérience de la vie est une expérience d’union, une expérience d’amour, une expérience de collaboration.

Je suis un archange guérisseur. Lorsque vous m’appellerez, lorsque vous m’invoquerez, je viendrai vous aider, je viendrai porter un soin, je viendrai porter une énergie, parfois même, je lèverai le poids de la maladie, le temps nécessaire à votre changement de comportement. Mais ce changement de comportement, ce changement d’attitude, ce changement d’habitude, je ne peux pas le faire à votre place.

Ainsi, la seule et vraie guérison définitive est l’amour permanent, une paix quasi permanente. Cela est une guérison, une vraie guérison.

Avec cet esprit-là, avec cet état d’être-là, vous pourriez même vivre des centaines d’années avec une maladie. Autrement dit, celle-ci vous accompagnerait mais elle ne vous tuerait point, elle ne vous ferait pas de mal, elle serait là comme une vieille trace, comme une vieille cicatrice énergétique, mais vous pourriez passer outre.

Bien des êtres dans votre temps, bien des êtres dans vos temps, ont vécu très longtemps et en bonne santé apparente, alors qu’ils pouvaient avoir de gros soucis réels – entre guillemets « réels » – c’est-à-dire impactés dans le monde tridimensionnel qui est le vôtre.

Mes amis, la confiance en Dieu ne se décide pas, la confiance en Dieu ne se décrète pas. C’est une autorisation que vous Lui donnez et que vous vous donnez à connaître la Paix et l’Amour le plus grand qui soit, pas un choix de dire : « oui, je vais essayer », mais un choix profond, un changement de dogme : « je vais accepter la Présence divine en moi. »

Vous savez, ma prière de guérison, celle que j’utilise quand certains d’entre vous m’appellent, consiste simplement à demander au Divin de reconnaître chaque particule du corps qui m’appelle, du cœur qui m’appelle comme étant saine. Je rappelle au fils qui est le Père, et je rappelle au Père qui est le Fils. Je relie, je crée l’Amour là où il n’était plus. C’est ainsi que se crée la guérison, en pacifiant, en harmonisant, en aimant.

Beaucoup d’entre vous ont ou vont me demander un remède, pour une chose ou pour une autre. Je trouverai toujours et souvent ce qui peut vous donner un coup de pouce, comme vous dites, un élan, une fortification. Je vous en donnerai l’instinct, je vous en donnerai la connaissance. Mais n’oubliez pas : l’attitude, le comportement, l’état d’esprit, l’état d’être dans votre esprit, est la source de tous les bienfaits pour toutes les dimensions de votre corps.



La peur est l’ennemi. L’Amour est l’ami. Mais la peur peut aussi être l’ami, celle qui va provoquer l’amour, obliger l’amour, qui va vous montrer le progrès à faire. Alors ne maudissez pas la peur. Ne vous dites pas : « Ah ! j’aimerais qu’il n’y ait pas de peurs », car elles sont aussi apprenantes. Vous êtes dans une dimension duelle. Donc elle est faite, cette dimension, naturellement, elle est faite de peur et d’amour. Mais elle est faite comme une cour d’apprentissage pour dépasser ces peurs.

Vous saurez que vous êtes en paix, le jour où vous pourrez vous dire : « si je tombais d’un avion ce ne serait pas bien grave », en cessant d’imaginer la peur ou l’angoisse que vous pourriez avoir pour vos proches, pour vous-même, pour le monde et en étant dans un état total de détachement, de détachement de la forme pas de l’expérience, puisque l’expérience va continuer même sans la forme, toujours.

Elle est éternelle cette expérience que vous êtes en train de vivre. Elle n’est pas parcellaire, elle n’est pas indépendante. Elle est commune, elle est complète. Elle est dans l’intelligence divine qui vous traverse.

Guérir, c’est retrouver la Joie. C’est rire de chaque chose, dans la compréhension qu’elle n’est rien cette chose ; pas de se répéter matin, midi et soir : « ceci est une illusion, ceci est une illusion », cela va finir par créer la peur de ne pas y être bien ou de ne pas avoir envie d’y être. C’est important de savoir qu’effectivement votre corps est une illusion, mais c’est important de savoir que c’est l’illusion que vous avez créée, vous, pour vivre l’Amour. Ce n’est pas une illusion subie, c’est une illusion choisie.

Continuez à faire appel à moi. Continuez à faire appel au Père, aux anges, à ceux en qui vous croyez, pour vous aider. Ceux-ci ramèneront l’Amour dans le corps de l’homme, amèneront l’Amour dans le cœur du monde.

Je vous l’ai dit, tout ce qui sépare, rend malade. Vous comprendrez que les circonstances actuelles qui vous ont été imposées durant ces derniers mois, ont créé des séparations inutiles et ont finalement, vous le verrez plus tard, peut-être, engendré d’autres maladies, d’autres conséquences. Et c’est la réunification, c’est un peuple uni, une conscience unie qui va ramener tout ce processus de vie dans chacun de vos corps.


J’entends beaucoup de demandes de soins, beaucoup de demandes d’aide et j’y réponds sincèrement, pleinement et entièrement. Ne croyez pas qu’il faille un délai, une position particulière pour que j’intervienne pour vous. Je le ferai systématiquement. Je corrigerai, j’amènerai une intuition, je guérirai complètement le cas échéant, si la personne a suffisamment travaillé son énergie, au bon endroit, de manière bien placée c’est-à-dire pas de manière égoïste mais de manière communautaire.

Guérir ce n’est pas guérir pour soi, c’est guérir pour le monde. On dit d’un homme sacré qu’il a donné sa vie pour sauver le monde. C’est bien sûr un symbole, qui vous permet de vous souvenir que votre corps est aussi un hologramme de ce monde. La guérison n’est pas un processus qui s’opère pour un mais pour le « Un », pour l’unité toute entière.

Vous êtes invités à demander la guérison pour vous, pour ce monde, pour tous ceux qui souffrent peut-être de la même infirmité, maladie, malaise, que vous – oh ! pas cent fois par jour, une fois, de manière sincère.

Votre planète actuellement commence à traverser un espace interplanétaire puissant, vous permettant de recevoir des particules d’énergies, des particules vitales, qui font des modifications dans votre corps adamantin, diamant, cristal – appelez cela comme vous voulez. Ces modifications accélèrent les conséquences que peuvent avoir vos émotions sur vous, positives ou négatives et ce corps cristallin accélère aussi la possibilité que vous avez de manifester votre plein pouvoir et votre pleine énergie dans ce monde.

N’oubliez pas, je l’ai dit au début, c’est bien vous qui, dans la forme, avez pouvoir d’accélération, de diminution, de compensation d’une énergie. C’est vous qui avez cette force-là, pas nous mais bien vous. Une guérison intervient, c’est parce que vous l’avez acceptée, parce que le travail a déjà commencé en vous, par vous, pour vous.

Je vous invite à réfléchir de cette manière si vous le voulez bien. A chaque fois que vous demandez une guérison, pensez à ce que vous allez changer dans votre vie après. Ne vous contentez pas d’un : « Si je n’étais plus malade, ça irait mieux » mais placez, pour vous et en vous : « quand j’irai mieux, je ferai ceci que je ne faisais pas avant » et faites-le, ne trahissez pas l’énergie, ne trahissez pas l’Amour. Trahir l’Amour est le péché capital qui vous fera perdre du temps, juste du temps, car on revient toujours à l’Unité. Vous reviendrez toujours à l’unité, à Celui qui sait, qui sait TOUT.

Votre vision et notre vision ne peuvent être que parcellaires car Il est issu d’un monde, j’allais dire où rien ne se passe. Ce n’est pas vrai, il s’y passe beaucoup de choses, mais Il est issu d’un monde qui ne s’inquiète pas de la forme, car nous savons qu’elle n’est que temporaire, qu’elle n’existe pas, que seules les informations que nous diffusons, que seuls les messages dans le corps sous forme d’énergie, une information densifiée devient un médicament, c’est cela qui agit, une information qui rentre dans la matière.

Une information qui rentre dans la matière c’est une information qui est densifiée et/ou acceptée simplement. Dès que vous acceptez quelque chose comme étant vrai, cela a déjà un impact dans tout le système d’information entier de votre corps.

Mes amis, je suis là pour vous maintenir en santé grâce à la Flamme Verte, grâce à d’autres types d’énergies, grâce à des informations, à des intuitions, à des comportements changeants. Je serai à vos côtés. Je continuerai à l’être et j’aurai d’autres discours à vous proposer sur ce même sujet, si vaste.

Je vous laisse effectivement dans les bras de l’archange Gabriel. Il va continuer je pense, oui, à parler de santé, mais sous un angle peut-être différent pour vous.

Soyez remerciés de votre écoute.

Bénis soyez-vous dans ces instants et dans tous les instants.

SOURCE :  canalisation de l’archange Raphaël par Sylvain Didelot .  https://sylvaindidelot.com/

Et si la médecine était pavée de bonnes intentions

« L’enfer est pavé de bonnes intentions », dit le proverbe. Dans la sphère intime plus qu’ailleurs, cet adage est malheureusement dramatiquement vérifié. Car, en principe, notre entourage (notre conjoint(e), nos frères et sœurs, nos enfants, nos parents, nos amis proches) devrait jouer un rôle de soutien lorsque nous traversons l’épreuve de la maladie. Pourtant, il n’est pas rare que celui-ci devienne une entrave, pire une force d’opposition, ou carrément l’origine de notre échec et de notre mort dans nos efforts. Voyons cela de plus près…

Comme nous l’a démontré le Professeur Henri Laborit, tout animal assure sa vie et sa survie au travers de quatre grandes stratégies : l’activation de l’action, la fuite, la lutte et l’inhibition de l’action. Plus précisément, quelle que soit l’espèce animale, l’ordre dans lequel les stratégies sont mises en œuvre est toujours le même. Tout d’abord, en absence de danger, l’animal met en œuvre des ACTIONS visant à satisfaire ses désirs et ses besoins. Son but : préserver son homéostasie. Si un danger apparaît, la stratégie de FUITE est activée pour assurer le même but de préservation. Si cette fuite est impossible ou inefficace, la stratégie de LUTTE est alors choisie, toujours dans l’espoir de revenir à une situation d’équilibre. Cet ensemble de stratégies (action, fuite et lutte) constitue ce que Laborit appelle le système activateur de l’action, dont le leitmotiv est « rechercher le plaisir et l’équilibre ».

Ce n’est que quand l’action se révèle inefficace, et la fuite et la lutte impossibles, qu’un autre mécanisme se met en place. Laborit le nomme le système inhibiteur de l’action, dont le leitmotiv est plutôt « éviter la douleur ». Dans ce cas de figure, la soumission et l’acceptation du statu quo demeurent bien souvent la dernière alternative pour assurer sa survie. Ce système découle d’une longue évolution adaptative où il apparaissait que tout mouvement ne pouvait qu’aggraver la situation.

Dans ce cas, l’INHIBITION DE L’ACTION représente le meilleur choix, mais à une seule condition : qu’elle dure le moins longtemps possible. Car si la vie se fonde sur l’homéostasie, l’homéostasie nécessite un équilibrage permanent, qui a lui-même besoin de mouvement pour se maintenir… Si l’immobilité se prolonge, l’équilibre est perdu, l’homéostasie compromise et la vie mise en danger. Nous le savons tous : retenir sa respiration quelques secondes peut être très utile pour ne pas se faire repérer par un agresseur potentiel ; retenir sa respiration plusieurs minutes devient nécessairement mortel.

La leçon qu’on peut retirer de ces observations du monde animal, c’est que notre physiologie est tout à fait capable d’encaisser des stress intenses, à condition que ce soit sur une période de temps extrêmement courte. Qu’il s’agisse de fuite, de lutte ou d’inhibition, ces stratégies ne sont mises en œuvre que pendant quelques minutes, rarement plus. Après cela, soit l’animal meurt, soit il survit. Mais dans ce dernier cas, il est absolument vital que le sur-stress accumulé soit évacué pour retrouver son équilibre homéostatique. Sans cela, la non-évacuation du stress risque de créer des dommages physiologiques importants.

C’est probablement la raison pour laquelle très peu d’animaux sauvages en liberté tombent malades.

D’autre part, comme nous avons appris à nous « maîtriser », nous sommes incapables de libérer le sur-stress qui a été mobilisé pour faire face à une situation difficile. Quelle que soit la stratégie utilisée (fuite, lutte ou inhibition), nous sommes incapables de pleurer, de trembler, d’exprimer notre colère, de nous laisser traverser par des spasmes libératoires… Ce qui entraîne à long terme, encore une fois, un déséquilibre de tout notre système nerveux… Le mois prochain, je reprendrai tous les exemples présentés dans les numéros précédents pour démontrer que notre éducation est bien à la source de beaucoup de nos maux !

Article Extrait du  magazine Néo-Santé écrit par JEAN JACQUES CREVECOEUR

(1) Les lecteurs le désirant pourront approfondir cette hypothèse en visionnant le DVD « Prenez soin de vous, n’attendez pas que les autres le fassent » ou en lisant le livre portant le même titre.
(2) Lire le  livre édifiant : « Le drame de l’enfant doué », aux éditions PUF

Vous pouvez partager ce texte à condition d’en respecter l’intégralité et de citer les sources et le site :  https://medecinehistorique.wordpress.com/

LA TERRE EST UNE PLANÈTE «ÉCOLE» DE GUÉRISON

Ce qu’il faut comprendre, c’est que la Terre est une planète « école », et qu’au même titre que les humains sont ici pour apprendre, évoluer et expérimenter, il en est de même également pour toutes les autres espèces (animales et végétales), qui elles aussi sont ici pour vivre et expérimenter. Certaines espèces animales sont plus proches de l’Homme et ont un rôle précis envers l’Homme, alors que d’autres vivent plus éloignées de l’Homme, ce qui ne veut pas dire qu’elles n’ont pas non plus un impact énergétique sur lui ni sur le reste de la planète.

Nous provenons tous (Humains, Animaux, Végétaux, Minéraux) du même souffle de vie, de la même conscience universelle créatrice, raison pour laquelle nous ne pouvons véritablement nous considérer comme séparés les uns des autres. Ceux qui ressentent ce lien, ressentent qu’ils ne font qu’un avec les animaux et avec la Terre, et que chaque arbre coupé les coupe aussi, et que chaque animal maltraité est une partie d’eux-mêmes que l’on arrache et que l’on fait souffrir aussi. Pour les personnes empathiques, il y a de quoi devenir fou, dans un monde qui bafoue et massacre autant l’Animal. L’Homme tue près de 470 milliards d’Animaux par an, c’est plus qu’un génocide, c’est un massacre à la chaîne qui se produit chaque jour sous nos yeux et que la plupart des humains laissent faire, soit ne se sentant pas concernés, soit se sentant impuissants, ignorant leur propre pouvoir de dire NON.

L’article d’aujourd’hui est plus particulièrement sur nos animaux de compagnie, qui eux ont la chance, en général, d’être mieux traités que le reste des animaux peuplant notre planète (en comparaison par exemple avec ceux que l’Homme a décidé de manger ou d’utiliser pour les tests sur animaux, ou leur fourrure). Pourtant, un cochon par exemple est encore plus « intelligent » qu’un chien, y compris au niveau de ses émotions.

Le rôle spirituel de nos animaux de compagnie

Si chaque espèce s’incarne dans le but d’expérimenter une certaine perspective sur la vie, les animaux de « compagnie » tels que le chien et le chat par exemple, s’incarnent, eux, dans le but de partager une expérience avec l’Homme. Ils sont là pour apporter quelque chose à l’Humain et pour vivre cette expérience du lien avec l’Humain (cela sert les deux perspectives).

La raison pour laquelle il est si facile d’aimer les animaux, c’est qu’ils sont naturellement en alignement avec eux-mêmes (sauf dans le cas d’animaux qui ont trop été influencés et contrôlés par l’Homme, par exemple un chien maltraité qui vivra dans la peur d’être lui-même et s’alignera sur la volonté de son maître en s’oubliant lui-même).

Ce que nous appelons vulgairement « l’instinct », est un en fait un haut état d’alignement avec soi-même. Que veut dire être aligné avec soi-même ? Cela veut dire être aligné avec qui nous sommes réellement et ce que nous désirons et ne désirons pas à chaque instant. Cela veut dire être parfaitement aligné à nos émotions. Cela veut dire avoir suffisamment d’amour pour soi pour ne pas avoir besoin d’être sans cesse à la recherche de reconnaissance et d’amour de la part des autres, comme c’est le cas pour l’Humain.

L’humain, incapable d’écouter ses émotions, d’être lui-même, de s’aimer (car la société lui a fait croire que c’était « égocentrique » et « égoïste » de s’aimer), aura donc toute sa vie des difficultés à aimer les autres, en rejetant toujours la faute sur les autres au lieu de se demander si son incapacité à aimer ne vient pas de lui-même.

Pourquoi les animaux sont-ils capables d’aimer « inconditionnellement » ?

L’amour inconditionnel c’est l’amour qui s’exerce sans conditions. L’amour inconditionnel c’est l’amour qui se donne sans rien n’attendre en retour si sans exiger que la personne fasse, dise ou soit quelque chose de différent de ce qu’elle est sur le moment présent. Jamais un animal ne se dit « J’aimerai que mon maître soit plus jeune / plus riche / moins ci ou ça… qu’on habite dans une maison plus grande / qu’on habite dans un autre pays… » ou alors faire la tête car il a trop donné d’amour comparé à ce qu’il a reçu… se vexer car il n’aura pas reçu en retour la caresse qu’il aura donné… L’Animal est toujours en parfait accord avec « ce qui est ». Il ne cherche jamais à changer les choses, comme le fait l’humain, ou à toujours vouloir que les choses soient différentes et se plaindre.

Certains diront que c’est justement la preuve qu’ils ne sont pas intelligents. Mais de l’autre côté les plus grands enseignements spirituels prônent la même chose : le plus haut état d’avancement spirituel est la capacité de vivre dans le moment présent et d’accepter tout ce qui est. Alors, qui fait preuve du plus haut état d’alignement et d’avancement spirituel ? L’animal qui lorsqu’il n’est pas avec l’Homme ne se développe pas de maladies, qui est en parfait alignement avec lui-même et qui vit dans le moment présent sans jamais se soucier du futur, en étant dans le lâcher prise et dans la confiance en ses propres capacités (même malgré des conditions de vie souvent bien pires que celles de l’Homme) ?

Ou alors, l’humain (supposé « plus intelligent »), qui ne vit jamais dans le moment présent, qui vit dans un état de manque, de stress, d’inquiétude, de colère, de frustration, d’attente, d’autodestruction, et souvent de désir également de nuire aux autres ? Lequel des deux est le plus « avancé » et a à apprendre de l’autre ?

Les animaux sont un reflet très puissant de ce que l’Homme est loin d’arriver à faire et à être. Pourtant, c’est véritablement ce qui sauverait l’humanité et nous permettrait de nous reconnecter à notre vraie nature : consciente, connectée à nous-mêmes, à nos émotions, à nos désirs, à nos besoins, et capables de nous aimer, afin de pouvoir être capable de donner sans rien n’attendre en retour (étant « pleins » d’amour pour nous-mêmes, le reste étant du « surplus » que nous pourrions donner sans mesurer).

Un animal ne se regardera jamais dans la glace en se disant : « Mais qu’est ce que tu es moche, regardes tes cuisses, regardes ton gros nez, regardes tes poils, regardes la couleur que tu as ».
Encore une fois, est-ce un signe de bêtise ou au contraire de profonde intelligence ?
Est-ce une preuve d’intelligence de la part de l’être humain que de se détester à ce point ? Combien d’êtres humains sur Terre s’aiment tels qu’ils sont ?

Un animal se compare-t-il aux autres de son espèce ? Se compare-t-il aux autres espèces ? Un singe se demande-t-il pourquoi lui, il n’a pas une trompe comme l’éléphant ? Le chat se demande-t-il pourquoi lui, il doit se laver alors que les chiens non, passant ses journées à ruminer sur le fait que la vie n’est pas juste ? Se demande-t-il pourquoi le chat du voisin a plus de nourriture, ou plus de câlins, ou un panier plus douillet ?

Pourtant l’humain, lui, passe sa vie à se comparer aux autres, à son voisin, aux autres races, aux autres pays, se détruisant intérieurement en pensant à ce qu’il estime « juste » ou « pas juste » (selon ses propres critères bien souvent en plus erronés car incapable de voir « le plus grand plan » des choses, et ne jugeant bien souvent que par rapport à sa propre petite personne), au lieu de tout simplement vivre sa vie avec les moyens qu’il a et ce qu’il est et en devenir la meilleure version.

C’est donc cela que les animaux de compagnie, qui ont décidé de venir s’incarner pour aider les humains, viennent nous apporter et nous enseigner : l’Amour de soi et des autres, l’amour inconditionnel, le lâcher prise, la confiance en la vie et en ses propres capacités.

Le chat ou le chien ne se demandent pas, quand vous leur servez à manger, s’ils auront à manger demain. Ils mangent leur repas, et vont jouer ou dormir. Ils ne passent pas la nuit à se dire « Mais imagines si demain en partant au bureau mon maître a un accident ? et qu’il ne peut pas rentrer me donner à manger ? Qu’est ce que je vais devenir ? Je vais mourir de faim ! Oh non… vite, des antidépresseurs, un verre d’alcool, ou une cigarette pour me calmer ». L’animal a une parfaite confiance en la vie, et en ses aptitudes à faire face aux circonstances extérieures si jamais il en avait besoin, autrement dit en ses propres capacités.

L’animal ne va pas s’inquiéter en avance du fait de manquer de nourriture ou de quoi que ce soit dans le futur, il vit au jour le jour. Par contre, si jamais un jour il manque de nourriture, il aura encore une fois parfaitement confiance en ses propres aptitudes à trouver de la nourriture, et à se sortir de ce pétrin, jusqu’à la prochaine étape de sa vie. Et bien sûr, tout cela, sans ne jamais avoir à blâmer qui que ce soit, ni la vie, ni les humains, ni les autres chiens, ni les autres espèces, ni le gouvernement ! Il sera toujours en alignement avec lui-même et continuera simplement sa vie chaque jour, dans la joie de découvrir ce que chaque journée va lui apporter et lui faire vivre. Également, l’animal, recevant une caresse de son maître, ne va jamais se demander « Et si un jour il ne m’aime plus ? et si un jour il aime un autre animal ? » Il profite simplement du moment présent et du bonheur de recevoir de l’amour à ce moment-là, sans exiger que cela dure toute la vie, ou que cela soit fait de telle manière ou telle manière plutôt qu’une autre.

Autrement dit, l’Animal, au contraire de l’Homme, ne se place JAMAIS en tant que victime. Il est le créateur de sa réalité et ne blâmera jamais les autres de ce qu’il a ou n’a pas, il prend l’entière responsabilité de sa vie, et ça, n’est-ce pas le plus haut degré d’avancement spirituel ? N’est ce pas tout ce que tous les livres d’enseignants de développement personnel ou spirituel tentent de transmettre ?

SOURCE Laura Marie Site web : www.lauramarietv.com

Douleur et Souffrance ne sont pas synonymes

Lorsque vous êtes malade ou ressentez un malaise quelconque, il y a douleur. Dès ‘instant où vous commencez à résister à cette douleur, à refuser qu’elle soit, elle se transforme en souffrance. La douleur est partie intégrante de l’expérience humaine, elle constitue pour ainsi dire l’un des termes du marché conclu au moment de notre naissance.

Le fait même d’être né implique que nous fassions de temps à autre l’expérience de la douleur. « La souffrance, c’est autre chose. Elle n’est pas inévitable, elle est fonction de notre conditionnement. Car qu’est-ce que la souffrance sinon notre façon de réagir à la douleur ? Plus nous réagissons à la douleur, plus nous nous entons malades et surtout perdus, identifiés à la maladie.

Fuir la douleur, se rétracter à son approche engendre la souffrance ; l’accueillir et la regarder pour ce qu’elle est constitue le début de la vraie compassion et de la guérison, sinon corporelle – encore que cela y contribue grandement – en tout cas spirituelle.

C’est d’abord dans son cœur que l’on guérit. La guérison n’est peut-être qu’une volonté d’accueillir ce que nous n’avons jusque-là cessé de fuir. Allons-nous nous ferme, nous crisper comme on nous a conditionnés à le faire ? Ou au contraire nous ouvrir ? C’est là que tout se joue.

Pour beaucoup d’entre-nous, pour nous réveiller, il a fallu la maladie. Tout comme il a fallu la guerre pour les secouer de leur torpeur, alors que la guerre est une bonne chose, si horrible soit-elle par ailleurs. La guerre est déclarée, ils descendent dans la rue pour protester et dénoncer cet engrenage ; mais une fois la guerre finie, je crains que la guerre ne retombe et que l’individu de rendorme…

Bien souvent, le ferveur spirituelle est uniquement fonction des circonstances. La menace de mort disparue, les gens sont retombés dans  leurs vieux mécanismes.

Ce processus, nous pouvons le voir à l’oeuvre en nous tous. Quelque chose nous réveille, puis nous nous rendormons. Certaines maladies ont ceci de particulier que leur évolution suit un cours en dents de scie ; lorsque vous êtes plutôt malades, vous vous passionnez pour la métaphysique, la méditation et les moyens de faire face à la souffrance. Dès que vous allez mieux, la spiritualité devient simplement quelque chose d’intéressant, un « truc »  à approfondir ; et si vous retombez malade, vous ressortez vos bouquins sur le bouddhisme !

En vérité, tout le monde se trouve dans cette situation, c’est tout le pathétique de la condition humaine la plupart du temps, il nous faut subir des traumatismes pour seulement commencer à entrouvrir les yeux. Ne serait-ce pas merveilleux de chercher à s’éveiller sans avoir besoin d‘essuyer des secousses sismiques ?

Plus on résiste, plus on se ferme, plus la vie doit frapper fort dans l’espoir de nous ranimer. Mais il en va tout autrement si nous tirons les leçons de l’épreuve et à la convertir, tout change ! Prenez votre colère, votre douleur, votre irritation face à la stupidité ambiante, prenez tout et faites-en votre miel pour l’éveil. En définitive, que nous soyons malade ou bien portant ne change rien : de toute façon, il nous faut poursuivre le travail intérieur, car en vérité que faire d’autres ?

Extrait du livre de Gilles Farcet : L’HOMME SE LEVE A L’OUEST aux Editions Albin Michel p.156_159

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Auto-thérapie Multidimensionnelle

Ton âme est heureuse lorsqu’elle crée. La créativité est l’essence de ce que tu es, parce que tu viens de la Source Amoureuse Infinie

Elle,  la première, crée constamment dans le Grand Univers ! Il est donc très important si tu souhaites vivre heureux(se), d’avoir des projets, des rêves, un idéal vers lequel tu avances. Et pour ressentir une grande vitalité, un grand dynamisme dans ces  projets, tu dois t’aligner sur ce que tu Aimes vraiment. C’est l’Amour qui nous propulse dans toutes nos créations. Sans Amour pour une personne ou une situation, toute création devient immensément lourde et difficile, voir même impossible à un moment donné.

Écoute en toi ce que tu Aimes. Observe ce que tu fais avec passion dans tes loisirs, autrement dit, quand tu ne reçois aucun salaire, aucune rétribution, aucune appréciation et aucun commentaire particulier d’un patron ou de gens négatifs autour de toi.  C’est dans ce champ habituellement que tu es appelé à travailler ou à développer de nouveaux projets… De mon côté, j’ai un immense projet à travers le Réseau de Solidarité Planétaire que je veux développer. J’invite les gens à mettre une heure (ou plus) de leur temps par mois (ou par semaine) gratuitement, au service des autres, dans un domaine qu’ils aiment et où ils sont compétents.

Si tu veux m’aider à développer mon grand Projet planétaire… dis-moi de quel type de personne tu es le plus parmi les gens de ces 12 Équipes et il se peut qu’à l’occasion je te demande si tu as une heure de ton temps et de tes talents à offrir:

CONSULTEZ LES 7 DIMENSIONS DE LA VIE : https://devantsoi.forumgratuit.org/f102-les-7-dimensions-de-la-vie

VOICI CES 12 ÉQUIPES:

1. Les Administrateurs

2. Les Communicateurs

3. Les Professeurs

4. Les Guérisseurs

5. Les Constructeurs, Rénovateurs ou Décorateurs

6. Les Harmonisateurs (dans les groupes)

7. Les Organisateurs et Animateurs

8. Les Inventeurs et Concepteurs

9. Les Chanteurs, Danseurs et Comédiens

10. Les Créateurs d’Oeuvres d’Art

11. Les Diffuseurs d’Oeuvres créées

12. Les Alimentateurs au niveau biologique

Bienvenue à chacun, quel que soit son âge et son bagage.

Chaque être humain est très précieux pour moi. Ensemble nous sommes très puissants !  

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Donner de la sérénité à ses douleurs

Il est intéressant de constater que notre époque moderne, qui développe de plus en plus la communication vers l’extérieur, est aussi celle de l’éloignement de soi. Notre science, nos scientifiques et nos politiques qui voudraient tant tout savoir ou maîtriser, sont dramatiquement effrayés dès que l’on parle de l’ « homme » ou d’humanisme. Ces dimensions que l’on ne peut ni chiffrer ni contrôler font peur, alors on les évite, on les fuit. C’est cette fuite qui fait, entre autres, le lit des sectes et de nombreux thérapeutes gourous, trop heureux de s’engouffrer dans un domaine délaissé et si vaste que tout et n’importe quoi peut y être dit ou fait.


Cet état de fait génère une psychose aggravante, puisque aujourd’hui tout ce qui parle de ces dimensions devient suspect. Ce n’est pas un rapport fait à la va-vite (quelques heures) par des parlementaires ne pouvant arguer de compétences particulières qui peut permettre que cela change, bien au contraire. Cependant, qu’on le veuille ou non, les dimensions subtiles de l’être humain s’expriment tous les jours. Pour pouvoir les comprendre et accéder à leur sens profond, il nous faut accepter que le paradigme qui les concerne soit différent de celui du regard mécaniste.

Il en est ici comme des différences fondamentales qui existent entre les physiques classique et quantique. L’une se préoccupe du pondéral et du macroscopique et l’autre, du subtil et du microscopique. Elles ne s’excluent pas, contrairement à ce que certains voudraient. Elles ne s’intéressent pas aux mêmes niveaux tout en étudiant la même chose. Le lien entre elles, comme pour l’humain, est un principe de cohérence. Nous devons l’accepter car c’est lui qui permet d’unifier la connaissance et ses différents paradigmes, non pas antagonistes, mais complémentaires.

 Accepter cette idée, c’est se donner la possibilité de lire ce lien à travers le langage du corps. […] Associé à des pathologies types, ce livre a pour but de vous aider à mieux accompagner les autres (ou vous-mêmes) vers l’état de santé, en donnant un sens à ce qui nous arrive. Cela est fondamentalement nécessaire car si, bien souvent, les autres (amis, médecins, psychologues, thérapeutes, guides spirituels) peuvent nous aider et même parfois nous soigner, nous sommes en revanche les seuls à pouvoir nous guérir. […]

Les relations corps/esprit


Il me semble difficile de comprendre les relations entre le corps et l’esprit, et par conséquent la signification des maux du corps par rapport aux bleus de l’âme, si nous n’élargissons pas le regard que nous portons sur l’homme et la vie. Si nous restons en effet au stade de l’homme « machine », composé de pièces indépendantes et interchangeables en fonction des progrès techniques de la science, les relations que j’ai faites dans mon précédent livre ou que je fais dans celui-ci vont sembler tenir de la magie, de la voyance, de l’imaginaire ou du délire.

C’est bien là que se situe la question, à savoir comment et pourquoi relier les manifestations physiques, les symptômes, les maladies ou les accidents avec ce qui se passe, ce qui se joue en nous ? L’observation mécaniste ne peut pas le faire car son regard est trop collé au symptôme, son champ d’observation trop restreint, que ce soit dans le temps ou dans l’espace. Cela l’empêche d’aller chercher la vraie cause qui ne peut alors se justifier que par le hasard (accident) ou par des éléments qui nous sont extérieurs (virus, microbe, nourriture, environnement, etc…).


En élargissant notre regard et en observant l’homme dans sa globalité physique ou temporelle, nous allons pouvoir à nouveau relier les différents niveaux qui composent son existence, lui donnant sa dimension véritable, qui est avant tout spirituelle. Nous pourrons alors peut-être comprendre la raison d’être de l’homme et, par conséquent, les raisons de son mal-être. L’Orient nous propose une image fort intéressante pour représenter ce véhicule particulier qu’est notre corps physique et ce Chemin de Vie sur lequel nous avançons. Cette image de Calèche qui avance sur le Chemin de Vie, tirée par les chevaux de nos émotions et conduite par le Cocher de notre mental, illustre parfaitement l’idée de relation entre conducteur et véhicule, entre confort et façon de conduire, la place majeure étant donnée au voyageur caché, ce Non-Conscient qui connaît l’itinéraire mieux que le Cocher.


En tout cas, si nous acceptons l’idée de relation directe entre le corps et l’esprit, il devient alors intéressant de connaître le sens des manifestations physiologiques. Elles deviennent les points d’appui de notre réalisation, ce à travers quoi elle s’exprime. Ces manifestations peuvent être aussi un remarquable moyen de décodage et de compréhension de la partie que nous jouons, de ce qui se passe en nous. Notre corps se transforme alors en un extraordinaire outil de connaissance. Encore faut-il essayer de déchiffrer et de comprendre à travers quels processus types  il s’exprime… Extrait d’un livre à lire………

Un ouvrage qui s’inscrit dans la continuité de « Dis-moi où tu as mal, je te dirai pourquoi ». Ce lexique de Michel Odoul décode plus de 300 pathologies ou traumatismes. Il nous permet de donner un sens à ce qui nous arrive, et de sortir de l’idée de fatalité souvent associée à la maladie ou aux accidents. Nous pouvons ainsi reprendre les commandes et décider de changer la situation. Ce livre constitue la suite logique de Dis-moi où tu as mal, je te dirai pourquoi, qui en posait les bases essentielles. Il est destiné à tous ceux qui, après la lecture du précédent ouvrage, veulent en savoir plus. La qualité des informations données en fait un excellent outil d’accompagnement du travail pour les professionnels de la santé, et ce quelle que soit leur approche thérapeutique, énergéticiens, shiatsu thérapeutes, psychothérapeutes, ostéopathes, médecins, personnel soignant, etc.

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LA NOURRITURE ASTRALE MULTIDIMENSIONNELLE

 L’ART MATÉRIEL OU SPIRITUEL

L’alimentation multidimensionnelle en lien avec la nourriture que nous avons besoin de recevoir est non pas uniquement dans notre corps physique, mais dans chacune des dimensions fondamentales de notre Être.

Soit, donc 7 grandes catégories : la nourriture physique (l’activité), la nourriture éthérique (la vitalité ou la sexualité), la nourriture astrale (l’émotivité), la nourriture mentale (la pensée), la nourriture causale (la volonté ou la créativité), la nourriture psychique (l’amour) et la nourriture atmique (l’intuition).

ICI donc, nous parleront de la Nourriture Astrale  – (L’art Matériel ou Spirituel)

L’art est un moyen d’expression de nos émotions. L’art exprime aussi nos autres dimensions de vie: la sexualité, la pensée, la volonté, l’amour et l’intelligence universelle. Mais actuellement dans notre société, l’art exprime en grande partie nos émotions. Ainsi, pratiquer une forme d’art ou admirer une forme d’art nourrit notre corps d’émotions, notre corps astral.

Plus l’art est harmonieux et intelligent, plus il nourrira sainement notre corps d’émotions et nous allégera, plus l’art est dysharmonieux et ignorant, plus il polluera notre corps d’émotions et alourdira nos vibrations. Observez l’effet que produit en vous l’écoute de certaines musiques, certains films, certains spectacles… et vous découvrirez la qualité des émotions qui nourrissent votre corps.

Observez comment vous vous sentez en faisant certains dessins, certaines peintures ou sculptures, certaines photos ou certains vidéos et vous découvrirez comment votre art vous nourrit.

Observez ce que vous ressentez en chantant, en écrivant un roman, un poème, un journal personnel, et vous découvrirez à nouveau la nourriture qui vous remplit ou vous appauvrit.

En résumé, l’art de type plus matériel attire notre conscience vers une admiration des dimensions les plus denses : corporelle, sexuelle et émotionnelle. L’art plus spirituel attire notre conscience vers une admiration des dimensions les plus subtiles : intellectuelle, créative, amoureuse et intuitive. Les deux types d’art ont leur place et nous font nous découvrir dans des facettes plus denses ou plus subtiles de nous-mêmes. L’art peut nous élever vers le ciel ou nous rapprocher des enfers. Il est puissant, comme un cheval volant, et c’est à nous d’embarquer ou non sur ce cheval, pour prendre telle ou telle autre direction…

Vous pouvez partager ce texte à condition d’en respecter l’intégralité et de citer la source de Francesca : A l’ère de la Multidimensionnalité

Conséquences énergétiques d’une cicatrice

Si la science nous a appris que le corps  humain est composé d’énergie, à différents niveaux vibratoires, nous savons également que cette énergie vitale (prâna pour certains), circule à l’intérieur du corps, dans les tissus et organes, par l’intermédiaire de nadis (sorte de « veines » ou « conduits » d’énergie).

Ce réseau de nadis https://devantsoi.forumgratuit.org/t1570-les-chakras-de-a-a-z#12430 des plus importants aux plus minuscules, est immense : évalué à environ 72 000 nadis…

L’énergie vitale est captée par des centres énergétiques appelés « chakras« , et distribuée dans le corps par l’intermédiaire des nadis, puis renvoyée vers l’extérieur du corps.

Lorsque l’on incise la peau (épiderme et derme), puis éventuellement les muscles, ou que ces tissus sont déchirés accidentellement suite à une fracture, un traumatisme, on sectionne énormément de nadis, quelquefois des milliers…

La bonne cicatrisation physique d’une plaie n’a aucune incidence sur les nadis sectionnés, car ceux-ci ne se situent pas sur le même plan vibratoire que le corps physique.  Au fur et à mesure de la cicatrisation, l’énergie vitale en se frayant un passage au travers des tissus, recréé de nouveau nadis. Par contre, pour diverses raisons, il est possible que la création de nouveau nadis ne se déroule pas correctement et que ceux ayant été sectionnés, ne soient pas colmatés.

De cette situation où les cicatrices subtiles ne se colmatent pas, au niveau subtil, il s’en suivra des fuites d’énergieCes fuites d’énergies vont dévitaliser l’ensemble de l’organisme ce qui occasionnera des troubles divers. La coupure énergétique qu’elles entraînent occasionne un affaiblissement de la partie concernée.

Les fuites d’énergie peuvent être à l’origine de fatigue chronique, de douleurs non définissables… Elles peuvent se développer et demeurer en place très longtemps, voire des dizaines d’années… Dans ce cas là, il convient de colmater les fuites énergétiques et de rétablir la bonne circulation de l’énergie vitale dans les nadis.

Cette opération peut être aisément réalisée par un énergéticien dûment formé à cet art qui consiste é faire circuler harmonieusement l’énergie vitale dans les différentes composantes de l’être. Il convient de noter là, que cette problématique de circulation d’énergie, dans le cas de fuites, s’applique autant aux humains qu’aux animaux. (A LIRE….. Les CHAKRAS de A à Z )

Pourquoi une cicatrice peut générer une fuite d’énergie

Nous venons de voir que l’énergie vitale, en quelque sorte le « carburant » de notre être, est véhiculé à travers ce dernier à l’aide de « conduits », sorte de « veines d’énergie », appelés nadis.


Ces nadis vont alimenter les différents corps subtils composant l’être multidimensionnel qu’est l’être humain. Chacun de ces corps subtils se situant sur un plan vibratoire différent et beaucoup plus élevé que le corps physique.

L’incision lors d’une opération, ou la déchirure accidentelle des tissus, ne va pas seulement ouvrir une brèche dans le corps physique, à commencer par la peau, puis les autres tissus, mais également dans les corps subtils.

Nous pouvons constater qu’une cicatrice physique peut être totalement fermée depuis longtemps, et pourtant laisser subsister une fuite d’énergie émanant d’un ou de plusieurs corps subtils. La raison de ce dysfonctionnement est propre à chacun et dépend de l’état émotionnel, psychique et physique de la personne concernée. De plus, la cicatrice peut être très ancienne et la fuite bien actuelle. Ce n’est qu’après avoir colmaté la fuite, sur un plan énergétique, que la cicatrice sera rendue totalement inopérante au niveau énergétique.

Qu’est-ce qu’une cicatrice ?

 

Une cicatrice est une lésion du derme plus ou moins profonde dont la taille, la couleur, l’épaisseur et la profondeur peuvent varier. Une cicatrice se forme lorsque non seulement la couche supérieure de la peau (épiderme), mais aussi les couches cutanées plus profondes sont lésées. Les cicatrices sont des traces visibles sur la peau.

Une cicatrice est la partie visible d’une lésion du derme après la réparation du tissu, à la suite d’une incision effectuée au cours d’une opération ou à la suite d’une blessure. La cicatrisation fait partie intégrante du processus de guérison.

Les cicatrices extérieures se forment normalement après une lésion des couches cutanées plus profondes. Une petite coupure ou une lacération superficielle ne lèsent souvent que la couche cutanée supérieure, l’épiderme. Dans un tel cas, une nouvelle couche cutanée intacte se forme à partir de la couche inférieure de l’épiderme, appelée couche basale ou tissus cicatriciel, et referme la plaie. La peau nouvellement formée remplit en général les mêmes fonctions que la peau environnante. Au bout de quelques semaines, elle a exactement le même aspect que cette dernière.

Une cicatrice peut résulter d’un accident, d’une brûlure, de la suppression de tatouages, de vergetures, d’un accident, d’un accouchement compliqué, de fractures, de césariennes, épisiotomies, commotions, réductions mammaires, implants mammaires, ablations mammaires (mastectomies) ou reconstructions mammaires, opérations diverses suite à des cancers, chirurgie esthétique, gastrectomies, rhinoplasties (nez), abdominoplasties (tablier abdominal), blépharoplastie (paupières), liftings, lipo aspirations,  etc… ou d’un quelconque autre traumatisme.

La cicatrice peut être externe (visible), interne ou les deux.

Original de l’article : ICI  _ Jean-Paul Thouny

Thérapeute énergéticien, formateur – Voiron (Isère) France

Plantes aromatiques qui ne vous veulent que du bien

Aneth, basilic, ciboulette, menthe poivrée, origan, persil, romarin, thym : 8 plantes aromatiques qui, au-delà de donner du goût à vos petits plats, se révèleront être vos partenaires « santé » de ce printemps. Encore faut-il connaître leurs bienfaits et savoir correctement les utiliser. Conseils à suivre !

L’ANETH

Conseils de plantation et entretien 

Que ce soit dans une jardinière ou en pleine terre, l’aneth demande à être plantée dans un sol bien drainé, au soleil, et à l’abri du vent. Espacez les semis de 20 cm environ. Récoltez les feuilles avant la floraison, les graines quand elles commencent à brunir. 

Ses bienfaits 

On dit de l’aneth qu’elle chasse les vents. Elle stimule la digestion, évite les ballonnements, lutte contre le hoquet et les vomissements. Elle se révèle être également un puissant diurétique et un excellent calmant.

Comment l’utiliser

Mâchées, les feuilles soulagent les rages de dents. Une tige infusée dans une tasse d’eau bouillante facilite la digestion, prévient l’insomnie et l’anxiété ; les graines infusées, quant à elles, arrêtent le hoquet. Et pour garder une bonne haleine, il suffit de les croquer.  
 

LE BASILIC

Conseils de plantation et entretien 

Que ce soit en pot ou dans un potager, le basilic aime la terre bien drainée riche en matières organiques et éléments minéraux. Choisissez un endroit très ensoleillé, à l’abri du vent. Taillez-le régulièrement pour éviter la floraison. Sur votre balcon, il s’épanouira dans un pot de deux litres. 

Ses bienfaits 

Les agents antispasmodiques qu’il contient permettent de lutter contre les faiblesses musculaires et l’indigestion. Il peut également soulager les douleurs (maux de tête, dentaires, douleurs menstruelles). Sans oublier qu’il redonne un regain d’énergie et prévient le rhume et la grippe. 

Comment l’utiliser

Ses feuilles ne servent pas uniquement dans la préparation de l’incontournable sauce au pistou. Infusées, elles aident à la digestion et soulagent les maux de gorge. Pour cela, faites bouillir de l’eau avec des feuilles pendant 20 minutes. Filtrez ensuite en pressant le basilic pour récupérer les principes actifs. Attendez que cela refroidisse et gargarisez-vous avec cette décoction. En lotion — 150 gr de feuilles infusées vingt minutes dans un litre d’eau bouillante —, il prévient les chutes de cheveux. 

LA CIBOULETTE

Conseils de plantation et entretien 

La ciboulette s’épanouit aussi bien sur nos balcons que dans les jardins. Choisissez un endroit mi — ombragé. Plantez des semis dans une terre légère — préférablement du terreau. Pour une plantation en pot, il faudra au préalable disposer une couche de 1 ou 2 cm de billes d’argile. Tassez bien le sol. Arrosez peu et désherbez souvent. Le secret ? Taillez-la régulièrement pour favoriser une repousse vigoureuse.

Ses bienfaits 

Elle peut agir sur les taux de glycémie et de cholestérol. C’est un bon aliment antibactérien, un bon cicatrisant, et, en infusion, un excellent laxatif. Elle repousse les scarabées japonais, les mouches de carottes et les pucerons. 

Comment l’utiliser

En lotion, elle purifie les peaux grasses. Portez à ébullition des tiges coupées, puis laissez refroidir. Filtrez. Votre préparation est prête à être utilisée dans les deux semaines. C’est également un bon insecticide naturel.

LA MENTHE POIVREE

Conseils de plantation et entretien 

Choisissez plutôt des plants que des semis, que vous disposerez dans un sol frais et riche, chacun espacé de 50 cm. Attention, elle a tendance à se propager rapidement. Ainsi que ce soit dans une jardinière ou dans un jardin, optez donc pour un grand contenant et taillez-la. N’oubliez pas de l’arroser.

Ses bienfaits 

Elle soulage les spasmes gastro-intestinaux, les symptômes de l’intestin irritable et ceux du rhume. Elle calme les nausées. Dans un jardin, elle repousse les pucerons et les tiques.

Comment l’utiliser

Pour soulager les douleurs, fabriquez un cataplasme en écrasant des feuilles. Ramollissez-les dans un peu d’eau tiède pendant deux minutes puis appliquez cette préparation sur la zone à traiter. La menthe poivrée est souvent utilisée sous forme d’huile essentielle pour le traitement des troubles digestifs ou des maux de tête. Pour la fabriquer, lavez et séchez des feuilles, écrasez-les pour libérer les huiles naturelles. Placez-les dans un récipient hermétique, versez l’huile végétale de votre choix puis refermez. Attendez 24 h. Filtrez l’huile puis ajoutez des feuilles et de l’huile végétale. Répétez cela pendant cinq jours. Filtrez toutes les feuilles et versez l’huile finale obtenue dans des petits flacons hermétiques. Stockez dans un réfrigérateur.

L’origan

Conseils de plantation et entretien 

En godet, privilégiez un mélange terreau/sable. Recouvrez très peu les graines, et maintenez bien au frais jusqu’à la levée. En pleine terre, espacez de 25 cm. Sachez qu’il s’épanouit au soleil, dans un sol léger, sec et calcaire. Il ne demande pas beaucoup d’eau. Binez et sarclez régulièrement.

Ses bienfaits 

Il est reconnu pour ses vertus antalgiques, anti-infectieuses, antiseptiques et antibactériennes. C’est l’ennemi des inflammations des bronches et des problèmes de transits intestinaux. Il se trouve être un stimulant efficace. C’est un véritable répulsif pour les moustiques, les papillons du chou et les chrysomèles du concombre.

Comment l’utiliser

En cataplasme, il soulage les douleurs (rhumatismes, torticolis, courbatures). Pour se faire, disposez 100 grammes de sommités fleuries d’origan dans un linge propre. Placez-le sur le couvercle d’une casserole d’eau bouillante. Une fois que le cataplasme est chaud, appliquez-le sur la zone douloureuse. En inhalation, il calme la toux et favorise l’expectoration. Plongez 25 grammes de feuilles dans 50 cl d’eau très chaude durant dix minutes puis respirez au-dessus de l’infusion durant au moins cinq minutes et ce, plusieurs fois par jour. Boire une infusion, deux à trois fois par jour permet également d’atténuer les coliques, les spasmes œsophagiens et les douleurs menstruelles. 

LE PERSIL

Conseils de plantation et entretien 

Il prospère dans tous les sols. Dans un pot, disposé à l’ombre légère, il s’épanouira d’autant mieux dans un mélange composé de ¾ terreau et ¼ de terre franche (sable, argile, humus, calcaire, limon). Recouvrez les graines d’un ou deux centimètres de terreau. Quand quatre ou cinq feuilles apparaissent, éclaircissez-les à 7-10 cm. Maintenez le sol humide. Astuce : pour améliorer le pouvoir germinatif, laissez-les tremper 24 h dans de l’eau avant de les semer.

Ses bienfaits 

Non seulement il a un pouvoir diurétique et facilite la digestion, mais il redonne de l’énergie. 

Comment l’utiliser

En lotion, il éclaircit le teint et atténue les taches brunes. Mettez deux cuillères à café de feuilles hachées dans de deux litres d’eau bouillante. Baissez à feux doux pendant quinze minutes. Après avoir laissé refroidir, versez une cuillère à café de jus de citron. Votre mélange se conserve au frigidaire. Les feuilles écrasées et frottées apaisent les piqures de moustiques. En infusion, il atténue les troubles digestifs.

LE ROMARIN

Comment l’utiliser

Contre les ballonnements et les troubles du foie, buvez trois tasses de décoction de romarin, si possible avant les repas. Il suffit de faire infuser 2 cuillères à café de feuilles avec 500 ml d’eau. Contre le torticolis, les douleurs de l’arthrite et de l’arthrose, concoctez un cataplasme. Cuisez des feuilles de romarin avec du vin une dizaine de minutes. Disposez les feuilles encore chaudes dans une compresse, puis appliquez-la sur la zone à traiter. Sachez également que les branches de romarin infusées préviennent la chute des cheveux et aident au démêlage.

LE THYM

Conseils de plantation et entretien 

Sur un balcon, placez votre thym dans un endroit très ensoleillé. Vous l’aurez préalablement planté dans un terreau. Au jardin, il apprécie les terres bien drainées, et les sols un peu lourds. N’hésitez donc pas à ajouter du sable ou des graviers. Il ne demande pas beaucoup d’arrosage. 

Ses bienfaits 

Il soulage bon nombre de pathologies respiratoires (toux, bronchite, pleurésie, asthme…) Il s’avère être un bon antiseptique et antifongique (inflammations de la bouche) et il soulage les dérèglements intestinaux, et les affections ostéo-articulaires (rhumatismes, l’arthrose). Il améliore la santé de la peau. Il calme l’herpès, les mycoses, les zonas ou les plaies.

Comment l’utiliser

Pour fortifier les cheveux, réalisez la décoction suivante : 100 grammes de thym dans un litre d’eau froide. Portez-là à ébullition. Laissez mijoter 10 à 20 min. Lorsque le mélange est réduit de moitié, laissez refroidir, filtrez. Pour avoir une chevelure brillante, ajoutez-y deux cuillères à soupe de vinaigre de cidre. En cas de problèmes digestifs, buvez une tisane — 1 cuillère à café de thym pour 150 ml d’eau — après les repas.

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JE DÉCOUVRE LEURS BIENFAITS

Le corps, gardien des mémoires cellulaires

Notre corps serait le fidèle gardien des souvenirs enfouis qui ont balisé notre existence, notre naissance, voire des expériences de nos parents et de nos ancêtres. « À notre insu, le corps porte dans nos cellules notre mémoire, qui va résonner avec régularité au fil du temps », a pu observer la psychothérapeute Myriam Brousse, pétillante octogénaire soutenant l’existence d’une mémoire corporelle inconsciente, dite « cellulaire ». Sous l’influence de stimuli subtils (des stress ou des événements en lien avec le choc initial), ces mémoires « réactivées » entraînent des comportements inadaptés et parfois des pathologies, comme des maux de dos, des migraines épouvantables, ou de profondes dépressions.


Cette découverte a pour origine la déclaration d’un cancer des ovaires, à l’aube de ses quarante ans, qui va bouleverser sa vie. C’est à l’issue d’un voyage au bout de son corps jusqu’aux confins de la souffrance et de plusieurs rencontres qu’une nouvelle compréhension émerge, éclairée par les travaux de Mère et de Sri Aurobindo. Il y a tout d’abord celle d’un maître tibétain, puis d’une mathématicienne, artiste peintre, pianiste et pionnière des réflexions sur la mémoire cellulaire, et enfin d’un maître indien, philosophe et adepte du yoga intégral. Selon eux, pour se libérer, il faut descendre dans le corps, lui redonner la parole, l’écouter, même si c’est souvent éprouvant…

Il s’agit de recontacter la blessure originelle pour l’accepter et la transformer, dans un choix conscient, grâce à des outils spécifiques de la méthode, comme la grille de vie et la biorésonance cellulaire. Ainsi, nous pouvons nous libérer des répétitions et tracer en conscience notre chemin de vie. Avec bienveillance, assurance et une profonde douceur, Myriam Brousse nous convie à un long voyage intérieur qui va nous demander courage et détermination, pour accéder enfin à notre projet-sens, celui de notre âme.

Votre approche est fondée sur l’existence des mémoires du corps. Et si nous retournions au point de départ : quelle a été l’origine de vos recherches ?


C’est à l’issue d’une très grave maladie, vers 39-40 ans, que j’ai pu entamer un chemin de guérison par un travail précisément dans le corps. J’ai été guidée par mon maître tibétain, pionnier à l’époque des travaux sur la mémoire cellulaire, pour aller plus loin dans le corps, là où était la partie souffrante, la programmation du cancer. Il tirait son enseignement des travaux de Sri Aurobindo et de Mère. Bien avant les découvertes sur l’ADN, Mère, Mirra Alfassa de son vrai nom (Paris 1878 – Inde 1973) s’interrogeait déjà sur cette mémoire cellulaire vibratoire qui garde l’empreinte de toutes nos expériences passées. L’une de ses phrases a toujours guidé mes propres recherches : « Le passage est dans le corps ! »

Comment définiriez-vous cette notion de mémoire cellulaire ?


La mémoire cellulaire contient les informations qui sont inscrites dans la cellule du corps, à l’insu du mental, qui lui n’y a pas accès. Notre corps engramme tout ; en lui sont contenues toutes nos pensées, nos empreintes de l’âme. Il nous livre avec exactitude notre histoire biologique et terrestre. C’est notre bibliothèque, comme l’affirmait Mère. C’est-à-dire qu’il garde en mémoire également les histoires de nos parents, et celles de nos ancêtres. Du point de vue cellulaire, le corps est cet incroyable réceptacle.

Ainsi, vous remontez même aux mémoires intra-utérines. Qu’est-ce que le corps mémorise ?


Pour commencer, la mémoire du corps contient ce que j’appelle « la descente en incarnation », qui tient compte du père et de la mère. Le ventre de la mère, qui accueille l’enfant, contient la mémoire de l’acte sexuel des parents lors de la conception. Comment cet acte sexuel a-t-il été produit ? Est-ce qu’il a été plein d’amour, subi, dans le plaisir, ou violent ? Et l’enfant, l’être est marqué par cette empreinte. Elle est précisément ce qu’il est venu travailler…


C’est la fameuse empreinte fœtale ?


Tout à fait ! À laquelle vont s’ajouter les différents événements qui auront lieu pendant les neuf mois de la gestation. Toute notre vie fœtale est inscrite dans nos cellules. Et puis après, il y a la naissance, ce passage. Là aussi, son déroulement laisse une empreinte. Une naissance longue, les forceps, le cordon autour du cou, une césarienne, ou une naissance naturelle et facile. Tout s’imprime dans le corps, dans la matière du corps.

Extrait du Magazine INEXPLORE 2021

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