Anti moustique pour l’été

Durant l’été, les moustiques peuvent gâcher les douces soirées dans le jardin, une barbecue partie, une randonnée dans la nature ou le sommeil. A cet effet, se munir de protection antimoustiques est essentiel, pouvant être appliquée sur la peau ou diffusée dans l’air. Comment faire pour se protéger efficacement des moustiques durant la saison chaude ?

La nécessité d’une protection antimoustique durant l’été

Les moustiques font partie des insectes diptères. Il existe, à travers le monde, plus de 3 000 variétés de moustiques pouvant piquer l’homme. Selon le magazine Essentiel Santé, une soixantaine d’espèces seraient présentes en France métropolitaine. 

Ce sont uniquement les femelles de moustiques qui piquent. La femme choisit sa proie en fonction des odeurs, des mouvements, des couleurs… Le sang prélevé sera utilisé pour garantir la pondaison et amener les œufs à maturation. Leurs piqûres peuvent laisser d’importantes taches rougeâtres et causer des allergies. D’où la nécessité de se doter de protection antimoustiques lors d’un voyage dans un pays étranger, pour les vacances de Pâques par exemple. Il faut particulièrement faire attention au virus Zika, se transmettant directement par piqures de moustiques. Découvrez notamment le produit Insect Ecran Zones Infestées, sur Illicopharma, un répulsif s’appliquant directement sur la peau. 

Grâce à son principe actif, le DEET, il est particulièrement efficace contre le moustique Tigre, à l’origine du virus Zika, de la Dengue, du Chikungunya. Il est également possible d’utiliser le spray Insect Ecran Vetement Spray, un produit insecticide de la marque Insect Ecran qui vous protège efficacement des piqures à travers les vêtements. Cette protection antimoustiques, disponible en spray, est utilisable chez la femme enceinte. Le produit est préconisé contre les anophèles, le moustique responsable du paludisme.

Quelques protections efficaces contre les moustiques sur Illicopharma

Le principal geste pour se protéger des moustiques consiste à imbiber les vêtements avec un produit insecticide spécial moustiques ou appliquer des répulsifs sur la peau, renfermant un agent actif chargé de les éloigner. En effet, beaucoup de piqures passent à travers les vêtements.

Vous pouvez ainsi appliquer Insect Ecran solution trempage vêtement, un produit insecticide performant grâce à l’efficacité de son principe actif. Il vous suffit d’imbiber les habits, les tentes en tissus, les rideaux ou les moustiquaires avec cette solution de trempage pour vêtement. Sa durée d’action est de 2 mois, même après avoir été nettoyé dans une eau chaude à 40°C et repassé. Vous pouvez aussi porter des bracelets anti-moustiques, comme le bracelet 5/5 Bracelet anti-moustiques. De la marque Cinq sur Cinq. 

A base d’huile essentielle, il offre une protection optimale pendant un mois. Il s’agit d’un bracelet souple, en forme de ruban, conçu à partir d’un dispositif de diffusion breveté, appelé BornWith technology. Celui-ci est chargé de libérer progressivement des substances répulsives antimoustiques. Et lors de vos vacances en bivouac, utilisez la moustiquaire imprégnée biplace Cabin. Imbibée de permethrine, cet insecticide offre une protection optimale contre le moustique à l’origine du paludisme.

Retrouvez également tous nos conseils pour tout savoir sur Zika.

Source : futura-sciences.com

MALADES « COVID LONG » : IL FAUT EN PARLER AUSSI

Dossier du magazine NOTRE TEMPS – article du 18 mai 2021 par Agnès Duperrin

Au-delà des conséquences sociales et psychiques de la pandémie, on a longtemps ignoré les « Covid long », ces malades en souffrance des mois après avoir contracté le virus. Ils seraient 500 000 en France, de tous âges.

Et soudain ses jambes semblent devenues en coton, impossible de faire un pas de plus. Le cœur qui s’emballe, le diaphragme bloqué, et cette fatigue intense qui vous empêche de reprendre votre souffle et une vie normale… Martine Mounier en souffre encore, un an après. Et ça dure depuis des mois…

Dans le Magazine « Notre Temps« , cette quinquagénaire sans facteur de risque décrivait son calvaire. Les premiers symptômes, début 2020, courbatures, fièvre, quintes de toux: « au dixième jour, j’étais dans un état de fatigue indescriptible, incapable de tenir debout », puis la ‘lune de miel’, classique à la troisième semaine », et la rechute, une tachycardie terrifiante, l’épuisement « rendant impossible la reprise d’une vie normale, y compris le travail ».

Laëtitia Heuveline, 35 ans, journaliste à France Bleu Gironde, décrit la même fatigue « intense, inconnue. À la maison, les chambres sont à l’étage. Quand mes muscles ne peuvent pas répondre, je dois demander de l’aide pour lever mes jambes et monter les escaliers ». Martine et Laëtitia souffrent d’un « Covid long », forme prolongée de la maladie. Les patients ne sont plus contagieux mais doivent faire face à des séquelles et des symptômes très handicapants dont ils ne voient pas la fin.

• Une prise en charge spécifique

Longtemps, il a fallu encaisser le déni médical. « Pas de validation biologique égale, pas de maladie », affirmaient les médecins à ceux touchés avant l’époque des tests. « On nous disait: c’est dans la tête », se souviennent à l’unisson les témoins qui nous ont confié leurs histoires. La publication par la Haute Autorité de santé (HAS) en février 2021 de recommandations de prise en charge spécifique sonne comme une reconnaissance, enfin, avec un appel à une attitude d’écoute et d’empathie en consultation. 

Dix fiches pratiques détaillent les examens et soins conseillés pour les dix symptômes les plus fréquentsfatigue, dyspnée (troubles respiratoires), douleurs thoraciques, troubles du goût et de l’odorat, douleurs, manifestations neurologiques, déconditionnement à l’effort, hyperventilation, troubles somatiques fonctionnels (palpitation, troubles d’attention, nausées…) et troubles du système nerveux autonome (vertiges, frissons…). Une liste de contacts utiles (groupes de soutien et associations de malades) doit être remise aux patients.

• La situation persiste?

 

Le médecin traitant doit orienter vers des équipes territoriales spécialisées. La HAS met enfin en garde contre « les régimes alimentaires d’exclusion et les suppléments en vente libre, inutiles et potentiellement nocifs en automédication ».

• Unis pour résister

Pour tenir le coup moralement, Laetitia a créé un groupe de parole sur Facebook. Les 800 membres y partagent des astuces: port de bas de contention ici, stimulation de l’odorat là. Surtout ne pas rester seul, renchérit Nathalie, infirmière de 34 ans contaminée mi-septembre 2020 à son travail : « J’ai rejoint l’association UPGCS pour ne pas m’apitoyer sur mon sort et m’informer sur les évolutions scientifiques: maladie auto-immune ou phénomène inflammatoire, on a encore beaucoup à apprendre sur le ‘Covid long’. » Elle, si active avant, accumule les rechutes. Le moindre effort l’empêche de bouger, de se concentrer, lui casse la voix. L’association #ApresJ20, en germe depuis avril 2020, a été pionnière. Pauline Oustric, 27 ans, en est cofondatrice: « Nous sommes enfin reconnus par le ministère de la Santé, l’OMS… 

Reste à faciliter la vie des malades en les déclarant en affection longue durée (ALD), voire en maladie professionnelle, et créer les centres de soins pluridisciplinaires annoncés… »

• Des patients de tous âges

L’étude Cocolate, coordonnée au Centre hospitalier de Tourcoing, cherche à comprendre qui est à risque. Une première étude publiée fin 2020 par l’Hôtel-Dieu, à Paris, observe que les malades « Covid long » ont généralement eu une forme modérée de la maladie, sans hospitalisation. Parmi eux, beaucoup d’adultes jeunes et même des enfants. Souvent, les analyses biologiques sont normales. « Une imagerie cérébrale pourrait objectiver les troubles », indique le Pr Éric Guedj, de l’hôpital de la Timone à Marseille.

Selon la HAS, plus de la moitié des patients présentent encore au moins un des symptômes initiaux quatre semaines après le début de la maladie, plus de 10% n’ont pas récupéré à six mois. L’OMS parle de 20% parmi les 18-34 ans, et note qu’avec le coronavirus de 2003, jusqu’à 40% des patients signalaient la persistance de symptômes deux à trois ans après le diagnostic. 

Le phénomène, identique dans tous les pays, s’apparente à une bombe à retardement : 500000 personnes concernées en France, chiffre officiel début 2021, c’est autant de soignants, enseignants, commerçants, maçons… indisponibles, de quoi déstabiliser toute la société. Une note d’espoir: selon la quinzaine d’experts entendus par la HAS, l’état de santé finirait par s’améliorer, même s’il faut des mois de patience. En attendant, les malades tentent de convaincre que, oui, lutter contre le virus, c’est bien protéger toute la population, et pas seulement « les vieux »!

A LIRE EGALEMENT :

LES LECONS DU MAGICIEN en matière de SANTE

Alors que certains d’entre nous semblent encore empêtrés dans la croyance du narratif « officiel » covidien, que d’autres prennent conscience qu’ils sont des êtres souverains, et que beaucoup de Semeurs de Lumière sont en train de transmuter d’anciennes mémoires erronées pour le collectif, j’ai eu envie de me recueillir dans ma « grotte de cristal ».

Bien sûr, aussitôt ce désir conscientisé, Buzzy ce cher ego 3D me sortit la liste de tout ce que j’avais à faire dans la journée. Et son compère Petit Mental lança la procédure d’injonctions « il faut faire ». Dans la To Do liste, je choisis de passer l’aspirateur, en invoquant la Flamme Violette.



Et alors que je tentais de me concentrer sur ce nettoyage de mon habitat, boum, un livre tombe d’une étagère. Il s’agit de La voie du magicien de Deepak Chopra. Il  est ouvert sur une page du chapitre Vivre avec la leçon 19 : « Les magiciens ont toujours enseigné que le désir  devrait s’envisager comme un chemin. »

Tiens, j’avais oublié ce pas-Sage.. .Je parcours quelques lignes, debout, l’aspirateur qui vrombit dans le vide. Et puis, le calme qui arrive, comme si Merlin était venu me rappeler l’eSensCiel. J’ai arrêté l’aspirateur, et me suis installée confortablement dans le canapé avec une tisane pour relire cet ouvrage.

Quelle Joie de retrouver Merlin l’Enchanteur et sa facilité à nous faire ressentir comment transcender notre quotidien. Se souvenir que chacun de nous abrite un magicien et permettre à l’Âme-Agit de Merlin de découvrir ou redécouvrir le nôtre, ce soleil intérieur. Une pause lecture qui m’a fait tant de bien, que je souhaite en partager le condensé de sagesse avec vous.

« Ce livre La voie du magicien comprend 20 leçons qui expriment toutes le point de vue du magicien. Chaque leçon commence par un aphorisme, extraits condensés de sa sagesse, qui vous aideront à transcender la réalité ordinaire. Lisez-les et laissez-les décanter en vous. N’espérez pas de résultat immédiat, tentez simplement l’expérience. Il ne s’agit pas d’un travail, d’un effort à produire :  l’effort, semblable à une lutte pour s’extraire des sables mouvants, ne ferait que vous enfoncer encore plus. Le magicien intérieur ne demande qu’à s’exprimer, et cela est valable pour chacun d’entre nous. Encore faut-il lui en donner la chance, lui ouvrir une porte. A l’instar des koans zen, les aphorismes permettent cette ouverture en modifiant notre perception et, par conséquent notre réalité. Nous devons réapprendre à entendre la voix du magicien dans la vie quotidienne. » – Deepak Chopra.

Par respect pour l’auteur, j’ai extrait des 20 leçons, uniquement les aphorismes, ce qui est déjà beaucoup. Dans le livre, après l’aphorisme, il y a les paragraphes « comprendre la leçon » qui s’adresse à l’esprit linéaire, et « vivre avec la leçon » qui aide à intégrer la sagesse du magicien à son expérience de vie personnelle.

 


Leçon 1

Un magicien existe en chacun de nous. Ce magicien voit et sait tout.
Le magicien est au-delà des oppositions Lumière/Obscurité, Bien/Mal, Plaisir/Douleur.
Tout ce que voit le magicien plonge ses racines dans un monde invisible.
La nature reflète les humeurs du magicien.
Le corps et l’esprit peuvent dormir, mais le magicien reste toujours en éveil.
Le magicien détient le secret de l’immortalité

Leçon 2

Le retour du magique suppose le retour de l’innocence.
L’essence du magicien est la transformation.

Leçon 3

Le magicien regarde les transformations du monde, mais dans son âme habite les royaumes de lumières.
Le décor change, le voyant demeure le même.
Votre corps est simplement le lieu qui abrite vos souvenirs.

Leçon 4

« Qui suis-je ? » est la seule question qui soit digne d’être posée et la seule à laquelle on ne répond jamais.
Votre destin comprend une infinité de rôles, mais ces rôles ne sont pas vous-mêmes.
 L’esprit n’est pas localisé, mais il laisse derrière lui une empreinte digitale, que nous appelons le corps.
Un magicien ne se voit pas comme un événement localisé rêvant d’un monde plus vaste.
Un magicien est un monde rêvant d’événements localisés.

Leçon 5

Les magiciens ne croient pas à la mort.
Dans la lumière de la conscience, tout est vivant.
Il n’y a ni commencement ni fin.
Pour le magicien ce ne sont que des constructions mentales.
Pour être pleinement vivant, il faut être mort du passé.
Les molécules se dissolvent et disparaissent, mais la conscience survit à son support charnel.



Leçon 6

La conscience du magicien appartient à un champ infini.
Les flux de connaissance que renferme ce champ sont éternels et inépuisables.
Des siècles de connaissance sont contenus dans quelques instants de révélation.
Nous sommes des vaguelettes d’énergie sur un immense océan d’énergie.
Quand on évince l’ego, on accède à la mémoire totale.

Leçon 7

Quand les portes de la perception seront nettoyées, vous commencerez à voir le monde invisible – le monde du magicien.
Vous êtes porteur d’une source de vie où vous pouvez puiser pour vous purifier et vous transformer.
La purification consiste à vous débarrasser des toxines de votre vie – les émotions toxiques, les pensées toxiques, les rapports toxiques.
Tous les corps vivants, physiques et subtils sont des magmas d’énergie directement perceptibles.

Leçon 8

Le pouvoir est une épée à double tranchant. Celui de l’ego veut contrôler et dominer; celui du magicien est le pouvoir de l’amour.
Le siège du pouvoir est le moi intérieur.
L’ego nous suit comme une ombre. Son pouvoir engendre intoxication et dépendance et finalement se révèle destructeur.
L’éternel conflit pour le pouvoir s’achève par la réconciliation.


Leçon 9

Le magicien est en état de connaissance. Cette connaissance gouverne son propre épanouissement.
Le champ de la conscience s’organise autour de nos intentions.
La connaissance et l’intention sont des forces. Vos intentions modifient le champ en votre faveur.
Les intentions contenues dans les mots referment un pouvoir magique.
Le magicien n’essaie pas de résoudre le mystère de la vie. Il est ici-bas pour le vivre.

Leçon 10

Nous renfermons tous un moi obscur qui est une part de notre réalité totale.
Cette part d’ombre n’a pas pour fonction de nous blesser mais de faire ressortir notre imperfection.
Quand l’ombre est acceptée, elle peut être guérie. Quand elle est guérie, elle se transforme en amour. Quand vous pourrez concilier toutes vos caractéristiques opposées, vous coïnciderez complètement avec vous-même, comme le magicien.

Leçon 11

Le magicien enseigne l’alchimie. L’alchimie est la transformation. A travers l’alchimie, vous commencerez votre quête de la perfection.
Vous êtes le monde. Quand vous vous transformerez vous-même, le monde dans lequel vous vivez sera aussi transformé.
Les buts de la quête – l’héroïsme, l’espoir, la grâce et l’amour – constituent un legs intemporel.
Pour faire appel à l’aide d’un magicien, vous devez être fort dans la vérité et libre de préjugés.

Leçon 12

La sagesse est vivante et par conséquent toujours imprévisible.
L’ordre est le revers du chaos.
Le chaos est le revers de l’ordre.
L’incertitude que vous sentez en vous est le prélude à la sagesse.
L’insécurité accompagnera toujours le chercheur. Il trébuche souvent, mais ne tombe jamais.
L’ordre humain est constitué de règles. L’ordre du magicien ignore les règles – il est fluide comme la vie.

Leçon 13

La réalité que vous percevez est le reflet de vos attentes.
Si vous projetez les mêmes images tous les jours, votre réalité sera la même tous les jours.
Quand l’attention est impeccable, elle fait surgir l’ordre et la clarté du chaos et de la confusion.

Leçon 14

Les magiciens ne s’affligent pas des pertes parce qu’on ne peut perdre que l’irréel. Perdez tout, le réel n’en subsiste pas moins.
Dans les décombres de la dévastation et du désastre sont enterrés des trésors cachés.
Quand tu regardes les cendres, regarde bien.

Leçon 15

Plus vous connaissez l’amour, plus vous devenez l’amour.
L’amour est bien supérieur à l’émotion. C’est une force de la nature ; en tant que tel, il renferme la vérité.
Quand vous prononcez le mot « amour », vous saisissez peut-être le sentiment, mais l’essence de l’amour reste ineffable.
L’amour le plus pur réside là où on l’attend le moins : dans le détachement.

Leçon 16

Par-delà l’éveil, le rêve et le sommeil, les royaumes de la conscience sont infinis.
Un magicien existe simultanément dans tous les temps.
Un magicien perçoit de multiples versions de chaque événement.
Les lignes droites du temps sont en fait les fils d’un faisceau infini.

Leçon 17

Les chercheurs ne sont jamais perdus, parce que l’esprit leur fait toujours signe.
Ceux qui cherchent reçoivent sans cesse des indices du monde de l’esprit. Les gens ordinaires appellent ces indices les coïncidences. Pour un magicien les coïncidences n’existent pas. La fonction de chaque événement est de dévoiler une nouvelle facette de l’âme.
L’esprit veut vous rencontrer. Pour répondre à son appel, vous devez être désarmé.
Quand vous cherchez, partez de votre cœur – le cœur est la maison de la vérité.



Leçon 18

On peut vivre l’immortalité au sein de la mortalité.
Le temps et l’intemporel ne sont pas des contraires.
L’intemporel n’a pas de contraire, parce qu’il englobe tout.
Concernant notre ego, nous luttons pour résoudre nos problèmes… mais pour l’esprit, le problème c’est la lutte. Le magicien est conscient de conflit entre l’égo et l’esprit, mais il comprend que tous deux sont immortels. Tout ce qui vous compose est immortel, y compris les aspects que vous critiquez le plus sévèrement.

Leçon 19

Les magiciens ne condamnent jamais le désir. C’est en suivant leurs désirs qu’ils sont devenus magiciens. Tout désir est engendré par un désir antérieur. La chaîne du désir est infinie. Elle est la vie même. Ne considérez pas vos désirs comme inutiles ou erronés – un jour chacun d’eux sera exaucé.
Les désirs sont des graines attendant le bon moment pour germer. Une simple graine de désir engendre une forêt entière. Chérissez tous les souhaits qui naissent dans votre cœur, si triviaux qu’ils vous paraissent. Un jour ces souhaits triviaux vous conduiront à Dieu.

Leçon 20

Le plus grand bien que vous puissiez faire au monde est de devenir un magicien.

Extraits choisis du livre « La voie du Magicien » du Dr Deepak Chopra.

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Douleur et Souffrance ne sont pas synonymes

Lorsque vous êtes malade ou ressentez un malaise quelconque, il y a douleur. Dès ‘instant où vous commencez à résister à cette douleur, à refuser qu’elle soit, elle se transforme en souffrance. La douleur est partie intégrante de l’expérience humaine, elle constitue pour ainsi dire l’un des termes du marché conclu au moment de notre naissance.

Le fait même d’être né implique que nous fassions de temps à autre l’expérience de la douleur. « La souffrance, c’est autre chose. Elle n’est pas inévitable, elle est fonction de notre conditionnement. Car qu’est-ce que la souffrance sinon notre façon de réagir à la douleur ? Plus nous réagissons à la douleur, plus nous nous entons malades et surtout perdus, identifiés à la maladie.

Fuir la douleur, se rétracter à son approche engendre la souffrance ; l’accueillir et la regarder pour ce qu’elle est constitue le début de la vraie compassion et de la guérison, sinon corporelle – encore que cela y contribue grandement – en tout cas spirituelle.

C’est d’abord dans son cœur que l’on guérit. La guérison n’est peut-être qu’une volonté d’accueillir ce que nous n’avons jusque-là cessé de fuir. Allons-nous nous ferme, nous crisper comme on nous a conditionnés à le faire ? Ou au contraire nous ouvrir ? C’est là que tout se joue.

Pour beaucoup d’entre-nous, pour nous réveiller, il a fallu la maladie. Tout comme il a fallu la guerre pour les secouer de leur torpeur, alors que la guerre est une bonne chose, si horrible soit-elle par ailleurs. La guerre est déclarée, ils descendent dans la rue pour protester et dénoncer cet engrenage ; mais une fois la guerre finie, je crains que la guerre ne retombe et que l’individu de rendorme…

Bien souvent, le ferveur spirituelle est uniquement fonction des circonstances. La menace de mort disparue, les gens sont retombés dans  leurs vieux mécanismes.

Ce processus, nous pouvons le voir à l’oeuvre en nous tous. Quelque chose nous réveille, puis nous nous rendormons. Certaines maladies ont ceci de particulier que leur évolution suit un cours en dents de scie ; lorsque vous êtes plutôt malades, vous vous passionnez pour la métaphysique, la méditation et les moyens de faire face à la souffrance. Dès que vous allez mieux, la spiritualité devient simplement quelque chose d’intéressant, un « truc »  à approfondir ; et si vous retombez malade, vous ressortez vos bouquins sur le bouddhisme !

En vérité, tout le monde se trouve dans cette situation, c’est tout le pathétique de la condition humaine la plupart du temps, il nous faut subir des traumatismes pour seulement commencer à entrouvrir les yeux. Ne serait-ce pas merveilleux de chercher à s’éveiller sans avoir besoin d‘essuyer des secousses sismiques ?

Plus on résiste, plus on se ferme, plus la vie doit frapper fort dans l’espoir de nous ranimer. Mais il en va tout autrement si nous tirons les leçons de l’épreuve et à la convertir, tout change ! Prenez votre colère, votre douleur, votre irritation face à la stupidité ambiante, prenez tout et faites-en votre miel pour l’éveil. En définitive, que nous soyons malade ou bien portant ne change rien : de toute façon, il nous faut poursuivre le travail intérieur, car en vérité que faire d’autres ?

Extrait du livre de Gilles Farcet : L’HOMME SE LEVE A L’OUEST aux Editions Albin Michel p.156_159

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Le piège de l’extériorité

Notre âme est le véhicule qui permet à l’homme de voyager entre ces deux champs de conscience et de ramener du nagual, quand la mémoire n’est pas trop résistante, des informations et énergies qui vont permettre au tonal d’évoluer. C’est ici que nous retrouvons l’ego qui est en fait le reflet conscient du tonal . Au positif, il devrait permettre à l’homme d’être conscient de lui-même, de sa finitude, de son potentiel. Au négatif, la mémoire se sert de lui pour empêcher l’homme de changer par attachement à l’image qu’il a de lui-même. Le piège fonctionne bien, car, dans son immense majorité l’homme reste très peu évolutif sur le plan intérieur .


En réalité il s’abandonne au changement extérieur là où ce n’est pas nécessaire et même là où c’est destructif pour lui (progrès hystérique au service d’un matérialisme extrémiste) parce qu’il n’a pas la charge personnelle de mettre en place ce changement. Il se contente de le subir.


Par contre il n’a ni l’audace ni l’envie de se changer lui-même là où il devrait le faire pour accéder à sa maturité psycho-émotionnelle et être le responsable de sa conscience et de sa vie. En un mot, il ne maîtrise pas le délicat équilibre entre force de permanence et force de créativité cosmique, ni en tant qu’individu ni en tant qu’être social.


La folie du progrès

Ce serait pourtant la dynamique du changement intérieur qui permettrait à l’homme non seulement de trouver l’équilibre intérieur et le bonheur mais aussi de se détourner du péril d’autodestruction planétaire qu’entraîne la folie du changement extérieur sans frein appelée « le progrès » en lui apportant la sagesse d’une humilité dynamique nécessaire à ce type de changement et le goût d’un savoir désintéressé.En résumé , comme nous venons de le voir, bien que possédant un triple champ de conscience qui représente un outil authentiquement magique pour vivre au-delà de l’ordinaire : son tonal, son âme et son nagual,, l’homme reste, le plus souvent , confiné à son champ de conscience ordinaire, le tonal, par peur de l’inconnu et par attachement à son connu, une attitude dont son ego et le pouvoir abusif que la mémoire exerce sur sa vie sont responsables .

Écoutons nos rêves et nos… problèmes

 

Et cependant, toute sa vie, deux sortes d’évènements vont l’inciter à l’éveil : ses rêves et ses problèmes, chacun de façon très différente.Nos rêves sont des messages directs que notre âme nous envoie pour amener des changements dans notre vie mais, hélas, en particulier dans notre société moderne et trop terre-à-terre, ils ne sont considérés, le plus souvent, que comme des fantaisies de l’imagination auxquelles notre conscience au repos se livre la nuit .


Quant à nos problèmes de toutes sortes, soit nous les attribuons à la malchance, à la malveillance des autres ou à la nature injuste de la société ou de l’univers et nous les maudissons. De plus, en particulier dans le domaine de la santé, notre société mercantile et « assistanale » en a fait une gigantesque niche à profits financiers.


Et pourtant ! Si nous savions les écouter …. ! Mais les écouter avec une certaine mentalité : celle du changement intérieur, car leur rôle est précisément strictement celui-là : nous inciter à changer !

« La différence entre l’homme ordinaire et le chamane c’est que le premier prend ses problèmes comme des calamités alors que le second les aborde comme des opportunités »Pouvez-vous imaginer à quel point une telle attitude de l’esprit peut changer la vie ?
Il suffit, pour cela de comprendre que nos réactions émotionnelles à nos problèmes, si faiblement négatives soient-elles, ne font que refermer un cercle de renforcement de ceux-ci au moment où, précisément, ironie du sort , nous avons le plus besoin d’une résistance aux attaques de la vie, d’une clarté d’esprit et d’une confiance en nous-mêmes que seul l’optimisme et la plus grande sérénité peuvent nous procurer .

Changer du dedans

 

Mais pour cela il faut qu’en amont existe en nous le concept que la vie est faite pour apprendre et donc changer, que le problème en question est le signe que le moment en est venu et enfin que nous soyons persuadés que rien n’est plus indispensable à notre bonheur futur qu’une petite leçon nouvelle de vie dont il ne tient qu’à nous de profiter à travers l’écoute sereine et la résolution de ce problème.En dehors du fait qu’agir sur le monde extérieur quand nous sommes reliés à lui par une situation problématique sans changer le point de vue que nous avons sur lui, c’est faire preuve d’une grande suffisance, le plus grave, c’est qu’en agissant ainsi nous restons dans l’ignorance du pouvoir créateur de la conscience qui est pourtant ce que nous avons à découvrir maintenant, au point où nous en sommes de notre évolution collective sur la terre pour y survivre.

L’inconnu semble , il est vrai, emprunter parfois de drôles de chemins pour nous faire avancer mais c’est pourtant ainsi que notre âme, son messager attaché uniquement à notre personne, nous incite à nous ouvrir à lui et pas seulement quand il y a urgence, mais de façon plus habituelle, en introduisant dans notre quotidien d’autres changements, plus délibérés, comme par jeu, sans que ce soit lié à un problème , une souffrance ou une maladie, afin de nous familiariser avec notre dimension non-ordinaire pour qu’elle embellisse notre quotidien .


Le changement intérieur devient ainsi de plus en plus naturel, notre ego fond peu à peu comme neige au soleil, nous n’ avons plus peur de nous tromper, de ne pas savoir, le fardeau de l’image de soi ne s’interpose plus entre nous et les autres, le naturel revient car changer du dedans est devenu une chose naturelle, un élément essentiel de notre vie . Quelle liberté ! Quelle légèreté dans notre tête !

Extrait de l’article SOURCE : Article 76 Par Claude Degryse du Magazine NEO SANTE REVUE N°43 5 FÉVRIER 2018

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Des cascades de Guérisons

Salutations, très chers, je suis Kryeon du Service magnétique. C’est la deuxième canalisation sur quatre, que nous appelons « Les canaux de guérison ».

J’ai commencé ce matin par identifier quatre aspects majeurs de la guérison du corps humain. C’est la première fois que je les ai réunis de cette façon. Pour résumer, le premier aspect est la chimie du corps, un moteur très tridimensionnel. Le second est l’héritage des ancêtres physiques. C’est aussi la 3D. Le troisième est ce que nous appellerons l’Akash, dont je parlerai demain. Et le quatrième est la simple conscience, dont nous parlerons également demain.

Encore une fois, nous disons à ceux d’entre vous qui commencent peut-être par lire cette canalisation numéro deux, qu’il y a un endroit où ces quatre canalisations se trouvent. Vous n’avez donc pas à vous demander où se trouvent les autres. Et cet endroit, comme nous l’avons déjà dit, est celui que vous appelez le site de Kryeon.

Une vérité fondamentale

Je veux que mon partenaire aille lentement maintenant, afin que vous compreniez parfaitement les concepts, les informations, les ressentis et l’énergie de ce dont nous allons vous parler. Vous ne pouvez pas discuter de ces quatre attributs de la guérison sans une première information, une information qui semblerait d’emblée être métaphysique, peut-être même technique d’une manière métaphysique. Mais vous ne pouvez pas discuter ne serait-ce que d’un seul de ces attributs sans cette vérité. C’est une vérité fondamentale. C’est une vérité, qui doit encore être validée mais qui a été découverte à maintes reprises, une vérité qui semble dépasser l’entendement pour ceux qui étudient la biologie cellulaire et la médecine. Et pourtant, c’est une vérité qui sera découverte, qui changera tout.

Et voilà ce que c’est. Votre biologie, tout cela, ces quatre attributs, tout cela se trouve dans un champ énergétique. Or, ce n’est pas un champ énergétique qui a été créé à partir des canalisations ou des guérisseurs d’ici. C’est un champ que le corps possède déjà. Nous en avons parlé à de nombreuses reprises et de diverses manières. Êtes-vous ou n’êtes-vous pas une créature divine de Dieu ? Si vous ne voulez pas dire le mot « Dieu », dites la Source créatrice. Êtes-vous ou non lié à la divinité de l’univers ? Et la plupart d’entre vous diront : « Eh bien, j’ai une âme. Cela signifie que je le suis probablement. » Et vous avez raison. Nous l’avons déjà dit. La plupart des êtres humains de la planète croit en l’au-delà.

Cela signifie qu’il existe une croyance innée qui dit qu’après la mort et la mort sous une forme biologique, il reste quelque chose. Et ce quelque chose – vous pouvez l’appeler par exemple, une âme, et que ce quelque chose est toujours vous d’une certaine manière, une conscience, quelque chose qui n’est pas dans le corps. C’est la pensée claire, constante et unanime, de la plupart des habitants de la planète. Plus de 80 % d’entre vous croient en l’au-delà. Ces 80 % signifient que la majeure partie de la Terre comprend que vous avez une âme.

Maintenant, qu’est-ce que cela signifie pour vous, vraiment, honnêtement ? Si vous remontez aux peuples antiques, à leur enseignement et à leur formation, vous verrez que l’âme vit librement dans un véhicule appelé la Merkabah. C’est un mot hébreu qui signifie en gros « monter ». L’âme humaine est dans cette Merkabah, qui a été décrit comme un champ d’énergie, une bulle, d’environ huit mètres de large. C’est une information ancienne connue depuis très, très longtemps, et c’est quelque chose qui décrit ce champ dans lequel vous êtes. Concrètement, ce champ est-il tridimensionnel ? Votre âme est-elle tridimensionnelle ? Vous diriez :

« Oh, non. L’âme doit être multidimensionnelle ». Et elle l’est. Certains disent même qu’elle est quantique. Suivez ma logique car, mes chers, c’est le point central de tout ce que je vais enseigner dans ces quatre leçons de guérison. Et le voici. Votre corps est dans un champ d’unité, et cela signifie qu’une chose en affecte une autre, en affecte une autre, en affecte une autre.

Est-il possible que même la chimie, de base, de votre corps ait des attributs multidimensionnels ? Cela a été démontré et prouvé à maintes reprises par ceux qui ont posé cette question et ont osé la tester. L’un des premiers, il y a près de vingt ans, a été Vladimir Poponine, un scientifique russe qui a décidé d’utiliser des photons de lumière dans une expérience sur l’ADN. Et dans le domaine de l’ADN, il a observé ces photons de lumière faire des choses qu’ils n’auraient jamais censés faire. Il s’est rendu compte que ce qu’il voyait était de la lumière – qui est multidimensionnelle, elle peut être à deux endroits en même temps – interagir avec la biologie humaine comme si la biologie était elle aussi interdimensionnelle. Il l’a vu. D’autres l’ont vu. Nous l’enseignons.

Donc, la première prémisse de tout cela est que votre biologie, votre chimie, votre ADN lui-même, a des aspects et des attributs multidimensionnels. Si c’est le cas, cela signifie que même la couche chimique, même la couche 3D de base, que les médecins vont pousser et tirer avec les connaissances actuelles de la chimie, avec les médicaments d’aujourd’hui, même cela est multidimensionnel. Laissez-moi vous demander ceci : utilisez-vous des outils multidimensionnels pour pousser sur cette couche chimique ? Vos médicaments ne le font pas, ils utilisent la 3D pour pousser sur une source multidimensionnelle, et le résultat, je vous ai dit ce matin, produit des effets secondaires pour chaque poussée. Peu importe ce que vous donnez à ce corps, il y a des effets secondaires, sauf pour une chose, une autre chose que vous avez découverte.

Homéopathie

Vous l’avez découvert il y a des centaines d’années, et pourtant vous n’en avez jamais fait en une vérité universelle. Et la voici. Vous avez découvert que vous pouviez donner des teintures mères, des complexes d’information à la couche chimique de base, sans effets secondaires. Même si vous donnez des instructions, dont l’effet chimique est infime, ces effets chimiques n’agissent pas sur la couche chimique de base mais le corps l’a vue, l’a reconnue et lui a obéi. « Obéit », c’est-à-dire que vous lui donnez une instruction et qu’il obéit.

Vous avez mal à la tête. Vous lui donnez une teinture mère appelée homéopathie. Le corps ne peut pas réellement voir cela comme de la chimie, mais il le voit plutôt comme une instruction. Me comprenez- vous ? Il ne le voit pas comme de la chimie, mais comme une instruction. Et le mal de tête disparaît.

Il y a quelque chose dans votre corps chimique appelé le corps Intelligent, inné. Cela fait partie de la chimie, c’est intégré. C’est le corps intelligent parce qu’il est souvent utilisé, même par des praticiens qui utilisent la kinésiologie, pour tester ce que vous ne savez pas sur vous-même. Le corps intelligent transmettra par les muscles des informations qui ne pourraient jamais pu être transmises autrement. Soudain, vous ouvrez une porte, même à la couche de base, qui dit : « Regardez, la chimie de base en 3D n’est pas tridimensionnelle. Elle doit être multidimensionnelle parce qu’elle réagit apparemment de manière non allopathique aux signaux qui lui sont donnés ». Que pensez-vous de toute cette idée de corps intelligent ? Ce corps intelligent, mes chers, vous a été donné pour que vous lui posiez des questions, il en sait plus que vous. Il ne fait qu’effleurer la surface de ce qu’il sait.

Ce premier aspect de guérison appelé chimie, est bien plus grand et plus important que tout ce que vous pouvez imaginer. C’est comme cela. La couche de base appelée chimie est le moteur du corps. C’est le moteur. Tout commence et s’arrête au moteur. Le moteur vous propulse vers l’avant ou ne le fait pas. Il fonctionne ou ne fonctionne pas. Il ne fonctionne pas partiellement car cela conduit alors à une défaillance. Votre moteur est constamment rajeuni pendant des décennies et des décennies et des décennies. C’est un moteur intelligent. Il est encore plus intelligent que vous ne le pensez. Mais tout commence et s’arrête au niveau du moteur, donc la couche chimique est cruciale.

C’est maintenant que vous commencez à poser des questions. Que pourriez-vous faire, pour donner des instructions au moteur de la chimie de base, qui le changerait ? Une question à ceux qui travaillent dans le domaine de l’homéopathie : Lorsque vous donnez une teinture mère, un remède à un être humain, et que l’être humain est ensuite guéri, question, pouvez-vous le voir dans la chimie ? Le microscope révèle-t-il le remède ? La réponse est oui, il le fait. En effet, oui, parce que le moteur est le moteur.

La chimie doit changer pour que la guérison ait lieu. Ainsi, si vous donnez une teinture mère pour renforcer le système immunitaire, par exemple, quelque chose qui est censé vous rendre moins vulnérable à la maladie, si vous testez l’être humain, constaterez-vous une augmentation du nombre de globules blancs ? La réponse est oui. Vous voyez, l’homéopathie fonctionne. Elle modifie la chimie. Contre toute attente, l’homéopathie est la clé de la compréhension des instructions qui modifient physiquement la chimie dans le corps. Donc tout ce dont je vais parler c’est, qu’est-ce qui dans la guérison, changerait la chimie. Il le faut. C’est le moteur.

Connaissez-vous des gens qui ont été guéris d’une maladie ? Connaissez-vous des gens qui ont eu une rémission au point que la maladie a disparu ? Avez-vous des amis qui auraient pu avoir une guérison divine ? Et s’ils ont eu une guérison divine rapidement, si vous regardez leur chimie au microscope, est-ce qu’elle a changé ? Et la réponse est oui.

Vous voyez, la guérison divine a changé le moteur. Donc la chimie, la première couche, le moteur du corps, réagira toujours, changera toujours avec les instructions qui suivent.

Jusqu’à présent, vos instructions, très chers, étaient des pilules. Et ces pilules ne donnent pas réellement des instructions. Elles sont en réaction. Un produit chimique pousse sur un produit chimique et en change un autre. Et dans le processus, il se produit beaucoup de changements, parce que vous voyez, il y a une unité dans ce champ énergétique.

Quand vous changez une chose, d’autres choses bougent, et d’autres choses changent. Actuellement, la chimie de base allopathique n’est pas très efficace.

Mais laissez-moi vous dire une chose. Si vous donnez les bonnes instructions qui n’influence pas la chimie mais modifient la réaction, il n’y a pas d’effet secondaire ! C’est une guérison en cascade.

Souvenez-vous de ce mot : une guérison en cascade. Lorsque vous donnez un ensemble d’instructions pour que le corps se renforce d’une manière, il se renforce de toutes les manières parce que c’est ainsi que le moteur fonctionne lorsque vous lui donnez un certain type de chimie. Si c’est votre voiture, vous lui donnez un certain type d’huile ou d’essence ou quoi que ce soit d’autre. Ce n’est pas tout qui s’améliore. Ça fonctionne mieux. Ça agit mieux. Ça dure plus longtemps. Il n’y a pas d’effet secondaire. Donc ce que je vous dis, c’est ceci. Vous allez développer des ensembles d’instructions qui créent une guérison en cascade, pas une chimie qui pousse les uns contre les autres et qui a des effets secondaires, mais une chimie qui change sa réaction à elle-même. Une chimie qui change les réactions en elle-même.

« Kryeon, de quoi parles-tu ? » Demandez à la personne qui a été guérie du cancer. Qu’est-ce que le microscope a montré ? Et elle dira : « Le docteur a dit que je n’ai plus de cancer. » « Donc vous voulez dire qu’il n’est plus là, et qu’un ange divin est assis dessus ? » Vous dites : « Comme c’est idiot de dire ça ! » « Eh bien, que s’est-il passé d’autre ? » Bien sûr, ça a changé la chimie ! Vous ne seriez pas en vie si ce n’était pas le cas. Je veux que vous compreniez ce point. Tout ce dont nous allons parler change la chimie, mais cela change la façon dont la chimie se regarde.

Héritage

Entrez dans la deuxième couche : la deuxième couche est votre héritage. Si vous êtes un penseur tridimensionnel et que vous ne voulez rien faire de ce message, vous allez dire : « Les gènes sont les gènes sont les gènes. Vous ne pouvez pas les changer et ils seront toujours là. Et si vous avez une prédisposition à une maladie que votre sœur avait, votre mère avait, votre père avait, cela demeure. Elle est là. Elle modifie votre structure cellulaire. Elle pousse sur elle. Les prédispositions sont ainsi. La prédisposition signifie que vous allez l’attraper. Il y a de fortes chances pour que la chimie se transforme en maladie comme c’est le cas chez vos proches. »

Donc l’héritage, très tridimensionnel, est examiné avec toute la chimie par tous les médecins pour voir quelles sont vos prédispositions à attraper ces choses ou à développer ces choses.

Qu’est-ce que je vous ai dit quand nous avons commencé ? Vous êtes dans un champ énergétique où tout réagit avec tout. Vous avez déjà découvert que l’homéopathie est un ensemble de signaux qui n’est pas vraiment linéaire, n’est-ce pas, parce que vous ne donnez pas de la chimie à une autre chimie. Vous lui donnez une teinture, tant de parties par million, qui sont si minuscules. Il est impossible qu’il y ait une réaction chimique et c’est prouvé. Alors pourquoi cela change-t-il ? Cela change parce qu’il a vu les instructions d’une source que vous n’avez pas encore comprise ou découverte ou dont vous ne reconnaissez pas vraiment son importance.

Et si je vous disais ceci. Il y a des ensembles de signaux qui peuvent parler à la partie de votre corps qui a hérité. Cela n’enlève pas le gène, mes chers, parce que ceux qui savent compter les gènes, ceux qui savent les reconnaître, la science qui pourrait dire que vous avez le gène pour ceci ou cela, ne change pas. La chimie n’a pas changé sur ce point. Mais ce qui a changé, c’est la réaction du corps au gène. Vous venez de réécrire le programme ! Est-il possible que vous puissiez réécrire un programme dans votre corps qui vous donne une prédisposition à la maladie ? Eh bien, si vous saviez comment fonctionne votre incroyable corps, il est programmé, tout est programmé. Il fonctionne d’une certaine manière parce qu’il est programmé pour fonctionner de cette manière. Il est programmé en tant que partie du génome, et ce que vous faites, c’est d’entrer et de réécrire ce programme.

Ce n’est pas spectaculairement étrange, mes chers. Ce n’est pas woo-woo, mes chers. Vous changez simplement le modèle de programmation qui est déjà là. « Kryeon, je ne comprends pas ce que tu dis. Es-tu en train de dire que si j’ai le gène d’une certaine maladie, je peux réécrire tout cela, et cela ne me donnera pas cette maladie ? Bienvenue à la compréhension ! Oui, c’est exactement ce que je suis en train de dire.

Donc, même dans les deux premières couches, il y a des miracles. Je n’ai même pas encore touché au woo-woo. Je n’en suis pas encore à la troisième et à la quatrième. C’est pour demain. Déjà les deux premières, juste les deux premières, ont des miracles qui attendent que vous les découvriez. Oui, vous pouvez réécrire. « Comment reprogrammer ? Kryon, dis-moi quel est le processus ? Qu’est-ce que je dois traverser ? » Pendant 31 ans, je t’ai donné les réponses, livre après livre, canal après canal. Tout est là.

Tout commence avec votre croyance

Cela commence avec votre croyance. Ce que vous reconnaissez dans votre cerveau devient votre réalité. Adironnda, qui canalisait avant moi, a dit la même chose. Ce que vous imaginez, vous pouvez le créer. Ce que vous pensez change les résultats. Nous l’avons dit tellement de fois, et maintenant cela devient même la réalité. Une partie de la science commence même à voir que ceux qui s’imaginent toujours malades le deviennent, et que ceux qui s’imaginent toujours bien portant ne le deviennent jamais. Et ils disent que la conscience doit donc jouer un rôle dans la santé. Bienvenue à la compréhension ! Oh, elle ne joue pas un rôle quelconque ; elle joue le rôle entier. Nous n’en sommes pas encore là. Cela viendra demain.

Vous devez d’abord croire que vous le pouvez. Ceux qui disent : « Eh bien, je pense que je vais essayer », il ne se passera rien. Vous n’essayez pas. Si je vous dis que la gravité va prendre le dessus lorsque vous sautez du bord de la rivière pour aller dans l’eau, vous dites : « Vraiment ? Vraiment ? Je pense que je vais essayer. » Vous n’essayez pas. Vous allez dans l’eau, vous voyez. Vous devez le savoir, le comprendre. Vous devez le posséder. Vous devez travailler sur vous-même au point de dire : « Je suis une créature qui est quantique. J’ai la capacité dans mon âme, de m’asseoir dans le champ (quantique) et de travailler avec ma propre chimie. »

Les affirmations entrent en jeu, mes chers, des affirmations où vous vous répétez sans cesse une vérité qui devient alors la vérité. Je suis fort. Je suis en bonne santé. Je suis libre de toute maladie.

Connaissez-vous le pouvoir de cela ? C’est pour demain. Mais vous savez déjà où nous allons avec ça. Le moteur de votre corps, la chimie physique de votre corps va changer. Et ils pourront le tester en laboratoire. « Pourquoi, Monsieur, Mademoiselle, peu importe, nous constatons que votre système est beaucoup plus puissant qu’il ne l’était la dernière fois que vous étiez ici ? Qu’est-ce que vous faites ? Quels sont les médicaments que vous prenez aujourd’hui ? Nous voulons le savoir. » Vous répondez : « C’est la pilule de la foi. C’est la pilule que je prends aujourd’hui, de la prise en charge de mon propre corps. »

Trouvez un guérisseur

C’est le un et le deux. C’est juste une réflexion de base, tridimensionnelle, autour d’une énergie quantique qui est là, que vous ne comprenez pas entièrement. La guérison est bien plus facile que vous ne le pensez. Ce n’est pas un mystère. Mais si vous croyez tout ce qu’on vous a dit sur ce que vous pouvez et ne pouvez pas faire, rien ne va se passer. Votre héritage est comme un programme qui accomplira son destin à moins que vous ne le changiez. À moins que vous ne le changiez. Vous vous trouvez dans un champ d’opportunités, de capacités, dont personne ne vous a vraiment parlé, qui pourra créer des guérisons dans votre corps avec et sans aide, mais surtout si vous avez un guérisseur qui vous guidera à travers certaines de ces difficultés. Et ils regardent maintenant. Et ils regardent maintenant et disent : « Continue, Kryeon, dis-leur. » Ces guérisseurs sont ceux qui vous prendront par la main et vous diront : « Voici comment on fait. » Et c’est pourquoi ils regardent cette émission.

C’est pourquoi ils existent en tant que vieilles âmes sur cette planète parce qu’il y en a tellement qui ne comprennent pas vraiment comment croire. Que faites-vous, être humain, lorsque toute votre vie on vous dit que quelque chose est d’une certaine manière, et que soudain vous apprenez que ce n’est pas vrai ou que cela peut ne pas être vrai ou qu’il pourrait y avoir une autre manière ? Quelle est votre première impression ? Est-ce de « marcher dans l’autre sens », n’est-ce pas ? Eh bien, peut-être que cela changera aussi.

Il y a une nouvelle énergie sur cette planète, très chers. Mon temps est écoulé. Demain, je vous révélerai les couches trois et quatre, et je vous parlerai de plus en plus de la véritable capacité à modifier la chimie de votre propre corps.

Et la quatrième canalisation ? Et bien, nous verrons de nouvelles instructions pour mon partenaire, des instructions de guérison.

Je suis Kryeon amoureux de l’humanité pour une bonne raison, être capable de vous donner des informations grâce à cet amour. À cause de cet amour.

Et c’est ainsi. Kryeon

Kryeon est un groupe d’entités angéliques, canalisés par Lee Carroll – le canal original de Kryeon. Ses messages à l’humanité nous autonomisent, sont profondément ésotériques et très spirituels, apportant une vision du futur nouvelle et belle. Lee Carroll canalise Kryeon depuis 1989. Ces canalisations doivent rester gratuites et être partagées intégralement.

SOURCE ORIGINELLE :  https://www.nancycote.ca/Kryeon/

Apprendre à douter pour avoir une chance de guérir

Non seulement pour éviter que les démarches au service de la santé et de la guérison deviennent des religions intégristes, mais surtout pour préserver le libre-arbitre du malade et pour respecter la complexité des processus naturels de guérison… Aujourd’hui, je vous invite à pousser encore plus loin notre apprentissage du doute pour questionner les fondements mêmes de la démarche scientifique.

 Le problème ne vient pas tant du réductionnisme lui-même que de l’inconscience de ceux qui font la science ! Si un scientifique est inconscient de la relativité et de l’imprécision de toutes les lois avec lesquelles il travaille, il confond la carte avec le territoire représenté par cette carte. Et il tend alors à considérer la théorie comme La Vérité incontestable et indubitable, puisque cette théorie se confond avec le Réel qui lui, ne peut être remis en doute. Du coup, il cherche à ce que les faits observés se plient à la théorie plutôt que de soumettre la théorie aux faits. En faisant cela, ce n’est plus de la science qu’il pratique, mais du scientisme.


À ce propos, le philosophe Louis Jugnet écrivait fort justement : « Le scientisme, c’est […] l’impérialisme de la Science de laboratoire sur tous les domaines de la pensée et de la conscience de l’homme. » Une fois installé dans cette attitude rigide, il ne reste qu’un pas pour entrer dans l’intégrisme scientifique. Ce pas est franchi lorsqu’on rejette tous les faits nouveaux qui pourraient remettre en question la théorie, afin de préserver, coûte que coûte, l’orthodoxie scientifique !

La santé humaine peut-elle faire l’objet d’études scientifiques ?

Nous venons de voir que les sciences dites exactes ne sont pas si précises et exactes que cela. Alors, qu’en est-il lorsqu’on cherche à étudier l’être humain, dans toute sa complexité et dans toutes ses dimensions (physiologique, psychologique, sociale, spirituelle, etc.) ? Pour répondre à cette question, un nouveau retour vers la physique ne sera pas inutile ! Imaginez qu’on attache trois pendules ensemble.

Le premier pendule est suspendu à un support fixe, le deuxième est suspendu à l’extrémité du premier et le troisième à l’extrémité du deuxième. Savez-vous que, dans ce cas, il devient non seulement impossible d’écrire l’équation du mouvement de cet ensemble pourtant simple, mais en plus, l’évolution du système devient imprédictible ? Autrement dit, dès qu’un système devient trop complexe, aucune loi scientifique ne peut plus être énoncée !


Si on revient à l’être humain, et qu’on restreint pour l’instant notre étude à son seul corps physique, on comprend immédiatement qu’une description scientifique du fonctionnement du corps est strictement impossible ! Car le corps est composé de milliards de cellules, de centaines de tissus et d’organes, de milliers de substances physico-chimiques différentes… De plus, chaque organe influence le fonctionnement d’autres organes qui, à leur tour, rétroagissent sur cet organe ! C’est ce qu’on appelle, dans l’approche systémique, les boucles de rétroaction.

La médecine officielle continue de vouloir se présenter comme scientifique. Probablement pour que tous les humains finissent par adhérer à sa vision, comme on adhère à une religion qui se veut universelle. La médecine prétend être scientifique, et pourtant elle ne l’est pas et ne pourra jamais l’être ! Car c’est un art, pas une science. Ceux qui prétendent le contraire tombent dans le piège du réductionnisme, du scientisme et/ou de l’intégrisme que j’ai définis plus haut. Leurs arguments pour défendre le statut scientifique de la médecine résistent très peu de temps à une analyse critique. Car le fait d’utiliser de plus en plus d’appareillages techniques et technologiques ne confère nullement à la médecine le statut de science ! De même que ce n’est pas parce que vous utilisez un GPS ou un téléphone intelligent que vous devenez, pour autant, un scientifique…

Par ailleurs, fonder ses affirmations sur des statistiques ne transforme pas la médecine en une science. Je rappelle que pour qu’une affirmation devienne une loi scientifique, il faut que l’énoncé soit vérifié dans 100 % des cas. Or, en médecine, aucun énoncé ne se vérifie dans tous les cas… Enfin, la médecine se contente de décrire des phénomènes isolés les uns des autres en coupant systématiquement toutes les boucles rétroactives présentes dans le corps… C’est comme si on essayait de décrire le fonctionnement d’un thermostat de chauffage en n’étudiant que le lien entre la chaleur du radiateur et l’arrêt du thermostat, mais sans tenir compte du lien entre le thermostat et la chaudière ni du lien entre la chaudière et le radiateur. En linéarisant les boucles systémiques, on perd totalement la compréhension des phénomènes complexes.


Pour toutes ces raisons, je vous invite à cultiver le doute à l’égard de toute démarche scientifique en général, et ainsi qu’à l’égard de la médecine officielle qui revendique un statut qu’elle ne possède même pas… 

LIRE L’ARTICLE EN SON ENTIER ICI : https://www.neosante.eu/faut-il-douter-de-la-medecine-scientifique%e2%80%89/#more-5975

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Auto-thérapie Multidimensionnelle

Ton âme est heureuse lorsqu’elle crée. La créativité est l’essence de ce que tu es, parce que tu viens de la Source Amoureuse Infinie

Elle,  la première, crée constamment dans le Grand Univers ! Il est donc très important si tu souhaites vivre heureux(se), d’avoir des projets, des rêves, un idéal vers lequel tu avances. Et pour ressentir une grande vitalité, un grand dynamisme dans ces  projets, tu dois t’aligner sur ce que tu Aimes vraiment. C’est l’Amour qui nous propulse dans toutes nos créations. Sans Amour pour une personne ou une situation, toute création devient immensément lourde et difficile, voir même impossible à un moment donné.

Écoute en toi ce que tu Aimes. Observe ce que tu fais avec passion dans tes loisirs, autrement dit, quand tu ne reçois aucun salaire, aucune rétribution, aucune appréciation et aucun commentaire particulier d’un patron ou de gens négatifs autour de toi.  C’est dans ce champ habituellement que tu es appelé à travailler ou à développer de nouveaux projets… De mon côté, j’ai un immense projet à travers le Réseau de Solidarité Planétaire que je veux développer. J’invite les gens à mettre une heure (ou plus) de leur temps par mois (ou par semaine) gratuitement, au service des autres, dans un domaine qu’ils aiment et où ils sont compétents.

Si tu veux m’aider à développer mon grand Projet planétaire… dis-moi de quel type de personne tu es le plus parmi les gens de ces 12 Équipes et il se peut qu’à l’occasion je te demande si tu as une heure de ton temps et de tes talents à offrir:

CONSULTEZ LES 7 DIMENSIONS DE LA VIE : https://devantsoi.forumgratuit.org/f102-les-7-dimensions-de-la-vie

VOICI CES 12 ÉQUIPES:

1. Les Administrateurs

2. Les Communicateurs

3. Les Professeurs

4. Les Guérisseurs

5. Les Constructeurs, Rénovateurs ou Décorateurs

6. Les Harmonisateurs (dans les groupes)

7. Les Organisateurs et Animateurs

8. Les Inventeurs et Concepteurs

9. Les Chanteurs, Danseurs et Comédiens

10. Les Créateurs d’Oeuvres d’Art

11. Les Diffuseurs d’Oeuvres créées

12. Les Alimentateurs au niveau biologique

Bienvenue à chacun, quel que soit son âge et son bagage.

Chaque être humain est très précieux pour moi. Ensemble nous sommes très puissants !  

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Donner de la sérénité à ses douleurs

Il est intéressant de constater que notre époque moderne, qui développe de plus en plus la communication vers l’extérieur, est aussi celle de l’éloignement de soi. Notre science, nos scientifiques et nos politiques qui voudraient tant tout savoir ou maîtriser, sont dramatiquement effrayés dès que l’on parle de l’ « homme » ou d’humanisme. Ces dimensions que l’on ne peut ni chiffrer ni contrôler font peur, alors on les évite, on les fuit. C’est cette fuite qui fait, entre autres, le lit des sectes et de nombreux thérapeutes gourous, trop heureux de s’engouffrer dans un domaine délaissé et si vaste que tout et n’importe quoi peut y être dit ou fait.


Cet état de fait génère une psychose aggravante, puisque aujourd’hui tout ce qui parle de ces dimensions devient suspect. Ce n’est pas un rapport fait à la va-vite (quelques heures) par des parlementaires ne pouvant arguer de compétences particulières qui peut permettre que cela change, bien au contraire. Cependant, qu’on le veuille ou non, les dimensions subtiles de l’être humain s’expriment tous les jours. Pour pouvoir les comprendre et accéder à leur sens profond, il nous faut accepter que le paradigme qui les concerne soit différent de celui du regard mécaniste.

Il en est ici comme des différences fondamentales qui existent entre les physiques classique et quantique. L’une se préoccupe du pondéral et du macroscopique et l’autre, du subtil et du microscopique. Elles ne s’excluent pas, contrairement à ce que certains voudraient. Elles ne s’intéressent pas aux mêmes niveaux tout en étudiant la même chose. Le lien entre elles, comme pour l’humain, est un principe de cohérence. Nous devons l’accepter car c’est lui qui permet d’unifier la connaissance et ses différents paradigmes, non pas antagonistes, mais complémentaires.

 Accepter cette idée, c’est se donner la possibilité de lire ce lien à travers le langage du corps. […] Associé à des pathologies types, ce livre a pour but de vous aider à mieux accompagner les autres (ou vous-mêmes) vers l’état de santé, en donnant un sens à ce qui nous arrive. Cela est fondamentalement nécessaire car si, bien souvent, les autres (amis, médecins, psychologues, thérapeutes, guides spirituels) peuvent nous aider et même parfois nous soigner, nous sommes en revanche les seuls à pouvoir nous guérir. […]

Les relations corps/esprit


Il me semble difficile de comprendre les relations entre le corps et l’esprit, et par conséquent la signification des maux du corps par rapport aux bleus de l’âme, si nous n’élargissons pas le regard que nous portons sur l’homme et la vie. Si nous restons en effet au stade de l’homme « machine », composé de pièces indépendantes et interchangeables en fonction des progrès techniques de la science, les relations que j’ai faites dans mon précédent livre ou que je fais dans celui-ci vont sembler tenir de la magie, de la voyance, de l’imaginaire ou du délire.

C’est bien là que se situe la question, à savoir comment et pourquoi relier les manifestations physiques, les symptômes, les maladies ou les accidents avec ce qui se passe, ce qui se joue en nous ? L’observation mécaniste ne peut pas le faire car son regard est trop collé au symptôme, son champ d’observation trop restreint, que ce soit dans le temps ou dans l’espace. Cela l’empêche d’aller chercher la vraie cause qui ne peut alors se justifier que par le hasard (accident) ou par des éléments qui nous sont extérieurs (virus, microbe, nourriture, environnement, etc…).


En élargissant notre regard et en observant l’homme dans sa globalité physique ou temporelle, nous allons pouvoir à nouveau relier les différents niveaux qui composent son existence, lui donnant sa dimension véritable, qui est avant tout spirituelle. Nous pourrons alors peut-être comprendre la raison d’être de l’homme et, par conséquent, les raisons de son mal-être. L’Orient nous propose une image fort intéressante pour représenter ce véhicule particulier qu’est notre corps physique et ce Chemin de Vie sur lequel nous avançons. Cette image de Calèche qui avance sur le Chemin de Vie, tirée par les chevaux de nos émotions et conduite par le Cocher de notre mental, illustre parfaitement l’idée de relation entre conducteur et véhicule, entre confort et façon de conduire, la place majeure étant donnée au voyageur caché, ce Non-Conscient qui connaît l’itinéraire mieux que le Cocher.


En tout cas, si nous acceptons l’idée de relation directe entre le corps et l’esprit, il devient alors intéressant de connaître le sens des manifestations physiologiques. Elles deviennent les points d’appui de notre réalisation, ce à travers quoi elle s’exprime. Ces manifestations peuvent être aussi un remarquable moyen de décodage et de compréhension de la partie que nous jouons, de ce qui se passe en nous. Notre corps se transforme alors en un extraordinaire outil de connaissance. Encore faut-il essayer de déchiffrer et de comprendre à travers quels processus types  il s’exprime… Extrait d’un livre à lire………

Un ouvrage qui s’inscrit dans la continuité de « Dis-moi où tu as mal, je te dirai pourquoi ». Ce lexique de Michel Odoul décode plus de 300 pathologies ou traumatismes. Il nous permet de donner un sens à ce qui nous arrive, et de sortir de l’idée de fatalité souvent associée à la maladie ou aux accidents. Nous pouvons ainsi reprendre les commandes et décider de changer la situation. Ce livre constitue la suite logique de Dis-moi où tu as mal, je te dirai pourquoi, qui en posait les bases essentielles. Il est destiné à tous ceux qui, après la lecture du précédent ouvrage, veulent en savoir plus. La qualité des informations données en fait un excellent outil d’accompagnement du travail pour les professionnels de la santé, et ce quelle que soit leur approche thérapeutique, énergéticiens, shiatsu thérapeutes, psychothérapeutes, ostéopathes, médecins, personnel soignant, etc.

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Le lâcher-prise comme moyen de guérison

Le lâcher-prise favorise un élargissement de la conscience. Lâcher prise signifie laisser aller, s’en remettre à une force supérieure, à la puissance divine. C’est avoir la foi et faire confiance à la vie. Lâcher prise n’est pas synonyme de se laisser aller. Se laisser aller, ce serait abdiquer, ne plus croire et ne plus vouloir vivre.


Nous devons apprendre à abandonner et à nous abandonner. Lâcher prise, c’est laisser aller les événements sans intervenir, sans chercher à garder toujours le contrôle.


Notre attitude et nos ressources intérieures influencent grandement notre pouvoir de guérison et notre qualité de vie à court, à moyen et à long terme. Dans ce contexte, j’avais un choix à faire : accepter de n’avoir pas nécessairement le dernier mot ! J’ai alors eu besoin d’une très grande force intérieure pour calmer mon mental qui était tout ébouriffé, ma raison tellement inquiète de ne plus rien contrôler. C’est à ce moment précis que j’ai dû lâcher prise et m’en remettre très humblement aux autorités médicales compétentes et à la Puissance divine.


En tant que créatures divines, nous sommes reliées à la puissance universelle. Cette force qui régit l’univers nous régit aussi. La nature n’a pas besoin de nous pour s’épanouir. Toute forme de vie végétale, animale et humaine prend sa source dans l’Univers. La graine germe en terre, croît et meurt selon son cycle sans que l’humain ait à intervenir dans ce processus sacré. Une force supérieure est à l’origine de toute vie, et c’est à cette source que nous devons activer nos énergies de guérison. Nous faisons agir le Divin en nous, ce potentiel énergétique qui réside en chacun de nous, et nous puisons à cette source intarissable. Notre véritable pouvoir de guérison est à l’intérieur de nous.


La perte de contrôle occasionnée par ma maladie m’a amenée à lâcher prise face à mes anciens comportements, à mes anciennes structures et perceptions. Cela m’a fait un bien énorme et m’a permis d’apprendre à vivre autrement. Je ne suis plus figée dans le passé. Je m’efforce de vivre le moment présent et d’être totalement disponible quoi que je fasse ou quoi que je ressente. Cela exige néanmoins beaucoup d’attention.

Plus l’emprise de notre attachement au passé se resserre, plus notre douleur et notre confusion deviennent stressantes et limitatives. Notre esprit devient de plus en plus étroit et focalise sur les mêmes éléments, les mêmes pensées, les mêmes dialogues intérieurs. C’est à ce moment-là que la maladie s’installe parce que nous sommes en état de faiblesse, de la même manière qu’une plante sera envahie par les pucerons si son équilibre est perturbé.


Dans le but de retrouver notre force et notre vigueur, l’attachement au Moi, l’attachement aux autres et l’attachement au passé doivent être relâchés et dépassés. Plus l’emprise de l’attachement se relâche, plus nous nous sentons libres, guéris et à l’aise. La paix de l’esprit s’installe alors à nouveau. Comme le dit encore si bien Tulku Thondup dans Une source inépuisable de paix et de guérison : « Être en paix, ce n’est pas seulement être dans un état neutre de repos, où pensées, actions et émotions sont absentes. C’est être conscient des expériences et des manifestations paisibles de notre esprit. La paix de l’esprit génère la joie, cette joie née de la conscience de l’absence de conflit, une joie ouverte et sans limites. Grâce à la force qui émane de cette prise de conscience de notre paix intérieure, rien ne peut nous déranger. »

Notre âme s’incarne dans un but précis, celui d’expérimenter diverses situations riches en contenu et significatives pour elle. C’est grâce à cette expérimentation que se poursuit notre évolution spirituelle. Me choisir veut donc dire permettre à l’être que je suis de réaliser pleinement son plan de vie. Pour me choisir, il est essentiel que j’apprenne à me connaître, à me faire confiance et à aller au bout de mes rêves.

Si nous nous contentons d’éliminer les cellules malades par un traitement de médecine traditionnelle sans régler notre problématique sur le plan psychique, nous pouvons penser que le cancer reviendra ou qu’il poursuivra sa course dans notre organisme puisque le problème de base n’est pas résolu. Il devient donc récurrent. Je pense que la solution pour guérir est de traiter à la fois le corps, l’âme et l’esprit. Nous entrons ainsi dans une nouvelle phase de notre vie et nous guérissons.


(1) Extrait du livre « Activer son pouvoir de guérison, découvrir le message du cancer et des autres maladies » , par Johanne Robitaille Manouvrier (Editions Publistar).

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