LA NOURRITURE ASTRALE MULTIDIMENSIONNELLE

 L’ART MATÉRIEL OU SPIRITUEL

L’alimentation multidimensionnelle en lien avec la nourriture que nous avons besoin de recevoir est non pas uniquement dans notre corps physique, mais dans chacune des dimensions fondamentales de notre Être.

Soit, donc 7 grandes catégories : la nourriture physique (l’activité), la nourriture éthérique (la vitalité ou la sexualité), la nourriture astrale (l’émotivité), la nourriture mentale (la pensée), la nourriture causale (la volonté ou la créativité), la nourriture psychique (l’amour) et la nourriture atmique (l’intuition).

ICI donc, nous parleront de la Nourriture Astrale  – (L’art Matériel ou Spirituel)

L’art est un moyen d’expression de nos émotions. L’art exprime aussi nos autres dimensions de vie: la sexualité, la pensée, la volonté, l’amour et l’intelligence universelle. Mais actuellement dans notre société, l’art exprime en grande partie nos émotions. Ainsi, pratiquer une forme d’art ou admirer une forme d’art nourrit notre corps d’émotions, notre corps astral.

Plus l’art est harmonieux et intelligent, plus il nourrira sainement notre corps d’émotions et nous allégera, plus l’art est dysharmonieux et ignorant, plus il polluera notre corps d’émotions et alourdira nos vibrations. Observez l’effet que produit en vous l’écoute de certaines musiques, certains films, certains spectacles… et vous découvrirez la qualité des émotions qui nourrissent votre corps.

Observez comment vous vous sentez en faisant certains dessins, certaines peintures ou sculptures, certaines photos ou certains vidéos et vous découvrirez comment votre art vous nourrit.

Observez ce que vous ressentez en chantant, en écrivant un roman, un poème, un journal personnel, et vous découvrirez à nouveau la nourriture qui vous remplit ou vous appauvrit.

En résumé, l’art de type plus matériel attire notre conscience vers une admiration des dimensions les plus denses : corporelle, sexuelle et émotionnelle. L’art plus spirituel attire notre conscience vers une admiration des dimensions les plus subtiles : intellectuelle, créative, amoureuse et intuitive. Les deux types d’art ont leur place et nous font nous découvrir dans des facettes plus denses ou plus subtiles de nous-mêmes. L’art peut nous élever vers le ciel ou nous rapprocher des enfers. Il est puissant, comme un cheval volant, et c’est à nous d’embarquer ou non sur ce cheval, pour prendre telle ou telle autre direction…

Vous pouvez partager ce texte à condition d’en respecter l’intégralité et de citer la source de Francesca : A l’ère de la Multidimensionnalité

Des moments de pleine vie


La lucidité terminale, dernière fenêtre sur la vie, offre des moments extrêmement forts et signifiants. « Le message à faire passer est qu’il s’agit de vivre pleinement cet épisode ; de profiter des uns et des autres uniquement sur cet instant-là. Être ouvert à ce phénomène permet de ne pas le confondre avec une rémission, une guérison, et de pouvoir “dialoguer” le deuil, la mort, afin de mieux les vivre », conseille Maryne Mutis.

Au regard des témoignages recueillis, la balance penche vers l’aide au processus de deuil plutôt que vers la complication traumatique. « Le pivot entre ces deux perceptions de la lucidité terminale est la communication. D’où la nécessité de parler de ce phénomène. »

Ce qui est vrai pour l’entourage l’est aussi pour les équipes soignantes. Encore peu documentée scientifiquement, la lucidité terminale engendre souvent malaise et tabou. Une étude menée dans les hôpitaux argentins démontre ainsi que les soignants ayant à faire face à des expériences qui ne s’expliquent pas présentent en moyenne un niveau de stress plus élevé(2). « Il est essentiel de développer des formations autour de ces phénomènes qui jalonnent la fin de vie », souligne Maryne Mutis, contactée dans ce sens suite à sa thèse (toujours en cours).

Cas de conscience


Au-delà d’être un repère informel d’une fin de vie imminente, la lucidité terminale soulève des questionnements fondamentaux, en suggérant que « derrière la maladie et les dysfonctionnements, la personne et sa conscience seraient toujours présentes et intactes, mais seulement dissimulées et inaccessibles », comme le souligne Michael Nahm. Ce qui vient remettre en cause les représentations des soignants et des proches quant aux personnes lourdement atteintes dans leurs capacités motrices et/ou cognitives, au risque d’un désinvestissement dans le soin, cantonné aux besoins fondamentaux… Ce sursaut de conscience vient par ailleurs questionner la survie de l’âme. « Les recherches menées sur la lucidité terminale n’apportent pas de réponse à ce stade mais alimentent ce questionnement. Car si l’âme, l’esprit, se cantonne au cerveau, comment expliquer ce phénomène de lucidité terminale ? », interpelle Maryne Mutis. D’autant que les témoignages attestant de ce phénomène proviennent de personnes croyantes, agnostiques, athées, voire sceptiques.

Tandis qu’elle déserte le corps, la vie bouillonne sur d’autres plans.

Entre faux espoir et deuil créateur


Les travaux menés par Maryne Mutis, en collaboration avec d’autres chercheurs, pointent le paradoxe de la lucidité terminale. Cette expérience peut en effet aider au processus du deuil, tout comme elle peut le compliquer. Versant positif, elle permet de retrouver le malade dans un meilleur état de santé, rendant un échange possible. « Cette occasion d’engager une dernière fois des interactions positives favoriserait la reconnaissance et l’acceptation de la mort, et ainsi le travail du deuil pour les familles », relève Maryne Mutis.

Une recherche effectuée auprès de veufs togolais montre que les adieux contribuent au « deuil créateur », conférant un sens existentiel à la mort. Cependant, il existe également un risque de complication du deuil, marqué par le coup de tonnerre d’une bouffée d’espoir qui vient rompre ce continuum de la fin de vie, alors que l’entourage s’était préparé à la disparition. Maryne Mutis évoque cette différence possible de vécu au travers d’un cas emblématique. Atteinte d’un cancer du foie, cette patiente d’une soixantaine d’années était dans le coma, après une encéphalopathie toxique. Ses proches se préparaient à sa mort, quand elle est soudainement sortie de cet état d’inconscience. Sa belle-fille, Anouck, proche d’elle, a eu la surprise de la retrouver en pleine forme, assise dans le lit, en train de discuter avec son fils, Cédric (compagnon d’Anouck).

Après une phase d’étonnement et d’espoir, Anouck a vite compris qu’il ne s’agissait pas d’une guérison miracle. Elle a alors pu profiter de ces derniers instants pour échanger sereinement avec sa belle-mère sur leur relation, sur la mort, sur la vie, sur les petits-enfants. Tandis que cela a été un choc pour Cédric, convaincu de la guérison de sa mère. Cette dernière sentait qu’elle allait mourir, mais n’osait pas le dire à son fils émotionnellement fragile. Malgré les mises en garde d’Anouck, il a cru au miracle. Quand sa mère est morte, cela a été l’effondrement, avec l’impression d’avoir vécu deux décès. D’où un deuil difficile.

Le corps décline, la conscience croît. Brusque regain d’énergie au seuil de la mort, la lucidité terminale demeure une énigme médicale. Accueillir ce rebondissement inattendu permet de mieux l’accompagner et de vivre pleinement ce passage. À la vie, à la mort.

 « Tâchons d’entrer dans la mort les yeux ouverts », conseillait Marguerite Yourcenar. Et si, au crépuscule de la vie, existait un possible éveil, éclairé par la lucidité terminale ?

« David ne répondait plus à aucune sollicitation. Pour moi, c’est comme s’il n’était déjà plus là. Ce vendredi, je me sentais mal à l’aise lors de ma visite, dans cette chambre aux côtés de sa famille en larmes… Le lendemain, le lit était vide. Dans le couloir, je fus interpellé par une infirmière.

Elle me confia que David s’était réveillé après mon départ, comme s’il n’était plus malade. Un miracle. Pendant près de cinq minutes, il avait fait ses adieux à sa famille, souriant, et les avait serrés contre lui, avant de plonger de nouveau dans un état comateux et de décéder dans l’heure », confiait le Dr Scott Haig au Time Magazine, témoignant de cette lumineuse percée au cœur des derniers instants de ce patient atteint d’un cancer en phase terminale. Ces fulgurances, marquées par une soudaine diminution des symptômes ou un regain d’énergie, sont relatées depuis l’Antiquité.

SOURCE : NEW LETTER –  Cet article vous intéresse ?  Retrouvez-le en intégralité dans Inexploré n°50 

Article repris par Francesca sur et le site :  https://medecinehistorique.wordpress.com/

Guérir des mauvaises pensées

Exercices proposés par Peter Deunov issu de ses livres….

Toutes choses dans la Nature sont le reflet de la vie Divine, qui vit en nous. Le reflet montre une image, qui vient de l’extérieur. Cette image n’est pas ta création, mais elle est étrangère. S’il vient en toi une joie, elle ne vient pas de toi, elle n’est pas ta création. La pensée en tant quelle, circule et s’arrête pour peu de temps en toi. Les bonnes idées sont en mouvement et s’arrêtent sur de différents lieux, la où il leur est déterminé. Chaque station porte son nom – la station c’est vous.

Tenez toujours votre cerveau dans un état normal. Vous allez me demander quel est l’état normal. L’état normal se trouve toujours entre deux extrémités, donc il est au milieu. Comment trouver le milieu ? Imaginez qu’on vous donné une sécante, a laquelle on vous demande de trouver le milieu. Vous allez trouver le milieu, lorsque vous mettez des arcs des deux cotés, avec l’aide d’un compas. Du point où se croisent les deux arcs, vous allez abaisser une perpendiculaire sur la sécante et ce point en question sera son milieu. Vous pouvez faire de même avec vos pensées. Les mauvaises idées existent dans le monde, pour endurcir votre volonté, ainsi donc nous pouvons les neutraliser à l’instant.

Je vais vous donner pour deux, trois mois, le travail et les essais suivants: 

Premièrement, inscrivez sur un cahier chaque bonne idée, qui soit importante ou celle qui est mauvaise. Vous allez suivre l’heure de l’arrivée de la bonne ou de la mauvaise idée, ou du désir et lorsqu’ ils disparaissent, vous allez inscrire l’heure de leur départ.

Deuxièmement, lorsqu’ ils vous surviennent de mauvaises pensées ou désirs, vous allez essayer de les transformer en bonnes idées et désirs. C’ est pourquoi vous allez retourner deux mille ans en arrière, pour imaginer le mariage que Jésus a vécu avec ses disciples. Vous allez imaginez la maison, dans laquelle il s’est passé, ainsi que les invités et les jeunes mariés. Tachez de définir ou était placé Christ, a quelle place étaient Ses disciples, mais tachez de ne pas vous faire des illusions, mais de tracer quelque chose a peu près vraisemblable dans votre imagination. Ainsi donc, vous allez photographier le mariage entier, en imaginant la place du marié, votre place, etc. Le Christ vous allez le mettre dans votre coeur, Ses disciples – dans votre esprit; le marié dans votre esprit, la mariée – dans votre cœur. La mariée et le marié doivent être séparés l’un de l’autre, car dans le monde Spirituel deux personnes dans une même chambre ne peuvent pas vivre.

Tandis qu’ici, plusieurs personnes habitent la même chambre, c’ est pourquoi ils se disputent. Voila pourquoi à l’autre monde, il n’ y a pas de conditions de péché. Tandis que dans ce monde quelqu’ un vient vous visiter et il reste, sans se rendre compte, qu’il vous dérange, a la suite de quoi vous êtes obliger de le mentir. Laissez ces méthodes anciennes, car tant que vous y tenez, vous ne pouvez pas devenir des élèves. Si vous pouvez imaginer une telle image, vous allez vous rafraîchir, vous allez être prêts à lutter avec les difficultés de ce monde, beaucoup de philosophies vont s’éclaircir et les vibrations de votre esprit vont s’élever. Cette imagination de l’image a aussi une influence sur la santé. Vous devez savoir, que le Bien s’apprend qu’au mariage et le mal – à la querelle.

Troisièmement, posez-vous la question pourquoi en vous existent de bonnes et de mauvaises idées et désirs, pourquoi vous appréciez certains plus, d’autres – moins, pourquoi vous aimez certains, d’ autres – pas, pourquoi certains vous sont sympathiques, d’ autres – non. Vous allez dire que c’est à cause du karma. Oui, mais le karma ne suffit pas d’expliquer tout, car il existe dans ce cas plusieurs raisons. Quand vous êtes mal disposés, vous réfléchissez sur la raison de cette situation. Rappelez-vous la maison, que vous avez visitée, combien de temps vous y avez passé et en sortant de quelle maison, vous vous êtes trouvés dans cet état. Expliquez-vous pourquoi en sortant de certaine maison, vous êtes mal disposés. Expliquez-vous pourquoi parfois, en rentrant chez vous ce sentiment revient et voyez de quel coté il vous arrive, du nord, du sud, de l’est ou de l’ouest. En trouvant la raison de ce disconfort, ne vous enragez pas contre l’homme qui l’a provoqué, mais changez plutôt sa direction. Un de vos amis, vous demande de lui prêter de l’argent en condition, qu’il vous le rendra dans dix jours, or il ne vient pas vous le rendre; ne lui en voulez pas.

Lorsque vous êtes en bonne humeur, vous devez savoir garder l’énergie en vous. C’est une science importante de contenir l’énergie des bonnes pensées et désirs.

Quatrièmement, chaque soir, quand vous vous mettez au lit, vous allez utiliser dix ou quinze minutes, pour réfléchir sur vos activités de la journée. Vous allez le faire objectivement. Vous allez en tirer le mal, pour pouvoir l’éviter une prochaine fois. Au jour suivant, vous allez prier : « Aide-moi, mon Dieu, de savoir éviter les mauvais actes et de faire les bons, que le jour passé j’ai manqué de faire ! » Vous allez observer votre Vie, comme le peintre regarde sa peinture, sans juger de vous-mêmes. Si on ne réussit pas dans la Vie, c’est parce qu’on se croit stupides, pécheurs, etc. Tu n’es ni bon, ni mauvais, mais tu dois allez au mariage et travailler. Si vos enfants font du bruit dans la maison, souvenez-vous qu’ils ont été aussi au mariage. De cette façon, vous allez pouvoir a un certain degrés – cinquante ou soixante-quinze pour cent – changer le disconfort de votre mari ou celui de vos enfants. Ces exercices pourront endurcir votre bonne volonté.

Moi Peter Deunov, je vais petit a petit vous expliquer toutes les formes, par lesquelles les pensées et les désirs fonctionnent, par lesquelles on forme les sociétés, les foyers, la culture et les raisons, pour lesquelles naissent de bons et de mauvais enfants. Quand vous allez vieillir, vos enfants vont réaliser tout ceci. Le mot jeunesse est formé de la racine mahatadi, ce qui signifie la transformation du principe Divin dans une forme humaine, c’est-à-dire le renouvellement de la vieille vie. Quand on devient vieux, nous n’écoutons pas Dieu, nous sommes mécontents, nous boudons et nous disons, qu’on ne trouve rien dans le monde. Moi, je sais, qu’il faut agir au moment – même, dans lequel Dieu s’exprime, quand Dieu réfléchit, et de sentir, quand Dieu ressent.

Uns des exercices que vous allez faire le matin, les autres – le soir, car le matin vous êtes positifs, et le soir vous êtes négatifs. C’ est pourquoi, quand le Soleil se couche, les gens sont tristes. Voila pourquoi, quand un homme veut devenir humble, il doit prier le soir; quand il veut devenir compatissant, il doit prier le matin.

L’énergie de la Terre, le matin est positive, et le soir, elle est négative.

La même chose se passe avec l’homme. C’ est pourquoi, le chanteur de psaumes dit, que la Joie arrive le matin. La joie est une énergie positive, et la peine – négative. Le bien est une énergie positive, le mal – négative. Si une élève soit faible, elle va prier ses camarades de l’aider. Lorsque vous dites que vous avez de mauvaises conditions, je comprends par là, que vous manquez de livre. Celui, qui veut apprendre, ne peut pas dire, qu’il manque de conditions, qu’il manque de temps – vous avez au moins cinq minutes a votre disposition. Quand vous commencez de faire les exercices, ne vous mettez pas à croire que vous ne pouvez pas y réussir. Moi, je n’attends pas de vous, de faire une belle peinture. Vous pouvez faire des taches, mais continuer de travailler. 

Les exercices d’exemple pour le mariage, vous allez les faire trois fois par semaine, et ce le matin – dimanche, mardi et vendredi. Les exercices du comptage que vous allez faire pour votre conduite de la journée, vous allez faire chaque soir avant de vous mettre au lit. Chez nous, en premier on met l’Esprit, puis le coeur, ensuite la volonté, mais au début c’était la volonté qui agissait, puis – le désir et à la fin – l’Esprit. Dieu par Sa volonté nous inspire, à la suite de quoi notre pensée commence à agir, ensuite agit notre cœur, et enfin – la volonté.

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Les tisanes pour une meilleure santé

À en croire des statistiques récentes, près de 30 % de la population française souffriraient de troubles du sommeil, dont 10 % d’insomnies sévères. Tomber dans les bras de Morphée ne va donc pas toujours de soi, même si la fatigue est bien là. Les nuits peuvent devenir, si l’on n’y prend garde, de véritables sources d’angoisse. Avant d’en arriver là, quelques astuces sont cependant applicables…

Selon le docteur Sylvie Royant-Parola, auteure de « Comment retrouver le sommeil par soi-même », la première cause d’insomnie est liée au psychisme. Ainsi, beaucoup de sujets éprouvent des difficultés à lâcher prise le soir venu sur les événements diurnes. Par ailleurs, le nombre d’heures de sommeil dont chacun a besoin diffère d’un individu à l’autre. C’est donc la qualité du sommeil qui importe, plutôt que la quantité.

Les erreurs à éviter


Pour dormir mieux, les spécialistes préconisent de faire de la chambre à coucher un lieu où le monde extérieur ne devrait pas venir interférer. Si l’on a du mal à s’endormir, il est donc déconseillé de laisser dans la pièce un poste de télévision, chose très courante aujourd’hui. Idem en ce qui concerne l’ordinateur portable ou l’iPad. Il s’agit de se mettre dans les meilleures conditions pour se retirer du monde. En outre, il faut veiller à ne pas trop manger avant de se coucher. Les sucres lents – en portion raisonnable – tels que les pâtes, les pommes de terre ou le riz – sont à privilégier car ils ont un léger effet somnifère. Parmi les plantes apaisantes qu’il serait bon d’essayer sous forme de tisanes, pensons à l’aubépine, excellente pour le muscle cardiaque et favorisant l’endormissement. Quant à la valériane, elle est appelée par certains la plante des mille et une nuits. À ne pas oublier aussi la passiflore, efficace contre l’anxiété, et le millepertuis, véritable antidépresseur naturel.

Les huiles essentielles


L’aromathérapie propose un large panel d’huiles essentielles favorables à un superbe sommeil : l’oliban, la rose, le néroli ou encore la fleur d’oranger ont la propriété de stimuler la glande pinéale dans le sens d’un apaisement des tensions. Les spécialistes conseillent également, lorsque cela ne suffit pas, de verser 2 gouttes d’huile essentielle de ravensare ou de marjolaine dans une cuillère de miel au dîner et au coucher. Une autre recette consiste à se masser le plexus solaire avec de l’huile essentielle de bigaradier, diluée au préalable dans de l’huile végétale. Essayez également de diffuser dans la pièce où vous dormez de la lavande pendant 15 minutes avant d’aller au lit et de verser 2 gouttes de cette même lavande sur votre oreiller.

Les tisanes santé
 

LES TISANES :

Boisson concoctée à partir de l’infusion de feuilles, de graines, de racines ou d’écorces, la tisane constitue non seulement une véritable médication contre certains troubles mais renoue, le temps de son ingestion, avec une certaine sensibilité. « Des tisanes d’herbes toutes fleuries et qui descendaient en moi, chaudes, parfumées » égrène le poète Jean Giono…

Voici quelques échantillons de ces boissons naturelles, accompagnées de leurs propriétés bienfaitrices…

La menthe poivrée, originaire du Moyen-Orient, est généralement recommandée pour traiter les gaz abdominaux. Elle convient surtout à la saison estivale grâce à ses vertus hydratantes.

Le gingembre favorise la digestion, combat la nausée et le mal des transports.

La camomille possède des vertus calmantes qui la rendent efficace en cas d’insomnies mais aussi pour calmer la toux.

Le rooibos est une plante cultivée en Afrique du Sud, bien connue pour ses propriétés antioxydantes et sa forte teneur en vitamine C. D’une saveur très agréable, elle ralentit les effets du vieillissement et participe à la résolution d’affections cutanées comme l’eczéma.

La mélisse, à laquelle on peut rajouter du sirop d’érable, constitue un excellent remède pour combattre l’anxiété. Les naturopathes la conseillent aux enfants sujets aux cauchemars.

Le pissenlit contribue à nettoyer le foie.

L’églantier fortifie l’organisme.

La chicorée purifie la peau. Seule ou associée à d’autres plantes, elle se révèle idéale en cure printanière.

La passiflore calme le système nerveux.

La bardane, plante diurétique par excellence, élimine les toxines.

La marjolaine stimule l’appétit et combat le rhume.

La reine des prés soulage les douleurs et favorise l’élimination de la cellulite. Elle possède en outre de puissantes vertus anti-inflammatoires et s’avère une aide précieuse pour perdre quelques kilos.

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Maladie – rituel – guérison

Quand les anciens chamans donnaient une plante médicinale à une personne pour traiter une discordance dans son corps, cela s’accompagnait habituellement d’un rituel.

Aujourd’hui, vous diriez sans doute qu’ils récitaient en même temps une prière. Les méthodes de guérison spirituelle que vous connaissez dérivent de ces anciennes pratiques. Le fait de combiner paroles, rituel et énergie durant la prise de plantes médicinales créait une connexion interdimensionnelle entre ces dernières et la personne. Il en résultait une harmonie énergétique entre la substance ingéré et le corps physique.

Lorsque vous absorbez un médicament mis au point dans un laboratoire, non seulement aucune conscience interdimensionnelle n’a participé au développement de cette substance chimique, mais il n’y a pas eu non plus de rituel, d’énergie du cœur ou de connexion avec l’esprit. Le médicament conçu en laboratoire et fabriqué ensuite de manière industrielle n’a aucun lien avec l’énergie de guérison.

Malheureusement, les substances chimiques fabriquées par votre industrie pharmaceutique ne possèdent que très peu d‘énergie de guérison. l’énergie entourant ces produits est avant tout marquée par un désir de profit. Il va de soi que les scientifiques qui travaillent en développent de ces composés chimiques sont avant tout motivés par le souci de favoriser la guérison des gens. C’est à l’étape de production à grande échelle du médicament que disparaît la priorité accordée à la guérison. Autrement dit, l’énergie de guérison qui imprégnait la phase de création du médicament est perdue à la phase de fabrication en usine, où n’existe aucune conscience de l’énergie de guérison.

Votre corps répondrait mieux aux médicaments si une telle énergie curative entourait les substances chimiques créées en laboratoire.

Si vous jugez nécessaire de prendre un médicament, gardez-le d’abord quelques instants dans vos mains et visualisez ses propriétés curative. Puis, dites à votre corps que vous êtes sur le point d’avaler ce médicament et expliquez-lui que certains aspects de cette substance vont l’aider à retrouver son équilibre, même s’il y en a d’autres qui risquent de le perturber. Vous appelez ces autres aspects, des effets secondaires. Demandez à votre corps de simplement se libérer de tout élément chimique pouvant occasionner un quelconque dérèglement.

Lorsque vous prenez un médicament, vous êtes habituellement persuadé qu’il va contribuer à éliminer tout déséquilibre affectant votre corps. Ce dernier recevra donc le message que l’ensemble du composé chimique qu’il va recevoir apportera la guérison, et il l’absorbera en entier. Par contre, en l’informant que certains éléments de ce composé chimique pourraient ne pas lui être salutaires, vous éveillez son attention au fait que ce dernier contient possiblement quelque chose de nocif. Ainsi, il sera à même de choisir de ne pas absorber ces éléments nocifs

Ce même processus pourrait s’avérer bénéfique à l’égard de tout ce que vous ingérez.

Lorsque vous prenez un remède à base de plantes médicinales ou un médicament homéopathique, tenez quelques instants cette substance dans vos mains, envoyez-lui de l’énergie du cœur, remerciez-la pour ce qu’elle va accomplir en vous, prévenez votre corps de ce qu’il va recevoir et informez-le de ce que cela est censé faire, y compris tous les effets secondaires possibles. En procédant de la sorte, vous tenez compte de la réalité interdimensionnelle de cette substance et de votre corps. Faites la même chose avec toute nourriture ou toute boisson. Tel qu’il a été mentionne plus haut, la plupart de vos aliments et de vos boissons comportent des éléments chimiques de synthèse susceptibles de perturber votre organisme.

A MEDITER : En ces temps dit « modernes », du fait qu’il y a dans l’environnement tellement de produits chimiques qui n’ont rien de naturel, il est difficile de conserver une santé équilibrée. Il est devenu impossible de trouver des aliments, ou de l’eau, qui ne contiennent aucune trace de produits chimiques. Même la nourriture provenant de régions sauvages, ou l’eau résultant de la font des glaciers, renferme des produits chimiques synthétiques. Notre corps n’a pas été créé pour assimiler ces produits chimiques conçus en laboratoire. Il l’a été pour être en équilibre avec la Terre telle qu’elle a naturellement évolué, non telle que l’humanité tente de la modifier.

LES ENERGIES de KRYEON / AU-DELA DU VOILE…

 Sur le blog de Francesca http://francesca1.unblog.fr/        

La personne est un individu

Dans un monde de plus en plus standardisé, nous affirmons notre identité en défendant notre individualité. Devant les forces impersonnelles et déshumanisantes qui nous menacent d’anonymat, nous réagissons en disant : je ne suis pas un numéro, mais je suis une personne ! Or ce sursaut d’humanité nous met sur le chemin de la personne.

En effet, dire que je suis une personne, et non pas seulement que je suis un homme, focalise l’attention sur l’individualité qui est la mienne. À l’inverse, s’en tenir au fait que je sois un homme pourrait avoir pour effet de gommer ce que mon existence a d’unique : le risque serait alors de ne voir, dans l’homme que je suis, qu’un exemplaire d’une espèce, l’espèce humaine. Et si je ne suis qu’un représentant d’une espèce, à côté de milliards d’autres, qu’est-ce qui fait de moi un être irremplaçable ?

Toute personne est un individu, mais l’inverse n’est pas vrai, car tout individu n’est pas une personne ! Certes, il est indéniable que l’homme existe toujours de manière individuelle : on ne rencontre jamais l’humanité, car ce sont toujours des hommes individuels que l’on rencontre. Mais on ne peut pour autant réduire l’homme à l’individu, car, alors, je ne dis rien qui le distingue comme homme, s’il est vrai qu’un frigidaire aussi est un individu ! Raison pour laquelle le concept de personne est nécessaire : il permet de désigner l’homme comme un individu qui n’est pas de n’importe quelle espèce, mais qui est d’une espèce déterminée.

Or qu’est-ce qui fait la spécificité et la dignité de l’homme ? C’est la pensée, impliquant les capacités de parler, de chercher et de trouver un sens, de se rapporter au bien et au mal, etc., même si ces capacités peuvent parfois être en devenir (la vie à ses débuts) ou diminuées (la fin de vie). De ce point de vue, un animal ne pense pas (un animal ne se pose manifestement pas la question de l’origine de l’univers), pas plus qu’une machine (on n’a jamais vu une machine chercher le sens de ce qu’elle fait). L’homme n’est donc pas seulement un individu, mais c’est une personne, car c’est un individu d’une nature déterminée, un individu qui possède la rationalité. La première définition de la personne qui est apparue dans l’histoire est du reste celle-ci : la personne est un individu de nature rationnelle, et c’est pour cela qu’être une personne est une dignité. Par conséquent, personne et individu ne sont pas interchangeables.

Mais il existe une troisième dimension de la nature humaine, en plus de la rationalité et de la liberté, que la personne exprime tout spécialement : la relation aux autres. Si je me contente de voir dans l’homme un homme, j’envisage sa relation à autrui de manière très abstraite : j’affirme simplement qu’il a en commun avec n’importe quel autre homme d’être, comme lui, un homme. Quand je conçois l’homme comme un individu, je le conçois tout simplement abstraction faite de ses relations à autrui : c’est une unité fermée sur elle-même, une monade, alors que, dans la réalité, l’homme existe et vit en relation avec d’autres hommes. Mais quand je conçois l’homme comme une personne, j’inclus, dans le regard que je porte sur lui, le tissu de relations concrètes dans lequel chacun se trouve inséré. Cette composante de la relation est pour ainsi dire dans l’ADN historique du terme même de personne : la personne, dans le théâtre antique, était le rôle bien identifié joué par un acteur, le masque qu’il porte et qui le fait reconnaître comme jouant un personnage précis.

Or la personne comme acteur de théâtre n’est pas seule sur scène : la pièce de théâtre dont vient notre terme même de « personne » n’est pas un one-man-show, mais c’est une pièce qui comprend plusieurs acteurs, plusieurs rôles, qui forment une intrigue ayant cohérence et unité. Autant dire qu’il appartient à l’être même de la personne de ne pas être seule sur scène, mais d’agir de manière coordonnée avec d’autres personnes. La personne émerge donc sur fond de relations interpersonnelles.

Cela se voit aussi dans l’emploi grammatical du terme, lui aussi très ancien : la personne, qu’il s’agisse de la 1ère, de la 2ème ou de la 3ème, se définit toujours en relation avec les autres, avec plusieurs personnes. L’origine dramaturgique et l’origine grammaticale de la notion de personne indiquent qu’il est essentiel d’envisager l’homme dans sa relation aux autres : l’homme prend à juste titre le nom de « personne », car il est constitutif de la personne de viser une forme d’union ou de communion avec d’autres personnes.

EXTRAIT SOURCE : Cahiers Pro Persona – 3 https://www.propersona.fr/wp-content/uploads/2017/09/ProPersona_ANTHROPO_04_WEB_V2.pdf

La première dentition, les dents de lait

il suffira d’utiliser les méthodes adéquates pour en avoir la preuve anatomique, physiologique, au plan de la science de l’esprit, c’est un fait d’évidence — les premières dents, donc, proviennent plutôt de l’organisation-tête, alors que c’est l’être humain global qui contribue à l’apparition de la seconde dentition. Les dents formées à partir de la tête sont rejetées. C’est l’organisme « non tête » qui édifie la seconde dentition. La dentition de lait et la seconde dentition constituent respectivement une sorte de reflet de la formation des concepts et de la mémoire. Les dents de lait sont formées à partir de l’organisation-tête, de même que les concepts, sauf que les concepts, évidemment, sont haussés dans la sphère intellectuelle et spirituelle ; et les secondes dents, elles proviennent plutôt de toute l’organisation humaine, comme la capacité de mémorisation.

Il faut être capable de cerner ces différences subtiles dans l’organisme humain. Si vous vous concentrez sur un point de ce genre, vous conviendrez que l’on ne peut saisir le modelé, les formes de la substance matérielle — notamment quand on arrive au domaine organique — qu’à partir d’un modelage spirituel. Le matérialiste patenté observe l’être humain matériel, étudie l’être humain matériel.

Et celui qui s’attache à la réalité, et non à ses préjugés matérialistes, voit cette tête humaine se modeler, chez l’enfant, à partir de la sphère suprasensible, par la métamorphose de la vie terrestre antérieure et il voit, rattachée à ce monde où est placé l’enfant dans cette vie terrestre, l’autre part de l’être humain, modelée à son tour depuis la sphère spirituelle, suprasensible propre à ce monde-ci. Il est important de tourner son attention vers cette manière de voir ; car il ne s’agit pas de parler de façon abstraite du monde matériel et du monde spirituel, mais d’affiner sa vision pour percevoir comment le monde matériel émerge du spirituel, et d’une certaine manière comment le monde spirituel se reflète dans le monde matériel.

On voit alors dans les formes de la tête humaine, dans la manière dont elle émerge du monde spirituel, quelque chose de spécifique, que l’on ne retrouve pas dans le reste de l’organisme. Car ce dernier nous est rattaché dans une vie terrestre donnée, alors que la formation de la tête, jusque dans son modelé, est le résultat de vies terrestres antérieures.

[….]  nous traversons le monde en portant constamment cette contradiction. Elle fait partie de la vie. Si nous regardons les faits avec honnêteté, nous ne pouvons que convenir de la causalité naturelle, de sa nécessité, dans laquelle nous sommes plongés en tant qu’être humain. Mais notre vie intérieure, la vie de notre âme et de notre esprit contredit cette première réalité. Nous savons que nous pouvons prendre des décisions, poursuivre des idéaux moraux, que nous n’avons pas trouvés au sein de la causalité naturelle. Cette contradiction est une contradiction vitale.

celui qui ne peut pas reconnaître que la vie recèle des paradoxes de ce genre ne saisit pas toutes les facettes de la vie. Au fond, c’est en fait simplement une sorte d’idéologie que nous opposons à la vie. Nous traversons la vie et nous nous sentons en réalité continuellement en contradiction avec la nature extérieure. Il semblerait que nous soyons impuissants pour faire autre chose que ressentir ce paradoxe.

Suite du texte à  lire CEuvres de Rudolf Steiner sur http://www.vivreencomminges.org/doc/Anthroposophie/Steiner%20Rudolf%20-%20Le%20devenir%20humain%20Ame%20et%20esprit%20de%20l’univers.pdf

LA MALADIE ça n’existe pas

Nous observons tous qu’une mutation fondamentale est en train de se produire dans le domaine médical. De plus en plus de médecins s’ouvrent à des démarches alternatives, voire pour certains quittent la médecine officielle. Et c’est uniquement la puissance financière et politique inimaginable de l’industrie pharmaceutique qui maintient en place le vieux modèle médical matérialiste (un modèle aussi horriblement cher pour nos porte-monnaie !) et qui ralentit une évolution heureusement inévitable. 

Auto-culpabilisation et pressions extérieures si fréquentes dans notre culture n’auraient pas l’impact qu’elles ont si les personnes concernées avaient une solide image d’elles-mêmes. si les gens avaient une solide image et une bonne estime d’eux-mêmes. Et ils n’ont souvent qu’une image vacillante que parce qu’ils ont remis l’autorité sur leur vie (que personne ne peut vivre à leur place !) à une personne ou une institution extérieure à eux-mêmes, à commencer par ce Juge intérieur si impitoyable que tant de gens portent en eux.

Alors je voudrais partager avec vous un des textes de PIERRE qui a aidé d’innombrables personnes à travers les années à congédier leur juge intérieur une fois pour toutes. Copiez-le, mettez-le sur votre table de chevet, collez-le sur la porte de votre frigo et surtout vivez-le !

Nous avons cheminé ensemble pendant de nombreuses années. Il est temps maintenant que j’affirme mon autonomie et que j’assume la responsabilité de mes choix à moi. Dans le passé, tu as pensé bon de me dire, voire de chercher à m’imposer, ta vision de ce que tu pensais bon pour moi. Cette relation de co-dépendance n’a plus sa raison d’être. Je choisis de m’assumer entièrement moi-même, d’assumer mes choix, et de conduire moi-même ma voiture psychique. Tout en reconnaissant que tu étais, toi, à ton plus haut niveau de conscience, je te demande de descendre sans tarder de ma voiture, car nous ne pouvons la conduire à deux. Je te remercie de ce que tu as cru bon de faire et te bénis sincèrement sur ton chemin qui n’est plus le mien. Je continuerai mon chemin en écoutant mon guide intérieur qui m’aime sans conditions et qui m’accepte  et m’approuve exactement comme je suis.

LES « RAPPELS » ET LES RITES DU SOIR

La plupart d’entre nous vivons des rythmes de vie où il y a peu d’occasions de souffler et où le mental mène le bal du matin au soir à un rythme souvent endiablé et ininterrompu. Un rappel est un moment de pause intérieure que vous faites 2,3, 4 voire 5 fois dans la journée pour vous remémorer une vérité importante qui vous tient très à cœur et que vous voulez intégrer totalement à votre vie, comme par exemple « C’est la Source qui me ceint de force et qui rend ma voie parfaite » ou « Je suis amour et amour seulement et je réponds à toute situation quelle qu’elle soit avec la force tranquille et l’inspiration de l’amour. »

Il est indispensable que ce soit une affirmation que vous ressentez comme vraie dans le cœur, non le mental. Et vous restez un instant avec cette vérité, vous la laissez vous pénétrer doucement. Ceci est particulièrement important pour celles et ceux qui sont  sur un chemin spirituel. 

Le soir, il est très utile et précieux d’avoir sur sa table de chevet un cahier où vous inscrivez les choses les plus positives qui se sont manifestées dans votre journée, depuis le chant particulièrement gai d’un oiseau où le beau sourire d’une caissière à un événement plus important. Je reviendrai d’ailleurs bientôt sur le thème de la gratitude, tellement cette dernière est l’anti-dépresseur par excellence.

Un deuxième petit rituel très précieux est celui de pardon inconditionnel. Passez en revue votre journée et efforcez-vous de pardonner à toute personne qui, consciemment ou inconsciemment, a pu vous faire du mal ou à qui vous en voulez (et ceci peut inclure bien sûr des politiciens ou des groupes ethniques). Pardonnez à la vie ou l’univers  toute chose que vous n’avez pas su accueillir comme un cadeau. Et surtout, surtout, pardonnez-vous vous même pour tout manquement à vos objectifs, vos idéaux ou toute autre chose que vous pouvez vous reprocher. 

Finalement, si cela correspond à votre vision des choses, terminez en affirmant votre nature spirituelle et divine totalement aimante, innocente et bonne.

Si vraiment vous pratiquez ces petits rituels du matin et du soir avec une grande régularité,  je vous assure que cela fera une différence significative dans votre vie.

La médecine est dans le meilleur des cas un grand art, et heureusement qu’il y a bien des praticiens qui se rangent dans cette catégorie. Mais hélas dans encore trop de cas …  Il est scientifiquement impossible de dire qu’une maladie est incurable. Le maximum qu’une médecine intègre peut dire est que la médecine n’a pas encore découvert de remède à ce mal.

Mais avec l’arrivée d’internet – qui est en train de changer la face du monde – on découvre les innombrables formes de thérapie alternative – parfois étonnamment efficaces. Un livre parmi sans doute des centaines dans ce domaine est Artisans de leur guérison, du Dr. Christian Tal Schaller, un des pères de la médecine holistique en Europe et un des meilleurs connaisseurs des médecines alternatives dans le monde francophone. L’ouvrage raconte 17 cas de guérison vraiment étonnants par la médecine holistique.

Un des prophètes de cette nouvelle médecine de demain – le mot n’est pas excessif – Dr Joe Dispenza, a publié récemment un livre étonnant, Le placebo, c’est vous, où il décrit une des nouvelles approches de cette médecine qui nous responsabilise pour notre propre santé.

NB : Pour continuer cette réflexion sur être branché à sa Source, rendez-vous ce samedi à mon stage Vivre ma spiritualité au quotidien à Collex par Genève.

Vous pouvez partager ce texte à condition d’en respecter l’intégralité et de citer les sources et le site :  https://medecinehistorique.wordpress.com/

La croix des rituels de guérison

 La croix correspond à un symbole suffisamment présent dans la vie quotidienne de la société du XIXe et du début du XXe siècle : lors des cérémonies religieuses, chacun est amené à se signer, c’est également cette même croix qui est dessinée sur le pain avec son couteau avant de l’entamer. La disposition dans un lieu évoque le symbole du barrage : quatre brins de blé vert sont plantés aux quatre coins d’un tas de fumier pour assurer la guérison des verrues en Haute-Bretagne. Dans le monde végétal, feuilles ou tiges sont disposées en croix pour soigner les maladies de peau.

Pour les dartres, malades ou guérisseurs fabriquent des croix d’églantier, de bourgeons de ronce ou de sureau qui sont suspendues en Bretagne. Pour les plaies, deux brins d’herbe en croix sont appliqués sur la lésion. Deux brins de paille en croix sont apposés dans le dos pour arrêter une hémorragie nasale, deux feuilles de laurier en croix sont déposées sur un abcès pour le faire mûrir.

La croix se retrouve aussi largement dans les rituels de guérison des fièvres qui s’accompagnent d’oraisons ou de pratiques dans des chapelles. Ainsi, à Magny-le-Désert en Basse-Normandie, des croix de noisetier intervenaient dans un rituel à la chapelle Saint-Antoine.

De même, une croix de laurier est déposée sur la poitrine du fiévreux en Bretagne. Bien d’autres maladies font intervenir la croix dans les rituels : jonc en croix pour les aphtes en Franche-Comté, pour le chancre dans les Vosges, le mal de jambes, du bas des reins en Lorraine ou les ophtalmies en Aquitaine. Aujourd’hui, dans le Morbihan, une guérisseuse soigne les sensations de peur avec une plote d’herbes : Je les pile, je fais une boule, je fais cinq croix sur le front, le ventre, le dos, les mains et les pieds.

Puis le malade le fait une fois par jour pendant deux jours, il arrête une journée et reprend pendant trois jours. Plus généralement, la croix fait barrage aux sortilèges et aux maladies. Elles étaient disposées aux portes des habitations et du logement des animaux de la ferme : croix de joubarbe en Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon, croix bénites de lavande en Languedoc-Roussillon le matin de la Saint-Roch, croix d’immortelles en Aquitaine, croix d’épis de blé à la Saint-Jean en Aquitaine.

EXTRAIT du livre : L’herbier des paysans, des guérisseurs et des sorciers

LA SANTÉ ET LES MALADIES DANS LES RÊVES

Avez-vous déjà rêvé que vous étiez malade alors que dans la réalité, vous étiez pourtant en bonne santé ? Pire, avez-vous déjà rêvé que vous aviez une maladie incurable, comme le cancer ?

Ne prenez surtout pas ces rêves au sens littéral ! Non, vous n’allez pas tomber malade. Ces scénarios sont avant tout symboliques.

Ceci est un article de Marielle Laheurte – Formatrice interprète de rêves, thérapie par les rêves, praticienne psycho-énergétique, soins énergétiques, auteure, conférencière – Paris – SITE WEB : www.mariellelaheurte.com paru au magazine https://energie-sante.net/

Les rêves diagnostiquent votre état de santé psychique et physique

 

Si vous êtes malade en rêve, c’est votre état psychique qui a besoin de soin. Peut-être que vous êtes envahi par des idées négatives, ce qui pourrait être symbolisé en rêve par un cancer : la prolifération incontrôlable de « mauvaises » cellules. Ou bien vous pouvez rêver que vous avez une inflammation aux genoux, ce serait alors l’image par exemple d’une colère qui vous enflammerait au point de vous faire perdre toute souplesse et capacité à « plier », peut-être au niveau de la relation à l’autre aussi (Je / Nous).

Le rêve peut ainsi utiliser des symboles de maladies ou de problèmes physiques pour vous décrire de manière la plus appropriée ce qui se passe dans votre état intérieur. Sachant que le corps et l’esprit étant étroitement liés, si vous êtes réellement malade ou si vous souffrez de problèmes physiques, ce sont les reflets probables d’un « déséquilibre » mental ou émotionnel.

Avec les rêves, vous saurez pourquoi vous avez cette maladie, et comment la soulager, voire la guérir. En général, c’est en changeant vos pensées, ou votre perception sur vous-même et la réalité que vous pourrez améliorer votre état physique.

Ainsi, pour vous parler de votre état psychique, le rêve peut souvent utiliser des symboles de maladies ou de problèmes corporels. En revanche, pour vous parler de votre maladie réelle, il utilisera plutôt d’autres types de symboles, comme une voiture en panne, un arbre malade, ou encore une maison abîmée.

Le rêve qui est d’une sagesse et d’une intelligence infinie, choisit toujours le symbole le plus approprié pour parler de votre situation.

Voyons tout de suite un exemple.

Voici un rêve qui a été reçu par Nicole : elle souffrait de sinusites chroniques et d’allergies depuis des années et elle avait demandé la veille à ses rêves des conseils pour s’en débarrasser enfin. (Oui, vous pouvez poser des questions à vos rêves, ils vous répondent !).

Rêve : Une fuite dans le toit

Je suis chez moi. Il y a une fuite importante dans le toit. Il pleut fort et l’eau entre à flots par la partie du toit abîmée. Il faudra absolument que je fasse réparer cette fuite. 

Interprétation :

 

Il existe évidemment un lien entre la fuite du toit et les écoulements du nez de Nicole. Mais allons plus loin avec l’interprétation symbolique.

La maison représente ici la rêveuse, autant son monde intérieur, sa façon de vivre, ses sentiments, ses pensées, que son corps physique. Nous pouvons tout de suite comprendre qu’il y a un problème qu’elle doit absolument réparer.

Le plafond, le toit, représentent le mental, la tête, les idées, les pensées, puisque la localisation est « en haut », espace relié à l’air. Donc, le rêve montre que le toit n’est pas suffisamment étanche. Symboliquement, donc, le mental de Nicole n’est pas assez « étanche », pas assez protégé des aléas du monde extérieur.

Nicole confirme l’ interprétation de Marielle Laheurte.


Elle est ultra-sensible depuis toujours. Elle se laisse facilement perturber par ce que pensent les autres, ce que ses proches vivent, leurs états d’âme, leurs humeurs. Une critique, une agression verbale, la tristesse d’un proche et la voilà en train de pleurer ou de se sentir mal. Elle peut même être touchée par les mauvaises nouvelles de l’actualité…

Nous savons que les pensées négatives créent des effets biochimiques dans le corps, qui, se croyant menacé, devient plus fragile. En même temps que Nicole se laisse envahir par des idées négatives et les humeurs des uns et des autres, le corps de Nicole se laisse envahir par des virus et des bactéries. Le rêve décrit ce processus avec la fuite dans le toit qui laisse passer l’eau, symbole des émotions : submergée, saturée, elle ne peut plus gérer ses émotions et son corps, dans son intelligence infinie, finit par rejeter au dehors ce trop-plein, en créant des allergies et des sinusites chroniques.

Relions le rêve à la vie concrète de Nicole

Que se passe-t-il dans la vie de Nicole au moment du rêve ?
Elle avait une nouvelle sinusite, et aussi elle avait eu une discussion avec son mari.  C’est un homme négatif, qui a tendance à se plaindre, surtout de son travail et qui déversait volontiers sur sa femme ce qui le contrariait. Lors de cette discussion, comme à chaque fois, elle s’est sentie particulièrement impuissante et inquiète face à l’humeur de son mari. Elle l’a écouté sans remettre en cause ses points de vue, absorbant ses émotions négatives, sans arriver à stopper la conversation. Comme dans le rêve, elle ne savait pas comment stopper la fuite de sa maison.

Impressionnant, non ? Quel médecin aurait pu clarifier aussi bien la cause de son problème physique ? 

Le rêve montre le problème, sa cause et sa solution

Quel est le conseil du rêve pour aider Nicole à guérir ?
Les rêves donnent toujours un conseil, même s’il n’est pas clair au premier abord. Pour le découvrir, il suffit de faire preuve de bon sens. Cette question vous y aidera : Que faire quand un toit fuit ? Eh bien, c’est logique, n’est-ce pas ? Vous appelleriez un réparateur pour réparer le toit.

Symboliquement, cela signifie que Nicole doit se faire aider pour être plus « étanche », imperméable aux humeurs des autres, de son mari en particulier, et de toutes les émotions ou informations négatives qui viennent du monde extérieur.

Le rêve est thérapeutique

Nicole m’a demandé de l’accompagner dans sa guérison, me choisissant ainsi comme « le réparateur ».

Marielle Laheurte l’a aidée à mieux gérer ses émotions, à se détacher des émotions envahissantes des autres, à oser dire « non » et « stop » notamment à son mari quand sa négativité était trop envahissante. Elle a aussi éliminé les croyances limitantes sur elle-même, pour retrouver peu à peu la confiance en elle. Elle sait maintenant s’écouter, trier les informations extérieures, sans se laisser submerger. Cerise sur le gâteau, son mari est devenu plus positif, car l’écoute empathique de sa femme l’encourageait finalement à rester négatif…

La santé de Nicole s’est améliorée, et quelques mois après, ses sinusites chroniques et ses allergies ont disparu définitivement !

A LIRE …… 50 exercices pour interpréter vos rêves de Marielle Laheurte, aux Éditions Hachette.

Ce livre est-il fait pour vous ?
Parmi les propositions ci-dessous, cochez celles qui vous correspondent.

  • Certains de vos rêves vous poursuivent et affectent votre humeur pendant plusieurs jours.
  • Vous êtes persuadé que vos rêves recèlent une sagesse.
  • Vous rêvez souvent d’un être cher disparu il y a quelques années.
  • Vous croyez ne jamais rêver et vous vous sentez déconnecté de vos émotions profondes.
  • On rêve toujours de soi dit-on. D’accord, mais qu’est-ce que cela signifie ?
  • Vous tenez un journal de vos rêves.
  • Vous faites régulièrement le même cauchemar dont vous souhaiteriez vous débarrasser.
  • Parfois vos rêves se désintègrent au réveil.
  • La chute est un élément récurrent de vos rêves.
  • « Un rêve non interprété est comme une lettre non lue » dit le Talmud.

Moins de 2 réponses : ce livre ne vous concerne pas.
2 à 5 réponses : vous êtes seul à pouvoir décrypter vos rêves. Ce livre vous fournira les outils d’une interprétation approfondie et personnalisée des symboles, figures et schémas présents dans vos rêves.


6 à 10 réponses : en 50 exercices vous apprendrez à programmer vos rêves, à renouer avec votre vie intérieure pour cerner vos aspirations et effectuer de meilleurs choix de vie.