LES PIERRES : Une influence positive sur la santé


Selon la tradition issue de l’alchimie, certaines pierres précieuses possèdent des influences positives quel que soit celui qui l’utilise. On conseille de la malaxer dans ses mains ou de la porter sous forme de bijoux. Ainsi l’Émeraude augmente la mémoire et a un effet bénéfique en cas de baisse d’énergie. Le Rubis a un pouvoir de réconciliation des contraires en cas de conflit interne. Quant au Saphir, il protège des pensées négatives…

UN SITE A NE PAS MANQUER : https://divinations938228816.wordpress.com/category/oracle-des-cristaux-eternels/

Lithothérapie, chakras et signe zodiacal


Du grec « lithos » signifiant pierre, la lithothérapie fait partie de la branche des médecines douces. Elle utilise l’énergie des pierres pour ré-harmoniser l’organisme. Ces échanges énergétiques ont lieu au niveau de centres subtils appelés chakras. Issus de la connaissance yoguique, les chakras principaux sont au nombre de sept et se situent le long de la colonne vertébrale, du périnée au sommet de la tête.

À chaque chakra correspond donc une pierre :


1) Le chakra racine ou mulhadara  => la pierre de Jaspe rouge.
2) Le chakra sacré ou swadistana => la pierre Cornaline.
3) Le chakra du plexus solaire ou manipura => la pierre Citrine.
4) Le chakra du cœur ou anahat => la pierre Aventurine.
5) Le chakra de la gorge ou vishudi => la pierre Sodalite.
6) Le chakra du troisième œil ou ajna => la pierre Améthyste.
7) Le chakra couronne ou sahasraha => le Cristal de roche.


À noter aussi que la lithothérapie prend en compte les concordances existant entre certaines pierres et les signes du zodiaque. Ainsi, les pierres de couleur rouge sont plutôt bénéfiques aux natifs du signes du Bélier, celles de couleur jaune à ceux nés sous le signe du Taureau et les multicolores conviennent aux natifs des Gémeaux. Le « Dictionnaire de la lithothérapie », chez Ambre Éditions, est un ouvrage de référence exhaustif pour qui veut en savoir plus concernant les liens entre les pierres et chaque signe zodiacal…

Exemple : LA LABRADORITE – Chakra du troisième œil (https://divinations938228816.wordpress.com/2020/08/05/la-labradorite-chakra-du-troisieme-oeil/ )

LABRADORITE = Capacités psychiques : Vous êtes né avec des dons psychiques qui vous sont propres et uniques. Ayez confiance en eux et sachez que vous êtes véritablement connecté avec vos guides spirituels et vos anges. Le tirage de la carte de la labradorite vous annonce la venue d’un temps où vous serez davantage en contact avec votre intuition et vos capacités psychiques. etc…

Le règne minéral, présent dans le corps humain, est nécessaire à son bon fonctionnement. Calcium, magnésium, fer, or et argent sont autant de véhicules énergétiques. Magnétiseurs et lithothérapeutes travaillent sur cet équilibre.

Depuis les temps les plus reculés, l’Homme a utilisé la vibration des cristaux à des fins de prédiction. Les rois les faisaient placer sur leurs couronnes car ils savaient qu’ils se connectaient ainsi à des énergies subtiles. Aujourd’hui, le cristal de roche fait fonctionner nos montres à quartz. Les technologies d’avant-garde font aussi appel au monde minéral pour perfectionner la puissance des lasers. Mais selon le « Dictionnaire des symboles », publié aux Éditions Robert Laffont, il existe entre l’âme et la pierre un rapport étroit. Cette concordance singulière a notamment été mise en avant dans le cadre de la lithothérapie…

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Les tisanes pour une meilleure santé

À en croire des statistiques récentes, près de 30 % de la population française souffriraient de troubles du sommeil, dont 10 % d’insomnies sévères. Tomber dans les bras de Morphée ne va donc pas toujours de soi, même si la fatigue est bien là. Les nuits peuvent devenir, si l’on n’y prend garde, de véritables sources d’angoisse. Avant d’en arriver là, quelques astuces sont cependant applicables…

Selon le docteur Sylvie Royant-Parola, auteure de « Comment retrouver le sommeil par soi-même », la première cause d’insomnie est liée au psychisme. Ainsi, beaucoup de sujets éprouvent des difficultés à lâcher prise le soir venu sur les événements diurnes. Par ailleurs, le nombre d’heures de sommeil dont chacun a besoin diffère d’un individu à l’autre. C’est donc la qualité du sommeil qui importe, plutôt que la quantité.

Les erreurs à éviter


Pour dormir mieux, les spécialistes préconisent de faire de la chambre à coucher un lieu où le monde extérieur ne devrait pas venir interférer. Si l’on a du mal à s’endormir, il est donc déconseillé de laisser dans la pièce un poste de télévision, chose très courante aujourd’hui. Idem en ce qui concerne l’ordinateur portable ou l’iPad. Il s’agit de se mettre dans les meilleures conditions pour se retirer du monde. En outre, il faut veiller à ne pas trop manger avant de se coucher. Les sucres lents – en portion raisonnable – tels que les pâtes, les pommes de terre ou le riz – sont à privilégier car ils ont un léger effet somnifère. Parmi les plantes apaisantes qu’il serait bon d’essayer sous forme de tisanes, pensons à l’aubépine, excellente pour le muscle cardiaque et favorisant l’endormissement. Quant à la valériane, elle est appelée par certains la plante des mille et une nuits. À ne pas oublier aussi la passiflore, efficace contre l’anxiété, et le millepertuis, véritable antidépresseur naturel.

Les huiles essentielles


L’aromathérapie propose un large panel d’huiles essentielles favorables à un superbe sommeil : l’oliban, la rose, le néroli ou encore la fleur d’oranger ont la propriété de stimuler la glande pinéale dans le sens d’un apaisement des tensions. Les spécialistes conseillent également, lorsque cela ne suffit pas, de verser 2 gouttes d’huile essentielle de ravensare ou de marjolaine dans une cuillère de miel au dîner et au coucher. Une autre recette consiste à se masser le plexus solaire avec de l’huile essentielle de bigaradier, diluée au préalable dans de l’huile végétale. Essayez également de diffuser dans la pièce où vous dormez de la lavande pendant 15 minutes avant d’aller au lit et de verser 2 gouttes de cette même lavande sur votre oreiller.

Les tisanes santé
 

LES TISANES :

Boisson concoctée à partir de l’infusion de feuilles, de graines, de racines ou d’écorces, la tisane constitue non seulement une véritable médication contre certains troubles mais renoue, le temps de son ingestion, avec une certaine sensibilité. « Des tisanes d’herbes toutes fleuries et qui descendaient en moi, chaudes, parfumées » égrène le poète Jean Giono…

Voici quelques échantillons de ces boissons naturelles, accompagnées de leurs propriétés bienfaitrices…

La menthe poivrée, originaire du Moyen-Orient, est généralement recommandée pour traiter les gaz abdominaux. Elle convient surtout à la saison estivale grâce à ses vertus hydratantes.

Le gingembre favorise la digestion, combat la nausée et le mal des transports.

La camomille possède des vertus calmantes qui la rendent efficace en cas d’insomnies mais aussi pour calmer la toux.

Le rooibos est une plante cultivée en Afrique du Sud, bien connue pour ses propriétés antioxydantes et sa forte teneur en vitamine C. D’une saveur très agréable, elle ralentit les effets du vieillissement et participe à la résolution d’affections cutanées comme l’eczéma.

La mélisse, à laquelle on peut rajouter du sirop d’érable, constitue un excellent remède pour combattre l’anxiété. Les naturopathes la conseillent aux enfants sujets aux cauchemars.

Le pissenlit contribue à nettoyer le foie.

L’églantier fortifie l’organisme.

La chicorée purifie la peau. Seule ou associée à d’autres plantes, elle se révèle idéale en cure printanière.

La passiflore calme le système nerveux.

La bardane, plante diurétique par excellence, élimine les toxines.

La marjolaine stimule l’appétit et combat le rhume.

La reine des prés soulage les douleurs et favorise l’élimination de la cellulite. Elle possède en outre de puissantes vertus anti-inflammatoires et s’avère une aide précieuse pour perdre quelques kilos.

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En relation avec ton propre ADN

La médecine, la médecine ésotérique utilise depuis des siècles quelque chose qu’elle ne comprend pas vraiment. Elle sait que cela fonctionne, mais elle ne sait pas vraiment comment. L’homéopathie est mystérieuse parce que sa dilution est trop faible pour réagir « chimiquement » à quoi que ce soit dans le corps, mais elle fonctionne.

 L’Être Humain l’ingère normalement. C’est absorbé sous la langue et ça fonctionne. Cependant, si vous posez la question aux personnes qui sont enclines à dispenser et à utiliser l’homéopathie, elles vont trouver toutes sortes de raisons pour lesquelles ça marche. Mais ce sont des suppositions.

La raison pour laquelle ça fonctionne, est que la faible dose de dilution que vous présentez au corps est « vue » et elle communique avec ce qu’on appelle le « corps inné et intelligent ». Ce n’est pas l’intellect, ni votre cerveau ni ce que vous pensez, être la chimie de votre corps en 3D.

C’est un signal envoyé au corps, lui disant qu’il peut se guérir lui-même. Ce signal n’a pas une direction spécifique, mais le corps voit l’intention de l’Être Humain et la chimie dans le médicament. Le corps inné intelligent sait immédiatement quoi faire. Il commence à guérir là où il sait qu’il doit guérir. Combien y a-t-il de sortes de remèdes homéopathiques ? D’innombrables types, et ils sont connus pour fonctionner sans aucune indication. Il s’agit d’un processus en marche dans le corps – il doit en être ainsi.

Vous « donnez des instructions » aux cellules souches pour qu’elles aillent à un endroit dans le corps et qu’elles restent là où elles peuvent être utilisées.

des centaines de trillions de molécules d’ADN sont identiques dans le Corps Humain. Quelque part, elles « se parlent » instantanément. Si une molécule d’ADN sent quelque chose, elles le sentent toutes. La science ne sait pas encore cela. Il se peut qu’elle y ait pensé, mais elle ne le sait pas. Il y a un mystère ici, concernant la façon dont l’ADN fait ce qu’il fait. D’une certaine manière, il doit communiquer, mais pourtant il n’y a pas de processus de communication connu pour votre science, qui pourrait l’expliquer. Mais elle « voit » toute l’intention de votre programme comme ne faisant qu’un et le mettant en œuvre comme tel.

Le champ autour de l’ADN est quantique et il répond de diverses manières à tout autre état quantique qui lui est donné. La réponse n’est pas linéaire, pas par le biais de la chimie ni à travers la pensée intellectuelle. Ce monde quantique, autour de vous, est un monde que vous n’avez pas encore mesuré et que vous ne pouvez pas encore voir. Il n’existe pas encore d’instruments pour prouver son existence, mais il y en aura et quand ce moment arrivera, vous le verrez clairement.

Alors, vous saurez que j’ai raison.

Si l’ADN est entouré par une sorte d’état quantique, cela signifie qu’il a des attributs quantiques avec d’autres choses qui sont également dans un état quantique. Selon vous, quelles sont ces autres choses quantiques ? Les tons que vous chantez sont quantiques (faisant référence aux tons pinéaux que Todd a développés). La biologie des semences venant des Pléiadiens est quantique. Je vais aller plus avant et l’affirmer. Yawee va comprendre. Au niveau quantique, ce champ multidimensionnel qui relie tout l’ADN a une intelligence unique, et il est connecté au modèle d’origine.

Cela signifie qu’il « sait » – comme l’homéopathie – exactement ce que vous essayez de faire, et il est bienveillant au maximum !

Extrait de L’ENTRÉE DANS L’ANNÉE 2014 –  channeling du 15 décembre 2013 paru sur
http://www.kryon.com/CHAN%202013/k_channel13_LAGUNA.html – 

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PROCÈS CONTRE LES INSECTES

Au moyen Age

Occupons-nous maintenant des procès intentés pendant le moyen âge contre les insectes et autres animaux nuisibles aux productions du sol, tels que mouches, chenilles, vers, charençons, limaces, rats, taupes et mulots. Souvent les récoltes sont dévorées par des quantités innombrables d’insectes qui font invasion sur le territoire d’un canton, d’une commune.

Au moyen âge l’histoire mentionne fréquemment des calamités de ce genre. Ces fléaux produisaient d’autant plus de ravages, que la science agronomique, presque dans l’enfance à cette époque, offrait moins de moyens pour combattre ces désastreuses invasions.

Afin de conjurer ces maux sans remèdes humains, les populations désolées s’adressaient aux ministres de la religion. L’Église écoutait leurs plaintes; leur accordant sa sainte intervention, elle fulminait l’anathème contre ces ennemis de l’homme, qu’elle considérait comme envoyés par le démon.

Alors l’affaire était portée devant le tribunal ecclésiastique, et elle y prenait le caractère d’un véritable procès, ayant d’un côté pour demandeurs les paroissiens de la localité, et de l’autre pour défendeurs les insectes qui dévastaient la contrée. L’official, c’est-à-dire le juge ecclésiastique, décidait la contestation. On suivait avec soin dans la poursuite du procès toutes les formes des actions intentées en justice. Pour donner une idée exacte de ce genre de procédure et de l’importance qu’on attachait à en observer les formes, nous extrairons quelques détails d’une consultation qui fut faite sur cette matière par un célèbre jurisconsulte du seizième siècle. L’auteur de cette consultation, ou plutôt de ce traité ex professo, était Barthélemi de Chasseneuz ou Chassanée, successivement avocat à Autun, conseiller au parlement de Paris et premier président du parlement d’Aix.

Après avoir parlé dès le début de l’usage où sont les habitants du territoire de Beaune de demander à l’officialité d’Autun l’excommunication de certains insectes plus gros que des mouches, et appelés vulgairement hurebers (huberes) , ce qui leur est toujours accordé, Chasseneuz traite la question de savoir si une telle procédure est convenable. Il divise son sujet en cinq parties, dans chacune desquelles il saisit l’occasion d’étaler l’érudition la plus vaste et souvent la plus déplacée; mais cette habitude, comme on le sait, était ordinaire aux écrivains de cette époque.

Chasseneuz, pour consoler les Beaunois du fléau qui les afflige, leur apprend que les hurebers dont ils se plaignent ne sont rien en comparaison de ceux que l’on rencontre dans les Indes. Ces derniers n’ont pas moins de trois pieds de long; leur jambes sont armées de dents, dont on fait des scies dans le pays. Souvent on les voit combattre entre eux avec les cornes qui surmontent leurs têtes. Le meilleur moyen de se délivrer de ce fléau de Dieu, c’est de payer exactement les dîmes et les redevances ecclésiastiques, et de faire promener autour du canton une femme les pieds nus et dans l’état que Chasseneuz désigne en ces termes : Accessu mulieris, menstrualis, omnia animalia fructibus terræ officientia flavescunt et sic ex his apparet unum bonum ex muliere menstrua resultare.

Indiquant le nom latin qui convient le mieux aux terribles hurebers, notre jurisconsulte prouve qu’ils doivent être appelés locustæ; il fortifie son opinion par des citations qu’il emprunte encore à tous les auteurs de l’antiquité sacrée et profane.

L’auteur discute le point de savoir s’il est permis d’assigner les animaux dont il s’agit devant un tribunal, et finit après de longues digressions par décider que les insectes peuvent être cités en justice.

Chasseneuz examine ensuite si les animaux doivent être cités personnellement, ou s’il suffit qu’ils comparaissent par un fondé de pouvoir. « Tout délinquant, dit-il, doit être cité personnellement. En principe, il ne peut pas non plus se faire représenter par un fondé de pouvoir; mais est-ce un délit que le fait imputé aux insectes du pays de Beaune ? Oui, puisque le peuple en reçoit des scandales, étant privé de boire du vin, qui, d’après David, réjouit le cœur de Dieu et celui de l’homme, et dont l’excellence est démontrée par les dispositions du droit canon, portant défense de promouvoir aux ordres sacrés celui qui n’aime pas le vin. »

Cependant Chasseneuz conclut qu’un défenseur nommé d’office par le juge peut également se présenter pour les animaux assignés, provoquer en leur nom des excuses pour leur non-comparution et des moyens pour établir leur innocence, et même des exceptions d’incompétence ou déclinatoires; en un mot, proposer toutes sortes de moyens en la forme et au fond.

Après avoir discuté fort longuement la question de savoir devant quel tribunal les animaux doivent être traduits, il décide que la connaissance du délit appartient au juge ecclésiastique, en d’autres termes, à l’official.

Enfin, dans la dernière partie de son traité, Chasseneuz se livre à de longues recherches sur l’anathème ou excommunication. Il développe de nombreux arguments au moyen desquels il arrive à conclure que les animaux peuvent être excommuniés et maudits. Parmi ces arguments, qui sont au nombre de douze, nous ferons remarquer ceux-ci:

« Il est permis d’abattre et de brûler l’arbre qui ne porte pas de fruit; à plus forte raison peut-on détruire ce qui ne cause que du dommage. Dieu veut que chacun jouisse du produit de son labeur.

« Toutes les créatures sont soumises à Dieu, auteur du droit canon; les animaux sont donc soumis aux dispositions de ce droit.

« Tout ce qui existe a été créé pour l’homme; ce serait méconnaître l’esprit de la création que de tolérer des animaux qui lui soient nuisibles.

« La religion permet de tendre des piéges aux oiseaux ou autres animaux qui détruisent les fruits de la terre. C’est ce que constate Virgile, dans ces vers du premier livre des Géorgiques :

Rivas deducere nulla
Relligio vetuit, segeti prætendere sepem,
Incidias avibus moliri.

« Or le meilleur de tous les piéges est sans contredit le foudre de l’anathème.

« On peut faire pour la conservation des récoltes même ce qui est défendu par les lois: ainsi les enchantements, les sortiléges prohibés par le droit, sont permis toutes les fois qu’ils ont pour objet la conservation des fruits de la terre; on doit, à plus forte raison, permettre d’anathématiser les insectes qui dévorent les fruits, puisque, loin d’être défendu comme le sont les sortiléges, l’anathème est au contraire une arme autorisée et employée par l’Église.»

À l’appui de ces assertions, l’auteur cite des exemples de semblables anathèmes, tels que ceux de Dieu envers le serpent et le figuier; il en rapporte plusieurs comme ayant eu lieu à des époques récentes.

Il parle d’une excommunication prononcée par un prêtre contre un verger où des enfants venaient cueillir des fruits, au lieu de se rendre au service divin. Ce verger demeura stérile jusqu’au moment où l’excommunication fut levée à la demande de la mère du duc de Bourgogne.

Chasseneuz signale aussi l’excommunication fulminée par un évêque contre des moineaux qui auparavant souillaient de leurs ordures l’église de Saint-Vincent et venaient troubler les fidèles .

Mais, ajoute notre auteur, nous avons dans ces derniers temps des exemples encore plus décisifs. Il raconte alors qu’il a vu à Autun des sentences d’anathème ou d’excommunication prononcées contre les rats et les limaces par l’official de ce diocèse et par ceux de Lyon et de Mâcon; il entre dans le détail de cette procédure; il donne d’abord le modèle de la requête des paroissiens qui ont éprouvé le dommage occasionné par les animaux dévastateurs. Il fait observer que sur cette plainte on nomme d’office un avocat, qui fait valoir au nom des animaux, ses clients, les moyens qu’il croit convenable à leur défense; l’auteur rapporte la formule ordinaire d’anathème. Cette formule est conçue en ces termes: « Rats, limaces, chenilles et vous tous animaux immondes qui détruisez les récoltes de nos frères, sortez des cantons que vous désolez et réfugiez-vous dans ceux où vous ne pouvez nuire à personne. Au nom du Père, etc. »

Enfin Chasseneuz transcrit textuellement les sentences fulminées par les officiaux d’Autun et de Lyon; on en remarque contre les rats, les souris, les limaces, les vers, etc.

Ces sentences sont presque toutes semblables; la différence qui existe entre elles n’est relative qu’au délai accordé aux animaux pour déguerpir; il y en a qui les condamnent à partir de suite; d’autres leur accordent trois heures, trois jours ou plus; toutes sont suivies des formules ordinaires d’anathème et d’excommunication.

Tel était le mode de procédure observé devant le tribunal ecclésiastique dans les poursuites contre les insectes ou autres animaux nuisibles à la terre.

La consultation de Chasseneuz, dont nous venons de donner une courte analyse, acquit à son auteur, qui n’était alors qu’avocat à Autun, une grande réputation comme jurisconsulte; elle lui valut, vers 1510, d’être désigné par l’officialité d’Autun, comme avocat des rats et de plaider leur cause dans les procès qu’on intenta à ces animaux par suite des dévastations qu’ils avaient commises en dévorant les blés d’une partie du territoire bourguignon.

Dans la défense qu’il présenta, dit le président de Thou, qui rapporte ce fait, Chasseneuz fit sentir aux juges, par d’excellentes raisons, que les rats n’avaient pas été ajournés dans les formes; il obtint que les curés de chaque paroisse leur feraient signifier un nouvel ajournement, attendu que dans cette affaire il s’agissait du salut ou de la ruine de tous les rats. Il démontra que le délai qu’on leur avait donné était trop court pour pouvoir tous comparaître au jour de l’assignation; d’autant plus qu’il n’y avait point de chemin où les chats ne fussent en embuscade pour les prendre. Il employa ensuite plusieurs passages de l’Écriture sainte pour défendre ses clients, et enfin il obtint qu’on leur accorderait un plus long délai pour comparaître.

Le théologien Félix Malléolus, vulgairement appelé Hemmerlin, qui vivait un siècle avant Chasseneuz et qui avait publié un traité des exorcismes, s’était également occupé, dans la seconde partie de cet ouvrage, de la procédure dirigée contre les animaux. Il parle d’une ordonnance rendue par Guillaume de Saluces, évêque de Lausanne, au sujet d’un procès à intenter contre les sangsues, qui corrompaient les eaux du lac Léman et en faisaient mourir les poissons.

Un des articles de cette ordonnance prescrit qu’un prêtre, tel qu’un curé, chargé de prononcer les malédictions, nomme un procureur pour le peuple; que ce procureur cite, par le ministère d’un huissier, en présence de témoins, les animaux à comparaître, sous peine d’excommunication, devant le curé à jour fixe. Après de longs débats cette ordonnance fut exécutée le 24 mars 1451, en vertu d’une sentence que l’official de Lausanne prononça, sur la demande des habitants de ce pays, contre les criminelles sangsues, qui se retirèrent dans un certain endroit qu’on leur avait assigné, et qui n’osèrent plus en sortir.

Le même auteur rend compte aussi d’un procès intenté dans le treizième siècle contre les mouches cantharides de certains cantons de l’électorat de Mayence, et où le juge du lieu, devant lequel les cultivateurs les avaient citées, leur accorda, attendu, dit-il, l’exiguïté de leur corps et en considération de leur jeune âge, un curateur et orateur, qui les défendit très dignement et obtint qu’en les chassant du pays on leur assignât un terrain où elles pussent se retirer et vivre convenablement. «Et aujourd’hui encore, ajoute Félix Malléolus, les habitants de ces contrées passent chaque année un contrat avec les cantharides susdites et abandonnent à ces insectes une certaine quantité de terrain, si bien que ces scarabées s’en contentent et ne cherchent point à franchir les limites convenues.»

L’usage de ces mêmes formes judiciaires nous est encore révélé dans un procès intenté, vers 1587, à une espèce de charançon (le Rynchites auratus) qui désolait les vignobles de Saint-Julien, près Saint-Julien de Maurienne. Sur une plainte adressée par les habitants à l’official de l’évêché de Maurienne, celui-ci nomma un procureur aux habitants et un avocat aux insectes, et rendit une ordonnance prescrivant des processions et des prières, et recommandant surtout le payement exact des dîmes. Après plusieurs plaidoiries, les habitants, par l’organe de leur procureur, firent offrir aux insectes un terrain dans lequel ils devraient se retirer sous les peines de droit.

Le défenseur des insectes demanda un délai pour délibérer, et les débats ayant été repris au bout de quelques jours, il déclara, au nom de ses clients, ne pouvoir accepter l’offre qui leur avait été faite, attendu que la localité en question était stérile et ne produisait absolument rien; ce que nia la partie adverse. Des experts furent nommés. Là s’arrêtent malheureusement les pièces connues du procès, et l’on ignore si l’instance fut reprise et quelle décision prononça l’official. Mais ces détails, réunis à ceux que nous avons donnés précédemment, suffisent pour montrer quelles étaient, il y a trois siècles, les formes suivies dans ces singulières procédures.

Nous n’avons pas besoin de nous étendre sur les motifs qui avaient déterminé l’Église à employer l’excommunication contre les animaux. On comprend quel avantage ce moyen pouvait offrir au clergé, d’un côté par l’influence qu’il exerçait sur l’esprit timide et crédule des populations alors ignorantes et superstitieuses; d’un autre côté par le résultat pécuniaire, qui était toujours le but occulte de ses persévérants efforts. Toutefois, après plusieurs siècles, et grâce à la diffusion des lumières, ces pratiques vicieuses cessèrent, et on vit enfin disparaître ces abus de l’excommunication également contraires à la sublime morale de l’Évangile et aux vrais principes de la foi catholique.

Extrait de Curiosités judiciaires et historiques du moyen âge. Procès contre les animaux, par Émile Agnel. J.B. Dumoulin, Paris, 1858.

Posté par othoharmonie le 2 juin 2017

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LES ÉMOTIONS QUI NUISENT À LA SANTÉ

Souvenez-vous que nous sommes formés d’énergie qui vibre à des fréquences différentes. Toute émotion à une fréquence particulière ; certaines nous conduisent vers la santé, d’autres vers la maladie et même la mort. Bien que je me méfie des plats tout préparés quant aux interprétations que l’on donne aux maladies, j’ai trouvé un auteur qui semble avoir un discernement exceptionnel et qui « voit juste » dans la plupart des cas. Par contre, la source de l’émotion qu’il mentionne, qui conduirait à la maladie, ne me semble pas aussi exacte, à moins que l’on ne tienne compte de l’ADN émotionnel ou des vies antérieures, selon vos croyances.

ADN émotionnel ou des vies antérieures

 

Le Dr Narayan Singh Khalsa, Ph.D., a fait une étude extensive reliant les sentiments aux troubles physiques. Les émotions qui causent le plus de problèmes de santé, selon lui, sont : être critique, en colère, avoir du ressentiment, être accablé de culpabilité, de honte, avoir un chagrin profond ou vivre dans la crainte et l’angoisse.

Le Dr Khalsa décrit ces émotions :

  • Une attitude critique provient d’un sentiment de vouloir tout contrôler et peut nous amener à des problèmes d’arthrite.
pensées

 

  • La colère provient d’avoir buter sur des obstacles qui n’ont pas été surmontés et que l’impuissance ressentie est projetée sur les autres et sur l’Univers. Les problèmes qui en résultent peuvent prendre la forme de furoncles, de sensations de brûlures, de fièvre, d’infections ou d’inflammations.
  • Celui qui éprouve du ressentiment a souvent été plongé dans une situation où il s’est senti être victime et impuissant, ce qui le ronge à l’intérieur et peut amener le corps à développer des tumeurs et des cancers.
  • La culpabilité, c’est de la colère tournée sur soi-même. On se punit et on se fait mal. L’emphysème et l’herpès peuvent en résulter.
  • La honte est un sentiment profond de culpabilité généralisée, qui s’attaque au sang et au foie.
  • Le chagrin profond fait suite à une perte ou à la privation et touche en général les poumons, les reins et la vessie.
  • Vivre dans la crainte et l’angoisse met le système en alerte constante, fatiguant les glandes surrénales. On est la proie au stress, avec ses réactions de fugue, fuite ou paralysie. La digestion et le système immunitaire en pâtissent.
  • Toutes ces émotions sont des émotions qui peuvent être saines, si elles sont passagères. Un des médecins avec lequel je travaillais disait que les émotions ne sont que de l’énergie en mouvement… (e-motion = energy in motion) ; elles doivent nous traverser mais pas s’incruster.

C’est lorsqu’elles restent bloquées qu’elles causent des problèmes.

Spirituellement, le mal-être peut également provenir d’un sentiment d’isolement ou de séparation d’avec Dieu, l’Univers ou cette puissance supérieure qui crée un vide lorsque nous nous sentons déconnectés. Le mal-être a un message important : quelque chose doit changer!

Prêtez attention aux signes précurseurs

Un cancer, par exemple, ne nous tombe pas dessus d’un jour à l’autre. Il y a une période d’incubation qui peut aller de 6 mois à 20 ans. Lorsque vous obtenez un diagnostic, posez-vous les questions suivantes : quels étaient mes sentiments, mes pensées, mes fantaisies, mes rêves, ainsi que les événements durant cette période de ma vie ou la précédant ? Quel événement traumatisant pourrait être à la source de mon problème maintenant ? Qu’est-ce que je n’ai pas digéré ? En général, on trouve un choc quelconque, qui n’a pas été résolu, entre 6 et 12 mois précédant la dégradation de la santé. La détérioration, allant de la phase 1 à la phase 8 (voir le schéma ci-dessous), peut se faire très progressivement ou très rapidement, selon les cas.

Il faut aussi tenir compte du fait que les maladies catastrophiques et dégénératives ont plus d’une source de déséquilibre. Pensons au mode de vie, à l’alimentation, à l’environnement, etc. La plupart des gens de nos jours réalisent l’importance de l’alimentation dans le bien-être, mais omettent souvent de faire le lien entre les émotions et le mal-être, sujet de la psycho-neuro-immunologie.

Exemples de troubles physiques pouvant avoir commencé par des problèmes psychologiques

Ne prenez pas les exemples suivants comme paroles d’Evangile. Bien que le pourcentage justifiant un rapport entre le physique et le psychologique soit étonnamment précis, il n’est pas garanti à 100 %. Je donne ci-dessous quelques exemples pour démontrer que les études qui ont été faites confirment que les pensées et les émotions ont un effet sur le bien-être. Rappelons que les pensées/émotions influencent le système nerveux, qui influence le système immunitaire. Les analyses du Dr Khalsa remplissent un manuel de 450 pages ; je n’en donne ici que quelques détails.

  • Douleurs Abdominales :
    – elles commencent souvent suite à une expérience intense de crainte de ne pas pouvoir survivre ;
    – tendance à être perfectionniste et à vouloir s’occuper de tous les détails ;
    – avoir une nécessité compulsive de « sauver » les autres.
  • Bronchite : la crainte, la tension et un sentiment d’instabilité règnent souvent chez ces personnes. Lorsqu’elles sont stressées, elles ont un sentiment d’insécurité et ne se sentent pas protégées. Elles peuvent se sentir séparées du monde et de Dieu. Souvent en colère contre elles-mêmes, elles doivent expier leurs fautes et souffrent de honte et de culpabilité.

  • Problèmes de cœur : les personnes en question souffrent d’un cœur brisé, ont peur d’être abandonnées ou s’attendent à un rejet, mais cherchent désespérément à être secourues. Elles n’ont pas le sens d’avoir une valeur propre ou de mériter d’être aimées.
  • Problèmes du bas du dos : c’est le point pivot de tous les mouvements du corps. Lorsque des problèmes se développent dans cette région, cela veut souvent dire qu’il y a un déséquilibre de pouvoir, un échange inégal d’énergie (on donne trop et on reçoit trop peu), un sentiment d’injustice et de manque d’harmonie, souvent une crainte d’échec financier ou de manque d’argent.
  • Épilepsie : les individus souffrant d’épilepsie ont l’impression d’être persécutés par les personnes de leur entourage et par leur environnement ; ils se sentent accablés et livrés à une lutte intérieure intense, bien qu’ils exagèrent la sévérité des événements dans leur esprit.
  • Fatigue : « À quoi bon ? » est souvent la question que se posent les gens fatigués. Ils s’ennuient et manquent d’amour pour la vie qu’ils ont. Ils ne s’engagent pas et tendent à éviter les responsabilités.
  • Goutte : L’impatience peut être un problème, ainsi que de la colère refoulée qu’il vaudrait mieux relâcher. Les gens souffrant de goutte aiment la « bonne » vie, boire et manger, un peu trop, les menant à l’auto-intoxication.
  • Hyperactivité : « On me demande trop et je n’y arriverai pas » est souvent le cri de la personne souffrant d’hyperactivité. Elle fait des efforts désespérés pour se distraire des demandes énormes et impossibles qu’elle ressent sur elle.
  • Inflammation : On « voit rouge ». Il y a un ressentiment chronique, de l’irritation, de l’ennui et de la colère concernant une situation qui est allée trop loin. C’est un conflit intérieur très intense, qui prend une forme physique.
  • Jaunisse : le cynisme, pessimisme et nihilisme entrent en jeux dans la jaunisse, ainsi qu’un manque d’amour, de compassion et de tolérance, allié à de la déception, du découragement et du dégoût.
  • K.O. : Effrayés de ce qui les attend, ils préfèrent s’évanouir plutôt que de faire face à une situation qui les dépasse.
  • Laryngite : c’est une peur de s’exprimer, de demander ce dont on a besoin, parce que l’on n’est pas sûr si on peut l’obtenir ou si cela peut se retourner contre soi ; c’est aussi une crainte de ne pas être à la hauteur, de ne pas pouvoir répondre à des questions ou à des critiques.

  • Ménopause : peur de ne plus être désirée ; c’est la fin d’une période de la vie d’une femme, qui peut être ressentie comme une perte de direction et d’épanouissement. La femme peut craindre de ne plus être aimée et d’être rejetée, en plus de la peur du vieillissement.
  • N – Névralgies : il n’y a pas de pardon pour les personnes souffrant de douleurs dans les nerfs. Elles ne se pardonnent pas, ne se font pas confiance, pensent qu’elles ont besoin d’être punies et vivent dans la culpabilité. Elles éprouvent de l’angoisse à communiquer avec d’autres concernant leur situation. Il y a un blocage intérieur qui cause de grandes douleurs.
  • Obésité :
    – l’insécurité, la frayeur et le besoin de protection caractérisent les personnes qui souffrent d’obésité ;
    – elles ont absorbé beaucoup de colère provenant d’elles-mêmes et du milieu dans lequel elles vivent ;
    – elles sont alarmées par leur potentiel qui, s’il était exprimé, pourrait les ostraciser.

  • Panique : « Que se passerait-il si je devais me débrouiller tout(e) seul(e) ? »
    – Peur d’être une mauvaise personne et d’avoir le pouvoir de faire quelque chose de mal ;
    – Peur de trahir et détruire la famille si elle exprime ce qu’elle veut ou ce qu’elle voit ;
    – Rage d’avoir été exploité(e) sexuellement.
  • Respiration difficile : ne se sentent pas en sécurité et craignent de vivre en plénitude.
  • Saignement : colère qui épuise l’énergie vitale ; sentiment de vivre dans un univers en colère, entouré de méchantes personnes qui ne pensent qu’à les ruiner et les mettre en danger.
  • Tendinite : irritation intense provenant d’un conflit intérieur ; les personnes se demandent où elles vont et ce qu’elles font. Elles sont frustrées par ce qui se passe dans leur vie, mais craignent le changement et se culpabilisent.
  • Ulcère : celui-ci peut provenir d’une habitude de vivre dans la crainte et l’inquiétude ; les personnes se sont senties abandonnées et trahies et ont peur de souffrir de nouvelles séparations. Elles pensent qu’elles ne sont pas suffisamment bonnes et se reprochent leur infériorité.
  • Problèmes de vision : On ne veut pas voir la vie telle qu’elle est, car on ne pense pas pouvoir la gérer. On se sent souvent accablé et dépassé par les difficultés qu’on rencontre. Si l’on voit trop bien, cela pourrait nous démoraliser… on préfère donc avoir la vue brouillée.

Comme l’a mentionné Danielle J. Duperret, ce n’est qu’un aperçu. Pour les ennuis de cou, par exemple, le Dr Khalsa examine les problèmes de cou à gauche, à droite, au milieu, devant, derrière, sur la partie supérieure, médiane et inférieure, de rigidité, de douleurs, de torticolis et d’entorse cervicale.

Chaque vertèbre du dos reflète un problème distinct.

Chaque dent et chaque doigt sont liés à un problème différent.

Danielle J. Duperret étudiait l’imagerie guidée, on les avait avertis que ce genre de littérature n’était pas très précis et, à l’époque, c’était bien vrai. Il valait mieux demander des informations au subconscient pour cerner le problème. J’ai ensuite étudié et appliqué le livre du Dr Khalsa et j’ai été fort surprise par l’aide qu’il m’a apportée. Je commence souvent par lire les liens entre symptômes et psychologie, demandant à ses clients si l’explication leur paraît plausible, ce qui est en général le cas.

Nous utilisons la kinésiologie appliquée, pour nous assurer de l’importance du lien. Nous faisons quelques rondes de Tapping, puis, si nous avons besoin de renseignements supplémentaires, avons recours à l’imagerie guidée interactive et à l’holoénergétique (imagerie sur turbo), avant de passer à d’autres modalités.

On dit souvent que la colère est tout aussi mauvaise pour un foie qu’un verre d’alcool. Tous les traumatismes affectent le cœur. La vésicule biliaire est souvent le siège du ressentiment et la constipation nous montre qu’il y a quelque chose dont nous ne voulons pas nous débarrasser. Le corps parle… nous n’avons simplement pas encore appris son langage… bien qu’on l’utilise souvent : « J’en ai plein le dos (lumbago ?)… J’ai les jambes en coton (panique)… Je vois rouge (colère)… Je ne sais plus où donner de la tête (torticolis ?)…

Santé, bonheur et l’épanouissement

Danielle J. Duperret voudrait terminer sur une notre plus positive. Ils se sont penchés sur bien de problèmes et des troubles psychologiques. On pourrait y passer tout son temps, mais ce ne serait pas un bon équilibre. Voyons l’autre côté de la balance. Pourquoi ne pas aussi canaliser son attention sur la santé et des sentiments plus constructifs. Les pensées pénibles jouent un rôle sur les nerfs et le système immunitaire, mais les pensées joyeuses le font aussi. Cultivons donc des pensées revitalisantes.

  • La relaxation, la générosité, la joie et la renonciation au passé permettront à votre circulation d’avoir libre passage.
  • L’amour, la joie et le pardon feront du bien à votre cœur.
  • Le contentement et la tranquillité calmeront votre estomac.
  • L’humilité, le bonheur, la bonne humeur et la joie font plaisir à votre foie.
  • La joie permettra à votre intestin grêle de bien fonctionner.
  • L’estime de soi est bon pour le gros intestin.
  • La sécurité, la foi et la confiance en l’avenir permettront à votre rate et à votre pancréas de bien marcher.
  • La tolérance, l’humilité, la modestie et l’intelligence aideront vos poumons à respirer.
  • Le calme, l’assurance, l’ambition et l’énergie sexuelle équilibrée fortifieront les reins et les grandes surrénales.
  • L’espoir, la légèreté et l’allégresse réjouiront votre thyroïde.
  • L’amour, le pardon, l’initiative aident la vésicule biliaire.
  • La paix et l’harmonie fortifieront la vessie.

Lorsque l’on fait du jardinage, on enlève les mauvaises herbes (qui sont souvent d’excellentes plantes à vertus médicinales, mais ça, c’est un autre sujet), en même temps que l’on nourrit sa terre de ce dont les plantes ont besoin. Il en est de même pour notre terrain, le corps humain. Allier la lutte contre les dysfonctions (les mauvaises herbes), nourrir le terrain (le corps) et fortifier tout se qui va bien nous donnent une combinaison gagnante.

N’attendez pas que les mauvaises herbes envahissent et étouffent votre jardin / votre vie. Nourrissez votre corps… Contrôlez soigneusement vos pensées… Choisissez LA SANTE !

Danielle J. Duperret Docteur naturopathe et holistique, ND/PhD – Las Vegas (USA)

Site web : www.DanielleDuperret.com/fr

L’Eveil des SENS pour un mieux être

Juste Avant NOEL pour se sentir bien …………

Le sel est depuis toujours un élément purificateur, il joue un rôle essentiel dans tous les rituels magiques, et très facile à trouver et à utiliser. De plus vous pouvez vous en servir sans aucun risque. Ce point est particulièrement important car il est important pour vous d’effectuer des rituels ne comportant aucun risque. Depuis des siècles et peut-être des millénaires.

Les gens croient aux bienfaits du sel. Dans les rituels d’exorcisme, on utilise le sel pour purifier et pour éloigner les forces du mal. Parmi ces croyances, on trouve:

UN PEU DE SEL SUR UN BILLET DE BANQUE PEUT FAIRE ARRIVER L’ARGENT.

UN PEU DE SEL SUR L’ECRITURE DU NOM  DE L’ËTRE AIME PEUT LE RENDRE FOU D’AMOUR. UN PEU DE SEL DANS UNE MAISON PEUT LA PROTEGER DES ONDES NEFASTES.

Le sel est souverain pour se libérer des forces négatives ou du mauvais sort. Si vous soupçonnez un objet d’être envouté, par exemple, il est conseillé de jeter dessus un peu de sel pour le purifier. Pour effectuer vous même un désenvoûtement ou un exorcisme, voici comment procéder: préparez sur une table, un bol d’eau tiède que vous placez à gauche, et petit tes de sel que vous placez à votre droite.  

Les sels aromatiques, riches en minéraux et, qui plus est, aux parfums énergisants, sont capables eux, de révéler le potentiel beauté grâce, notamment, à leurs propriétés exfoliantes. Une façon d’adoucir sa peau tout en tonifiant le corps.

L’éveil des sens


Une réelle magie peut en effet s’opérer en versant, dans l’eau du bain, les sels qui conviennent à notre odorat. Enrichis d’huiles essentielles, leurs effluves suspendent le temps et ont le pouvoir de transporter le mental dans des pays exotiques, sans quitter son domicile et en fermant simplement les yeux… Selon les principes bénéfiques de l’aromathérapie, les sens ne tardent pas à s’éveiller, ravivant des souvenirs parfois conscients ou inconscients, mais toujours positifs.

L’absence de produits chimiques


La mouvance bio et écolo offre aujourd’hui des produits entièrement naturels. Ainsi peut-on bénéficier de véritables soins de balnéothérapie à domicile avec, par exemple, des sels de bain recueillis dans la Mer Morte, reconnus pour être naturellement riches en chlorure de calcium, magnésium, sodium et potassium. On peut même accéder au luxe de sels de bain de boue ! Ce qui ajoute, au bien-être relaxant, un atout santé non négligeable.

L’effervescence


On peut aussi opter pour le galet effervescent. Le principe : placé sous le dos après avoir rempli la baignoire, il libère des milliers de bulles et pétille jusqu’aux oreilles pour diffuser arômes et principes relaxants à l’eau du bain.

La personnalisation


La créativité a également sa place en matière de sels de bain. Certaines recettes sont disponibles sur des sites web spécialisés. Elles présentent l’avantage de doser et de composer les sels en fonction de ses goûts mais aussi des propriétés thérapeutiques des arômes et des huiles essentielles utilisées. Personnaliser ses sels de bain, c’est faire de ce moment de détente un réel moment pour soi…

Tout sur les sels de bain

Tout sur les sels de bain

Quel bonheur de s’allonger dans sa baignoire après une journée de travail ! Et si, de surcroît, on ajoute à ce plaisir les multiples avantages des sels de bain, le moment peut devenir un avant-goût de paradis…

Le sel demeure le plus efficace des outils magiques mis à notre disposition par la nature. Il purifie, sacralise, éloigne le mal. On l’utilise pour lutter contre les ondes nocives en géobiologie, pour purifier les cristaux, pour se protéger lors des rituels de magie… Toutes les techniques d’utilisation pour chaque circonstance sont expliquées. 

Si nous réunissions tout l’art, tout le savoir et toute l’intelligence de tous les savants du monde, cela ne suffirait pas pour créer et faire pousser un ongle sur un doigt. Cependant, cette Intelligence subjective universelle sait exactement comment poser cellule après cellules dans un million d’ongles et comment construire parfaitement chacune, ainsi qu’elle le fait à ce moment même. Nul ne sait comment mettre le parfum dans une seule fleur, et pourtant tant cette Intelligence touche journellement un million de fleurs de sa baguette magique et distille en parfum leurs essences subtiles venant du sol, de l’eau, de l’air et du soleil. L’homme s’extasie de chacune de ses minuscules découvertes alors que cette Loi d’Intelligence les connaît toutes avant qu’il ne cherche à tâtons son chemin hésitant vers elles.

Les sels de bains permettent de se détendre autant le corps (surtout au niveau des muscles) que l’esprit, encore plus lorsqu’ils sont combinés à des plantes et des huiles essentielles.

Utilisation – choisir son sel de bain selon ses besoins!

1. Le sel de la mer Morte

Le sel de la mer Morte provient de l’étendue d’eau la plus salée au monde. Il est utilisé en cosmétique car il contient plus de 20 sels minéraux en très grande concentration, particulièrement une grande quantité de magnésium, de potassium et de calcium. Son usage est préconisé pour les peaux atopiques, souffrantes d’eczéma et de psoriasis pour son effet apaisant, purifiant et tonifiant.

2. Le sel d’Epsom

Le sel d’Epsom tient son nom de la région dont il provient: la ville Epsom était jadis reconnue pour sa station thermale en Angleterre du XVIIIe siècle, mais il ne reste que quelques vestiges de cette ère. Le sel d’Epsom provient d’un gisement souterrain duquel il est extrait, purifié puis recrystalisé. Ce sel est employé dans le bain pour son action relaxante auprès des muscles grâce au sulfate de magnésium qu’il contient. Une étude aurait d’ailleurs démontré que suite à une semaine de bains contenant du sel d’Epsom, les participants avaient absorbé plus de magnésium, un minéral souvent en carence chez la plupart des gens.

3. Le sel rose de l’Himalaya

Le sel rose de l’Himalaya s’est formé il y a plus de 500 millions d’années, dans ce qui jadis était l’océan Téthys. Ce type de sel est trouvé au nord du Pakistan, au pied de l’Himalaya à plus ou moins 400 mètres sous terre. Comme il est bien enfoui dans le sol, il est protégé des aléas environnementaux. Il est riche en fer, c’est d’ailleurs ce qui lui confère cette magnifique couleur. Il contient aussi du magnésium, du cuivre, du phosphore et d’autres minéraux. Au total, ce sel contiendrait jusqu’à 80 minéraux, ce qui expliquerait ses effets régénérants, détoxifiants et raffermissants. En usage cosmétique, il aiderait à rééquilibrer le pH de la peau et à en retarder le vieillissement grâce à son action positive sur la circulation sanguine.

Bonifier l’utilisation des sels de bain en les combinant avec des huiles essentielles, des plantes et des argiles!

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Soigner l’âme pour guérir le corps : La médecine spirituelle

Devant le grand nombre de maladies chroniques que la médecine soigne sans arriver à les guérir, il serait temps de se demander si les causes physiques sont véritablement l’origine première des maladies… si elles ne seraient pas qu’un maillon de la chaine… si derrière elles, ne se cacherait pas une origine plus profonde au-delà même du sens symbolique des maladies.

Car si nous prenons l’être humain dans sa globalité, physique, psychologique, émotionnelle, énergétique et spirituelle (et non seulement son aspect matériel), nous commençons à discerner une origine plus fondamentale qui serait due à la souffrance de notre être pour ne pas dire de notre âme. Celle-ci viendrait du fait que nous ne sommes pas sur notre chemin de vie… que nos actions ne répondent pas à nos aspirations profondes… que nous ne sommes pas heureux ! La maladie serait ainsi un rappel (non une punition) de notre être pour nous indiquer la direction à prendre dans notre existence. La médecine et la science actuelles s’éveillent-elle à cette réalité ou prennent-elle un autre chemin très dangereux ?

Par Dr Luc Bodin

Evoluez vers une vie plus saine et équilibrée! Durant 45 jours, Dr Luc Bodin vous accompagne à travers cette transformation capitale où vous apprendrez à être vous-même et à mettre en place la vie que vou s désirez.

La vie moderne nous enferme dans une spirale infernale où nous perdons nos repères, nos valeurs mais aussi notre être. Nous ne sommes pas nous-mêmes et nous en souffrons sans toujours en avoir conscience. Mais ceci n’est pas une fatalité. Car il existe une autre spirale, une spirale ascendante qui peut vous pousser vers la lumière, le calme, la paix et la réalisation de votre chemin de vie. Pour cela, quelques aménagements simples et même agréables dans votre quotidien vous permettront peu à peu de vous sentir bien dans votre corps, de retrouver votre énergie, de développer vos aspirations (voire même vos rêves), de déployer votre esprit et même de découvrir l’aspect le plus élevé de votre être. Ce programme de 45 jours vous accompagnera pas à pas tout au long de cette spirale ascendante afin que vous réalisiez ce que vous êtes véritablement… un être de lumière qui fait pour vivre dans la paix et la sérénité en suivant son chemin de vie malgré les turpitudes qui l’entoure.

Vidéos

Le nettoyage intérieur – Avec le Dr. Luc BODIN

Le test des petits papiers – Avec le Dr. Luc BODIN

Les pertes d’énergie – Avec le Dr. Luc BODIN

Le cycle des conflits – Avec le Dr. Luc BODIN

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Mon médecin n’est pas sensible à mes croyances

Pourquoi devrions-nous aller voir un médecin si nous pouvons guérir nous-mêmes ?

Alors je vais maintenant vous demander : combien d’entre vous peuvent le faire, tout de suite ? Nous sommes tous de vieilles âmes, mais êtes-vous vraiment prêts à guérir par vous-mêmes ? Savez-vous comment ? Avez-vous vraiment de bons résultats ? Pouvez-vous vous débarrasser maintenant, par votre esprit, de la maladie et du déséquilibre chimique ?

Les Lémuriens le pouvaient, car les Pléiadiens le leur ont enseigné. C’est l’une des promesses de D i e u : un jour viendra où votre ADN fonctionnera avec une telle efficacité que vous pourrez vous détourner à jamais des médicaments chimiques et de l’industrie médicale, car vous bénéficierez à fond de l’énergie du Créateur, comme vous l’avez vu chez les grands maîtres qui ont vécu sur la Terre. Ce sera possible sur la Terre ascensionnée que vous entrevoyez, chers amis.

Avez-vous vu les actualités dernièrement ? Nous vous disons que l’énergie va dans cette direction, mais que vous n’y êtes pas encore. Que ceux qui ont la conviction de pouvoir se guérir eux-mêmes commencent à apprendre comment faire. Beaucoup apprécieront le fait d’avoir déjà certains dons. Que le processus commence mais ne vous croyez pas un moment arrivé au point où chaque problème de santé pourra être guéri par vous-mêmes. Vous étudiez un processus grandiose que vous finirez pas maîtriser si vous voulez vous lancer dans ce processus quantique qui consiste à parler à vos cellules. Certains y excelleront, mais d’autres ne feront que commencer.

Alors, j’aimerais vous dire comment fonctionnent l’Esprit et les potentialités de ce qui va se dérouler au cours des prochaines années. Nous allons donner aux médecins de la planète de nouvelles inventions et une nouvelle science. Ce seront des découvertes majeures sur le corps humain et sur les attributs quantiques inhérents.

Regardez ce qui s’est déjà passé, car cette science vous a déjà été donnée en partie, et vous vous en servez vraiment. Imaginez une science qui permettrait une transplantation cardiaque en cas de défaillance. Mais oui. Cette opération à déjà lieu plusieurs fois par mois sur cette planète. Cette information est venue du Créateur, le saviez-vous ? Elle n’est pas tombée de quelque bibliothèque d’énergie noire pour être utilisée de façons maléfiques. Alors si vous avez besoin d’un nouveau cœur, Travailleur de lumière, devriez-vous aller voir le médecin, ou en créer un avec votre esprit ?

Jusqu’à ce que vous vous sentiez assez à l’aise pour pouvoir vous-même remplacer votre cœur par un nouveau, vous pourriez envisager le fait d’utiliser l’information divine qui se trouve entre les mains du chirurgien. Cela vous sauvera la vie et créera une situation dans laquelle vous pourrez rester, tout en continuant d’envoyer votre lumière à la Terre.

Comprenez-vous ce que nous disons ?

Vous pouvez également modifier les médicaments et entamer un processus d’une conception spectaculaire, mais pas vraiment propre à la troisième dimension. Je vous mets au défi de commencer à utiliser ce que j’appellerais le principe homéopathique avec des médicaments d’importance majeure. Si certains d’entre vous prennent des médicaments importants pour modifier leur chimie de manière à pouvoir vivre mieux et plus longtemps, ils ont peut-être l’impression de n’avoir aucun choix.

« Eh bien, ça me garde en vie, direz-vous. Comme je n’ai pas encore la capacité de le faire avec ma conscience, je prends des médicaments. Dans cette nouvelle énergie, il y a autre chose à essayer si vous êtes dans cette catégorie. Faites-le dans la sécurité, l’intelligence, le bon sens et la logique. Voici le défi : selon le principe homéopathique, votre inné considère une teinture d’une substance quasi absente que vous ingérez. L’inné « voit » ce que vous essayez de faire, puis en réaction, ajuste la chimie du corps.

 Par conséquent, vous pouvez dire que vous envoyez au corps un « signal en vue d’atteindre l’équilibre ». La quantité de teinture véritable n’est pas suffisamment grande pour affecter quoi que ce soit d’un point de vue chimique – et pourtant, cela fonctionne.

Le corps (inné) voit ce que vous essayez de faire, puis coopère. En un sens, on peut dire que le corps se guérit de lui-même parce que vous l’avez informé de ce qu’il fallait faire au moyen de la substance homéopathique. Alors, pourquoi pas avec un médicament important ? Commencez à en réduire la dose et à parler à vos cellules, et voyez ce qui se passe. Si ça ne fonctionne pas, revenez à la dose de départ.

A votre grand étonnement, vous réussirez peut-être mieux que vous ne le pensiez.

Vous pourriez réduire de trois quarts la dose à laquelle vous êtes habitué. C’est le principe homéopathique, et il vous permet de conserver l’usage du médicament, tout en le réduisant à une fraction d’une dose tridimensionnelle courante. Vous prenez encore cette dose, mais à présent, elle fonctionne au moyen d’un signal plutôt que seulement du point de vue chimique.

 Le signal est envoyé, le corps collabore, et vous réduisez le risque d’effets secondaires. Vous ne pouvez séparer les choses de façon binaire, par oui ou par non, lorsqu’il est question du grand système de l’Esprit.

Utilisez plutôt la logique spirituelle et voyez ce que Dieu vous a donné parmi les inventions et les processus de la planète. Si vous subissez une opération qui sauve votre vie, levez-vous et dites : « Merci, Dieu, pour cela et pour le fait que je sois né dans un pays où ces choses sont possibles ». C’est un sujet compliqué, n’est-ce pas ? Chacun de vous est si différent. Vous savez quoi faire, chers amis. Ne vous troublez pas quant à cette décision, car si vous êtes prêts à écouter, votre inné vous dira ce qui vous convient.

Dieu ne change pas. Respectez la tradition.

Maintenant, le dernier élément. Certains vous diront que Dieu était le même hier, qu’il  est le même aujourd’hui et qu’il sera le même à jamais. Ils diront que vous ne devez pas appartenir à un mouvement du nouvel âge, car Dieu ne changera jamais et Son énergie sera toujours la même.

Par conséquent, vos idées quant au changement de l’énergie et de Dieu sont ridicules. Puis ils vous avertiront : « Méfiez-vous du nouvel âge, et allez plutôt du côté des traditions et des religions établies, qui ont une histoire et qui comptent des milliards d’adeptes sur la Terre ».

Tout cet argument est fondé sur un malentendu, chers amis. Voici ce que j’affirme : Dieu reste toujours le même. C’est magnifique, car Dieu le Créateur ne changera jamais. Ce qui change vraiment, cependant, c’est la relation de l’humain avec un Dieu immuable. Ce qui change, c’est lc capacité de l’humain à dépasser une vieille énergie et à rencontrer le créateur intérieur dans la nouvelle compréhension.

C’est l’humain qui change, non Dieu.

L’environnement même qui vous entoure [Gaïa] coopère afin de mieux comprendre un Dieu qui était le même hier, qui est le même aujourd’hui et qui sera le même à jamais. Le nouvel âge, ce sont des humains qui reconnaissent que leur relation à l’Esprit change et devient plus réelle dans leur vie. Cela signifie que les humains peuvent maintenant commencer à voir et à sentir le créateur en eux, d’une façon nouvelle et profonde. De nouveaux outils spirituels sont disponibles, et une conscience de soi commence lentement à se développer. Les humains sont en train de changer. Dieu reste le même.

Ecartez-vous de la tradition, car elle ne fera que vous garder prisonniers d’une cage que vous avez-vous-mêmes bâtie, dans laquelle vous vous attachez à la mythologie et ne voyez jamais la magnificence de votre âme.

Texte issu du Livre : « Recalibrage de l’Humanité – Le début d’un nouveau cycle évolutif » – TOME XI de KRYEON aux Editions Ariane 2014 – Source : http://francesca1.unblog.fr/  

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La dépression chez l’enfant

Ce n’est que récemment que l’on a pris conscience de l’existence de la dépression chez l’enfant. C’est un trouble dont on parle de plus en plus. Non pas que les enfants deviennent plus dépressifs qu’avant mais on reconnaît désormais leur souffrance de manière plus régulière.

Les nourrissons eux-mêmes semblent déprimer dès que leurs besoins affectifs sont perturbés. Nombre de reflux, de pleurs nocturnes y trouvent leur explication. Il s’agit d’un problème grave et délicat pour lequel les parents doivent nécessairement se faire aider et accepter de ne pas être tout-puissants. En réalité, les parents ne peuvent pas résoudre seuls cette question car ils font partie du problème ! La phytothérapie au service de l’enfant triste

Cela ne doit pas culpabiliser (accepter d’être parent, c’est accepter d’avoir tort en toute sérénité), mais responsabiliser. Le médecin traitant, le pédiatre, le pédopsychiatre sauront avoir ce regard extérieur qui est nécessaire. Il n’est donc pas question d’expliquer comment soigner par les plantes, sans l’aide de personne, son enfant qui manifeste une tristesse excessive. C’est dès lors que l’on aura pris conseil, dans le dialogue avec des spécialistes compétents, que l’on pourra y adjoindre l’aide des plantes.

Le dialogue avant tout


L’ensemble des spécialistes de l’enfant ont la sagesse de ne pas donner inutilement de médicaments. Cependant, des modes assez regrettables poussent parfois à utiliser sur ces cerveaux neufs des produits contestables. Qu’il s’agisse d’insomnies ou d’enfants hyperactifs, on voit de temps à autre des ordonnances qui laissent perplexe. En revanche, la plupart du temps donc, les spécialistes basent leur traitement sur le dialogue avec l’enfant et la famille et c’est tant mieux ! Avec leur accord, quelques plantes apporteront une aide significative :


• on pourra effectuer des cures durant le mois en alternant avoine, coquelicot et passiflore. De l’avoine pour reminéraliser, renforcer, tonifier, puis du coquelicot pour désangoisser, aider au sommeil et enfin de la passiflore pour surmonter l’angoisse face au monde et un manque d’enthousiasme.


Mon conseil :
> Dix jours d’avoine, puis dix jours de coquelicot, puis dix jours de passiflore.
• Les enfants adorent être massés, sauf exception. Deux huiles vont unir l’utile à l’agréable : la lavande et la mandarine. La lavande est très relaxante et fait disparaître l’anxiété, alors que la mandarine, comme tous les agrumes, est plutôt franchement antidépressive en stimulant la sérotonine et la mélatonine.


Mon conseil :
> On utilisera une goutte de chaque, pas plus, pour un enfant de 30 kilos. En dessous, il convient d’utiliser des mélanges moins dosés, disponibles en pharmacie. On mélangera ces deux gouttes dans du lait de coco qui est le support idéal pour les enfants, ou encore dans très peu d’huile d’avocat. On s’abstiendra dans les périodes d’exposition solaire du fait de la mandarine qui est photosensibilisante.
> Le massage commencera par le dos, de chaque côté de la colonne vertébrale, puis la nuque et enfin les membres. Petits bras, avant-bras, mains seront pétris très doucement afin de ne pas provoquer de douleur mais suffisamment pour apporter un relâchement musculaire et une sensation de bien-être. On terminera par les cuisses, jambes et pieds, de la même manière. Un seul effet secondaire connu à ce traitement : c’est tellement bon que l’enfant en redemande… tous les jours !

Docteur Daniel Scimeca* *Pour en savoir plus, lire : « Les plantes du bonheur », Éditions Alpen

Phytho : mode d’emploi pour les petits

On peut utiliser les gélules à partir d’un poids corporel de 30 kg, pas avant : donner une gélule en une seule fois ou ouvrir pour la répartir sur le matin et le soir, à mélanger alors avec un aliment. Mais dès que l’enfant sait avaler, la prise unique de la gélule est bien plus simple. Pour les tout-petits, il est impératif de ne pas faire d’automédication en phytothérapie et de voir un médecin phytothérapeute ou de prendre conseil auprès d’un pharmacien s’intéressant à la phytothérapie.

ARTICLE ISSU DU MAGAZINE EN LIGNE « SIGNES ET SENS »

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Apprendre à maîtriser « la maladie »

La maladie, un terme qui fait peur, et qui est souvent assimilé à des douleurs qui sont plus ou moins présentes au quotidien. Mais qui interviennent aléatoirement selon notre état psychologique. Toute maladie doit-être acceptée et vécu comme « un accompagnement » et non comme « un ennemi ». Le travail sur soi, sur son mental, sur sa capacité à relativiser va être déterminant durant toute la durée de sa pathologie qu’elle soit éphémère ou chronique.

La plupart des maladies sont soignées ou soulagées par des traitements. Et souvent ce sont des traitements lourds avec des effets secondaires néfastes.

On a alors tendance à être pessimiste, et à voir ces traitements telle une aide ’empoisonnée’. Le résultat est alors sans appel, des douleurs toujours présentes, si ce n’est plus… Des traitements changés à plusieurs reprises ce qui est encore plus néfastes pour le corps, qui a du mal à s’adapter à tant de changement.

Le médecin prescrit le traitement adapté mais on choisit en notre âme et conscience de le prendre. Donc à partir du moment, que l’on a choisi, il ne faut pas voir ce choix comme une contrainte. Il faut relativiser ce choix et le voir comme un soutien, une aide extérieur qui va nous apporter un certain confort. Tout en accordant une plus grande importance au bénéfice et en n’omettant presque les désavantages.

Dès que l’on adopte cette vision on sera sûr d’avoir « dompté » sa maladie. Dans la mesure on l’on aura compris que l’on souhaite l’accompagner et non la rejeter. Et finalement, on se rend compte qu’il est plutôt étrange de vouloir repousser quelque chose qui fait partie de nous, de notre corps. Même si cette chose a des effets physiquement désagréables, ce que l’on appelle communément « la douleur ».

Le but sera donc d’accompagner la maladie et non de la rejeter. On est ici dans un esprit de compréhension, d’acceptation et d’écoute de notre corps. On arrive alors automatiquement à gérer ses douleurs. Certes on ne connaît pas encore totalement tous les secrets de « la sensation de la douleur », mais on sait néanmoins qu’elle est en grande partie déclenchée par notre cerveau.

On a juste besoin de retenir ici que la douleur naît dans le cerveau. Pour conforter cette affirmation, il suffit de voir que l’on est capable aujourd’hui d’effectuer une intervention chirurgical des plus poussées sur un patient qui n’aura reçu aucune dose d’anesthésiant! Sous la seule emprise de l’hypnose(qui consiste à prendre le contrôle du cerveau par la parole), le patient ne ressentira absolument aucune douleur durant toute l’intervention.

Prendre conscience de soi, apprendre à s’écouter et à contrôler ses émotions

Quand on est convaincu que la douleur peut-être gérée, il est beaucoup plus simple d’appréhender la maladie. Chaque personne aura une manière différente pour se contrôler et gérer sa douleur.

Chez certains le fait de s’occuper à autre chose va les aider à diminuer considérablement leurs douleurs. Chez d’autres le calme et la quiétude seront leurs meilleurs alliés. Chez d’autres encore, le fait de se plonger dans un profond sommeil tout en douceur va les faire complètement oublier leurs douleurs. Chaque être est unique, et lorsqu’on s’écoute attentivement, on trouvera toujours une réponse innée qui sera adaptée à notre propre situation. Le cerveau est le moteur de notre corps, le coeur en est la batterie. L’un ne va pas sans l’autre, le coeur va transmettre les émotions que le cerveau va concrétiser sous forme psychiques (joie/déprime) ou physiques(douleurs).

Pour conclure, si on est convaincu que nous devons accompagner notre maladie au lieu de la combattre, si on garde l’espoir et que l’on garde la volonté d’aller mieux, il est certain que notre vie sera plus sereine.

La maladie sera en grande partie oubliée, elle sera remplacée par d’autres préoccupations qui font que la vie vaut le coup d’être agréablement vécu! La douleur est réelle, mais avec de la volonté elle peut être totalement dissipée…

SOURCE : « Une maladie doit être traitée avec de l’espoir et de la volonté » une devise universelle qui va vous aider au quotidien par Noura D. (article) et Vincent Toussaint (vidéo)

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